Lées-Athas (en béarnaisLées-Atas) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Lées-Athas
Mairie-école et fronton à Lées.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement
Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité
Communauté de communes du Haut Béarn
Maire Mandat
Patrick Maunas 2020-2026
Code postal
64490
Code commune
64330
Démographie
Gentilé
Athasiens
Population municipale
250 hab. (2019 )
Densité
5,6 hab./km2
Géographie
Coordonnées
42° 58′ 32″ nord, 0° 37′ 14″ ouest
Altitude
Min. 417 m Max. 2 503 m
Superficie
44,81 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Oloron-Sainte-Marie (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives
Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Lées-Athas
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Lées-Athas
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Lées-Athas
Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
Lées-Athas
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Géographie
Localisation
La commune de Lées-Athas se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine et est frontalière avec l'Espagne (Communauté forale de Navarre)[1].
Elle se situe à 60 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 28 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 2] sont[4]:
Accous (1,8 km), Osse-en-Aspe (2,4 km), Bedous (3,3 km), Lescun (4,6 km), Cette-Eygun (5,0 km), Aydius (7,2 km), Etsaut (8,1 km), Borce (8,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Lées-Athas fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].
La commune est frontalière avec l'Espagne (Navarre).
Elle fait partie de la vallée d'Aspe.
La commune est drainée par le gave d'Aspe, la Berthe, le Malugar, L'Aidy, le Lauga, le ruisseau de Copen, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 27 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Le gave d'Aspe, d'une longueur totale de 58,1 km, prend sa source dans le cirque d'Aspe, au pied du Mont Aspe (2 643 m), en Espagne, et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Oloron-Sainte-Marie, après avoir traversé 17 communes[9].
Ruisseau le Malugar à Athas.
Moulin d'eau à Lées.
Réseaux hydrographique et routier de Lées-Athas.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]
Moyenne annuelle de température: 12,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 5,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 9,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Accous», sur la commune d'Accous, mise en service en 1952[15] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[16],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12°C et la hauteur de précipitations de 1 679,6 mm pour la période 1981-2010[17].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Pau-Uzein», sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 50 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[19], à 13,4°C pour 1981-2010[20], puis à 13,8°C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la «directive Habitats»[23],[Carte 2]:
le «massif de l'Anie et d'Espelunguère», d'une superficie de 14 253ha, un massif montagneux siliceux avec des secteurs calcaires, avec de nombreux habitats herbacés à boisés, siliceux à calcaires, secs à humides[24];
«le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau)», d'une superficie de 1 595ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[25];
et deux au titre de la «directive Oiseaux»[23],[Carte 3]:
les «hautes vallées d'Aspe et d'Ossau», d'une superficie de 49 106ha, une vaste étendue de système montagnard et alpin étalée sur plusieurs vallées incluant la Zone centrale du Parc national des Pyrénées, dont l'intérêt est la présence d'habitats et d'espèces de haute altitude, souvent spécifiques aux Pyrénées[26];
la «Haute Soule: massif de la Pierre Saint-Martin», d'une superficie de 18 312ha, un vaste ensemble montagneux de basse à haute altitude[27].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Cinq ZNIEFF de type 1[Note 7] sont recensées sur la commune[28],[Carte 4]:
le «cirque de Lescun» (5 691,44ha), couvrant 4 communes du département[29];
la «forêt d'Issaux, pic Soulaing, soum d'iIre et pic du Layens» (8 075,98ha), couvrant 4 communes du département[30];
le «massif karstique du pic d'Anie et gouffres de la Pierre-Saint-Martin» (2 464,26ha), couvrant 3 communes du département[31];
le «réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives» (1 207,81ha), couvrant 23 communes du département[32];
la «Rive gauche de la Haute vallée d'Aspe» (9 444,85ha), couvrant 5 communes du département[33];
le «réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents» (6 885,32ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[34];
la «vallée d'Aspe» (54 924,87ha), couvrant 22 communes du département[35].
Site du CER Aquitaine
Le val de Copen (9 ha) est un des sites du conservatoire régional des espaces naturels des Pyrénées.
Urbanisme
Typologie
Lées-Athas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9],[36],[37],[38].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 10]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39],[40].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,5% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,2%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (37,6%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (28%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,9%), prairies (6,6%), zones agricoles hétérogènes (3,8%)[41].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].
Lieux-dits et hameaux
Lées;
Athas;
Anich;
Cuyalars du Boué;
Eygarry;
Peyraube;
Asun;
Anie;
Camblong.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Lées-Athas est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier: le risque de radon[42]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[43].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Aspe. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 2009, 2011, 2014 et 2021[44],[42].
Lées-Athas est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[45]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[46],[47].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[48]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[49].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lées-Athas.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[50]. 31,5% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 11],[51].
La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[52],[53].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Lées-Athas est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[54].
Toponymie
Le toponyme Lées /lés/ apparaît[55] sous les formes
Léès (1215, cartulaire de l'évêché d'Oloron[56]),
Leet (1449, règlements de la Cour Majour de Béarn[57]),
Les (1538, réformation de Béarn[58]),
Sancta-Maria de Lées (1603, insinuations du diocèse d'Oloron[59]).
Le village d'Athas /atas/ apparaît[55] quant à lui sous les formes
Atass (1154[60], cité par Jean Vignau-Lous[61]),
Atas (1250, for d'Aspe[62]),
Attas/Athas (1591[60], cité par Jean Vignau-Lous[61]),
Sanctus Felix d'Atas et Sent Phelip d'Ataas (1608, insinuations du diocèse d'Oloron[59]) et
Atas sur la carte de Cassini (fin XVIIIesiècle[60].
Athas est probablement un dérivé en -atz/-as du basque athe 'porte'[60].
En 1385[55], Lées comptait 29 feux et dépendait du bailliage d'Aspe.
Paul Raymond[55] mentionne l'existence d'une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.
Exploitation de la mâture et port d'Athas
L'exploitation des forêts de la vallée d'Aspe pour fournir en mats la Marine Royale débute à la fin du XVIIesiècle. Elle est confiée à cette époque à un certain Gabe de Sarrance. C'est alors qu'apparait le port d'Athas, les troncs sont descendus de la montagne par des chariots tirés par des attelages de bœufs, mis à l'eau à Athas et conduits par flottage sur radeaux jusqu'à Oloron puis Bayonne[63]. Vers 1710, 300 radeaux quittaient le port d'Athas chaque année[64].
Gabe puis ses successeurs ne donnant pas satisfaction, l'exploitation est confiée, en 1758, à la société Forcade d'Oloron. 130 ouvriers sont recrutés ainsi que des radeleurs de Comminges (conducteurs de radeaux de flottage). Le port s'agrandit et un moulin à scie est construit. En 1764, l'exploitation change de nouveau de main, elle est gérée par le sieur d'Arripe puis finalement prise en charge par la Marine Royale en 1766. L'ingénieur Leroy va alors développer le port d'Athas et gérer l'exploitation forestière[63]. Les grands chemins de la mâture de la vallée d'Aspe datent de cette époque.
Le port était constitué d'un bassin de 91m x 32 m dans lequel étaient assemblés les radeaux. Il s'ouvrait vers le gave d'Aspe par deux écluses. Une dérivation du gave alimentait le bassin ainsi que le moulin à scie. Les chemins de la mature d'Issaux et du Pact (cf chemin de la mâture) convergeaient vers le port[65].
Durant cette grande époque, Athas possédait un magasin royal fournissant tout ce qui était nécessaire à l'exploitation des forêts, des forges, des ateliers de construction, une étable abritant une soixantaine de paires de bœufs, un grenier de 8000 quintaux de foin[64], une chapelle (chapelle de la Mâture) et un "hôpital" (maison Espitalère)[66],[65].
Malesherbes visite l'installation d'Athas en 1767 et en rédige un mémoire détaillé[67].
L'exploitation de la forêt d'Issaux se termine en 1780, le port d'Athas n'est alors plus utilisé et disparait peu à peu[66].
La commune fait partie de cinq structures intercommunales[69]:
la Communauté de communes du Haut Béarn;
le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat de télévision d'Oloron - Vallée d'Aspe;
le syndicat intercommunal d'aide matérielle à la scolarisation en vallée d'Aspe;
le syndicat mixte du Haut-Béarn.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[70]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[71].
En 2019, la commune comptait 250 habitants[Note 12], en diminution de 14,09% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
863
911
920
955
895
910
893
911
898
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
857
824
754
699
676
645
641
602
598
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
580
565
548
543
502
514
501
440
392
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
348
312
278
243
241
264
292
289
291
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
268
250
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[72] puis Insee à partir de 2006[73].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage (bovins et ovins). La fabrication de fromages fermiers est également une des ressources de la commune. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty. Une scierie est actuellement en activité. La pureté des eaux des gaves pyrénéens a en outre permis le développement de la pisciculture.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Maisons des XVIe, XVIIe, XVIIIeetXIXesiècles (four à pain, étable, porcherie, fenil).
Bernard Pourailly (1775-1828), général des armées de la République et de l'Empire y est né.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque - Paul Raymond
cité par Pierre de Marca dans son Histoire de Béarn
Règlements de la Cour Majour de Béarn, manuscrits du XVesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Collection manuscrite du XVIe au XVIIIesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
Insinuations du diocèse d'Oloron, Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques, manuscrits du xviiesiècle..
Michel Grosclaude (préf.Pierre Bec), Dictionnaire toponymique des communes du Béarn, Pau, Escòla Gaston Febus, , 416p. (ISBN9782350680057, BNF35515059)..
Jean Vignau-Lous, Promenade archéologique en Vallée d'Aspe, collection des Amis des églises anciennes du Béarn, .
For d'Aspe, manuscrit du XIVesiècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
L. Labarere et J. Dumonteil, «L'exploitation de la mâture en forêt d'Aspe d'après l'Ingénieur de la Marine P.M. Leroy», Pyrénées, Lourdes, Société des amis du Musée pyrénéen, , p.275-280 (lire en ligne).
André Bach, «L'épopée de la mâture», L'indépendant, , p.4 (lire en ligne).
L. Labarere et J. Dumonteil, «L'exploitation de la mâture en forêt d'Aspe d'après l'Ingénieur de la Marine P.M. Leroy», Pyrénées, Lourdes, Société des amis du Musée pyrénéen, , p.326-327 (lire en ligne).
G. Huffel, «Les exploitations de bois de mâtrue au XVIIIe siècle dans une vallée pyrénéenne», Revue des eaux et forêts: économie forestière, reboisement, , p.417-424 (lire en ligne).
Pierre C. Lamicq, «Malesherbes à la mâture d'Athas en 1767», Pyrénées, Lourdes, Société des amis du Musée pyrénéen, , p.313-337 (lire en ligne).
«Patrick Maunas réélu», Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p.30.
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