La commune de Pontacq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 28 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département.
La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Pontacq[2].
Sur le plan historique et culturel, Pontacq fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
La commune est drainée par le ruisseau de l'Ousse, le ruisseau du Goua de Michou, l’Ariou de Hounrède, le Cassagnet, le Gabastou, L'Oussére, le ruisseau de Bad, le ruisseau Hoursoumou, le ruisseau Sausse, un bras de l'Ousse, le Luc, l'Oussére, le ruisseau de Couet-Daban, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 46 km de longueur totale[7],[Carte 1].
L’Ousse, d'une longueur totale de 42,4 km, prend sa source dans la commune de Bartrès et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Gelos, après avoir traversé 19 communes[8].
Le Goua de Michou, d'une longueur totale de 11,4 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Gabas à Luquet, après avoir traversé 4 communes[9].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]
Moyenne annuelle de température: 12,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 5,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 10,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Asson», sur la commune d'Asson, mise en service en 1970[15] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[16],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13°C et la hauteur de précipitations de 1 304,6 mm pour la période 1981-2010[17].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 35 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[19], à 13,4°C pour 1981-2010[20], puis à 13,8°C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[22],[Carte 2]:
les «landes humides du plateau de Ger» (804,65ha), couvrant 5 communes dont 2 dans les Pyrénées-Atlantiques et 3 dans les Hautes-Pyrénées[23] et
les «tourbières de Couet-Daban et de Gabastou» (46,74ha), couvrant 3 communes dont 1 dans les Pyrénées-Atlantiques et 2 dans les Hautes-Pyrénées[24]
et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[22],[Carte 3]:
le «plateau de Ger et coteaux de l'Ouest tarbais» (6 409,37ha), couvrant 26 communes dont 6 dans les Pyrénées-Atlantiques et 20 dans les Hautes-Pyrénées[25].
Urbanisme
Typologie
Pontacq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[26],[27],[28].
Elle appartient à l'unité urbaine de Pontacq, une agglomération inter-régionale regroupant 5 communes[29] et 5 038 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[30],[31].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[32],[33].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,5% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (75,3%), forêts (9,5%), prairies (6,9%), zones urbanisées (6,2%), zones agricoles hétérogènes (1,3%), zones humides intérieures (0,9%)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
Lieux-dits et hameaux
L'Abbadie;
Angarons;
Barbé;
Belle Vue;
Cardache;
Cazenave;
Honzet;
Lande Darré;
Marra cou;
Montestrucq;
Mouralot;
Sarrail du Midi;
Sarrail du Nord;
Trabessat;
la Ville.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par l'autoroute A64 et les routes départementales 129, 936 et 940.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Pontacq est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le ruisseau du Goua de Michou et le ruisseau de l'Ousse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 2009, 2013, 2014 et 2021[37],[35].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pontacq.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[38]. 6,7% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[39].
Toponymie
Le toponyme Pontacq apparaît sous les formes Pontacum (970[40], cartulaire de l'abbaye de Larreule[41]), Lo cami Pontagues (1429[40], censier de Bigorre[42]) et Sant-Laurens de Pontacq(1507[40], notaires de Pontacq[43]).
Abbadie, fief de Pontacq, est mentionné sous la forme la maison de l'Abbadie de l'Archiprestre (1675[40], réformation de Béarn[46]).
Angarons, hameau de Pontacq, est cité en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[40].
Le toponyme Barbé' apparaît sous la forme Lo Barber (1385[40], censier de Béarn[47]).
Pontacq signifie «domaine de Pontus», d'un nom romain Pontus avec le suffixe gallo-romain -acum[48],[49].
Histoire
Paul Raymond[40] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
En 1385, Pontacq comptait vingt-six feux à l'intérieur de la ville, et quatre-vingt-deux hors les murs. Elle dépendait du bailliage de Montaner. La notairie de Pontacq n'englobait que la ville elle-même.
Le fief d'Abbadie était vassal de la vicomté de Béarn[40].
Archiprêtré de Pontacq
Il dépendait du diocèse de Tarbes et comprenait, pour ce qui concerne les Basses-Pyrénées, les communes de Hours, Montaut, Pontacq et Saint-Hilaire (hameau de Montaut), et pour les Hautes-Pyrénées, celles de Gardères, Lamarque et Luquet.
Pontacq fait partie de quatre structures intercommunales[54]:
la communauté de communes Ousse-Gabas;
le syndicat d'aménagement hydraulique du bassin de l'Ousse;
le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat mixte d'eau et d'assainissement de la vallée de l'Ousse.
Population et société
Démographie
Église Saint-Laurent.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[56].
En 2019, la commune comptait 2 925 habitants[Note 11], en augmentation de 1,49% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 296
2 398
2 544
2 769
3 109
3 202
3 123
3 296
3 212
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
2 939
3 015
3 018
2 856
2 754
2 621
2 641
2 610
2 743
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 815
2 731
2 709
2 562
2 589
2 517
2 397
2 279
2 420
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
2 453
2 402
2 328
2 534
2 683
2 611
2 743
2 784
2 822
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 917
2 925
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[57] puis Insee à partir de 2006[58].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
La commune fait partiellement partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
L'église, vue latérale.
Pontacq Radio
Pontacq Radio est une webradio qui a été créée fin 2011[59] sur l’initiative de Julien TOTH, l’actuel président et directeur d’antenne.
Pontacq Radio est avant tout un média généraliste de proximité au format musical adulte offrant un mélange très varié de morceaux pop-rock et de nouveautés.
Après l’enthousiasme et l’approximation des débuts, l’aventure s’est peaufinée avec les équipes de la station jusqu’à une récente restructuration et professionnalisation[60] basées sur un projet de communication précis qui ont mené Pontacq Radio à ce qu’elle est aujourd’hui.
Animée par une équipe d'amateurs et de professionnels, Pontacq Radio couvre un secteur géographique local, principalement situé sur le territoire du Nord-Est Béarn et du Pays de Nay.
Reflet de la vie locale au sens large, Pontacq Radio a conquis une audience fidèle et en constante progression jusqu’à devenir un média incontournable pour tous les secteurs d’activité locaux.
Patrimoine civil
La vieille tour[61] de Pontacq et les vestiges de remparts attenants (XIVe - XVIesiècles), sont inscrits à l'inventaire des monuments historiques (20 juillet 1945).
Le monument aux morts fut réalisé par le sculpteur Ernest Gabard.
Le manoir[62], dit domaine de Meyracq, date partiellement du XVIesiècle.
Patrimoine religieux et culturel
Vieille tour.
L’église Saint-Laurent recèle l'un des derniers tableaux des ateliers de Jacques-Paul Migne et daté de 1858[réf.souhaitée].
Équipements
Enseignement
Il y a deux collèges à Pontacq, le collège privé Saint-Joseph et un collège public, le collège Jean-Bouzet[63]. Pour ce dernier, le syndicat intercommunal pour le fonctionnement du collège de Pontacq est compétent pour les activités post- et périscolaires, la restauration scolaire et les investissements d'équipements publics. Il regroupe dix communes du canton de Pontacq et deux communes des Hautes-Pyrénées, Lamarque-Pontacq et Ossun.
Pontacq dispose de deux écoles primaires, l'une publique et l'autre privée (école Saint-Jeanne-Elisabeth).
École agricole de la Frede Duce, ou l’art du fauchage, ramassage, etc.
cyclisme: le cyclo-club[65] pontacquais a été créé en 2005;
football: Pontacq possède une école de football, l'entente Pontacq-Luquet;
rugby: Pontacq possède une école de rugby[66] Pontacquais Basket-ball.
Personnalités liées à la commune
Il existe une catégorie consacrée à ce sujet: Naissance à Pontacq.
Nées au XVIIesiècle
Pierre Peiret, né vers 1644 à Pontacq et mort en 1707 à Manhattan (New York), est un pasteur protestant, ministre d'Osse-en-Aspe de 1677 à 1685. Il est membre de la famille Peiret (ou Peyret), ancienne famille noble de Pontacq apparentée à la famille Barbanègre. Il s'enfuit de France avec sa famille en 1685 à la suite de la révocation de l'Édit de Nantes par celui de Fontainebleau. Il se réfugie à New York où il fonde l'Eglise protestante française du Saint-Esprit. Il a de nombreux descendants aux Etats-Unis. Sa tombe est encore aujourd'hui visible dans le cimetière de Trinity Church.
Nées au XVIIIesiècle
Jean Bergeret, né en 1751 à Pontacq et mort en 1831 à Pau, est un médecin et un botaniste français;
Joseph Souberbielle, né en 1754 à Pontacq et mort en 1846 à Paris, est un médecin français. Il fut juré au Tribunal révolutionnaire pendant la Terreur;
Guillaume Dauture, né en 1770 à Pontacq et mort en 1820 à Pau, est un militaire français, général de brigade et baron d'Empire, chevalier de la Légion d'honneur, chevalier de l'ordre royal militaire Saint-Louis, décoré de l'épée de Suède;
Jacques Lavigne, né en 1770 à Pontacq et mort à Sabugal (Portugal) en 1811, est un militaire français, colonel et baron de l'Empire. Fils de Marie Madeleine Barbanègre, il est le cousin des frères Joseph et Jean Barbanègre;
Joseph Barbanègre, né en 1772 à Pontacq et mort en 1830 à Paris, est un militaire français, général de brigade et baron de l'Empire, commandeur de la Légion d'honneur. Sa statue se trouve devant la mairie du village;
Statue du général Joseph Barbanègre devant l'hôtel de ville de Pontacq.Jean Baptiste Barbanègre, né le 14 mars 1775 à Pontacq (Basses-Pyrénées), mort le 14 octobre 1806 à la bataille d'Iéna, est un colonel français de la Révolution française et de l’Empire. Il est le frère du général de brigade Joseph Barbanègre (1772-1830). Son nom est inscrit sur l'Arc de Triomphe à Paris;
François Magendie, né en 1783 à Bordeaux et mort en 1855 à Paris, est un médecin et un physiologiste français. Sa famille, originaire de Pontacq est assez anciennement connue. Il est considéré comme un des pionniers de la physiologie expérimentale moderne;
Xavier Navarrot, né à Oloron en 1799 et mort en 1862, petit-fils de Marie Barbanègre de Pontacq, est un écrivain béarnais de langue occitane et auteur de chansons.
Nées au XIXesiècle
Jean Bouzet, né en 1892 à Pontacq et décédé en 1954, est un spécialiste de la langue espagnole qu'il enseigna dans divers lycées parisiens et à La Sorbonne. Il reste de lui, qui eut Georges Pompidou et François Mitterrand comme élèves, une grammaire espagnole qui a accompagné des générations d'élèves et d'étudiants du baccalauréat à l'agrégation.
Nées au XXesiècle
Georges Saint-Clair (1921-2016), écrivain et prêtre, y est né.
Jean Estrade, né en 1921 à Pontacq, joueur de rugby à XV champion de France à quatre reprises et maire de la commune de 1965 à 1995;
Pierre Lacaze, né en 1934 à Pontacq et mort en 1995, est un joueur français international de rugby à XIII et de rugby à XV;
Serge Castiglioni, né en 1935 à Pontacq, joueur de rugby à XV;
Henri Marracq, né en 1937 à Pontacq et mort en 2003, est un joueur français de rugby à XV et de rugby à XIII, qui a joué avec l'équipe de France et la Section paloise;
Claude Lacaze, né en 1940 à Pontacq, est un joueur de rugby à XV et de rugby à XIII français;
Jean-Pierre Garuet-Lempirou, né en 1953 à Lourdes et grandit à Pontacq, est un joueur de rugby à XV; pilier droit emblématique du FC Lourdes et de l'équipe de France,
Mathieu Sans, né en 1980 à Pontacq, est un joueur de rugby à XV évoluant au poste de demi d'ouverture.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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