Parentis-en-Born [paʁɑ̃tis ɑ̃ bɔʁn] (Parentís, en occitan[1]) est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département des Landes, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Born.
Parentis-en-Born | |
![]() Vue sur l'église Saint-Pierre de Parentis-en-Born. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Landes |
Arrondissement | Mont-de-Marsan |
Intercommunalité | Communauté de communes des Grands Lacs (siège) |
Maire Mandat |
Marie-Françoise Nadau 2020-2026 |
Code postal | 40160 |
Code commune | 40217 |
Démographie | |
Population municipale |
6 684 hab. (2019 ![]() |
Densité | 60 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 21′ 00″ nord, 1° 04′ 24″ ouest |
Altitude | Min. 20 m Max. 57 m |
Superficie | 111,55 km2 |
Type | Commune urbaine et littorale |
Unité urbaine | Parentis-en-Born (ville isolée) |
Aire d'attraction | Biscarrosse (commune du pôle principal) |
Élections | |
Départementales | Canton des Grands Lacs (bureau centralisateur) |
Législatives | Première circonscription |
Localisation | |
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Parentis-en-Born est la troisième ville la plus importante du Pays de Born après Mimizan et Biscarrosse. Elle s’étend sur 11 155 hectares à l’est du lac de Parentis-Biscarrosse, le deuxième des Landes par sa superficie (3 540 ha).
La commune de Parentis en Born se situe au nord du département des Landes. Elle est limitrophe du département de la Gironde en un point. Au cœur de la forêt des Landes de Gascogne, elle borde le grand lac de Biscarrosse-Parentis.
Ce chef-lieu de canton se trouve à 20 minutes de l'océan Atlantique, à 30 minutes de La Teste-de-Buch, à une heure de Bordeaux et de Mont-de-Marsan.
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Biscarrosse | Sanguinet, Lugos (Gironde), (par un quinquepoint) | |
Gastes | ![]() |
Ychoux |
Sainte-Eulalie-en-Born, Saint-Paul-en-Born, (par un quinquepoint) |
Pontenx-les-Forges | Luë |
Le chemin de Compostelle et la véloroute[3] de 1 200 km passent par la commune de Parentis-en-Born[4],[5].
250 odonymes recensés à Parentis-en-Born au | |||||||||||||||
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Allée | Avenue | Bld | Chemin | Cité | Impasse | Passage | Place | Quai | Rd-point | Route | Rue | Square | Villa | Autres | Total |
12 | 27 [N 1] | 0 | 45 | 0 | 23 [N 2] | 0 | 9 [N 3] | 0 | 0 | 34 | 67 | 3 [N 4] | 0 | 40 [N 5] | 250 |
Notes « N » |
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Sources : rue-ville.info & annuaire-mairie.fr & OpenStreetMap |
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pissos », sur la commune de Pissos, mise en service en 1951[12] et qui se trouve à 24 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 023,4 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Mont-de-Marsan », sur la commune de Mont-de-Marsan, mise en service en 1945 et à 69 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[16], à 13,5 °C pour 1981-2010[17], puis à 13,9 °C pour 1991-2020[18].
Parentis-en-Born est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Parentis-en-Born, une unité urbaine monocommunale[22] de 6 684 habitants en 2019, constituant une ville isolée[23],[24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Biscarrosse, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].
La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Biscarrosse et de Parentis, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[27]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[28],[29].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (29 %), eaux continentales[Note 7] (9,1 %), terres arables (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,6 %), zones urbanisées (3,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,4 %), zones humides intérieures (0,2 %)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Parentis-en-Born est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le risque industriel et le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
Parentis-en-Born est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[33],[34].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[35].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 769 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36],[Carte 2].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1999, 2003, 2009, 2013 et 2020 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2013 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil haut[37] : VERMILION REP S.A.S. (notamment pour le stockage de produits inflammables ou dangereux pour l'environnement aquatique)[38].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[39].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Parentis-en-Born est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[40].
Les Alliés de la Première Guerre mondiale (France, Canada, Grande-Bretagne et Etats-Unis) mobilisent des unités militaires spéciales chargées d'approvisionner le front en bois d'œuvre. Le massif forestier des Landes de Gascogne devient la plus importante ressource de cette stratégie. En août 1917, le dispositif forestier canadien, jusque-là implanté autour du bassin d'Arcachon, commence son déploiement vers le département des Landes. La commune de Parentis-en-Born voit l'arrivée d'un détachement de la 48e compagnie du Corps forestier canadien, composé de francophones originaires d'Acadie. L'absence de barrière de la langue facilite les échanges. Dans un premier temps, le découpage administratif français n'est pas conservé, les exploitations du nord des Landes sont incorporées au 12e District basé dans le département voisin de la Gironde, avant que ne soit créé le 4e District dans les Landes[41].
Le gros des effectifs canadiens arrive dans la commune en février 1918. Trois sites d'exploitation sont ouverts sur le territoire de Parentis-en-Born : « La Hitte », « Le Narp » et « Esleys », avec l'implantation de trois scieries. Huit compagnies du Corps forestier canadien, soit entre 1500 et 1800 hommes, sont déployées sur la commune. En mars 1918, l'abattage des pins maritimes commence. En septembre de la même année, la pose de plus de 15 km de voie ferrée du constructeur Decauville est achevée à « La Hitte » vers les exploitations aux limites de la commune de Sanguinet[41].
Le 5 septembre 1918, des départs de feux ravagent la pinède. Ces incendies de forêt de grande envergure se déclenchent de plusieurs endroits et durent trois jours. Tout disparaît entre Parentis-en-Born, Pontenx-les-Forges et Labouheyre. Le feu remonte vers la Gironde jusqu'à Mios, détruisant des milliers d'hectares de pins. Des coupes forestières des unités canadiennes et américaines ainsi que la présence de plans d'eau à Parentis, Biscarrosse et Sanguinet permettent de stopper l'avancée du feu. La population locale prête main-forte aux soldats canadiens et américains pour lutter contre l'incendie[41].
Durant ce conflit, la plupart des unités sont encore hippomobiles. Le commandement canadien ordonne la création de plusieurs formations ayant la charge de s'occuper des chevaux de trait de la race Suffolk Punch et un hôpital vétérinaire stationnaire est créé à Parentis-en-Born. Le Corps forestier canadien reste présent dans la commune jusqu'en mars 1919, date du départ de la majorité des troupes du Groupe de Bordeaux[41].
En , quelques géophysiciens auscultent le sol jusqu’à 3 000 et 4 000 m de profondeur. Deux ans plus tard, M. Farando de la compagnie générale de géophysique affirme : « S’il n’y a pas de pétrole ici, il n’y en aura nulle part. ».
C’est alors que Parentis devient « Pays de l’or noir » avec les gisements de pétrole les plus importants de France mis au jour le . Le pétrole de Parentis-en-Born était un bon cru car fluide et ne nécessitant qu’un raffinage modéré. Ici naissaient les premiers forages lacustres d’Europe.
Les paysages du far-west landais s’estompèrent avec le départ des impressionnants derricks servant à puiser le pétrole. Les pompes à balancier (selon illustration), quant à elles, poursuivent leur mission sur les plates-formes aux abords du lac.
Il s’agit là d’un représentant de son espèce, devenue symbole de l’histoire de Parentis-en-Born qui trône depuis 1993 à l’entrée de la ville, souveraine à tête de cheval pesant tout de même 2 tonnes.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1800 | 1807 | Jean Fleury | Ancien procureur national de la commune | |
1807 | 1814 | Nicolas Sabatié | Notaire et ancien juge de paix | |
1814 | 1821 | Simon Sabatié | Notaire | |
1821 | 1826 | Jean Alexis Fleury | ||
1826 | 1831 | Jean Darmuzey | ||
1831 | 1833 | Pierre Dalis | ||
1833 | 1849 | Jean Darmuzey | ||
1849 | 1854 | Jean Marsan | ||
1854 | 1865 | Jean Darmuzey (fils) | ||
1865 | 1870 | Jean-Hippolyte Gamet | ||
1870 | 1871 | Simon Beaurredon | ||
1871 | 1871 | Jean-Adolphe Dubruil | ||
1871 | 1902 | Jean-Léopold Darmuzey | Républicain | Notaire - Chevalier de la Légion d'honneur Conseiller général du Canton de Parentis-en-Born (1881-1902) |
1902 | 1919 | Jean-Maurice Darmuzey | Républicain | Notaire Conseiller général du Canton de Parentis-en-Born (1902-1919) |
1919 | 1945 | Roland Portalier | PRS-Rad. | Conseiller général du Canton de Parentis-en-Born (1922-1940) |
1945 | 1965 | Henri Mirtin | DVG | Docteur en médecine Conseiller général du Canton de Parentis-en-Born (1945-1964) |
mars 1965 | 1989 | André Mirtin | DVG puis UDR puis RPR |
Député (1968-1973) Conseiller général du Canton de Parentis-en-Born (1964-1982) |
mars 1989 | 2008 | Paul Grimberg | PS | Conseiller général du Canton de Parentis-en-Born (1994-2008) |
mars 2008 | 2020 | Christian Ernandorena | UMP-LR | Ancien professeur d'histoire-géographie |
juin 2020 | En cours | Marie-Françoise Nadau | LR | Pharmacienne Conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine (2015 - 2021 ) 1ere Vice-présidente de la Communauté de communes des Grands Lacs (2020 - en cours) |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[43].
En 2019, la commune comptait 6 684 habitants[Note 8], en augmentation de 18,26 % par rapport à 2013 (Landes : +4,14 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
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1 453 | 1 440 | 1 181 | 1 604 | 1 735 | 1 740 | 1 788 | 1 918 | 1 946 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 030 | 2 049 | 2 028 | 1 966 | 1 921 | 1 814 | 1 930 | 1 941 | 1 964 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 075 | 2 147 | 2 165 | 1 948 | 1 908 | 1 824 | 1 785 | 1 855 | 2 159 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 490 | 3 769 | 4 036 | 4 076 | 4 056 | 4 429 | 4 953 | 5 421 | 6 094 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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6 684 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2015, la commune compte 3340 logements pour 2603 ménages avec 77,9 % de résidences principales[46].
En 2010, Parentis dénombrait 212 entreprises dont 9 de plus de 10 salariés[réf. nécessaire].
Parentis-en-Born a une économie traditionnellement forestière (scieries, exploitation de forêts...). L'usine CECA qui élabore du charbon actif en est le principal exemple.
La ville compte également l'une des 5 Bases Opérationnelles de l'Agence Intervention Landes d'Enedis.
Au niveau agricole, Parentis possède le plus grand domaine français de culture de la myrtille.
Parentis possède un gisement d'hydrocarbure, découvert en mars 1954[47], qui est aujourd'hui exploité par la Société Vermilion REP SAS, filiale du groupe canadien Vermilion Energy Trust. Depuis le printemps 1959, le pétrole brut de Parentis est traité, en majeure partie, dans une raffinerie installée au Bec d'Ambès, près de Bordeaux.
Cette petite ville landaise se tourne désormais vers le tourisme puisqu'elle dispose d'arguments de choix : lac, forêt, féria...
La commune compte un réseau scolaire constitué comme suit :
Trois structures de la petite enfance, deux d'accueil de loisirs, un espace jeunes et un point informations Jeunesse
Un établissement d'hébergement pour Personnes Âgées Dépendantes, un service de téléalarme, un service de portage des repas, une boutique de la famille, un centre soins à domicile.
20 clubs sportifs, une école de voile et une école multisports.
Une bibliothèque, un orchestre de la Ville, une école de musique et de nombreuses associations culturelles.
Le Parentis sports qui fusionne en 2020 avec la Jeunesse sportive de Labouheyre sous le nom de Rugby club Nord Landes, engagé en championnat de France de rugby à XV de 3e division fédérale 2020-2021.
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Blasonnement :
De sinople à la croix de Malte d'argent chargée en cœur d'un besant d'or et sommée d'une couronne royale du même, soutenue de trois trangles ondées alésées d'azur, à l'inscription ILLIUS PARENTIS ORA en lettres capitales de sable bordant la pointe de l'écu.
Commentaires : La couleur verte de ce blason représentant la forêt, le bleu pour le lac et les vagues représentent, quant à elles, les nefs de l'église. |
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