Pontchâteau[1] (ou Pont-Château[2]) est une commune urbaine de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique (et historiquement en Bretagne dans le Pays nantais), en région Pays de la Loire.
Pontchâteau | |
![]() L'Hôtel de ville de Pontchâteau en 2014. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Pays de la Loire |
Département | Loire-Atlantique |
Arrondissement | Saint-Nazaire |
Intercommunalité | Communauté de communes du pays de Pont-Château - Saint-Gildas-des-Bois (siège) |
Maire Mandat |
Danielle Cornet 2020-2026 |
Code postal | 44160 |
Code commune | 44129 |
Démographie | |
Gentilé | Pontchâtelains, pontchâtelaines |
Population municipale |
10 901 hab. (2019 ![]() |
Densité | 195 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 47° 26′ 14″ nord, 2° 05′ 17″ ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 52 m |
Superficie | 55,79 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Pontchâteau (ville isolée) |
Aire d'attraction | Saint-Nazaire (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Pontchâteau (bureau centralisateur) |
Législatives | Septième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | pontchateau.fr |
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Pontchâteau est située au nord-ouest de la Loire-Atlantique, à 19 km au sud-est de La Roche-Bernard (Morbihan), à 30 km au sud de Redon (Ille-et-Vilaine), à 25 km à l'est de Saint-Nazaire et 53 km au nord-ouest de Nantes. La ville est traversée par le Brivet.
Les communes limitrophes sont Drefféac, Saint-Gildas-des-Bois, Missillac, Sainte-Reine-de-Bretagne, Crossac, Besné, Prinquiau, Campbon et Sainte-Anne-sur-Brivet.
Selon le découpage de la région Bretagne fait par Erwan Vallerie, Pontchâteau fait partie du pays traditionnel de la Brière et du pays historique du Pays nantais.
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Missillac | Drefféac | Sainte-Anne-sur-Brivet | ![]() |
Sainte-Reine-de-Bretagne | N | Campbon | ||
O Pontchâteau E | ||||
S | ||||
Crossac | Besné | Prinquiau |
Pontchâteau se situe à un carrefour routier important, au croisement de la RN 165, voie express Nantes-Vannes-Brest, et de la D 773, route Saint-Nazaire-Redon.
Pontchâteau se trouve aussi sur la ligne ferroviaire de Savenay à Landerneau et est desservie par une gare.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Joachim_sae », sur la commune de Saint-Joachim, mise en service en 1976[9] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 824,6 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et à 13 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[13], à 12,3 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[15].
Pontchâteau est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pontchâteau, une unité urbaine monocommunale[19] de 10 684 habitants en 2017, constituant une ville isolée[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Nazaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[22],[23].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (33,5 %), terres arables (23,9 %), prairies (23,6 %), zones urbanisées (12,2 %), forêts (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %), zones humides intérieures (0,5 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].
Le nom de la localité est attesté sous les formes de Ponte Castelli en 1096, Castello de Ponte au XIe siècle, Pontem Castri en 1287[26].
Pontchâteau tire son nom du pont et du château construits autour de la ville au cours du Moyen-Âge.
La ville se nomme en gallo Pont-Chastèu (écriture ELG)[27], Pontchatéw, Pouchatéw[28] (écriture MOGA). En breton Pontkastell-Keren[26].
Dès la préhistoire, la région fut habitée ainsi que l’attestent plusieurs monuments mégalithiques, cf le fuseau de la Madeleine et la carte Sites mégalithiques de la Loire-Atlantique.
Les Romains créent des défenses en Gaule et partout dans leur immense Empire contre les invasions qui s'annoncent. Il s'agit de mobiliser et d'utiliser des troupes[29] venant de tous les coins de l'Empire. L'île de Bretagne est bien sûr sollicitée. Avec ses troupes qui vont stationner un peu partout on va trouver une famille qu'on a coutume aujourd'hui d'appeler les Gérontides. Il s'agit d'une lignée complexe, moitié brittonique (issu de lignées royales des peuples de l'île) moitié romaine dont le personnage clef est Gerontius[30], un général de l'armée impériale. Il va combattre en particulier en dirigeant le contingent brittonique vers 400 de notre ère. Il sera éliminé en Espagne par l'empereur Constantin III mais sa famille s'implantera en Armorique où Gerontius[31] avait eu un commandement. Le nom de Gerontius en brittonique est Gereint et son manoir situé à Pontchâteau, sur le Brivet, sera appelé Les-Gereint en breton (la cour de Gereint) qui deviendra l'Escrin puis les Crins ou les Crains. Le ruisseau à proximité a laissé un lieu-dit Frocrain de Frout-Cerent (le ruisseau de Gereint) dans le même langage[réf. nécessaire]. Sa famille très nombreuse a été très influente tant dans l'Église (de nombreux saints) que dans l'administration. Citons Congar, Cado, Erbin ou Erpin, Salomon ou Sela, Iestin, Sulien et Séry dont on retrouve les noms dans beaucoup de lieux de la presqu'île guérandaise. Citons Herbignac et Penestin pour exemples. Un des fils de Gereint, Riwal Deroc sera le premier leader de l'Armorique post-romaine. Le général de troupes brittoniques Riotamus sera de sa famille qui livrera quelques-uns des derniers combats contre les germains sur la Loire près d'Orléans. Ses troupes battues seraient revenues partiellement vers Nantes en suivant la Loire.
Au XIe siècle, abandonnant le site de l’Écrin, les sires du Pont facilitèrent la construction de demeures non loin de leur château, sur les bords du Brivet. Le pont sur le Brivet était gardé par le château du baron. Il était probablement à droite sur la hauteur. Deux tours encastrées dans les habitations tendent à le confirmer. Au pied du château, les commerçants viennent abriter des détrousseurs leurs marchandises. La ville naît, centre d’échanges entre le pays haut des terres du plateau et les marais du bas pays de la Brière : pont et château, noyau d’origine, d’où son nom. À la même époque les seigneurs du Pont fondent avec les moines de Marmoutier[32] un prieuré.
Pont-Château se trouvait, au Moyen Âge, sur l’une des routes de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Au XVIIIe siècle, l’épopée du grand missionnaire Grignion de Montfort marque pour longtemps le terroir pontchâtelain et ses environs. Une léproserie et une chapelle se trouvaient alors dans la forêt de la Madeleine, à 500 m environ de la lisière actuelle. Venu prêcher dans la région, saint Louis-Marie Grignion de Montfort voulut marquer son passage par l’érection d’un calvaire. Il choisit d’abord le site des Roches-Bises à quelques kilomètres au nord-ouest du bourg de Campbon. En raison de difficultés avec les comtes de Coislin, seigneurs du lieu, il reporta son choix sur un site au sud de la forêt de la Madeleine.
L'ouvrage, commencé en 1709, ne fut terminé que quinze mois plus tard. Louis XIV, peut-être mal informé, en ordonna la destruction. Le calvaire actuel date du XIXe siècle et abrite une trentaine de statues et édifices sur environ 14 hectares : un Chemin de croix avec personnages, la Scala Sancta (1891), une chapelle de pèlerinage (1873), un prétoire... On peut aussi y voir la statue du Père Grignion de Montfort représentée avec son symbole, la pelle du bâtisseur (cf. Lieux et monuments).
En 1790, le premier Maire de Pont-Château est Jean-Baptiste Pellé de Quéral.
À partir de 1793, les Pontchâtelains subissent sans trop de dégâts les occupations successives des chouans et des républicains. Dans l'ensemble, ils manifestent leur attachement aux prêtres réfractaires, dont plusieurs ont payé de leur vie leur service pastoral.
Pendant les Cent-Jours, le marquis de Coislin, chef local de l’insurrection royaliste, a son quartier général à Pontchâteau. Rayonnant avec sa troupe, il a quelques engagements à Campbon et à Guérande contre des détachements ralliés à Napoléon.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, à cause de l'existence de la Poche de Saint-Nazaire, l'occupation allemande se prolongea à Pontchâteau comme sur l'ensemble des localités voisines de l'estuaire durant 9 mois de plus (d' au ), la reddition effective de la poche intervenant 3 jours après la capitulation de l'Allemagne.
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Blasonnement :
De vair chargé de trois croissants de gueules ordonnés 2 et 1.
Commentaires : Blason d'Éon de Blain, seigneur de Pontchâteau, porté aux Croisades par les Barons de Ponchâteau. Au IXe siècle, avant l'existence du Pays de la Mée, l'évêché de Guérande est créé. C'est la première seigneurie bretonne fondée au sud de la Vilaine. Le roi Alain Ier de Bretagne porte sur son costume de la fourrure de vair. Il siège à Plessé qui serait la capitale de cette seigneurie. Le baron de Pontchâteau participe à la première Croisade en 1095. À son retour, il fait modifier ses armoiries de vair en y ajoutant un croissant de gueules, symbole des pays musulmans. Puis au XIe siècle, ce blason est enrichi de nouveau par deux autres croissants de gueules donnant les armoiries actuelles de la ville de Pontchâteau. En 1293, le baron de Pontchâteau créé pour son cadet le fief de Blain. Il aura l'ancien blason de Pontchâteau, à un croissant, comme armoiries qui deviendront celles de la commune de Blain. Le même écu de vair se retrouve aussi sur les nouvelles armoiries de la ville de Montaigu créée par l'héraldiste Michel Pressensé. Car, dit-on, Montaigu gardait les marches sud de Bretagne au nord du département de Vendée. |
Depuis l'après-guerre, cinq maires se sont succédé à la tête de la commune.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1945 | 1973 | Maurice Sambron | RI | Industriel Sénateur de la Loire-Atlantique (1965 → 1973) Conseiller général de Pontchâteau (1951 → 1973) Décédé en fonction |
1974 | 1989 | Yves Mesnier | DVD puis RPR |
Cadre des assurances Conseiller régional (1978 → 1986) Conseiller général de Pontchâteau (1974 → 1994) Député suppléant d'Olivier Guichard (1981 → 1986 et 1988 → 1993) |
1989 | 2002 | Dominique David | DVD (RPR app.) |
Pharmacien Conseiller général de Pontchâteau (1994 → 2002) Décédé en fonction |
2003 | 2014 | Bernard Clouet | DVD | Informaticien Conseiller général de Pontchâteau (2003 → 2015) Président de la CC du Pays de Pont-Château Saint-Gildas-des-Bois (2008 → 2014) Député suppléant de Christophe Priou (2007 → 2017) |
2014 | En cours | Danielle Cornet | DVG | Chargée d'études marketing Conseillère départementale de Pontchâteau (2015 → ) 11e vice-présidente du conseil départemental (2021 → ) 1re vice-présidente de la CC du Pays de Pont-Château Saint-Gildas-des-Bois (2014 → ) Réélue pour le mandat 2020-2026[34] |
Selon le classement établi par l'Insee, Pontchâteau est une ville isolée qui est le centre d'un bassin de vie. Elle fait partie de l'aire urbaine et de la zone d'emploi de Saint-Nazaire[35]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 99 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 1 % dans des zones « très peu denses »[36].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[37],[Note 6].
En 2019, la commune comptait 10 901 habitants[Note 7], en augmentation de 6,97 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +7,58 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 703 | 2 572 | 2 678 | 3 100 | 3 300 | 3 430 | 3 516 | 3 558 | 3 667 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 709 | 4 449 | 4 158 | 4 200 | 4 368 | 4 481 | 4 656 | 4 632 | 4 814 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
4 892 | 5 004 | 4 883 | 4 675 | 4 613 | 4 606 | 4 518 | 5 188 | 5 200 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2011 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
5 334 | 5 835 | 6 394 | 7 220 | 7 549 | 7 770 | 8 569 | 8 924 | 9 836 |
2016 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
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10 666 | 10 901 | - | - | - | - | - | - | - |
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,2 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 5 320 hommes pour 5 451 femmes, soit un taux de 50,61 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,7 | 90 ou + | 2,3 |
5,5 | 75-89 ans | 8,7 |
14,6 | 60-74 ans | 16,6 |
20,7 | 45-59 ans | 18,1 |
20,8 | 30-44 ans | 20,1 |
16,0 | 15-29 ans | 14,8 |
21,8 | 0-14 ans | 19,5 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,6 | 90 ou + | 1,7 |
5,8 | 75-89 ans | 8,6 |
14,7 | 60-74 ans | 16 |
19,6 | 45-59 ans | 18,9 |
20,1 | 30-44 ans | 19,2 |
19,2 | 15-29 ans | 17,5 |
20 | 0-14 ans | 18 |
Pontchâteau est célèbre pour son cyclo-cross qui a accueilli sur le circuit de Coët-Roz six fois les Championnats de France (1978, 1999, 2008, 2009, 2015 et 2021), deux Championnats d'Europe (2005 et 2016), cinq manches de la Coupe du monde (1995-1996, 1997-1998, 2000-2001, 2010-2011 et 2018-2019) et deux Championnats du monde (1989 et 2004), ainsi que deux manches du Challenge la France cycliste de cyclo-cross (2002 et 2012). En 2021, le circuit accueillera les Championnats de France.
Le Tour de France 1988 s'est élancé de Pontchâteau, pour une première étape à destination de Machecoul. En 2015, la commune est également le point de départ de la 49e édition du Tour de Bretagne[43].
Il faut noter également l'Hippodrome du Calvaire de la Magdeleine.
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