Saint-Denis-lès-Martel est une commune française, située dans le nord du département du Lot, en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Martel, une région naturelle constituant le plus septentrional des quatre causses du Quercy, entre Limousin, vallées de la Tourmente et de la Dordogne.
Saint-Denis-lès-Martel | |
![]() Maison à colombages au lieu-dit Balme, à Saint-Denis-lès-Martel. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Lot |
Arrondissement | Gourdon |
Intercommunalité | Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne |
Maire Mandat |
Guy Mispoulet 2020-2026 |
Code postal | 46600 |
Code commune | 46265 |
Démographie | |
Gentilé | Saint-Dyonésiens |
Population municipale |
331 hab. (2019 ![]() |
Densité | 42 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 56′ 30″ nord, 1° 39′ 45″ est |
Altitude | 120 m Min. 93 m Max. 323 m |
Superficie | 7,93 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Martel |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Dordogne, la Sourdoire, la Tourmente et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée de la Dordogne quercynoise »), un espace protégé (le « cours lotois de la Dordogne ») et sept zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Denis-lès-Martel est une commune rurale qui compte 331 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 895 habitants en 1881. Ses habitants sont appelés les Saint-Dyonésiens ou Saint-Dyonésiennes.
La commune de Saint-Denis-lès-Martel est située dans le Quercy, sur le Causse de Martel. Elle est arrosée par deux affluents de la Dordogne, la Sourdoire qui borde le territoire communal au sud-est, et la Tourmente.
Saint-Denis-lès-Martel est limitrophe de cinq autres communes.
Strenquels | Saint-Michel-de-Bannières | |
Martel | ![]() |
Vayrac |
Floirac |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Branceilles », sur la commune de Branceilles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 002,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 26 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[13].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[16],[17].
Un autre espace protégé est présent sur la commune : le « cours lotois de la Dordogne », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 569,6 ha[18].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de la Dordogne quercynoise »[20], d'une superficie de 5 567 ha, qui présente des milieux aquatiques d'intérêt majeur et de un important éventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espèces de l'annexe II, de nombreuses espèces localisées à rares aux niveaux régional ou national[21].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[22] :
et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[22] :
Saint-Denis-lès-Martel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[30],[I 1],[31]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48,9 %), forêts (28,2 %), prairies (15,4 %), zones urbanisées (4 %), eaux continentales[Note 9] (3,4 %)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Saint-Denis-lès-Martel est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne, la Sourdoire et la Tourmente. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[35]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1992, 1993, 1999 et 2001[36],[33].
Saint-Denis-lès-Martel est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[37].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[38]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[39].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 70,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 259 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 217 sont en en aléa moyen ou fort, soit 84 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[40],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[39].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, par des mouvements de terrain en 1999 et par des glissements de terrain en 1993[33].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une infrastructure ferroviaire. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[41].
La commune est en outre située en aval des barrages de Saint-Étienne-Cantalès et de Bort-les-Orgues, des ouvrages de classe A[Note 10] disposant d'une retenue de respectivement 133 millions[43] et 477 millions de mètres cubes[44],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[45].
Le toponyme Saint-Denis-lès-Martel, en occitan Sent Daunís, est basé sur l'hagiotoponyme chrétien Denis de Paris (Dionysius) : premier évêque de Paris. lès vient de lez préposition issue du latin de basse époque latus signifiant à côté de[46].
Sent Daunís s'appelait d'abord Lenzac variante de Lanzac[46].
Durant la Révolution, la commune, alors nommée simplement Saint-Denis, porte le nom de Seu-Denis[47].
L'appendice lès-Martel a été ajouté au nom de la commune en 1890[47].
Ses habitants sont appelés les Saint-Dyonésiens[48].
C'est sur le territoire actuel de Saint-Denis-lès-Martel, sur les pentes du puy d'Issolud autrefois Uxellodunum que se déroula la dernière bataille de la conquête de la Gaule par Jules César pendant l'été de 51 av. J.-C. après les chocs de Gergovie et d'Alésia de 52 av. J.-C. Cette victoire ultime qui marqua le début de l'occupation romaine de toute la Gaule fut acquise par une ruse de César qui réussit à priver d'eau les assiégés d'Uxellodunum en faisant creuser par ses légionnaires des galeries souterraines qui captèrent les filets d'eau qui alimentaient la principale source (fontaine actuelle de Loulié) de cet oppidum gaulois du pays des Cadurques.
Le 26 avril 2001, grâce aux travaux de l'équipe de l'archéologue J.-P. Girault, a été reconnu officiellement, par le ministère de la Culture à Toulouse, l'identité d'Uxellodunum avec le puy d'Issolud situé dans le Lot sur la rive droite de la Dordogne sur la commune de Vayrac et en partie sur celle de Saint-Denis-lès-Martel où se trouve la fontaine de Loulié, lieu du siège et de la captation de la source par les Romains.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1795 | 1811 | Jean Grandou-Marbot | ||
1811 | 1813 | Pierre Lasfargue | ||
1813 | 1832 | Louis Balthazar Lachièze de Briance | ||
1832 | 1840 | Pierre Noël | ||
1840 | 1848 | Louis Balthazar Lachièze de Briance | ||
1848 | 1871 | Jérôme Gaillard | ||
1871 | 1900 | Pierre Nayrac | ||
1900 | Gustave[50] Lachièze de Briance | |||
avant 1981 | ? | René Sérager | DVG | |
mars 2001 | 2009 | Bertrand Lacarrière | SE | |
2009 (réélu en mai 2020) |
En cours | Guy Mispoulet | SE |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[52].
En 2019, la commune comptait 331 habitants[Note 11], en augmentation de 2,48 % par rapport à 2013 (Lot : +0,19 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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532 | 657 | 807 | 705 | 673 | 732 | 705 | 702 | 727 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
724 | 789 | 770 | 772 | 747 | 895 | 820 | 817 | 820 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
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729 | 764 | 768 | 702 | 675 | 659 | 612 | 595 | 596 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
512 | 437 | 338 | 358 | 324 | 362 | 397 | 331 | 335 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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331 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, la commune compte 144 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 284 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 500 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 6] | 7,9 % | 5,4 % | 11 % |
Département[I 7] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 205 personnes, parmi lesquelles on compte 72,4 % d'actifs (61,3 % ayant un emploi et 11 % de chômeurs) et 27,6 % d'inactifs[Note 13],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui de la France en 2008.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 51 emplois en 2018, contre 52 en 2013 et 45 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 127, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,1 %[I 10].
Sur ces 127 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 36 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
27 établissements[Note 14] sont implantés à Saint-Denis-lès-Martel au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 27 entreprises implantées à Saint-Denis-lès-Martel), contre 29,9 % au niveau départemental[I 14].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
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Exploitations | 23 | 21 | 13 | 9 |
SAU[Note 15] (ha) | 436 | 429 | 322 | 292 |
La commune est dans la Limargue », une petite région agricole occupant une bande verticale à l'est du territoire du département du Lot[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Neuf exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (23 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 292 ha[56],[Carte 5],[Carte 6].
![]() |
Blason | De sinople à deux bandes ondées abaissées d'argent, accompagnées au canton senestre du chef d'un casque romain du même ; au franc-quartier de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or[58]. |
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Détails | Le vert est pour l'agriculture, les ondes représentent la Sourdoire et la Tourmente qui arrosent la commune, le casque romain est pour l'ultime bataille pour la conquête de la Gaule, qui eut lieu sur le territoire du village. Enfin, la croix occitane est pour la région. Création Jean-François Binon, adoptée en 2019. |
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