Revest-des-Brousses est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
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Revest-des-Brousses | |
Le village, vu des hauteurs de Mane. | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur |
Département | Alpes-de-Haute-Provence |
Arrondissement | Forcalquier |
Intercommunalité | Communauté de communes Haute-Provence-Pays de Banon |
Maire Mandat |
Muriel Garau 2020-2026 |
Code postal | 04150 |
Code commune | 04162 |
Démographie | |
Population municipale |
258 hab. (2019 ) |
Densité | 11 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 58′ 22″ nord, 5° 40′ 21″ est |
Altitude | Min. 515 m Max. 868 m |
Superficie | 22,95 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Reillanne |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | revestdesbrousses.fr |
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Le nom de ses habitants est Revestains[1].
Revest-des-Brousses est située à 7 km de Vachères[2] et 14 km de Simiane-la-Rotonde.
La commune est membre du parc naturel régional du Luberon.
Les communes limitrophes de Revest-des-Brousses sont Banon, Ongles, Limans, Mane, Aubenas-les-Alpes, Saint-Michel-l'Observatoire et Vachères.
Le village est situé à 620 m d’altitude[3].
Le site FR9302008 à chauves-souris dit de « Vachères » se situe au nord-est du parc naturel régional du Luberon[4],[5].
Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :
Revest-des-Brousses dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 350 équivalent-habitants[7].
La commune compte 1 218 ha de bois et forêts, soit plus de la moitié de sa superficie[1].
Revest-des-Brousses est située en Haute Provence et bénéficie d'un climat méditerranéen d'intérieur aux étés chauds et secs, en revanche les hivers sont frais et marqués par des gelées fréquentes. Le mistral souffle parfois bien que la commune soit abritée par la montagne de Lure. Elle peut être plus exposée au levant ou au sirocco, qui surviennent rarement. En moyenne annuelle, à la station de référence située à Forcalquier, la température s'établit à 12,8 °C avec une moyenne maximale de 22,4 °C et une minimale de 0,0 °C. Les températures nominales maximales et minimales relevées sont de 30 °C en juillet et 0 °C en décembre et janvier. L'ensoleillement moyen est de 2 755 heures par an avec une pointe à 343 heures en juillet. Autre valeur importante, caractéristique du climat méditerranéen, les précipitations totalisent 426 millimètres sur l'année, inéquitablement réparties avec un peu plus de vingt et un millimètres en juillet et plus de 54 millimètres en octobre.
Les stations météos proches de Revest-des-Brousses sont situées à Forcalquier, Lardiers (station manuelle) et à l’observatoire astronomique de Saint-Michel-l'Observatoire[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 0 | 0,5 | 3 | 5,4 | 8,9 | 12,8 | 15,4 | 15,2 | 12 | 8,2 | 3,8 | 1,1 | 7,2 |
Température moyenne (°C) | 4,3 | 6,2 | 8,2 | 11,1 | 15,1 | 19,3 | 22,4 | 22 | 18 | 13,4 | 8,2 | 5,2 | 12,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,6 | 10,9 | 15,4 | 16,9 | 21,4 | 25,8 | 29,3 | 28,9 | 24 | 18,5 | 12,7 | 9,3 | 18,5 |
Précipitations (mm) | 27 | 25 | 24 | 44 | 40 | 28 | 21 | 33 | 46 | 54 | 53 | 31 | 426 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
8,6 0 27 | 10,9 0,5 25 | 15,4 3 24 | 16,9 5,4 44 | 21,4 8,9 40 | 25,8 12,8 28 | 29,3 15,4 21 | 28,9 15,2 33 | 24 12 46 | 18,5 8,2 54 | 12,7 3,8 53 | 9,3 1,1 31 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Revest-des-Brousses est desservi par la départementale RD 18, depuis Vachères, ou par la RD 55 depuis Saint-Michel-l'Observatoire.
Ligne | Tracé |
---|---|
B01 | Banon ↔ Revest-des-Brousses ↔ Saint-Michel-l'Observatoire ↔ Manosque |
En dehors du village, la commune comporte un hameau : Gubian.
Revest-des-Brousses est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29,2 %), zones agricoles hétérogènes (28 %), terres arables (0,4 %)[16].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[17].
La commune est soumise au règlement national d'urbanisme (RNU)[18].
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Banon auquel appartenait Revest-des-Brousses jusqu'en est en zone 1a (sismicité très faible mais non négligeable) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[19], et en zone 3 (risque modéré) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[20]. La commune de Revest-des-Brousses est également exposée à trois autres risques naturels[20] :
La commune de Revest-des-Brousses n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[22]. Aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[22] et le Dicrim n’existe pas[23].
La commune a été l’objet d’arrêtés de catastrophe naturelle en 1994, pour des inondations, des coulées de boue et des glissements de terrain[20].
Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois en 1274 (de Revesto de Borossa), est tiré du provençal revèst, variante de revers, désignant un versant de montagne exposé au nord[24] (et non au soleil[25] ou un territoire remis en culture[26]).
Le territoire de la commune est fréquenté au néolithique et au chalcolithique, comme l’attestent des découvertes archéologiques[Col 1]. Deux sites d’oppidum ont été occupés pendant la protohistoire, sur les collines de Saint-Laurent, au sud-ouest du village, et de la Tour de Revest, au sud[27].
Dans l’Antiquité, le territoire de Revest fait partie de celui des Sogiontiques (Sogiontii), dont le territoire s’étend du sud des Baronnies à la Durance. Les Sogiontiques sont fédérés aux Voconces, et après la conquête romaine, ils sont rattachés avec eux à la province romaine de Narbonnaise. Au IIe siècle, ils sont détachés des Voconces et forment une civitas distincte, avec pour capitale Segustero (Sisteron)[28]. Une voie romaine traverse la commune. Connu sous le nom de « chemin de la Poste », cette voie, arrive de Valsaintes, traverse le Gubian, et continue vers Ongles. Certaines sections sont bien conservées, la voie est encore dallée et des imposants murs de soutènement sont par endroits conservés.
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en 1274[27]. L’église paroissiale relève d’abord des chapitres de Forcalquier et Sisteron, puis passe à l’abbaye de Cruis[27]. Il est possible que les Hospitaliers aient installé, à Gubian, un hospice au prieuré Saint-Julien, destiné à accueillir les pèlerins vers Rome, sur l’itinéraire antique et médiéval qui passait par Ongles et Cruis[27].
Le fief appartient à la famille de Vachères du XIVe au XVIe siècle, puis passe aux Chanut (XVIIe siècle) et au Barrel-Pontevès au XVIIIe siècle[29]. Au Moyen Âge, l’église dépendait de Revest de l’abbaye de Cruis, qui percevait les revenus attachés à cette église[30]. La Madeleine est érigée en fief distinct en 1565[31].
Au XIXe siècle, on appela la commune Revest-des-Dames, à cause d’une épidémie qui épargna les femmes mais fit de nombreuses victimes chez les hommes.
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : vingt habitants de Revest-des-Brousses sont traduits devant la commission mixte, la majorité étant condamnés à la déportation en Algérie[32].
Comme de nombreuses communes du département, Revest-des-Brousses se dote d’une école bien avant les lois Ferry : en 1863, elle en possède déjà une qui dispense une instruction primaire aux garçons, au chef-lieu[33]. La même instruction est donnée aux filles, bien que la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants[34].
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée à Revest-des-Brousses. Le vin produit était destiné à l’autoconsommation. Cette culture est aujourd’hui abandonnée[35].
Blasonnement : |
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
Léon Guillermin | ||||
Jules Rousset | ||||
Gaston Bonnefoy | ||||
Paul Rambaud | ||||
Pascal Bossut | ||||
Raymond Pastore | ||||
Brigitte Reynaud | ||||
2020 | En cours | Muriel Garau | Sans étiquette |
Revest-des-Brousses a fait partie, de 2002 à 2016, de la communauté de communes du Pays de Banon ; depuis le , elle est membre de la communauté de communes Haute-Provence Pays de Banon.
Taxe | Part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
---|---|---|---|---|
Taxe d'habitation | 4,60 % | 0,55 % | 5,53 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties | 10,00 % | 1,32 % | 14,49 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties | 30,01 % | 4,18 % | 47,16 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle | 12,24 % | 0,94 % | 10,80 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (les deux formant la contribution économique territoriale qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[39]).
En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[40] :
Avec les taux de fiscalité suivants :
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2015 : médiane en 2015 du revenu disponible, par unité de consommation : 17 544 €[41].
En 2019, Revest-des-Brousses comptait 258 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2007, 2012, 2017, etc. pour Revest-des-Brousses). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
1765 | 1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
505 | 557 | 327 | 516 | 616 | 640 | 652 | 634 | 649 |
1851 | 1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
612 | 630 | 624 | 600 | 552 | 545 | 503 | 528 | 456 |
1896 | 1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
410 | 436 | 351 | 383 | 506 | 312 | 287 | 246 | 224 |
1954 | 1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
182 | 172 | 162 | 139 | 149 | 151 | 200 | 240 | 245 |
2012 | 2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
272 | 268 | 258 | - | - | - | - | - | - |
1315 | 1471 |
---|---|
61 feux | 2 feux |
L’histoire démographique de Revest-des-Brousses, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1811 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1926, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1841[44]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1980. Depuis, la population de la commune a connu une croissance appréciable.
En 2009, la population active s’élevait à 108 personnes, dont 10 chômeurs[45] (six fin 2011[46]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (70 %)[47] et travaillent majoritairement hors de la commune (69 %)[47].
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 14 établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non professionnels inclus) et un emploi salarié[48].
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de 10 en 2010. Il était de 12 en 2000[49], de 16 en 1988[50]. Actuellement[Quand ?], ces exploitants sont principalement des éleveurs ovins (six exploitants)[49]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a augmenté, de 521 à 638 ha[50], avant de connaître une forte diminution lors de la dernière décennie, à 361 ha en 2010[49].
Le Gaec l'Alpine des Collines, qui élève 300 chèvres sur 17 ha et transforme le lait, a été distingué par le conseil général en 2013, et a reçu un Banon d'or pour son fromage[51].
La culture de l’olivier est pratiquée dans la commune depuis des siècles, tout en étant limitée à des surfaces restreintes. La terroir de la commune se situe en effet à la limite altitudinale de l’arbre, qui ne peut que difficilement être exploité au-delà des 650 mètres[52].
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait 13 établissements, employant neuf salariés[48].
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 16 établissements (avec deux emplois salariés), auxquels s’ajoutent les quatre établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant neuf personnes[48].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est d’une importance moyenne pour la commune[53]. La seule structure d’hébergement à finalité touristique de la commune est un hôtel[54] non classé[55]. Les résidences secondaires apportent un complément à la capacité d’accueil[56] : au nombre de 80, elles représentent 39 % des logements[57],[58].
Restaurant Bistrot de pays Le Lupin Blanc[59],[60].
La mairie est installée dans l’ancien château, datant du milieu du XVIIe siècle[Col 2]. Plusieurs des tableaux représentant le village au XIXe siècle (écoles, mairie, pont) et conservés à la mairie, sont inscrits monuments historiques au titre objet. Sur la place, une maison date de 1582[Col 3].
Le château de Sylvabelle est un grand bâtiment rectangulaire, encadré de quatre tours, construit au XVIIe siècle et agrandi jusqu’à la fin du XVIIIe siècle[Col 2]. Son pigeonnier compte 700 logements[Col 4]. Il a appartenu à Palhier de Sylvabelle, député aux Cinq-Cents.
De l’enceinte médiévale, il subsiste une partie de la muraille et le portail des Mourres, défendu par une bretèche (XIVe siècle selon Raymond Collier et l’Atlas, du siècle suivant selon la DRAC). L’ensemble est inscrit comme monument historique[61],[29].
Le bâtiment dit le château de Pontevez, ancien monastère des Servites, est en fait une bastide construite au XVIIe siècle, et fortement remaniée jusqu’au XIXe[Col 5].
Deux ponts sont signalés par Guy Barruol[62] :
Au Plan, on trouve un pigeonnier[Col 6].
L’église paroissiale Saint-Côme-et-Saint-Damien est reconstruite en 1833 et réparée en 1894 et dans les années 1970. La nef, longue de trois travées, est voûtée d’arêtes, et débouche dans un chœur voûté en cul-de-four. Le bas-côté nord est voûté d’arêtes, les deux autres de berceaux[Col 7], le bas-côté sud est plus ancien (du XIVe siècle selon l’Atlas[29]) et voûté d’ogives. Les culots sont ornés de feuillages (fin du XVIe siècle)[Col 8]. L’ensemble des bas-côté est voûté très grossièrement. Le clocher est une tour construite au-dessus de la façade occidentale, en 1864[Col 7]. Le mobilier comprend un thabor en bois doré, figurant un ange supportant la console destinée à recevoir l’ostensoir à la manière d’un Atlas, de la seconde moitié du XIXe siècle[63] et un ostensoir en argent doré, distinct, dont le pied est formé d’un ange debout. Cet ostensoir est du XIXe siècle, et aucun de ces deux objets n’est classé[64].
Dans l’église, se trouvent :
Son campanile de fer date de 1864[Col 11], sa crèche du milieu du XIXe[Col 12].
Établissements d'enseignements[67],[68]:
Professionnels et établissements de santé[71] :
La ludothèque itinérante « LudoBrousse ».
La commune fait partie du secteur paroissial Montagne de Lure qui comprend 18 communes. Le culte est célébré alternativement dans chacune des églises du secteur[72].
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Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2007.