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Noalhac est une commune française, située dans le nord-ouest du département de la Lozère en région Occitanie.

Noalhac

L'église Saint-Hilaire.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes des Hautes Terres de l'Aubrac
Maire
Mandat
Michel Poulalion
2020-2026
Code postal 48310
Code commune 48106
Démographie
Gentilé Noalhacois
Population
municipale
96 hab. (2019 )
Densité 7,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 44″ nord, 3° 06′ 27″ est
Altitude Min. 913 m
Max. 1 255 m
Superficie 13,51 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Chély-d'Apcher
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Peyre en Aubrac
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Noalhac
Géolocalisation sur la carte : France
Noalhac
Géolocalisation sur la carte : Lozère
Noalhac
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Noalhac

    Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Bès, la Bédaule, le Rouanel et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional de l'Aubrac, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

    Noalhac est une commune rurale qui compte 96 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 377 habitants en 1856. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher. Ses habitants sont appelés les Noalhacois ou Noalhacoises.


    Géographie



    Localisation


    Commune située dans le nord du département de la Lozère, proche de celui du Cantal. Géographiquement dans le Massif central en Aubrac.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Noalhac[1]
    Saint-Juéry Fournels
    Chauchailles Termes,
    La Fage-Saint-Julien
    Saint-Laurent-de-Veyrès La Fage-Montivernoux

    Milieux naturels et biodiversité



    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[2],[3].

    La commune fait également partie du parc naturel régional de l'Aubrac, créé par décret le [4] et occupant une superficie de 220 284 ha. Région rurale de moyenne montagne, l’Aubrac possède un patrimoine encore bien préservé. Son économie rurale, ses paysages, ses savoir-faire, son environnement et son patrimoine culturel reconnus n'en demeurent pas moins vulnérables et menacés et c'est à ce titre que cette zone a été protégée[5],[6].


    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[7] : les « gorges du Bès » (1 345 ha), couvrant 11 communes dont quatre dans le Cantal et sept dans la Lozère[8] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[7] : la « vallée de la Truyère » (30 569 ha), couvrant 40 communes dont quatre dans l'Aveyron, 27 dans le Cantal et neuf dans la Lozère[9].


    Toponymie


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    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[10].

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 7,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 9,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 16 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 981 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Deux-Verg », sur la commune de Deux-Verges, mise en service en 1980[15]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[16],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 7,4 °C et la hauteur de précipitations de 1 036,1 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Aurillac », sur la commune d'Aurillac, dans le département du Cantal, mise en service en 1945 et à 54 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 10,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 10,2 °C pour 1981-2010[20], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[21].


    Urbanisme



    Typologie


    Noalhac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[I 1],[23].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

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    Occupation des sols


    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (41,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,8 %), prairies (34,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].


    Risques majeurs


    Le territoire de la commune de Noalhac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].


    Risques naturels

    Noalhac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[27]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 8],[27],[28].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Noalhac.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Noalhac.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 33,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 83 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 41 sont en en aléa moyen ou fort, soit 49 %, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003 et 2020.


    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Noalhac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[31].


    Histoire


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    Politique et administration



    Administration municipale



    Liste des maires


    Liste des maires de Noalhac
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 En cours Michel Poulalion    

    Rattachements administratifs et électoraux


    La commune fait partie de la communauté de communes des Hautes Terres de l'Aubrac, ainsi que du canton d'Aumont-Aubrac, dans l'arrondissement de Mende. Le conseiller départemental, depuis 2015, est Alain Astruc, maire d'Aumont-Aubrac.


    Politique environnementale


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    Finances locales


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    Jumelages


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    Population et société



    Démographie


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

    En 2019, la commune comptait 96 habitants[Note 9], en diminution de 1,03 % par rapport à 2013 (Lozère : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    313262323299327323271319285
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    377274277311358354324318319
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    309311283270253220203165145
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1421211121078882959898
    2015 2019 - - - - - - -
    9496-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement


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    Manifestations culturelles et festivités


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    Santé


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    Sports


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    Médias


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    Cultes


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    Économie



    Emploi


    Taux de chômage
    200820132018
    Commune[I 4]1,8 %5,7 %1,7 %
    Département[I 5]5 %6,4 %7,1 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 60 personnes, parmi lesquelles on compte 72,4 % d'actifs (70,7 % ayant un emploi et 1,7 % de chômeurs) et 27,6 % d'inactifs[Note 10],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Chély-d'Apcher, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 7]. Elle compte 18 emplois en 2018, contre 13 en 2013 et 14 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 43, soit un indicateur de concentration d'emploi de 40,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,8 %[I 8].

    Sur ces 43 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 38 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 59,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,4 % les transports en commun, 4,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 33,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].


    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments



    Patrimoine culturel


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    Personnalités liées à la commune


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    Héraldique


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    Voir aussi



    Bibliographie


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    Articles connexes



    Liens externes


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Notes et références



    Notes et cartes


    1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
    9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.
    10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

    Références



    Site de l'Insee


    Autres sources

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
    3. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    4. Décret du 23 mai 2018 portant classement du parc naturel régional de l'Aubrac (région Occitanie)
    5. « Pourquoi un PNR sur l'Aubrac ? », sur https://www.parc-naturel-aubrac.fr/ (consulté le )
    6. « PNR de l'Aubrac - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    7. « Liste des ZNIEFF de la commune de Noalhac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    8. « ZNIEFF les « gorges du Bès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    9. « ZNIEFF la « vallée de la Truyère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    10. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    15. « Station Météo-France Deux-Verg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    16. « Orthodromie entre Noalhac et Deux-Verges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    17. « Station Météo-France Deux-Verg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    18. « Orthodromie entre Noalhac et Aurillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    19. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    20. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    21. « Station météorologique d'Aurillac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. « Les risques près de chez moi - commune de Noalhac », sur Géorisques (consulté le )
    26. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    27. « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le )
    28. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur www.lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
    29. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    30. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Noalhac », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    31. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.

    На других языках


    [de] Noalhac

    Noalhac ist eine französische Gemeinde mit 96 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Lozère in der Region Okzitanien. Sie gehört zum Arrondissement Mende und zum Kanton Peyre en Aubrac.

    [en] Noalhac

    Noalhac is a commune in the Lozère département in southern France.[3]
    - [fr] Noalhac



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