Orbec est une commune française située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 967 habitants[Note 1].
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La commune héberge l'usine de camembert de la marque Lanquetot.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]
Moyenne annuelle de température: 10,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Ticheville_sapc», sur la commune de Ticheville, mise en service en 1997[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 10,6°C et la hauteur de précipitations de 834,7 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], «Évreux-Huest», sur la commune de Huest, dans le département de l'Eure, mise en service en 1968 et à 58 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,3°C pour la période 1971-2000[11] à 10,8°C pour 1981-2010[12], puis à 11,2°C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Orbec est une commune rurale[Note 7],[14]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[15],[16].
Elle appartient à l'unité urbaine d'Orbec, une agglomération intra-départementale regroupant deux communes[17] et 3 212 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[18],[19].
La commune est en outre hors attraction des villes[20],[21].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,5% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante: prairies (47,4%), forêts (30,2%), zones urbanisées (12,3%), terres arables (5,5%), zones agricoles hétérogènes (4,6%)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Orbeccus en 1090[24], puis Orbec en 1172[25].
La nature du second élément -bec fait l'unanimité chez les toponymistes, il s'agit de l'appellatif toponymique normand bec, issu du vieux norrois bekkr «ruisseau, cours d'eau» très fréquent en Normandie et qui a servi à dénommer des petits cours d'eau et ceux d'importance moyenne (le Robec, le Sébec, etc.) par la suite, également des localités qui se sont développées sur leurs cours (cf. Bolbec, Caudebec, etc.)[26],[27],[28],[29],[30].
En revanche, la nature du premier élément Or- divise davantage:
le vieux haut allemand uro «auroch, taureau sauvage», tout comme Orbais, Orbey, Urbès et Urbeis[28];
l'ancien scandinave aurr «graviers, cailloux»[32],[29] ou plutôt «boue, limon».
Remarque: une combinaison de bekkr avec un terme germanique (ou vieux haut allemand), entendre «germanique occidental et continental», est peu vraisemblable: les nombreux hydronymes et toponymes en -bec ne sont en principe jamais associés au germanique continental, ensuite pour justifier cette thèse, il faudrait que le vieux bas francique *baki «ruisseau», qui a donné les terminaisons -bais, -baix, -bet(s) au nord de la France, ait fait place au scandinave -bekkr ce que ne confirment pas les formes anciennes. Il est possible d'y voir également le substantif roman or qui convient aussi bien que l'ancien scandinave aurr, les noms en -bec étant parfois combinés à des éléments romans (cf. Drubec), d'où le sens global de «ruisseau des graviers ou boueux» ou «ruisseau doré». Orbec possède peut-être un homonyme au Danemark: Ørbæk[29].
Le nom du ruisseau l'Orbiquet qui traverse la commune devait porter le nom primitif d’Orbec, mais il a été suffixé en -et pour éviter la confusion avec le nom du village d'où l'hydronyme *Orbeket, *Orbecquet (becquet signifiant précisément «petit ruisseau» en ancien normand) devenu Orbiket, attesté en 1243[31].
Histoire
Bien que des objets datant de la préhistoire et de la période gallo-romaine aient été trouvés dans la région proche d’Orbec et qu’une voie romaine (reliant Harfleur au Mans) passant dans la vallée est attestée, le site, propice à l’implantation humaine, n'a été exploité régulièrement qu’à partir de la période normande [33].
Au XIesiècle, les terres d’Orbec appartiennent aux ducs de Normandie et, en 1030, Robert Ier (père de Guillaume le Conquérant) cède Orbec et ses dépendances à son cousin Gilbert de Brionne et futur tuteur de Guillaume. Son fils Richard, seigneur d’Orbec, participe à la conquête de l’Angleterre et y reçoit d’importants domaines dans le Sufolk et le Kent, ses descendants prennent le titre de Comtes de Clare. Orbec devient alors le siège d’une vicomté.
En 1354, à la suite du traité de Mantes, la ville est cédée par le roi de France Jean II le Bon à son gendre le roi Charles II de Navarre, avec de nombreuses autres terres normandes[34].
Possession anglaise, la ville est ravagée pendant la guerre de Cent Ans et le roi de France Charles V ordonne le démantèlement du château d'Orbec en 1379[35]. La paix revenue, Orbec prospère pour être élevé au rang de bailliage en 1583. Sa juridiction est alors la plus importante de Normandie et la petite bourgade attire lettrés et bourgeois qui y bâtissent de belles maisons à pans de bois. Son économie repose sur les moulins, les tanneries, les filatures et la poterie. Au XVIIesiècle, une nouvelle noblesse de robe construit des hôtels particuliers et participe activement au mouvement religieux de la Contre-Réforme. L’Hôtel-Dieu est rétabli, le prieuré des Augustines s’installe rue des Moulins (1632) et le couvent des Capucins route de Lillebonne (1644)[36]. Au cours du XVIIIesiècle, les quartiers de la Croix aux Lionnets et du Pont-Guernet se densifient. Des hôtels particuliers avec jardins à la française s’installent autour de la rue Grande, de la rue de Geôle ou de la rue des Trois-Croissants.
Orbec, rue Grande en 1908.
Les dernières grandes transformations urbaines ont lieu sous Louis-Philippe avec les créations de la rue de la République, de la place du Marché-aux-Veaux, du boulevard de Beauvais et le percement des rues de L’Aigle et de Livarot. Le long de ces nouvelles voies, les immeubles sont désormais construits en briques.
Dépeuplé par l’exode rural au début du XXesiècle, Orbec n'est pas épargnée par la Seconde Guerre mondiale. Dès 1943, plusieurs réseaux de résistants s'organisent dans la région[37]:
le groupe La Marseillaise (Front national, communiste);
le groupe Michel de Normandie (SOE);
le groupe Gérard (SOE).
Orbec souffre des combats de la Libération. Le , les Canadiens du Queen’s Own Cameron Highlanders prennent la ville de nuit avec l’aide des Forces françaises de l'intérieur. Des unités de la 10. SS-Panzerdivision Frundsberg positionnées sur les hauteurs à l’est résistent cependant et tirent sur la ville. Ils lancent même une contre-attaque qui est repoussée par les Canadiens[38]. Le flot des réfugiés fuyant les combats trouve alors abri dans une carrière a usage de champignonnière[39].
Orbec se revitalise dans les années 1950 avec l’implantation de petites industries. La ville s’accroît en périphérie entraînant une désaffection du centre. En 1976, l’État lance une politique nationale de sauvegarde des centres anciens et la vieille ville est inscrite parmi les sites protégés en [40].
Héraldique
Les armes de la commune d'Orbec se blasonnent ainsi: d'azur à la fleur de lys d'or, accompagnée de trois annelets du même[41].
Politique et administration
La mairie.
Tendances politiques et résultats
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Exploitant agricole, conseiller général du canton d'Orbec (1972 → 1987), conseiller régional de Basse-Normandie (1980 → 1986), président du district de l'agglomération orbecquoise (1977 →?)
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].
En 2019, la commune comptait 1 967 habitants[Note 8], en diminution de 12,62% par rapport à 2013 (Calvados: +0,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
3 057
2 704
3 002
3 000
3 209
3 357
3 357
3 519
3 441
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
3 250
3 266
3 219
2 981
3 013
3 217
3 251
3 151
3 000
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 933
3 101
2 974
2 700
2 710
2 837
2 892
3 180
3 053
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
2 862
3 211
3 363
2 832
2 642
2 564
2 422
2 400
2 248
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
2 013
1 967
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique
Lieux et monuments
Orbec est une étape du pèlerinage du mont Saint-Michel (Itinéraire culturel du Conseil de l'Europe) sur le chemin venant d'Amiens par Bernay.
La ville possède un manoir classé aux monuments historiques et converti en musée depuis 1980. C'est une maison à pans de bois du XVIesiècle dont les façades, ornées d'un entre-colombage de tuileaux, silex et triangles de pierre, exposent des personnages sculptés. Le musée est consacré aux arts et traditions populaires et à l'histoire locale.
L'église Notre-Dame d'Orbec, dédiée à la Sainte Vierge dans le mystère de son assomption, a été reconstruite après la guerre de Cent Ans sur l'emplacement de la chapelle Saint-Jean. Son plan est une croix latine avec une nef de la largeur du chœur et un transept ample. Elle est dominée par une haute tour défensive de style anglais avec contreforts en angle et plateformes et surmontée d'un clocher de 43 mètres de haut. L'édifice possède un buffet d'orgue, des vitraux du XVIesiècle et une statuette du christ autrefois appartenant au calvaire qui surplombait la cité et devant lequel les condamnés à mort faisaient amende honorable avant d'être conduits au gibet.
La commune abrite également le château de Launay, une construction de villégiature datée de la seconde moitié du XIXesiècle et qui est inscrite aux monuments historiques depuis 2005[51].
Couvent des Augustines d'Orbec.
L'ancien hospice et sa chapelle.
L'hôtel de Croisy.
Motte avec les ruines d'un ancien château à double enceinte démantelé en 1378[52].
Muraille avec contreforts de l'ancienne prison dépendant du château (rue Saint-Remy)[52].
Orbec est riche en maisons en pan de bois.
Le clocher de l'église Notre-Dame.
Maison à pan de bois.
Le Vieux Manoir.
L'hôtel de Croisy.
L'ancien couvent des Augustines.
La chapelle de l'ancien hospice.
Personnalités liées à la commune
Antoine d'Estrées, collecteur d'impôts à Orbec au début de sa carrière;
Famille de Clare dont plusieurs membres furent seigneurs d'Orbec;
Jude Stefan (Jacques Dufour dit), (1939-2020) poète.
Orbec dans la littérature
« [Le prêtre de Bellouet] estoit Lorrain, excellent radoubeur, il racoutroit plusieurs estropiez dans le païs: il faisoit venir des aveugles et des boiteux à sa poste [fantaisie], aux autres qu’il ne connaissoit point il leur disoit que la volonté d’estre gueri, croire l’estre et le dire estoient le commencement de guerison: il dressa une loge auprés d’une chapelle ruinee qui fust en deux ans et demi accompagnee d’une bourgade de six à sept vingt maisons, où il y avoit quarante bonnes hosteleries: tous les Princes du Royaumes et plusieurs estrangers y vindrent, en fin, comme il instruisoit une garce à faire la demoniaque pour la Pentecoste, Fervaque et La Lausiere la desbaucherent, et lui ayant tout fait confesser entre les mains de la Justice d’Orbec , la bourgade que j’avois veue en sa grandeur fut rasee en deux jours.» Théodore Agrippa d'Aubigné, Les Aventures du baron de Fæneste ( II, 6 ~ Miracles de La Rochelle, de Saincte Leurine, du sainct homme de Billouet, et de la Mer Rouge), éd. Garnier, 2020, p. 186
Naissances
1753: Pierre Asselin, homme politique;
1783: Denis Louis Martial Avenel, journaliste et homme de lettres;
Thomas Jean Monsaint, prêtre béatifié en 1926, a été curé de la commune;
Benoît Gysembergh, reporter-photographe à Paris Match depuis 1977, a passé son enfance à Orbec. Ses parents y ont tenu le bar-tabac-PMU La Civette.
Orbec dans les arts
Claude Debussy a composé l'œuvre Jardins sous la pluie inspiré par le jardin, entraperçu de l'hôtel de Croisy[53], situé rue Grande, non loin de l'église Notre-Dame d'Orbec.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN978-2-915762-89-1), p. 42.
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN2-85023-076-6), p.509b.
François de Beaurepaire (préf.Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180p. (ISBN2-7084-0040-1, OCLC6403150), p.12 - 47
René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses universitaires de Caen, 1996 (ISBN2-905461-80-2), p. 192a.
Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
Jean Renaud, op. cit.
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne) .
André Davy, Les barons du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Eurocibles, coll.«Inédits et introuvables du patrimoine Normand», , 319p. (ISBN978-2-91454-196-1), p.169.
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