Sur le plan historique et culturel, Osse-en-Aspe fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
La commune fait partie de la vallée d'Aspe.
La commune est drainée par le gave d'Aspe, le gave d'Aydius, le gave de Lourdios, l'Arricq, le Malugar, l’Arriou de la Sèque, l’Arriou Dichère, un bras du gave d'Aspe, l'Aidy, l'Arricq de Casteigbou, le ravin de Pourtau, le ruisseau d'Espalungue, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 44 km de longueur totale[7],[Carte 1].
Le gave d'Aspe, d'une longueur totale de 58,1 km, prend sa source dans le cirque d'Aspe, au pied du mont Aspe (2 643 m), en Espagne, et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Oloron-Sainte-Marie, après avoir traversé 17 communes[8].
Le gave d'Aydius, d'une longueur totale de 12,6 km, prend sa source dans la commune d'Aydius et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Aspe sur le territoire communal, après avoir traversé 3 communes[9].
Le gave de Lourdios, d'une longueur totale de 20,8 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Aspe à Asasp-Arros, après avoir traversé 5 communes[10].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[11]
Moyenne annuelle de température: 12,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,1 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 9,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Accous», sur la commune d'Accous, mise en service en 1952[16] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[17],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12°C et la hauteur de précipitations de 1 679,6 mm pour la période 1981-2010[18].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 47 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[20], à 13,4°C pour 1981-2010[21], puis à 13,8°C pour 1991-2020[22].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Trois sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la «directive Habitats»[24],[Carte 2]:
le «massif du Layens», d'une superficie de 5 597ha, un massif de montagne moyenne exploitée par le pastoralisme, qui recèle d’une grande richesse écologique[25];
les «montagnes du Barétous», d'une superficie de 14 421ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Elles se démarquent des autres massifs de la Haute Soule et du Barétous` notamment par sa flore caractéristique des tourbières comprenant de nombreuses espèces patrimoniales dont 16 espèces de sphaignes et 4 lycopodiacées[26];
«le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau)», d'une superficie de 1 595ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[27] et deux au titre de la «directive Oiseaux»[24],[Carte 3]:
l'«Eth Thuron des Aureys», d'une superficie de 2 182ha, un massif montagneux situé en position avancée sur le piémont des Pyrénées, très favorable aux grands rapaces[28];
la «Haute Soule: massif de la Pierre Saint-Martin», d'une superficie de 18 312ha, un vaste ensemble montagneux de basse à haute altitude[29].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[30],[Carte 4]:
la «forêt d'Issaux, pic Soulaing, soum d'iIre et pic du Layens» (8 075,98ha), couvrant 4 communes du département[31] et
le «réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives» (1 207,81ha), couvrant 23 communes du département[32]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 8],[30],[Carte 5]:
le «réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents» (6 885,32ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[33];
la «vallée d'Aspe» (54 924,87ha), couvrant 22 communes du département[34].
Urbanisme
Typologie
Osse-en-Aspe est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[35],[36],[37].
La commune est en outre hors attraction des villes[38],[39].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,2% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (68,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,9%), prairies (7,6%), zones agricoles hétérogènes (1,6%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,1%), zones urbanisées (0,6%)[40].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].
Lieux-dits et hameaux
Cabane de Legarce;
Candau;
Capdevielle;
Eygun-Audap;
Ipère;
Lacroix;
Layens;
le Village;
le Hameau;
Issaux;
Barlagne.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Osse-en-Aspe est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[41]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[42].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Aspe, le gave d'Aydius et le gave de Lourdios. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[43],[41].
Osse-en-Aspe est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[44]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[45],[46].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[47]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[48].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Osse-en-Aspe.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[49]. 26,7% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[50].
La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[51],[52].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Osse-en-Aspe est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[53].
Toponymie
Le toponyme Osse apparaît[54] sous les formes Ouce (1343, hommages de Béarn[55]), Ousse (XIVesiècle, censier de Béarn[56]), Ousa (1449, règlements de la Cour Majour de Béarn[57]), Oussa (1463, titres de Lées-Athas[58]), Sent-Stephen d'Ousse (1608, insinuations du diocèse d'Oloron[59]).
Deux théories s'opposent concernant l'origine du nom Osse. L'une tend vers la gasconisation du basque oltzo, construction en planches[60]. L'autre tend vers la traduction du mot ours. Oso en espagnol[61].
Le basque aitz, avec ses variantes az, iz, ahaiz ou ez, est un des noms de la pierre. Accompagné du suffixe -pe, «en bas, au pied de», il a donné son nom à Aspe, «au pied du rocher».
Paul Raymond[54] note l'existence d'une abbaye laïque vassale de la vicomté de Béarn. En 1385[54], Osse comptait 42 feux et dépendait du bailliage d'Aspe.
L'église réformée d'Osse, surnommée «la montagne», est l'un des rares exemples de cohabitation pacifique entre la religion réformée et la religion catholique pendant les guerres de religion, et jusqu'à nos jours[64]. Depuis la fin du XVIesiècle, catholiques et protestants cohabitent au sein de cette commune, comme en atteste l'église Saint-Étienne[65]. L'origine de cette église protestante, organisée en «consistoire» dès le XVIIesiècle, éloignée des grandes villes protestantes du Béarn telles qu'Orthez ou Sauveterre-de-Béarn, reste encore inexpliquée. Après la Révocation de l’Édit de Nantes, les protestants doivent détruire eux-mêmes leur temple, en 1685.
Politique et administration
Premier Jurat
Début
Fin
Aignette
1724
Jean Darrelagleise
1727
Pierre Supervielle
1747
1748
Joseph Barranx
1749
Jean Darrelagleise
1752
1753
Pierre Lubat
1754
Pierre Moutengou
1755
Jean Laplace
1756
Jean Lassalle
1757
Pierre Lubat
1758
Jean Chaneu
1759
Pierre Casas
1760
Joseph Casau
1761
François Lauseig
1762
Pierre Eigun
1763
Jean Doumec
1764
1766
Jean Darrelagleise
1767
1768
Joseph Casau
1769
François Lauseig
1770
Jean Lassallette
1771
Jean Laclede
1772
Antoine Liard
1773
Apouey
1776
Antoine Latourrette
1788
Usaurou
1789
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
17/12/1792
Pierre Menvielle
10/12/1793
Pierre Barouillet
23/3/1795
Pierre Darrelagleise
22/11/1795
1798
Jean Casteig
9/5/1798
1800
Joseph Lagun
10/5/1800
1808
Jean Escala Darrelagleise
??/02/1808
1816
Pierre antoine LOUIS
médecin
??/02/1816
1818
Jean Lassalle
notaire
??/02/1818
1831
Pierre Antoine LOUIS
médecin
1832
1834
Jean Pierre Brasé
cultivateur
1834
1836
Jean Perissé
1836
1841
Jean Fontan
1842
1/2/1845
Pierre Louis Deschamps
militaire en retraite
1846
1848
Jean Pierre Brasé
1848
1849
Pierre Joseph Bouillerce
1849
1852
Jean Apouey Mirande
1852
1858
Jacques Arnaude
huissier
1858
1871
Jean Auguste Liard
1871
1878
Pierre Joseph Bouillerce Gayrosse
1878
1881
Pierre Jean Casteret
1881
15/3/1886
Antoine Casamayou
rentier
1886
3/9/1890
Jean Lucien Liard
vétérinaire
1890
18/9/1897
Jean Baptiste Mayerau
propriétaire, rentier
1898
1903
Jean Sarthou
employé de bureau
1903
1908
Joseph Bouillerce Mirassou
charpentier
1909
1963
Pierre Sarthou Moutengou
employé de bureau
1964
1979
Pierre Langlatte
1979
2008
Pierre Isson
2008
2014
Pierre Isson
2014
En cours
Gérard Burs
charpentier
Intercommunalité
La commune fait partie de cinq structures intercommunales[66]:
la Communauté de communes du Haut Béarn;
le SIVU de Lourdios;
le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat intercommunal d'aide matérielle à la scolarisation en vallée d'Aspe;
le syndicat mixte du Haut-Béarn.
Osse-en-Aspe accueille le siège du SIVU de Lourdios.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[67]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[68].
En 2019, la commune comptait 330 habitants[Note 11], en stagnation par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 423
1 503
1 517
1 586
905
895
871
945
890
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
877
773
762
683
669
651
656
630
600
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
560
558
610
526
553
550
580
632
486
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
398
337
342
299
307
313
330
333
327
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
323
330
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[69] puis Insee à partir de 2006[70].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage (bovins et ovins). La fabrication de fromages fermiers (AOC ossau-iraty) est également l'une des ressources de la commune.
Culture locale et patrimoine
Entrée du village d'Osse-en-Aspe.
Entrée du village d'Osse-en-Aspe.
Lavoir sur l'Arricq.
Cascade de l'Espalungue à Lacroix.
Fichier:Osse-en-Aspe (Pyr-Atl, Fr) confluence Espalungue - gave d'Aspe à Lacroix.JPG
Confluence Espalungue - gave d'Aspe à Lacroix.
Patrimoine civil
Maison forte de la fin du XIIIesiècle, rénovée aux XVe, XVIeetXIXesiècles.
Maisons du XVIIe, XVIIIeetXIXesiècles (four à pain, étable, porcherie).
Maison dite Villa Elisée, fin XIXesiècle.
Patrimoine religieux
Temple protestant de Bethel reconstruit en 1805.
Temple d'Osse-en-Aspe.Façade du temple d'Osse-en-Aspe.Intérieur du temple d'Osse-en-Aspe.
Listes des pasteurs successifs
Début
Fin
Nom
1824
1826
Armand de Than
7/5/1826
1845
Henri-César Mazauric
1846
1856
Nicolas Gerber
1858
1864
Béziat de Castelmoron
1864
1871
Frédéric Lacroix
1871
1904
Alfred Cadier
1904
Albert Cadier
1928
1949
Charles Cadier
Église Saint-Étienne fin XIIesiècle, rénovée aux XVIIeetXVIIIesiècles.
Les frères Cadier (George, Henri, Albert, Charles, Edouard) qui parcoururent en deux étés la plupart des sommets de plus de 3 000 mètres entre l'Aneto et le Balaïtous. Nombre de voies et sommets portent encore leur nom[72].
Bibliographie
Alfred Cadier, Osse - Histoire de l'église réformée de la vallée d'Aspe, 1892.
André Eygun, Peuple d' Aspe, éditions Monhélios, 1989, réédition en 2002.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208p. (BNF31182570, lire en ligne)..
Manuscrits de 1343 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Manuscrit de 1385 - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Manuscrits du XVesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Titres de la commune de Lées-Athas - Archives de la mairie de Lées-Athas
Manuscrits du XVIIesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Michel Grosclaude (préf.Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416p. (ISBN9782350680057, BNF35515059), p.45..
Olivier de Marliave, Histoire de l'ours dans les Pyrénées, Editions Sud Ouest, 2000. Christian Bernadac, Le premier Dieu, Michel Lafon, 2000. Michel Pastoureau, L'ours Histoire d'un roi déchu, La librairie du XXIesiècle, Seuil, 2007
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