Cette commune se trouve dans la région historique de Lorraine et fait partie du pays de Sarrebourg.
Ses habitants sont appelés les Phalsbourgeois.
Géographie
Bourg d'environ 4 800 habitants, fondée en 1570 par le comte palatin Georges-Jean de Palatinat-Veldenz à qui elle doit son nom, cédée au duc de Lorraine en 1590 puis, à l'époque de l'occupation Française, fortifiée par Vauban, Phalsbourg, annexée par la France en 1661, se situe à la frontière de la Lorraine et de l'Alsace.
Linguistiquement la commune est coupée en deux: étant à l'ouest en zone francique et à l'est en zone alémanique.
Localisation
Phalsbourg est distante de 42km de Strasbourg, de 80km de Nancy, de 88km de Metz et de 360km de Paris (distance orthodromique)[1].
Géologie et relief
Phalsbourg fait partie du parc naturel régional des Vosges du Nord et de la réserve de biosphère transfrontalière des Vosges du Nord-Pfälzerwald.
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Nesselbach, le ruisseau Charbonnerie, le ruisseau de Brunnenthal, le ruisseau Fond de Fouquet et le ruisseau Hesselgraben[Carte 1].
Urbanisme
Typologie
Phalsbourg est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5].
Elle appartient à l'unité urbaine de Phalsbourg, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[6] et 5 773 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[7],[8].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Phalsbourg, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 3 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,2% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante: prairies (27,7%), zones agricoles hétérogènes (23,2%), zones urbanisées (22,2%), forêts (18%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,6%), terres arables (3,3%)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Voies de communication et transports
Article connexe: Communauté de communes du Pays de Phalsbourg: Transports.
La communauté de communes est devenue Autorité organisatrice de la mobilité (AOM).
Voies routières
Phalsbourg est traversée par la route nationale 4 (qui devient la route départementale 604 entre l'entrée ouest de la commune et la limite entre les départements de la Moselle et du Bas-Rhin), l'autoroute A4 et la route départementale 38; elle constitue également l'origine de la route départementale 661 (ancienne route nationale 61).
Voies ferrées
La gare de Phalsbourg était située sur l'ancienne ligne à voie métrique de Lutzelbourg à Drulingen aujourd'hui déclassée et déposée. Une autre gare se trouvait à l'ouest de la commune au lieu-dit Maisons-Rouges. Le quartier La Horie disposait d'un embranchement ferroviaire qui le reliait à la ligne de Réding à Drulingen.
La gare ouverte au service voyageurs la plus proche est celle de Lutzelbourg.
La commune est traversée, au nord, par la ligne à grande vitesse Est européenne.
Toponymie
Phalsbourg: du germanique Pfalz «palais / dignité de comte palatin» et Burg «place-forte du prince palatin»[13]: Pfalzburg (1576), Pfaltzbourg (1591), Pfalzburgum et Pfalzburg (1751), Pfalzburg (1871-1918);
Surnoms à propos des Phalsbourgeois: Les Ramp-pis / Les Ramp-chis[17]. Ramp est une abréviation de rempart, Pis et Chis sont des abréviations évoquant une besogne dégoûtante.
Histoire
Époque moderne
La ville de Phalsbourg est créée en 1570 par le comte palatin Georges-Jean de Veldenz, prince protestant, grâce à la dot de son épouse Anna-Maria, fille du roi de Suède Gustave Ier Vasa. La fondation est motivée par l’accueil des réformés et huguenots persécutés en France, alors indésirables dans le très catholique duché de Lorraine. Le comte palatin possède déjà le château d'Einartzhausen dans son comté de la Petite-Pierre, enclavé en Lorraine. Il fait tracer à proximité de ce château le plan d’une ville nouvelle, en damier, symbole alors d’ordre et de modernité, et accorde des franchises aux nouveaux habitants qui viennent peupler la ville. La création de Phalsbourg est reconnue le par l’empereur Maximilien II du Saint-Empire. La ville prend le nom de Pfalzburg, «Pfalz» signifiant Palatinat et «Burg», forteresse.
Toutefois, par manque d’argent, la ville est cédée au duc de Lorraine dès 1590 et les tentatives d’expulsion des réformés se multiplient, non sans se heurter à une farouche résistance de la population. Le comte palatin Georges-Gustave, fils aîné et héritier de Georges-Jean, fonde alors Lixheim en 1608, qui connaît le même sort que Phalsbourg en 1623.
Phalsbourg et Lixheim forment une éphémère principauté de 1629 à 1660, au profit de Henriette de Lorraine, sœur du duc Charles IV de Lorraine, et de ses maris successifs, au premier rang desquels Louis de Guise, baron d'Ancerville.
De 1634 à 1697, la Lorraine est occupée presque sans discontinuer par les troupes françaises. Les fortifications de la ville sont remaniées et complétées par Vauban. La commune est annexée au royaume de France en 1661 via le traité de Vincennes. Par la suite, le bailliage et la prévôté de Phalsbourg dépendent de la généralité de Metz. À la suite de la Révolution française, la ville est intégrée au département de la Meurthe en 1790 et devient alors chef-lieu de canton[18].
XIXesiècle
Au XIXesiècle, Phalsbourg voit la naissance du maréchal Mouton, comte de Lobau, ainsi que la rencontre entre les deux auteurs régionalistes Émile Erckmann et Alexandre Chatrian.
La ville subit trois sièges (1814-1815-1870), valant à la ville le surnom de «Pépinière des Braves».
Le 10 août 1870, lors de la guerre franco-prussienne, Phalsbourg est défendue par le 63erégiment d'infanterie de ligne et le 1erbataillon de la garde nationale mobile de la Meurthe sous le commandement de Pierre Taillant. Elle est assiégée jusqu'au 12 décembre, date à laquelle les défenseurs succombent sous le nombre.
Après le traité de Francfort le , la ville est annexée à l’Empire allemand. Rebaptisée Pfalzburg, elle est alors rattachée à l'arrondissement de Sarrebourg, nouvel arrondissement du Reichsland Elsass-Lothringen. Durant la période allemande, une première ligne de chemin de fer est mise en service le avec l'ouverture de la section Lutzelbourg - Phalsbourg de la ligne de Lutzelbourg à Drulingen. En 1914, les conscrits phalsbourgeois, comme la plupart des Mosellans, se battent sous les couleurs de l'Empire.
Depuis 1900
En 1918, après la fin de la Première Guerre mondiale et la signature du traité de Versailles, Phalsbourg redevient française comme le reste de l'Alsace-Lorraine, et fait désormais partie du nouveau département de la Moselle. Le , le président de la République Raymond Poincaré vient décerner à Phalsbourg la croix de chevalier de la Légion d’honneur pour son comportement héroïque lors du siège de 1870.
Durant la Seconde Guerre mondiale, la ville est de nouveau annexée, cette fois par le IIIe Reich allemand. Son nom redevient Pfalzburg et elle est rattachée au Gau Westmark.
Le [19], malgré la combativité des troupes allemandes qui s'accrochent en Lorraine depuis septembre, la ville est prise par la 7earmée américaine. Un odonyme local (rue du 23-Novembre) rappelle cet évènement.
En 1953, l’United States Air Forces in Europe entreprend la construction de la base aérienne de Phalsbourg-Bourscheid à trois kilomètres à l'ouest de la commune. La cité Clark est construite pour loger les militaires américains et leurs familles. La base est utilisée par les Américains jusqu’en 1967, date du retrait de la France du commandement intégré de l’OTAN. Le site est alors renommé quartier La Horie et devient une base d'hélicoptères de l'Aviation légère de l'Armée de terre.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 en Moselle.
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Le groupe d'aviation légère du 1er corps d'armée (GALCA 1) est formé au quartier La Horie le . Il devient le 1errégiment d’hélicoptères de combat (1er RHC) le .
La garnison de la base comprend également le groupement de soutien de la base de Défense de Phalsbourg (GSBdD) et l'unité de soutien de l'infrastructure de la Défense de Phalsbourg (USID).
Autres unités ayant tenu garnison à Phalsbourg:
1er régiment de chasseurs, 1969-1976;
68e régiment d'artillerie, 1976-1984;
6erégiment d'artillerie, 1984-1993;
2e et 3eescadrilles du 4erégiment d'hélicoptères de commandement et de manœuvre, 1985-1999;
Depuis 1976, Phalsbourg accueille le siège du groupe FM Logistic et ses 300 employés[25].
L'usine de fabrication de panneaux de particules Depalor, qui comptait une centaine de salariés, a été détruite par un incendie le . En novembre de la même année, le groupe Swiss Krono, propriétaire de l'usine, décide de fermer définitivement le site[26].
La zone d'activité Maisons-Rouges, à l'entrée ouest de la commune, regroupe une trentaine entreprises et plus de 500 emplois[27].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].
En 2019, la commune comptait 4 729 habitants[Note 3], en diminution de 0,8% par rapport à 2013 (Moselle: −0,03%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 934
3 200
3 565
3 467
3 611
3 722
3 540
3 634
3 675
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1871
1875
1880
1885
1890
1895
1900
4 125
3 685
4 145
3 857
3 379
3 635
4 414
3 844
3 733
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1905
1910
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
3 721
3 154
3 073
2 476
2 602
3 052
3 093
3 438
3 343
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
2014
3 379
3 905
3 848
4 189
4 499
4 630
4 608
4 753
4 745
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
4 729
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[30]. |recens-prem=2004 |.)
Collège et lycée Erckmann-Chatrian, fondé en 1803 et connaissant diverses dénominations au cours de son histoire;
Collège et lycée privés Saint-Antoine, fondé en 1933.
Cultes
Culte catholique, Archiprêtré de Phalsbourg Communauté St Jean Baptiste des Portes d'Alsace[32] Communauté St Jean Baptiste des Portes d'Alsace, Diocèse de Metz.
En 2017, Cédric Jung a créé l'application mobile « Découvrir Phalsbourg » permettant de faire découvrir la commune à ses visiteurs[34].
Vie culturelle
Le théâtre et la littérature ont droit de cité à Phalsbourg. La commune accueille en effet depuis plus de trente ans un festival consacré au théâtre[35]. La ville a également un lien privilégié avec la littérature. Le Tour de la France par deux enfants, livre de lecture pour l'école primaire, première édition en 1877, par G. Bruno, commence à Phalsbourg, dans la province perdue cédée à l'Empire allemand en 1870. Les romans d’Erckmann-Chatrian mettent parfois en scène Phalsbourg: c’est entre autres la ville natale du soldat de l'Histoire d’un conscrit de 1813.
Lieux et monuments
Article détaillé: Liste des monuments historiques de Phalsbourg.
Édifices civils
Musée historique et Erckmann-Chatrian;
Les portes de France et d’Allemagne (les fortifications ont été complétées par Vauban[36] à partir de 1679)[37];
Château d'Einartzhausen[38], le premier château fondé en 1390 par le comte Henri de Lutzelstein fut construit afin de commander le passage des cols vosgiens. En 1568, le comte Georges-Jean de Veldenz fit reconstruire le château dans le style Renaissance. Vendu en 1588 au duc de Lorraine Charles III de Lorraine (ISMH);
Hôtel de Ville - ancien corps de garde (ISMH)[39],[40];
Le char Bourg-la-Reine, situé à l'entrée ouest de la commune, ce char Sherman faisait partie de la 2e division blindée. Il a été touché par plusieurs tirs d'obus de 88mm le lors de la libération de l'Alsace-Moselle, le premier tir causant la mort de son pilote le brigadier-chef Lucien Barrau[61].
La statue Lobau (Maréchal Mouton) sur la place d’Armes.
Monument Erckmann-Chatrian.
Porte de France.
Porte d'Allemagne.
Ancienne caserne Lobau.
Nid de cigognes à Phalsbourg.
L'ancienne gare de Phalsbourg.
Ancien cimetière militaire.
Le char Bourg-la-Reine.
Édifices religieux
Église Notre-Dame-de-l'Assomption, 1876, néo-gothique. La façade sur la place d'Armes est inscrite au titre des monuments historiques[63][64],[65],[66][67];
Église de l'Immaculée-Conception, à Trois-Maisons;
Église luthérienne, rue du Collège, ancienne salle de danse désaffectée qui servit de salle de prière, construction du XVIIesiècle. Celle-ci fut transformée en lieu de culte en 1822, clocheton avec deux cloches en 1835, un orgue en 1844, l'autel en 1857;
Église néo-apostolique, rue de la Gare;
Synagogue[70], rue Alexandre-Weill, reconstruite en 1857 sur l'emplacement d'une ancienne datant de 1772, désaffectée en 2008[71],[72];
Vieux cimetière israélite, lieu-dit Schlossbrunnen. Présence d'une communauté juive dès la fin du XVIIesiècle[73]. Important rabbinat pendant le XIXesiècle. Le cimetière, créé en 1796, agrandi entre 1867 et 1871, également utilisé par les juifs de Mittelbronn (auparavant, le secteur dépendait de Saverne). Comporte plus de 500 tombes, ainsi que des rangées de stèles du XIXesiècle et de la première moitié du XXesiècle[74].
Église Notre-Dame-de-l'Assomption.
Église de l'Immaculée-Conception de Trois-Maisons.
Église luthérienne.
Synagogue (désaffectée).
Chapelle du collège Saint-Antoine.
Chapelle de l'hôpital.
Chapelle Saint-Jean.
Église néo-apostolique.
Espaces verts
Le sentier botanique du Brunnenthal, d'une longueur d'environ 4 kilomètres, compte une trentaine de panneaux permettant de découvrir les principales essences des Vosges du Nord.
Personnalités de la commune
Personnalités nées à Phalsbourg
Voir la catégorie: Naissance à Phalsbourg.
Personnalités liées à Phalsbourg
Alexandre Chatrian (1826-1890), écrivain.
Augustin Schoeffler (1822-1851), prêtre missionnaire des Missions étrangères de Paris, a étudié à Phalsbourg.
Charles-Joseph Parmentier (1765-1843), homme politique français, maire de Phalsbourg.
David David-Weill (1871-1952), banquier.
Georges-Jean de Palatinat-Veldenz (1568-1590), fondateur de Phalsbourg.
Henriette de Lorraine (1605-1660) (1606-1660), princesse de Saint-Avold, Lixheim et Phalsbourg.
Joseph Victorin Nevinger (1736-1808), général français de la Révolution et de l’Empire.
Lazare Isidor (1813-1888), rabbin de Phalsbourg, grand rabbin de France.
Mathilde Salomon (1837-1909), pédagogue et pionnière de l’éducation féminine.
Nicolas Krick (1819-1854), prêtre de Phalsbourg, puis missionnaire des Missions étrangères de Paris.
Sébastien Le Prestre de Vauban.
Héraldique
Blason
Parti: au 1er de sable à la croix d'argent, au 2e d'azur à la fleur de lis d'or.
Devise
Pépinière des braves[Note 4] (c'est Napoléon Ier qui se plaisait à appeler Phalsbourg ainsi)[75].
Détails
La ville de Phalsbourg utilise ces armoiries depuis le début du XVIIIesiècle. Elle adopta par erreur ce blason qui figurait dans l'armorial de la généralité d'Alsace de 1696 sous le nom de Philisbourg alors qu'il s'agissait en réalité de Philippsbourg, dans le pays de Bade[76].
Alias
D'azur, à la forteresse donjonnée d'argent, sur le sommet de laquelle flotte un panonceau d'or, chargé d'un alérion de gueules. Les anciennes armoiries de Phalsbourg, c'est-à-dire les armes de 1608, sont un écu sur lequel on voit un château donjonné, surmonté d'un drapeau chargé d'un alérion. Les couleurs font défaut, mais il semble possible de les rétablir de cette manière[75].
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Pour avoir été le berceau d’un nombre impressionnant de généraux.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France 2, volume 2, p. 725.
Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, 1862.
1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994, p. 15.
Recherches de Robert Depardieu
Marie Gall, «Jean-Louis Madelaine officiellement maire: "L'heure est à l’action"», Le Républicain Lorrain, (lire en ligne) «Jean-Louis Madelaine, tête de la liste victorieuse au soir du 2e tour des municipales, a été élu maire de Phalsbourg lors de la séance d’installation du conseil municipal.»
La santé, sur le site de la commune (consulté le 10 octobre 2017).
Henri Lepage, Les communes de la Meurthe: journal historique, volume 2, Nancy, 1853, «Phalsbourg» p. 273 à 287. (BNF36386877)
Arthur Benoît, Le blocus de Phalsbourg: histoire du 9ebataillon des gardes nationaux d'élite du département de la Meurthe (armée du Rhin, 1815), Metz, 1868 lire en ligne sur Gallica
Arthur Benoît, «Nouvelles recherches historiques sur Phalsbourg et ses environs», dans Mémoires de la Société d'archéologie lorraine, 1871, p.130-158(lire en ligne)
Charles Hollender, Siège de Phalsbourg en 1870, Paris, 1899 lire en ligne sur Gallica
Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région
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