Peypin-d'Aigues est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Ne doit pas être confondu avec Peypin.
Peypin-d'Aigues | |
Temple - Peypin d'Aigues. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur |
Département | Vaucluse |
Arrondissement | Apt |
Intercommunalité | Communauté de communes Territoriale Sud-Luberon |
Maire Mandat |
Karine Mouret 2020-2026 |
Code postal | 84240 |
Code commune | 84090 |
Démographie | |
Gentilé | Peypinois, Peypinoise |
Population municipale |
673 hab. (2019 ![]() |
Densité | 39 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 47′ 19″ nord, 5° 34′ 14″ est |
Altitude | Min. 349 m Max. 1 040 m |
Superficie | 17,36 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Pertuis |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Ses habitants sont appelés les Peypinois.
Peypin-d'Aigues est un village éclaté en quatre parties, le village et trois hameaux : hameau des Dônes, hameau des Roux et hameau de Fonzillouse (ou Fontjoyeuse) (XVIIe siècle).
Saint-Martin-de-Castillon | Céreste Alpes-de-Haute-Provence |
|
La Motte-d'Aigues | ![]() |
Vitrolles-en-Lubéron |
Saint-Martin-de-la-Brasque | Grambois |
Le relief est très contrasté. La commune est divisée en deux, d'un côté la plaine irriguée dans le lit majeur de la Durance, de l'autre la surrection du Luberon.
La partie méridionale est composée d'alluvions récentes apportées par la Durance. Le massif du Luberon compose l'autre partie de la commune. Cette chaîne a commencé à se former au crétacé inférieur, c'est-à-dire entre -135 et -95 millions d'années pour finir de se plisser à partir de -15 millions d'années d'abord dans un axe nord-sud, puis de NNE-SSO. entre -7 et -3 millions d'années. Ces compressions successives ont trouvé leurs termes au pliocène[1]. Il est à noter – chose assez rare - que sur le territoire de la commune se trouve un (minuscule) affleurement basaltique. On n'en découvre d’identiques qu’à Évenos (83), Beaulieu (06) ou Rougiers (83).
Le village est desservi par une ligne départementale[2] :
Ligne | Tracé |
---|---|
17.2 | Peypin-d'Aigues ↔ Pertuis |
Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[3].
La commune est située dans la zone d’influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en latitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare. Protégée par le Massif du Luberon, la commune est partiellement abritée du mistral.
La station météo la plus proche est celle de Pertuis[4].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 3,2 | 4,1 | 6,5 | 9,1 | 13 | 16,6 | 19,1 | 19 | 15,8 | 13,5 | 7,4 | 4,3 | 11 |
Température moyenne (°C) | 7,1 | 8,3 | 11,1 | 13,7 | 17,9 | 21,6 | 24,3 | 24,1 | 18 | 17 | 11,2 | 8,1 | 15,2 |
Température maximale moyenne (°C) | 11 | 12,7 | 15,7 | 18,3 | 22,8 | 26,8 | 29,7 | 29,5 | 25 | 20,5 | 15 | 11,9 | 18,2 |
Précipitations (mm) | 35,3 | 21,3 | 21,9 | 40,6 | 27,6 | 14,6 | 8,2 | 18,3 | 57 | 52,3 | 39,1 | 25,6 | 287,6 |
dont pluie (mm) | 33 | 18 | 21 | 40,6 | 27,6 | 27,6 | 8,2 | 18,3 | 57 | 52,3 | 37 | 23 | 280 |
dont neige (cm) | 2 | 3 | 0,5 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1,5 | 2 | 9 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
11 3,2 35,3 | 12,7 4,1 21,3 | 15,7 6,5 21,9 | 18,3 9,1 40,6 | 22,8 13 27,6 | 26,8 16,6 14,6 | 29,7 19,1 8,2 | 29,5 19 18,3 | 25 15,8 57 | 20,5 13,5 52,3 | 15 7,4 39,1 | 11,9 4,3 25,6 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Peypin-d'Aigues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. La commune est en outre hors attraction des villes[9],[10].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (67,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,1 %), zones agricoles hétérogènes (16,4 %), cultures permanentes (15,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (12,7 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
La répartition des sols de la commune est la suivante[13] (donnée pour un total de) :
Type d'occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Zones urbaines | 1,85 % | 32,10 |
Zones agricoles | 25,71 % | 447,07 |
Zones naturelles | 72,50 % | 1 215,15 |
Total | 100 % | 1 731,13 |
Les zones naturelles (presque 9/10 du territoire) sont principalement formées par les forêts méditerranéennes couvrant le petit Luberon. Les zones agricoles sont formées de vergers de fruitiers (oliviers, amandiers, etc.), des champs de lavandin et des vignes (AOC côtes-du-luberon).
Podium Pini est d'origine romane, la racine Pey (Podium, Puy) désigne aussi bien la pierre qu'une sommité rocheuse. Il faut voir dans le suffixe Pini l'évocation d'une forêt de pins accrochée aux flancs de cette colline de pierres[14].
Au quartier des Roux a été identifié le seul vestige de l'âge du bronze, une hache aux bords martelés. Celui de Notre-Dame a, par contre, livré de nombreuses tombes dont l’une était recouverte d’une dalle épigraphique. Leur présence est l'indice probable de l’existence d’une villa gallo-romaine.
Au Xe siècle ce lieu était couvert de pins et ce fut sans doute ici (in Pineto), en 925, que s'abrita l'archichancelier Bernuin, archevêque d’Aix-en-Provence, fuyant les Sarrasins et partant se réfugier à Reims. Les textes des cartulaires provençaux citent ensuite Pinetus (991) et Peipi (1092). C'est une déformation de « Podium Pinus » - Podio Pino est attesté au XIIe siècle – signifiant le Puy des Pins.
Le sanctuaire le plus ancien fut celui de Notre-Dame de Peipi, à la fin du XIe siècle, qui a depuis disparu.
Le fief de Peipin relevait du comté de Forcalquier au XIIe siècle. Lorsque ce comté perd son indépendance en 1209, à la mort de Guillaume II, un de ses neveux, Guillaume de Sabran tente de le relever. Après une lutte de dix ans, il passe un accord à Meyrargues le avec Raimond Bérenger IV, comte de Provence et lui aussi héritier du comté de Forcalquier. Par cet accord, la moitié sud du comté, dont Peipin, lui est donnée. Guillaume de Sabran conserve sa moitié de comté jusqu'à sa mort, vers 1250[15].
En 1331, Elzéar de Sabran rendit hommage de ce fief à Robert d'Anjou, comte de Provence et roi de Naples. Il venait de racheter à Delphine, veuve de son oncle et parrain Elzéar, l’héritage que celui-ci lui avait légué et qu’elle distribuait aux pauvres. À cette époque le vieux château des Sabran s’élevait sur le site du Castellas.
Peypin fait partie de la quarantaine de localités, de part et d'autre du Luberon[16] dans lesquelles s'installent au moins 1400 familles de vaudois des Alpes, soit environ 6 000 personnes, venues des diocèses alpins de Turin et d'Embrun entre 1460 et 1560, selon l'historien Gabriel Audisio. Les deux-tiers de ces futurs Vaudois du Luberon sont arrivés entre 1490 et 1520 et la plupart subissent le massacre de Mérindol, qui détruit 24 villages et cause 3 000 morts.
En 1506, le baron de Cental, Antoine René de Bolliers, passa au nom de son fils mineur François, héritier de ce fief, un acte d’habitation pour repeupler Peypin avec plusieurs chefs de famille vaudois originaires de sa baronnie piémontaise.
Une première alerte eut lieu en 1532 quand les enquêteurs envoyés par le Parlement d’Aix, sur ordre de François 1er, partirent à la recherche de « ceux tenant pour la secte de Luther au-delà de la Durance ». Le village se vida avant leur arrivée. Ce qui ne l’empêcha pas, en 1545, d’être pillé et incendié, sur ordre de Meynier d’Oppède, par les soudards du « brave capitaine Paulin ». Même l’église Saint-Jérôme, pourtant propriété du chapitre cathédral de Saint-Sauveur d’Aix, fut détruite. Les chanoines la feront reconstruire en 1620.
Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.
Le temple protestant actuel date de 1870.
L'adhésion de la commune au parc naturel régional du Luberon a valorisé ses nombreux atouts touristiques et économiques. Le taux de chômage actuel est de 9,8 % alors qu'il était de 12,4 % à la fin du XXe siècle. Pour la même période le taux d'activité atteint 70,9 % contre 68,9 % en 1999 et la population des retraités et les préretraités est passée à 21,4 % de la population alors qu'elle était de 22,4 % à la même date.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
avant 1847 | Marius Reynaud | |||
avant 1875 | Antoine Modeste Gaillanne | |||
avant 1995 | ? | Henri Marocchino | ||
mars 2001 | mars 2008 | Gérard Fritz | ||
mars 2008 | En cours | Nicole Sabater | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
La collecte et le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement sont réalisés dans le cadre de la communauté de communes Luberon-Durance.
La commune, de par la communauté de communes, fait partie du syndicat mixte intercommunautaire pour l'étude, la construction et l'exploitation d'unités de traitement des ordures ménagères de la région de Cavaillon (Sieceutom).
La commune fait partie du syndicat intercommunal à vocations multiples (SIVOM) Durance-Luberon qui est un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) qui regroupe 21 communes des 23 communes (Lourmarin et Vaugines n'en font pas partie) des deux cantons de Pertuis et de Cadenet a pour compétence la distribution de l'eau et l'assainissement. Il a été créé en 1989 par transformation du syndicat intercommunal créé en 1946 mais qui n'avait comme compétence que la distribution de l'eau. Il comprend 42 membres (deux par commune). Son président est Maurice Lovisolo (vice-président du conseil général de Vaucluse)[17]. Le prix de l'assainissement est variable dans chaque commune (à cause de la surtaxe communale) alors que celui de l'eau est identique[18].
Peypin-d'Aigues est une des quatorze communes du canton de Pertuis qui totalise 32 492 habitants en 2006. Le canton fait partie de l'arrondissement d'Apt depuis 1801 (sauf de 1926 à 1933 où ce fut Cavaillon) et de la cinquième circonscription de Vaucluse depuis 2010 (avant l'ordonnance no 2009-935 du elle appartenait à la deuxième circonscription de Vaucluse). Peypin-d'Aigues fait partie du canton de Pertuis depuis 1801 après avoir fait partie du canton de La Tour-d'Aigues de 1793 à 1801[19].
Peypin-d'Aigues fait partie de la juridiction d’instance d’Apt, mais du greffe détaché Pertuis, et de grande instance, de prud'homale, de commerce et d'affaires de Sécurité sociale d’Avignon[20].
La commune fait partie de la communauté de communes Luberon-Durance depuis le .
Taxe | Part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
---|---|---|---|---|
Taxe d'habitation (TH) | 8,13 % | 0,19 % | 7,55 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) | 12,51 % | 0,25 % | 10,20 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) | 39,68 % | 0,25 % | 28,96 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle (TP) | 00,00 % | 20,36 % | 13,00 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[22]).
Le recensement de 1826, qui ne serait qu'une réactualisation de celui de 1821, n'a pas été retenu.
Le recensement de 1871 a été, pour cause de guerre, repoussé à l'année 1872.
Le recensement de 1941, réalisé selon des instructions différentes, ne peut être qualifié de recensement général, et n'a donné lieu à aucune publication officielle.
Les résultats provisoires du recensement par sondage annuel réalisé en 2004, 2005 et 2006 selon les communes sont tous, par convention, affichés à 2006.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].
En 2019, la commune comptait 673 habitants[Note 2], en augmentation de 7,34 % par rapport à 2013 (Vaucluse : +2,09 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
314 | 266 | 382 | 400 | 395 | 433 | 439 | 404 | 428 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
426 | 404 | 400 | 387 | 381 | 343 | 334 | 283 | 291 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
278 | 302 | 305 | 186 | 207 | 211 | 214 | 213 | 212 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2005 | 2006 | 2010 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
211 | 206 | 221 | 310 | 385 | 473 | 576 | 586 | 599 |
2015 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
652 | 673 | - | - | - | - | - | - | - |
Peypin d'Aigues et Saint-Martin-de-la-Brasque font partie d'un regroupement pédagogique (RPI), les élèves allant en maternelle à Saint-Martin et dans une école primaire publique à Peypin[26]. Ensuite les élèves sont affectés au collège Albert-Camus à La Tour-d'Aigues[27],[28], puis le lycée Val-de-Durance[29] à Pertuis (enseignement général) ou lycée Alexandre-Dumas[30] à Cavaillon soit lycée Alphonse-Benoit[31] à L'Isle-sur-la-Sorgue (enseignements techniques).
Nombreuses possibilités de randonnées pédestres ou en V.T.T.
Passage du chemin de grande randonnée 9 (GR 9) sur la commune.
Pertuis, la ville du secteur, possède des services ambulanciers, hospitaliers, etc.
Protestant et catholique.
La commune produit des vins AOC côtes-du-luberon. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label vin de pays d'Aigues[32].
Comme l'ensemble des communes du Luberon, le tourisme joue un rôle, directement ou indirectement, dans l'économie locale.
On peut considérer trois principales sortes de tourisme en Luberon. Tout d'abord, un tourisme historique et culturel qui s'appuie sur le riche patrimoine des villages perchés ou sur des festivals. Ensuite, un tourisme récréatif qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, un tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le Luberon et ses environs[33].
Modèle:Peypin-d’Aygues est cité par Henri Bosco dans son roman « Le Trestoulas » 1935.
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Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'or à un pin de sinople, sur une montagne de sable[35].
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