Géolocalisation sur la carte: Provence-Alpes-Côte d'Azur
Lourmarin
modifier
Ses habitants sont appelés les Lourmarinois.
Géographie
Localisation
Le village se situe à la sortie d'une combe portant son nom, la combe de Lourmarin, passage entre le petit et le grand Luberon rejoignant le village de Bonnieux à 11 km au nord.
Il fait partie des plus beaux villages de France.
Communes limitrophes de Lourmarin
Bonnieux
Buoux
Puyvert
Vaugines
Cadenet
Relief et géologie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
La rivière l'Aigue Brun, au nord du village, a creusé la combe de Lourmarin.
Sismicité
Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[2].
Climat
La commune est située dans la zone d’influence du climat méditerranéen. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en latitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare. Protégée par le massif du Luberon, la commune est partiellement abritée du mistral.
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Transports en commun
Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
la commune bénéficie de plusieurs réseaux de transports en commun:
Transvaucluse;
Pays d'Aix mobilité.
Urbanisme
Typologie
Lourmarin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].
Elle appartient à l'unité urbaine de Cadenet, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[8] et 10 708 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10].
La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,5%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (44,3%), cultures permanentes (21,3%), zones agricoles hétérogènes (21,1%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,7%), zones urbanisées (2,5%)[13].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].
Morphologie urbaine
Répartition des sols
La répartition des sols de la commune est la suivante[15] (donnée pour un total de):
Type d'occupation
Pourcentage
Superficie (en hectares)
Zones urbaines
2,42%
48,93
Zones agricoles
39,56%
798,59
Zones naturelles
57,86%
1 168,20
Total
100%
2 018,00
Les zones naturelles sont principalement formées par les forêts méditerranéennes couvrant le petit Luberon. Les zones agricoles sont formées de vergers de fruitiers (oliviers, amandiers, etc.), des champs de lavandin et des vignes (AOC côtes-du-luberon).
Logement
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Toponymie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
En 1982, dans son ouvrage posthume Lourmarin et ses millésimes, l'érudit local Henry Meynard recense les premières mentions connues du toponyme et trois hypothèses en lice [16].
Les premières mentions de toponymes rapportées, citées d'après deux autres auteurs (l'abbé Méritan et Robert Bailly), sont: "Luzmari" (1065), "Luci Marini" (entre 1118 et 1119), "Lucemarino" (1165), et "Lourmarin" en 1189.
Trois hypothèses concurrentes sont présentées.
- En premier lieu, celle de F. Prat ancien directeur de l'école publique de Villelaure, qui avait évoqué le "bois sacré" ("lucus") des Romains, "Marinus" évoquant la zone marécageuse jouxtant l'actuelle agglomération (actuel quartier de "L'Etang", asséché). "Lucus marinus" est accessoirement l'expression reproduite au bas d'un blason sculpté de la tour de l'horloge (beffroi), apposé au fronton de l'actuelle mairie en 1908.
- Dans un deuxième temps, le Dr. Jacquême a supposé dans son Histoire de Cadenet (1920), le surnom "Laurus", "souvent attribué aux soldats romains", désignant un hypothétique premier possesseur des terres allant de Pertuis à Mérindol, parmi lesquelles: Lauris, Lourmarin, Villelaure.
- Enfin, en 1979, dans une conférence donnée au château de Lourmarin, Jean Barruol s'est quant à lui focalisé sur le préfixe "Lour-" en excluant le suffixe "-marin". Il rapproche Lourmarin du toponyme Lueiron/Luerion assimilé à l'actuelle montagne du Luberon, citant à l'appui divers autres toponymes ("Lueiron", quartier de Céreste; montagne de "Lure" et un de ses sommets "Lioure"; la commune de "Barret de Lioure"; ancien oppidum et actuel village de "Lurs").
Histoire
Moyen Âge
Une forteresse fut créée au XIIesiècle. Par une bulle datée de 1189, Clément III plaça sous sa juridiction les hospitaliers du Pont de Bonpas qui possédaient une maison à Lourmarin, sur le chemin menant d'Aix-en-Provence à Apt, à l'entrée de la combe «passage des plus dangereux de la Basse Provence»[17].
Au XIIesiècle, l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon y possédait un prieuré (conservé jusqu’au début du XIVesiècle) et l’église paroissiale (conservée jusqu’au XVesiècle), et percevait les revenus qui leur étaient attachés[18].
Le fief de Lourmarin relevait du comté de Forcalquier au XIIesiècle. Lorsque ce comté perd son indépendance en 1209, à la mort de Guillaume II, un de ses neveux, Guillaume de Sabran tente de le relever. Après une lutte de dix ans, il passe un accord à Meyrargues le avec Raimond Bérenger IV, comte de Provence et lui aussi héritier du comté de Forcalquier. Par cet accord, la moitié sud du comté, dont Lourmarin, lui est donnée, et en fait partie jusqu'à sa mort, vers 1250[19].
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. La dame de Lourmarin, Reine de Sabran, se rallie aux Angevins en 1385, après la mort de Louis Ier[20].
Temps modernes
Au XVesiècle, à la Renaissance, le château de Lourmarin fut reconstruit par Foulques d'Agoult sur les restes de l'ancienne forteresse.
À la fin du XVesiècle, la population augmente dans tout l'arc alpin et de nombreux habitants des hautes vallées descendent dans les plaines, une émigration économique très progressive. Le village fait partie de la quarantaine de localités, de part et d'autre du Luberon[21] dans lesquelles s'installent au moins 1400 familles de Vaudois des Alpes, soit environ 6 000 personnes, venues des diocèses alpins de Turin et d'Embrun entre 1460 et 1560, selon l'historien Gabriel Audisio. Les deux tiers de ces futurs Vaudois du Luberon sont arrivés entre 1490 et 1520.
Lourmarin est une pièce maîtresse dans l'organisation de la communauté vaudoise de l'époque qui s'étend pendant trente ans à 24 villages prospères, mettant en valeur les terres marécageuses au sud du Luberon, puis sur le versant nord.
Le , le village, peuplé de Vaudois, est incendié par les troupes de Paulin de La Garde, sous la direction du premier président du Parlement d’Aix, Jean Maynier, seigneur d'Oppède[22]. Après le massacre d', au cours duquel sont exterminés 3 000 Vaudois du Luberon, une partie des survivants sont revenus dans le Piémont.
Seigneurie des Forcalquier (jusqu'en 1385)[23], des Sabran, Dufour et Venterol (à partir de 1418), puis des Oraison et des d'Agoult-Montauban à partir du milieu du XVesiècle. Le fief passe aux Créquy-Lesdiguières au XVIIesiècle et aux Neufville de Villeroy, puis fut acheté le , par Jean-Baptiste Bruny, négociant, industriel (armateur à Marseille), banquier, et secrétaire du roi en 1711, dit de La Tour d'Aigues.
Après la révocation de l'édit de Nantes en 1685, une partie des viticulteurs huguenots du village fuient aux Pays-Bas puis sur les bateaux de la Compagnie néerlandaise des Indes orientales pour s'installer dans la communauté des huguenots d'Afrique du Sud, où existe toujours le village de Lormarin. Parmi ces viticulteurs, Jean Roy, vigneron d'origine vaudoise, installé à Lourmarin qui a émigré en 1688 en Afrique du Sud où il a créé un des vignobles les plus célèbres de ce pays aujourd'hui.
Période contemporaine
À partir de 1920 commence la restauration du château.
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Lourmarin est une des neuf communes du canton de Cadenet qui totalise 17 278 habitants en 2008. Le canton fait partie de l'arrondissement d'Apt depuis 1801 (sauf de 1926 à 1933 où ce fut Cavaillon) et de la deuxième circonscription de Vaucluse. Lourmarin fait partie du canton de Cadenet depuis 1793[25].
Lourmarin fait partie de la juridiction d’instance d’Apt, mais du greffe détaché Pertuis, et de grande instance, de prud'homale, de commerce et d'affaires de Sécurité sociale d’Avignon[26].
Écologie et recyclage
La communauté de communes des Portes du Luberon, dont fait partie Lourmarin, est chargée de l'organisation de la collecte et du traitement des déchets des ménages et déchets assimilés.
Fiscalité
L'imposition des ménages et des entreprises à Lourmarin en 2009[27]
Taxe
Part communale
Part intercommunale
Part départementale
Part régionale
Taxe d'habitation (TH)
7,13%
0,40%
7,55%
0,00%
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB)
11,08%
0,51%
10,20%
2,36%
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB)
37,64%
1,58%
28,96%
8,85%
Taxe professionnelle (TP)
21,40%
0,83%
13,00%
3,84%
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[28]).
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[29]:
total des produits de fonctionnement: 1 674 000 €, soit 1 430 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 1 224 000 €, soit 1 047 € par habitant;
total des ressources d'investissement: 1 669 000 €, soit 1 427 € par habitant;
total des emplois d'investissement: 916 000 €, soit 783 € par habitant;
endettement: 1 055 000 €, soit 901 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d'habitation: 16,36%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 12,18%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 39,47%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 39,64%;
cotisation foncière des entreprises: 36,40%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014: médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation: 20 831 €[30].
Jumelages
Żyrardów(Pologne).
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2019, la commune comptait 1 040 habitants[Note 2], en diminution de 7,88% par rapport à 2013 (Vaucluse: +2,09%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 406
1 320
1 488
1 610
1 640
1 660
1 570
1 585
1 478
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 385
1 385
1 233
1 272
1 142
1 069
950
948
914
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
903
834
803
705
688
620
603
626
665
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2008
2013
612
615
685
858
1 108
1 119
1 024
997
1 129
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2018
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 043
1 040
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La commune possède une école primaire publique Philippe-de-Girard [34], les élèves sont ensuite affectés au collège Le Luberon à Cadenet[35],[36], puis le lycée Val-de-Durance[37] à Pertuis (enseignement général) ou lycée Alexandre-Dumas[38] à Cavaillon soit lycée Alphonse-Benoit[39] à L'Isle-sur-la-Sorgue (enseignements techniques).
Sports
Stade de foot et divers aménagements.
Cultes
Une église catholique et un temple protestant (de l'Église protestante unie, route d'Apt) sont implantés sur la commune.
Économie
Agriculture
Le vignoble de la commune est classé dans l'appellation d'origine contrôlée (AOC) côtes-du-luberon. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label vin de pays d'Aigues[Note 3].
Des fruitiers (cerises, etc.) sont également cultivés.
Tourisme
Comme l'ensemble des communes du Luberon, le tourisme joue un rôle, directement ou indirectement, dans l'économie locale.
On peut considérer trois principales sortes de tourisme en Luberon. Tout d'abord, le tourisme historique et culturel qui s'appuie sur un patrimoine riche des villages perchés ou sur des festivals. Ensuite, le tourisme détente qui se traduit par un important développement des chambres d'hôtes, de l'hôtellerie et de la location saisonnière, par une concentration importante de piscines et par des animations comme des marchés provençaux. Enfin, le tourisme vert qui profite des nombreux chemins de randonnées et du cadre protégé qu'offrent le Luberon et ses environs[Note 4].
Monument funéraire de protestants (dalles funéraires jumelées)[47].
Patrimoine civil:
Château de la Corrée.
Château de Lourmarin, dont la construction du Moyen Âge par la famille d'Agoult-Montmaur (le dernier descendant male, le comte Charles Louis Constant d'Agoult, épousera Marie de Flavigny (1805-1876)), a été complétée par une aile renaissance. Il sert actuellement de résidence artistique.
Patrimoine environnemental:
Le pré de la Plantade, espace naturel ouvert entre le nord du village et le château de Lourmarin fait l'objet d'un arrêté de classement en 1942, en vue de protection de ses 4,8 ha[72].
Personnalités liées à la commune
Naissances
Jean Roy, vigneron vaudois, né Lourmarin, qui a émigré en 1688 en Afrique du Sud où il a fondé le domaine de L'Ormarins.
Jean d'Ailhaud (né en 1674, mort en 1756 à Aix-en-Provence) baron de Castellet, qui acquit la seigneurie de Vitrolles et de Montjustin. Docteur en médecine à Aix, il découvrit une illustre poudre purgative qui porte son nom; elle lui valut la notoriété et une grande fortune.
Philippe de Girard (1775-1845), ingénieur et inventeur.
Christiane Faure (1908-1998), instigatrice des politiques culturelles d'éducation populaire au sortir de la Seconde Guerre mondiale en France.
Dans la commune
Dans l'une des propriétés de Lourmarin (Les Baumelles) repose le sous-lieutenant Gérard Claron (né à Maisons-Laffitte le ), navigateur chef de bord d'un Bristol Blenheim du Groupe «Lorraine» qui, à court de carburant, disparut dans le désert le , au retour d'une mission effectuée sur l'oasis de Koufra. L'appareil, intact, ne fut retrouvé — avec ses trois membres d'équipage décédés — qu'en 1959.
Les Baumelles est actuellement la propriété du fondateur du groupe international d'hôtellerie ACCOR, Paul Dubrule.
Autres personnalités liées à la commune
André Bassaget (1758-1843), pasteur protestant à Lourmarin, ancien député de Vaucluse.
Noël Nougat (1882-1944), né à Merindol, pasteur protestant à Lourmarin de 1906 à 1944, écrivain sous le nom Noël Vesper.
Laurent Garnier (Célèbre DJ de musique électronique), depuis 2000 il a élu domicile dans la commune et organise depuis 2013 le festival Yeah!.
Robert Laurent-Vibert (1884-1925) industriel et mécène ayant racheté puis restauré le Chateau de Lourmarin avant de le léguer à l’Académie des Sciences, Agriculture, Art et Belles Lettres d’Aix-en-Provence pour créer la Fondation de Lourmarin Laurent-Vibert.
Lourmarin au cinéma
1943: Arlette et l'Amour de Robert Vernay avec André Luguet, Josette Day.
1968: Ce sacré grand-père de Jacques Poitrenaud avec Michel Simon, Yves Lefebvre, Serge Gainsbourg, Marie Dubois, Mary Marquet.
1968: La Maison des Bories de Jacques Doniol-Valcroze avec Maurice Garrel, Marie Dubois, Mathieu Carrière.
1998: Les Savates du bon Dieu de Jean-Claude Brisseau.
1999: Passion of Mind d'Alain Berliner avec Demi Moore. Tourné également à Lacoste, Bonnieux, Buoux, Cadenet.
2001: 18 ans après de Coline Serreau avec Line Renaud, Madeleine Besson, Philippine Leroy-Beaulieu, Michel Boujenah, André Dussollier, Roland Giraud. Autres lieux de tournage: Apt, Goult, Roussillon, Saint-Saturnin-lès-Apt, Gordes, Cabrières-d'Avignon, Avignon.
2002: Le Cœur des hommes de Marc Esposito avec Jean-Pierre Darroussin, Gérard Darmon, Marc Lavoine, Bernard Campan, Zoé Félix.
2003: Que la mort nous sépare, court métrage d'Octavia de Larroche.
2006: Le Cœur des hommes 2 de Marc Esposito avec Jean-Pierre Darroussin, Gérard Darmon, Bernard Campan, Zoé Félix.
Lourmarin dans la littérature
Lourmarin est le village dans lequel se passe l'histoire du Mistouflon dans L'année du Mistouflon d'Anne-Marie Chapouton (1982). Les illustrations de Gérard Franquin représentent fidèlement le village.
L'écrivain comtadin André de Richaud (1907-1968), premier pensionnaire de la Fondation de Lourmarin Laurent-Vibert en 1929, y situe son roman-biographie posthume Il n'y a rien compris (R. Morel Éditeur, 1970).
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes de Vaucluse.
Blason actuel de la ville de Lourmarin:
Les armes de Lourmarin se blasonnent ainsi:
Écartelé, au premier d'or au loup ravissant d'azur, lampassé et armé de gueules; au deuxième d'azur à trois tours d'or posées deux et un; au troisième palé d'argent et d'azur de six pièces, au chef d'azur; au quatrième d'argent à trois corbeaux de sable posé deux et un[73].
Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique des communes du département de Vaucluse, Avignon, Seguin Ainé, , 400p. (lire en ligne)
Jules Masson Mourey et Sophie Bergaglio, Les graffiti «gitans» du château de Lourmarin (Vaucluse): mise à l’épreuve d’un morceau de folklore lubéronnais, Bulletin Archéologique de Provence, n°40, p. 87-95.
Henri Meynard, Lourmarin et ses millésimes, D. Vernaud, Lonay, 1982
Patrick Ollivier-Elliott, Luberon, Pays d'Aigues, Aix-en-Provence, Édisud, , 285p. (ISBN978-2-7449-0764-7)
Véronique Ripoll, Les temples de Marseille et Lourmarin, in Provence historique, 44eannée, no197, juillet-, p.683-691
Mathieu Varille, Lourmarin de Provence, capitale du Luberon, Audin, Lyon, 1976 (5e éd.), 97 p.
Librairie Hachette et société d'études et de publications économiques, Merveilles des châteaux de Provence, Paris, Collection Réalités Hachette, , 324p.
Préface du Duc de Castries vice-président de l'Association des Vieilles maisons françaises: Haute Provence et Luberon: Lourmarin, Témoin des atrocités du sinistre baron d'Oppède..., pages 130 à 133
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Le label Vin de pays d'Aigues concerne les communes suivantes dans le département de Vaucluse: Ansouis, Apt, Auribeau, La Bastide-des-Jourdan, La Bastidonne, Les Beaumettes, Beaumont-de-Pertuis, Bonnieux, Buoux, Cabrières-d'Aigues, Cabrières-d'Avignon, Cadenet, Caseneuve, Castellet, Cavaillon, Cheval-Blanc, Cucuron, Gargas, Gignac, Gordes, Goult, Grambois, L'Isle-sur-la-Sorgue, Joucas, Lacoste, Lagarde-d'Apt, Lagnes, Lauris, Lioux, Lourmarin, Maubec, Ménerbes, Mérindol, Mirabeau, La Motte-d'Aigues, Murs, Oppède, Pertuis, Peypin-d'Aigues, Puget, Puyvert, Robion, Roussillon, Rustrel, Saignon, Saint-Martin-de-Castillon, Saint-Martin-de-la-Brasque, Saint-Pantaléon, Saint-Saturnin-d'Apt, Sannes, Saumane, Sivergues, Les Taillades, La Tour-d'Aigues, Vaugines, Viens, Villars, Villelaure, Vitrolles-en-Luberon.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
MEYNARD (Henri), Lourmarin et ses millésimes, 1982, Cavaillon, imp. Rimbaud, 151 p., ill. n&b, plans, bibl., table des illustrations. Les références de toutes les sources toponymiques et citations utilisées se retrouvent au bas des p. 13-14 de l'ouvrage.
Guy Barruol, Michèle Bois, Yann Codou, Marie-Pierre Estienne, Élizabeth Sauze, «Liste des établissements religieux relevant de l’abbaye Saint-André du XeauXIIIesiècle», in Guy Barruol, Roseline Bacon et Alain Gérard (directeurs de publication), L’abbaye de Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, histoire, archéologie, rayonnement, Actes du colloque interrégional tenu en 1999 à l'occasion du millénaire de la fondation de l'abbaye Saint-André de Villeneuve-lès-Avignon, Éd. Alpes de Lumières, Cahiers de Salagon no4, Mane, 2001, 448 p. (ISSN1254-9371), (ISBN2-906162-54-X), p.220.
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2024 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии