Saint-Grégoire est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne. Appartenant à Rennes Métropole et peuplée de 9 890 habitants[Note 1], elle borde le nord de la commune de Rennes.
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Saint-Grégoire | |
![]() L'église Saint-Grégoire. | |
![]() Héraldique |
![]() Logo |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Bretagne |
Département | Ille-et-Vilaine |
Arrondissement | Rennes |
Intercommunalité | Rennes Métropole |
Maire Mandat |
Pierre Breteau 2020-2026 |
Code postal | 35760 |
Code commune | 35278 |
Démographie | |
Gentilé | Grégoriens |
Population municipale |
9 890 hab. (2019 ![]() |
Densité | 572 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 09′ 04″ nord, 1° 41′ 10″ ouest |
Altitude | Min. 25 m Max. 92 m |
Superficie | 17,30 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Rennes (banlieue) |
Aire d'attraction | Rennes (commune du pôle principal) |
Élections | |
Départementales | Canton de Betton |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.saint-gregoire.fr |
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Saint-Grégoire est longée par le canal d'Ille-et-Rance. Elle est la huitième commune la plus importante en termes de population, sur les quarante-trois que compte Rennes Métropole. Elle appartient au canton de Betton qui regroupe Saint-Grégoire, Betton, La Chapelle-des-Fougeretz et Montgermont.
Le canal d'Ille-et-Rance parcourt le territoire communal.
Saint-Grégoire est depuis la fin du XIXe siècle, un des lieux de promenade favoris des Rennais. Le , on voit arriver les premières vedettes qui reliaient Rennes à Saint-Grégoire, les dimanches et les jours de fête. Saint-Grégoire devient alors un lieu de promenade et de pêche pour les citadins au bord de l'eau, à Robinson, près de l’écluse de Saint-Grégoire, rendu célèbre par son auberge au bord du canal. Les vedettes disparaissent en 1939.
Le site de Robinson est aussi un lieu de rendez-vous culturels, où s'amarre la Péniche Spectacle au cours de sa programmation, offrant au public un lieu de spectacle original.
En 2004, la ville a célébré le bicentenaire du canal. Les services communaux et les associations ont organisé des animations relatant l’histoire de la construction du canal, de son activité et de la vie quotidienne des riverains à cette époque.
Desservie par les bus du réseau Star de Rennes Métropole :
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,1 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[11].
Saint-Grégoire est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rennes, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes[15] et 357 327 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (30,3 %), terres arables (20,6 %), zones urbanisées (18 %), prairies (17,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Le tableau ci-dessous présente une comparaison de quelques indicateurs chiffrés du logement pour Saint-Grégoire et l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine en 2017[I 1],[I 2].
Saint-Grégoire | Ille-et-Vilaine | |
---|---|---|
Parc immobilier total (en nombre d'habitations) | 4 418 | 546 440 |
Part des résidences principales (en %) | 93,6 | 86,2 |
Part des résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,4 | 6,9 |
Part des logements vacants (en %) | 5,0 | 6,9 |
Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) | 65,0 | 59,8 |
Part des ménages locataires de leur logement (en %) | 34,1 | 39,0 |
Saint-Grégoire est située à la limite nord de Rennes et bordée des axes Rennes-Saint-Malo et Rennes-Mont Saint-Michel. De commune rurale jusqu’aux années 1960, Saint-Grégoire est devenue une banlieue urbaine.
Des nouveaux quartiers d'habitation se sont développés autour du centre-bourg, en lien avec le centre ancien. Au sud de la commune, à cheval sur la commune de Rennes, une importante zone industrielle et commerciale a été aménagée à partir des années 1960. Cette zone accueille plusieurs centaines d'entreprises[22].
Certaines œuvres telles que la fontaine de Saint-Jean ou le mur de la mairie font partie intégrante de la ville étant par ailleurs ses symboles.
Saint-Grégoire dispose d'un plan local d'urbanisme intercommunal approuvé par délibération du conseil métropolitain du [23]. Il divise l'espace des 43 communes de Rennes Métropole en zones urbaines, agricoles ou naturelles.
Le gentilé est Grégorien.
Des objets de l’âge de bronze et des objets Romains ont été trouvés au siècle dernier dans l’ancienne carrière de calcaires marins, près de la Noé.
Ces calcaires sont des vestiges de la présence de l’océan à l’ère tertiaire, dans ce qui est devenu depuis le Bassin de Rennes.
De son ancienne appellation « la Ville rouge »[24], due à la couleur de ses murailles, on a déduit une origine gallo-romaine. La commune de Saint-Grégoire était traversée par la voie romaine allant de Condate (Rennes) à Avranches, dit encore au XIXe siècle "chemin de la Reine-Anne". A. Marteville et P. Varin précisent en 1853 que cette voie est en grande partie détruite par les cultures ; « ce qui en reste, enfouie sous la boue et les ornières, montre à peine quelques fragments de pavage. (...) À un kilomètre du bourg, et sur le bord de la voie, un camp romain est encore assez visible »[25].
La date de la fondation du bourg, qui porte le nom du pape Grégoire Ier, n’a pu être déterminée avec précision. La paroisse ne fut probablement constituée qu’autour du VIIIe ou IXe siècle. Elle devrait sa fondation à un évêque de Rennes qui, au retour d’un pèlerinage à Rome, ramena, sinon des reliques, du moins le culte de saint Grégoire le Grand, l’un des papes du VIe siècle.
L'ancienne église daterait du XIe siècle. D’abord romane, celle-ci subit des adjonctions au XVe siècle et fut prolongée en 1836, avant d’être restaurée en 1972.
Seon A. Marteville et P. Varin, « la commune actuelle de La Chapelle-des-Fougeretz était, en 1400, trève de Saint-Grégoire, qui comptait, en outre, les chapelles fondées du Chêne Macé, route de Melesse, de Launaye, attenante à l'église, des Masselin, route d'Antrain : toutes trois sont détruites aujourd'hui [en 1853]. Les chapelles privées étaient celles du Chênay-Beauregard, de Launay-Legonidec, du Vivier, de la Robinardière et de la Saudraye »[25].
Saint-Grégoire faisait partie au XIIIe siècle de la châtellenie du Désert[26].
En 1420 les maisons nobles étaient le Désert-Seul et la Hautière, à Pierre de Pocé ; la Grimaudaye et le Val, à Jean Le Prêtre ; la Brétèche, à Guillaume Mandart ; la Plesse, Launai, les Chesnais et Haudebert, à Jean du Breil ;la Vizeulle, la Saudraieet les Charbonnières, à N[27].
Dans la seconde moitié du XVe siècle, Jacques d'Espinay, évêque de Rennes, ayant été insulté dans le village de Saint-Grégoire, excommunia tous les paroissiens ; l'excommunication ne fut levée que contre le paiement d'une rente perpétuelle de 872 boisseaux de blé, que cette pauvre paroisse payait encore au XVIIIe siècle[28].
Selon A. Marteville et P. Varin, « le grand bailliage épiscopal du Désert (dont dépendait Saint-Grégoire] appartenait avant 1700 à l'évêque de Rennes, qui en avait cédé les droits aux seigneurs de Launay la Plesse. La famille de Boisgelin, qui avait été seigneur en 1770, en avait aussi conservé le titre, mais sans en avoir les droits »[25].
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Saint-Grégoire en 1778 :
« Saint-Grégoire ; à 1 lieue au nord de Rennes, son évêché, sa subdélégation et son ressort. On y compte 1 100 communiants[Note 8] ; la Cure est présentée par un chanoine de la cathédrale. Le territoire, coupé par la rivière d'Isle, offre à la vue des terres très exactement cultivées et beaucoup d'arbres et de buissons. On trouve dans certains cantons [endroits] des amas de sables [faluns] que la mer a probablement déposé et qui paraissent un detritum de coquilles : il ressemble assez à ce sable [ maërl ] que les agriculteurs utilisent pour fertiliser leurs terres. Les habitants le nomment sable de Saint-Grégoire (...)[27]. »
A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Saint-Grégoire en 1853 :
« Saint-Grégoire (sous l'invocation de saint Grégoire-le-Grand, pape). Commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : Haut et Bas-Val, l'Épinay, Chenay-Macé, Mongiron, Maison Blanche, la Bretèche, Balus, Belle-Épine, Marre-Beaulieu, Aulnayes-Gonidec. Superficie totale : 1 733 hectares, dont (...) terres labourables 1 240 ha, prés et pâturages 278 ha, bois 11 ha, vergers et jardins 47 ha, canaux de navigation 10 ha, landes et incultes 64 ha (...). Moulins : 2 (à eau, de Saint-Grégoire, de la Charbonnière). Saint-Grégoire est un joli bourg, situé à mi-côte d'une colline qui domine le canal d'Ille-et-Rance. De belles prairies, de jolies maisons de campagne ornent son territoire, fertile et bien cultivé. L'ancienne paroisse relevait du chapitre de Rennes, qui en percevait les dîmes. (...) Des anciennes terres nobles, il ne reste plus que les ruines du château de la Plesse, près des bords de l'Ille.(...) La Saudraye a été reconstruite depuis peu. (...) À environ deux kilomètres du bourg est un des réservoirs qui fournissait jadis les eaux à l'aqueduc de Rennes. Il en sort une eau abondante et pure dont les aux, qui ne tarissent jamais, coulent dans la rivière, où elles se perdent. Saint-Grégoire repose sur un terrain tertaire moyen, entouré au nord, à l'est et à l'ouest, par le schiste argileux. Au nord principalement court un banc de dépôt coquillier, qui jadis a été exploité, soit comme pierre à chaux, soit pour faire des tombes funéraires. Ce calcaire pourrait être d'un immense profit pour l'agriculture (...). Sur plusieurs points de la commune, on exploite l'argile que la ville de Rennes emploie pour les enduits des maisons en bois, dont le nombre, heureusement, diminue de jour en jour. Ce territoire fournit des beurres, des foins et du cidre. On parle le français[25]. »
Le monument aux morts de Saint-Grégoire porte les noms de 50 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux trois (Ambroise Deschamps, Joseph Piel et Louis Robinard) ont été décorés de la Médaille militaire et de la Croix de guerre ; 13 autres ont été décorés de la Croix de guerre. Joseph Moquet, tué à l'ennemi dès le à Rossignol (Belgique) et Pierre Périgault, tué le même jour à Virton, aussi en Belgique, ont été les premiers soldats originaires de Saint-Grégoire à être victime de cette guerre ; Alexandre Cadieu, tué à l'ennemi le à Saint-Souplet-sur-Py (Marne), fut le dernier. À l'exception des deux soldats tués en Belgique précédemment cités, tous les autres sont morts sur le sol français à l'exception de Louis Mayas, mort de maladie sur le navire-hôpital Lafayette et d'Augustin Delaporte, mort alors qu'il était prisonnier en Allemagne[29].
Le monument aux morts de Saint-Grégoire porte les noms de 7 personnes mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale ; parmi eux, Albert Besnard, résistant, déporté au camp de concentration de Buchenwald, mort en déportation et Auguste Davy, mort en captivité à Sorau (Allemagne) [désormais Żary (Pologne)][29].
Un soldat originaire de Saint-Grégoire (Jean Leray) est mort pour la France pendant la Guerre d'Indochine et deux ( Yves Brouder et Bernard Monnier) pendant la Guerre d'Algérie[29].
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Blasonnement : De sable à deux épées basses d'argent passées en sautoir. |
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Logotype de la Ville de Saint-Grégoire : Signification à compléter |
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Saint-Grégoire appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Betton depuis sa création en 1991. Avant cette date, la commune a appartenu aux cantons suivants : Rennes-Nord-Est (1833-1973), Rennes-IV (1973-1985) et Rennes-Nord (1985-1991).
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la deuxième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Laurence Maillart-Méhaignerie (MoDem). Sous la IIIe République, elle appartenait à la première circonscription de Rennes et de 1958 à 1986 à la 1re circonscription (Rennes-Nord).
Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.
La commune appartient à Rennes Métropole depuis sa création le . Saint-Grégoire faisait alors partie des 27 communes fondatrices du District urbain de l'agglomération rennaise qui a pris sa dénomination actuelle le .
Saint-Grégoire fait aussi partie du Pays de Rennes.
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[30].
Les 29 sièges composant le conseil municipal ont été pourvus le lors du premier tour de scrutin. Actuellement, il est réparti comme suit :
Groupe | Effectif | Statut | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
« Pierre Breteau 2020, Agir, avec vous ! » (MoDem) | 29 | majorité | ||||
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Saint-Grégoire fait partie des communes membres de Rennes Métropole où aucune opposition siège au conseil municipal.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1790 | 1791 | Léonard Grandmoulin | ||
1791 | 1791 | Gilles Fontaine | ||
1792 | février 1834 (décès) |
Gilles Grallan[31] | Chirurgien-vétérinaire, capitaine de la Garde nationale | |
1834 | 1847 | Gilles Morel[31] | ||
décembre 1847 | décembre 1849 (démission) |
Joseph Grallan[31] | Républicain | Médecin |
janvier 1850 | juillet 1863 | René Le Jariel[32] | Propriétaire | |
juillet 1863 | mars 1873[33] (démission) |
Joseph Grallan[31] | Républicain | Médecin Conseiller général de Rennes-Nord-Est (1871 → 1877) |
mars 1873 | août 1873 | Emmanuel Gesvret[32] | ||
août 1873 | 1881 | Julien Templé[34] | ||
mars 1881 | janvier 1887 | Emmanuel Gesvret[32] | ||
février 1887 | février 1918 (décès) |
Joseph Grandmoulin[34] | Agriculteur Chevalier du Mérite agricole | |
mars 1918 | décembre 1919 | François Testard | ||
décembre 1919 | mars 1965 | Alphonse Milon[35] | Négociant en bestiaux, propriétaire | |
mars 1965 | mars 1971 | Henri Schmitt | Minotier retraité, maire honoraire | |
mars 1971 | 30 janvier 1999[36] (démission) |
Paul Ruaudel[37] | DVD | Dirigeant d'une entreprise de menuiserie, maire honoraire[38] Conseiller général de Rennes-Nord (1988 → 1992) Conseiller général de Betton (1992 → 1994) Vice-président de Rennes District (1971 → 1977 et 1989 → 1999) Chevalier de la Légion d'honneur (1999) |
30 janvier 1999[39] | 22 mars 2008 | René David[40] | DVD | Ingénieur, dirigeant d'une entreprise de génie civil |
22 mars 2008 | En cours (au 28 mai 2020) |
Pierre Breteau | UMP puis UDI puis MoDem[41]/ Horizons[42] |
Conseiller en gestion Conseiller régional de Bretagne (2015 → 2021) Conseiller départemental de Betton (2021 → ) 18e vice-président de Rennes Métropole (2014 → 2020) Réélu pour le mandat 2020-2026[43] Chevalier de la Légion d'honneur (2021)[44] |
La commune est jumelée à[45] :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[47].
En 2019, la commune comptait 9 890 habitants[Note 9], en augmentation de 10,02 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +5,84 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 147 | 1 128 | 1 178 | 1 270 | 1 237 | 1 260 | 1 251 | 1 334 | 1 266 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 115 | 1 216 | 1 270 | 1 290 | 1 306 | 1 291 | 1 359 | 1 307 | 1 274 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 289 | 1 221 | 1 263 | 1 171 | 1 159 | 1 202 | 1 237 | 1 498 | 1 438 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 464 | 2 092 | 2 461 | 3 854 | 5 809 | 7 644 | 7 977 | 8 178 | 8 333 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
9 195 | 9 890 | - | - | - | - | - | - | - |
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