Pin-Balma est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.
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Pin-Balma | |
![]() L'église. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Arrondissement | Toulouse |
Intercommunalité | Toulouse Métropole |
Maire Mandat |
Gil Bezerra 2020-2026 |
Code postal | 31130 |
Code commune | 31418 |
Démographie | |
Gentilé | Pino-Balméens, Pino-Balméennes |
Population municipale |
938 hab. (2019 ![]() |
Densité | 141 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 37′ 41″ nord, 1° 32′ 01″ est |
Altitude | Min. 144 m Max. 231 m |
Superficie | 6,63 km2 |
Type | Commune urbaine |
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Toulouse-10 |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.mairie-pin-balma.fr/ |
modifier ![]() |
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays toulousain, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’ Ariège et du Volvestre. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Seillonne, le ruisseau de Gazel et par divers autres petits cours d'eau.
Pin-Balma est une commune urbaine qui compte 938 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1968. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Pin-Balmanais ou Pin-Balmanaises.
La commune de Pin-Balma se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 8 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[2] : Montrabé (1,9 km), Mondouzil (2,0 km), Beaupuy (2,8 km), Balma (3,3 km), Mons (3,8 km), Rouffiac-Tolosan (4,2 km), Flourens (4,2 km), Quint-Fonsegrives (4,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Pin-Balma fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[3].
Pin-Balma est limitrophe de cinq autres communes.
La superficie de la commune est de 663 hectares (6.63 km²) ; son altitude varie de 144 à 231 mètres[5].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Seillonne, le ruisseau de Gazel, le ruisseau d'aufrery, le ruisseau de Fonds Valette, le ruisseau de la garrigue et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[7],[Carte 1].
La Seillonne, d'une longueur totale de 24,1 km, prend sa source dans la commune de Caraman et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Sausse à L'Union, après avoir traversé 11 communes[8].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Toulouse-Blagnac », sur la commune de Blagnac, mise en service en 1947[14] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[16], à 13,8 °C pour 1981-2010[17], puis à 14,3 °C pour 1991-2020[18].
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[19],[20],[21].
Pin-Balma est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[I 2],[23].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,3 %), forêts (12,5 %), zones urbanisées (11,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Accès par le Périphérique de Toulouse, sorties 15,
16 (en traversant Balma) ou
17.
La ligne 101 du réseau Tisséo relie le nord de la commune à la station Balma - Gramont du métro de Toulouse depuis Mondouzil, la ligne 102 relie le centre de la commune à la station Balma - Gramont depuis Drémil-Lafage, la ligne 103 relie le sud de la commune à la station Balma - Gramont depuis Drémil-Lafage également, la ligne 106 dessert la commune en soirée sur réservation depuis la station Balma - Gramont, la ligne 381 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la station Balma - Gramont depuis Le Faget.
Le territoire de la commune de Pin-Balma est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Seillonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1991, 1992, 1999 et 2009[27],[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 327 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 327 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1997, 2002, 2003, 2011, 2017 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[25].
Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 habitants et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[30],[31].
La commune fait partie de la troisième circonscription de la Haute-Garonne de Toulouse Métropole et du Canton de Toulouse-10.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1906 | 1908 | Jean Paul Ducap | ||
1908 | 1910 | Gabriel Nazair-Blanc | ||
1910 | 1912 | Symphorien MarqueE | ||
1912 | 1947 | Augustin Ducap[32] | Docteur en droit, Président de l'Association des Maires de Haute-Garonne Nommé conseiller départemental en 1943 | |
1947 | 1971 | Marius Lacroix | ||
1971 | 1992 | Armand Ducap | UDR | Chargé de cours à l'Ecole Nationale Supérieure agronomique de Toulouse Adjoint au maire de Toulouse (1959-1965) Conseiller général du canton de Toulouse-2 (1973-1988) Conseiller régional (1986-1992) Député (1962 et 1963-1967) |
1992 | 2020 | Jacques Diffis | SE[33]. | Artisan |
2020 | En cours | Gil Bezerra | SE | Ingénieur chargé d'affaires |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2019, la commune comptait 938 habitants[Note 7], en diminution de 0,95 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
191 | 203 | 182 | 187 | 198 | 501 | 209 | 216 | 226 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
191 | 194 | 213 | 225 | 229 | 231 | 220 | 205 | 188 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
181 | 171 | 182 | 167 | 177 | 153 | 148 | 243 | 268 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
302 | 284 | 383 | 636 | 678 | 655 | 914 | 933 | 887 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
903 | 938 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[38] | 1975[38] | 1982[38] | 1990[38] | 1999[38] | 2006[39] | 2009[40] | 2013[41] |
Rang de la commune dans le département | 255 | 210 | 163 | 165 | 177 | 161 | 169 | 169 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Pin-Balma fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune voisine de Balma pour les classes de maternelle, primaire et collège.
Clinique d'Aufrery[42] (clinique psychiatrique). Maison de retraite La Seillonne.
Fête locale (fin juin), Vide-greniers (fin septembre), Médiathèque,
Tennis[43], football, pétanque, trois centres équestres, sentiers pédestres.
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la métropole de Toulouse Métropole[44].
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 351 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 945 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 34 140 €[I 5] (23 140 € dans le département[I 6]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 4,1 % | 7,3 % | 4 % |
Département[I 8] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 558 personnes, parmi lesquelles on compte 74,7 % d'actifs (70,7 % ayant un emploi et 4 % de chômeurs) et 25,3 % d'inactifs[Note 9],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 210 emplois en 2018, contre 184 en 2013 et 133 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 399, soit un indicateur de concentration d'emploi de 52,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,8 %[I 11].
Sur ces 399 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 38 travaillent dans la commune, soit 10 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 84,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,8 % les transports en commun, 4,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
91 établissements[Note 10] sont implantés à Pin-Balma au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 91 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 2 | 2,2 % | (5,7 %) |
Construction | 10 | 11 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 17 | 18,7 % | (25,9 %) |
Information et communication | 2 | 2,2 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 5 | 5,5 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 11 | 12,1 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 24 | 26,4 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 14 | 15,4 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 6 | 6,6 % | (7,9 %) |
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,4 % du nombre total d'établissements de la commune (24 sur les 91 entreprises implantées à Pin-Balma), contre 19,8 % au niveau départemental[I 15].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[45] :
La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 9 | 8 | 9 | 10 |
SAU[Note 13] (ha) | 216 | 140 | 231 | 165 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 9 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 8 en 2000 puis à 9 en 2010[48] et enfin à 10 en 2020[Carte 6], un nombre stable en 22 ans. Sur cette même période, le département a perdu 57 % de ses exploitations[49],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 216 ha en 1988 à 165 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a baissé, passant de 24 à 17 ha[48].
L’église Saint-Pierre de Pin-Balma est l’une des plus anciennes de l’environnement toulousain et remonte probablement au Xe siècle. Reconstruite à plusieurs reprises, elle subit le pillage des troupes huguenotes en 1570. En 1714, au cours d’un violent orage, la foudre s’abat sur l’église et endommage le clocher et la nef. À l’époque révolutionnaire, une seule des cloches, la plus ancienne, bénite en 1689, est épargnée pour sonner le tocsin. Les deux autres cloches sont descendues en 1793 pour être fondues. Une restauration complète de l’édifice a été effectuée en 2005.
A l’origine une bâtisse fortifiée du XIIIe siècle appelée « Camas », appartenant à la famille Carrière d’Aufréry, puis en 1862, le château construit par le maréchal Adolphe Niel, avec son parc aux cèdres séculaires. Depuis 1938, devenu clinique psychiatrique après son rachat par le Dr Laboucarié. Actuellement en cours de rénovation pour devenir une résidence service seniors, à la suite du déménagement de la clinique.
Recherchant du personnel soignant pour la clinique psychiatrique, le docteur Jean Laboucarié fit appel appel, par l’intermédiaire de Mademoiselle Niel, aux Franciscaines Missionnaires de Marie, dont l’ordre souhaitait fonder dans la région une nouvelle communauté permettant d’accueillir leurs sœurs âgées ou invalides.En 1948, l’Institut des Franciscaines Missionnaires de Marie achète un parc et une partie des dépendances proches de la clinique. Une sœur, architecte improvisée mais bien inspirée, transforme ce lieu pour y édifier une belle chapelle et un cloître orné des briques roses toulousaines.Les sœurs et le personnel ont quitté le site en .
Résidence d’été de Charles Laganne (1722-1789) homme de loi et capitoul, il fut bienfaiteur de Toulouse en améliorant son système d’eau potable et le Château d'eau.