Saint-Jean-du-Pin est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.
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Saint-Jean-du-Pin | |
Village de Saint-Jean-du-Pin pris en photo depuis les ruines du Castellas à 285 m d'altitude. | |
Administration | |
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Pays | France |
Région | Occitanie |
Département | Gard |
Arrondissement | Alès |
Intercommunalité | Alès Agglomération |
Maire Mandat |
Julie Lopez Dubreuil 2020-2026 |
Code postal | 30140 |
Code commune | 30270 |
Démographie | |
Gentilé | Pininque |
Population municipale |
1 517 hab. (2019 ) |
Densité | 109 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 07′ 03″ nord, 4° 03′ 05″ est |
Altitude | Min. 159 m Max. 561 m |
Superficie | 13,96 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Alès (banlieue) |
Aire d'attraction | Alès (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Alès-1 |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.saintjeandupin.fr |
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Alzon et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Jean-du-Pin est une commune rurale qui compte 1 517 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération d'Alès et fait partie de l'aire d'attraction d'Alès. Ses habitants sont appelés les Jeanpinois ou Jeanpinoises.
Située à 3 km à l'ouest-sud-ouest d'Alès, non loin du département de la Lozère, Saint-Jean-du-Pin est une commune du piémont cévenol, avec ses paysages vallonnés de collines calcaires et boisées, entaillées par des ruisseaux qui peuvent devenir des torrents impétueux pendant les grosses pluies d'automne (l'Alzon et le Lionnais).
Son originalité est liée à son positionnement, inséré entre deux grands ensembles actuellement portés par une forte dynamique :
La commune s'étale sur des espaces de nature très différents : forêts de chênes verts et de châtaigniers, zones inondables très rapidement lors d'épisodes orageux, dénivelés importants.
L'enjeu majeur est aujourd'hui de répondre à une forte pression foncière et urbaine du fait de sa très grande proximité avec la ville d'Alès et la venue régulière de nouveaux habitants à la retraite. Il s'agit à la fois de répondre à cette évolution mais également d'assurer la préservation de l'identité culturelle et paysagère de la commune.
La commune s'est dotée d'un nouveau Plan Local d'Urbanisme en 2012.
Saint-Paul-la-Coste | Cendras | |
Saint-Sébastien-d'Aigrefeuille | Alès | |
Générargues | Bagard | Saint-Christol-lez-Alès |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Générargues », sur la commune de Générargues, mise en service en 1949[6] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 1 176,4 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 40 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 4] est recensée sur la commune[13] : les « Hautes vallées des Gardons » (73 898 ha), couvrant 48 communes dont 27 dans le Gard et 21 dans la Lozère[14].
Saint-Jean-du-Pin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[I 1],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Alès, une agglomération intra-départementale regroupant 22 communes[I 2] et 95 704 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alès, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 64 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,8 %), zones urbanisées (10,4 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), prairies (3,1 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Saint-Jean-du-Pin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, et le risque industriel, et à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) d'Alès, regroupant 37 communes autour d'Alès, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[20], retenu au regard des risques de débordements de la Cèze et des Gardons. Parmi les dernières crues significatives qui ont touché le territoire figurent celles de 1958 et de septembre 2002. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[21],[22]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1995, 2002, 2006, 2008 et 2014[23],[18].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[24]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 65,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 634 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 586 sont en en aléa moyen ou fort, soit 92 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[27].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Jean-du-Pin est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[28].
Son architecture présente plusieurs mas anciens qui témoignent de son passé agricole et séricicole. Son agencement en village et multiples hameaux lui confère encore les caractères d'une commune rurale d'inspiration cévenole.
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement les noms de Dupin et de Pin[29].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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mars 1989 | mars 2008 | Michel Plantier | PCF | |
mars 2008 | juin 2020 | Éric Maubernard | PCF | Retraité fonction publique |
Juin 2020 | En cours | Julie Lopez-Dubreuil | sans étiquette | |
Les données manquantes sont à compléter. |
Depuis novembre 2014, une centrale photovoltaïque occupe le territoire de la commune. Il s'agit de la première centrale de ce type dans le département du Gard. La centrale est constituée de 27 500 panneaux photovoltaïques et possède une puissance de 7,1 mégawatts-crête. Elle permet d'alimenter en électricité 7 500 personnes (hors chauffage)[30].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2019, la commune comptait 1 517 habitants[Note 7], en augmentation de 6,38 % par rapport à 2013 (Gard : +2,08 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
413 | 395 | 382 | 411 | 520 | 504 | 489 | 560 | 609 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
638 | 589 | 528 | 613 | 602 | 573 | 542 | 537 | 555 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
592 | 625 | 638 | 559 | 628 | 595 | 605 | 601 | 726 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
779 | 790 | 847 | 1 131 | 1 231 | 1 219 | 1 277 | 1 294 | 1 426 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 512 | 1 517 | - | - | - | - | - | - | - |
Saint-Jean-du-Pin dépend de l'Académie de Montpellier. Les élèves commencent leur scolarité à l'école maternelle, puis primaire de la commune[34].
Saint-Jean-du-Pin organise sur son sol, depuis 1989, le Festival du Rythme[35]. Chaque année, il regroupe sur plusieurs soirs, la troisième semaine de Juillet, une demi-douzaine d'artistes de la scène musicale actuelle, locale comme nationale.
L'école de danse É-Mouvant présente sur Saint-Jean du Pin depuis 2009 propose un apprentissage de la danse pour tous les publics à travers de multiples disciplines comme : L'éveil à la danse, L'initiation à la danse, La danse classique, La danse Modern'Jazz, La danse Orientale, La dance Hip-Hop et le BreakDance, La danse Jazz, La danse Funk, La Bachata et la danse Blues,.. et propose également des cours de remise en forme comme : Le Pilates, le Yoga, La Sophrologie.
Dans un souci de convivialité, qualité, et joie de vivre à St-Jean du Pin. É-Mouvant développe une pédagogie adaptée au rythme de chacun, la transmission de la technique et l'épanouissement artistique à travers le mouvement. Désireux de promouvoir l'art de la danse en constituant une communauté culturelle et artistique élargie qui propose des spectacles de danse, des programmes de cours, d'entraînements et de pratiques pour tous les publics sur Saint-Jean du Pin et l'agglomération du Grand Alès (Gard). L'école de danse se trouve à proximité du centre-ville d'Alès (8 min seulement).
Les valeurs de l'école de danse É-Mouvant : Partager la danse et transmettre l’excellence de notre enseignement en dansant. https://e-mouvant.com/ [36]
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 628 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 515 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 760 €[I 7] (20 020 € dans le département[I 8]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 7,3 % | 6,6 % | 13,4 % |
Département[I 10] | 10,6 % | 12 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 889 personnes, parmi lesquelles on compte 74,5 % d'actifs (61,1 % ayant un emploi et 13,4 % de chômeurs) et 25,5 % d'inactifs[Note 9],[I 9]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Alès, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 112 emplois en 2018, contre 112 en 2013 et 155 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 557, soit un indicateur de concentration d'emploi de 20,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,2 %[I 13].
Sur ces 557 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 76 travaillent dans la commune, soit 14 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 92,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,6 % les transports en commun, 3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
128 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Jean-du-Pin au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 128 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 20 | 15,6 % | (7,9 %) |
Construction | 24 | 18,8 % | (15,5 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 29 | 22,7 % | (30 %) |
Information et communication | 4 | 3,1 % | (2,2 %) |
Activités financières et d'assurance | 2 | 1,6 % | (3 %) |
Activités immobilières | 2 | 1,6 % | (4,1 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 14 | 10,9 % | (14,9 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 22 | 17,2 % | (13,5 %) |
Autres activités de services | 11 | 8,6 % | (8,8 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,7 % du nombre total d'établissements de la commune (29 sur les 128 entreprises implantées à Saint-Jean-du-Pin), contre 30 % au niveau départemental[I 17].
L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[37] :
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 15 | 8 | 4 | 3 |
SAU[Note 12] (ha) | 40 | 36 | 4 | 10 |
La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[38]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est l'élevage de volailles[Carte 4]. Trois exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (15 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 10 ha[40],[Carte 5],[Carte 6].
La commune est classée en zone de montagne. Boisée à 70 %, elle offre quelques sites remarquables :
La commune a inauguré en 2012, à proximité de l'école, une sculpture évoquant les apprentissages scolaires. L'œuvre représente les outils que les élèves utilisent au quotidien.
Saint-Jean-du-Pin participe au concours des Villages Fleuris. La municipalité a reçu le prix de la première participation.
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