Neuf-Brisach ([nœfbʁizak] ou [nøbʁizak]) est une commune française située dans la circonscription administrative du Haut-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.
Neuf-Brisach Neubreisach
Neuf-Brisach, ville inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco.
Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.
Le 7 juillet 2008, Neuf-Brisach, membre du réseau des sites majeurs de Vauban, est inscrite sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO[1]:
«Neuf-Brisach, ville créée ex nihilo en 1697 dans la plaine d’Alsace, après la perte de Vieux-Brisach au-delà du Rhin, est la seule et magnifique illustration du «troisième système» de Vauban. C’est Louis XIV lui-même qui, parmi les trois projets soumis par Vauban, choisit le plan octogonal qui est parvenu jusqu’à nous...»
Située dans la plaine d'Alsace, Neuf-Brisach est à 3,5 km du pont sur le Rhin, qui marque la frontière, et de la ville allemande de Vieux-Brisach située sur l'autre rive. Le territoire communal est uniquement constitué de la «ville nouvelle», des fortifications et de leurs emprises. Le bourg de Volgelsheim à l'est est contigu, son territoire communal s'étendant de la place forte jusqu'au Rhin. Les communes rurales de Wolfgantzen à l'ouest, sur la route de Colmar, Biesheim au nord et Weckolsheim au sud, se situent dans un environnement proche.
Transports
Neuf-Brisach est accessible par l'autoroute A35, qui passe à Colmar, et diverses routes départementales[4]. Colmar est à 15 km, Mulhouse à 35 km et Fribourg, en Allemagne, à 33 km. Des services de transport en commun routier en bus[4] permettent de relier Neuf-Brisach à Colmar. Le TGV dessert Colmar et l'aéroport le plus proche, EuroAirport Bâle-Mulhouse[4], est à 56 km, l'aéroport international de Strasbourg[4] étant distant de 82 km.
Les moyens de transports touristiques ne sont pas uniquement liés à la route puisqu'on peut prendre un train touristique et historique à l'ancienne gare de Volgelsheim pour rejoindre l'embarcadère de Sans-Soucis et embarquer sur un bateau pour une croisière sur le Rhin. La gare de Neuf-Brisach Ville est aujourd'hui fermée à tout trafic. La Route verte, symbole de l'amitié franco-allemande[5], reliant dès le début des années 1960 les Vosges françaises au massif allemand de la Forêt-Noire, permet de relier en randonnée pédestre ou en cyclotourisme les villes historiques que sont Neuf-Brisach la française et Vieux-Brisach l'allemande.
Urbanisme
Typologie
Neuf-Brisach est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Neuf-Brisach, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[9] et 5 740 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[10],[11].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Colmar, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (98,7% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
espaces verts artificialisés, non agricoles (61,1%), zones urbanisées (32,6%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5%), terres arables (1,2%)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].
Histoire
En 1697, les traités de Ryswick signés à Rijswijk, ville hollandaise des faubourgs de La Haye, mettent fin à la guerre de la Ligue d'Augsbourg entre Louis XIV et la Grande Alliance. La France perd la place forte de Brisach sur la rive allemande du Rhin. Afin de combler la perte de l'ancienne place forte, qui laisse un vide défensif entre Strasbourg et Mulhouse, Louis XIV décide de la construction d'une nouvelle ville fortifiée face à Brisach, située à une demi-lieue du Rhin, pour prévenir toute invasion d'outre-Rhin. Il en confie l'étude à ses architectes Vauban[16] et Jacques Tarade[17].
Plan de la ville par Vauban.Bastions Vieux-Brisach et Neuf-Brisach 1700.
Louis XIV choisit, entre trois projets, une place forte au plan octogonal, avec huit tours bastionnées, couvertes d'autant de contre-gardes, outre les tenaillons, les grandes et petites demi-lunes et autres ouvrages.
Document relatant la création de Neubrisac en 1699, extrait de «Médailles sur les principaux évènements du règne entier de Louis le Grand, avec des explications historiques» par «Académie des inscriptions et belles-lettres», 1723.
La construction débute le avec la pose de la première pierre, les fortifications de la nouvelle citadelle sont achevées en 1702. Un canal est spécialement creusé jusqu’aux Vosges pour acheminer le grès rose nécessaire à la construction.; le a lieu la pose de la première pierre de l'église Royale Saint-Louis, achevée en 1736. La mairie est achevée en 1758.
Plan-relief de la ville.
En dehors d'une alerte, en 1743[pourquoi?], elle n'a pas joué de rôle majeur dans l'histoire, notamment si on compare son sort à celui de Huningue: après avoir été l'objet d'un blocus de 106 jours par les Autrichiens en 1814-1815, Neuf-Brisach est, du 1er septembre au 10 novembre 1870, assiégée pour la première fois. Sa garnison de 5 500 hommes et 108 canons enfermée dans des fortifications surannées s'oppose durant 33 jours aux troupes allemandes avant d'être obligée de capituler. Si la ville est partiellement détruite par les bombardements, elle sera reconstruite. Devenue une place forte allemande, la ville verra ses fortifications largement modifiées à partir des années 1875 pour s'adapter aux nouvelles conditions de la guerre et réaliser le cœur de l'importante tête de pont allemande de Neuf-Brisach (Brückenkopf Neubreisach). Cette tête de pont équipée des matériels les plus modernes est un ensemble majeur des fortifications du Rhin supérieur.
Une ligne de chemin de fer est construite sur une partie des dehors murs. Du fait de son enclavement dans les fortifications, la ville n'a pas de possibilité d'extension. Sa garnison est dissoute en 1992[18].
Neuf-Brisach, dernière fortification construite ex nihilo par Vauban, est considérée comme l’aboutissement de son œuvre en matière d'architecture militaire. La ville sévèrement touchée par les bombardements américains de 1945 est aujourd’hui restaurée et, depuis , fait partie des douze fortifications majeures de Vauban qui sont classées au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Schéma de la ville à l'intérieur de ses fortifications.
Quelques dates:
En 1792, le général Favart d'Herbigny commandait la défense de Neuf-Brisach.
En 1793, Jean-Antoine Louis fit libérer des officiers municipaux du village accusés d'avoir refusé d'obéir aux réquisitions militaires des deux pro-consuls d'Alsace, Saint-Just et Lebas.
Le , le général de division François-Joseph Offenstein (1760-1837) fut nommé commandant de la place de Neuf-Brisach en remplacement du général Gromard, suspendu.
Entre 1815 et 1821, succédant au maréchal de camp, comte de Sabran (placé là en décembre 1814), le général de brigade Dermoncourt, acteur de l'échec du blocus de 1814-1815, commande la place
La commune a été décorée le 11 novembre 1948 de la croix de guerre 1939-1945[19] avec étoile d'argent.
7 juillet 2008, inscription officielle au Patrimoine Mondial de l'UNESCO
La commune a accueillie du 16 mars 1962 au 19 juin 1992 le 9ème régiment du Génie au casernement Abbatucci.
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes du Haut-Rhin.
Les armes de Neuf-Brisach se blasonnent ainsi: «D'azur au soleil à seize rais d'or, une fleur de lys d'argent en pointe.»[20]
Commerçant - maire de Neuf-Brisach - conseiller général
1971
1983
René Adolph
RPR
1983
2008
Maurice Zimmerlé
RPR-UMP
2008
En cours (au 31 mai 2020)
Richard Alvarez [26] Réélu pour le mandat 2020-2026
DVD
Les données manquantes sont à compléter.
Budget et fiscalité 2015
En 2015, le budget de la commune était constitué ainsi[27]:
total des produits de fonctionnement: 1 863 000€, soit 923€ par habitant;
total des charges de fonctionnement: 1 463 000€, soit 725€ par habitant;
total des ressources d'investissement: 907 000€, soit 450€ par habitant;
total des emplois d'investissement: 1 640 000€, soit 813€ par habitant;
endettement: 194 000€, soit 96€ par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d'habitation: 10,47%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 11,32%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 25,50%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00%;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].
En 2019, la commune comptait 1 963 habitants[Note 3], en diminution de 0,51% par rapport à 2013 (Haut-Rhin: +1,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
2 000
1 721
1 746
1 837
2 005
2 020
2 432
2 498
3 893
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1871
1875
1880
1885
1890
1895
3 268
3 456
1 981
2 627
2 772
2 223
2 155
3 052
3 291
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1900
1905
1910
1921
1926
1931
1936
1946
1954
3 307
3 522
2 809
1 603
2 100
1 940
2 150
1 163
1 764
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
2 127
2 580
2 579
2 205
2 092
2 197
2 237
2 185
2 032
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
1 950
1 963
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le musée Vauban.
Neuf-Brisach est membre du Réseau des sites majeurs de Vauban et classée au Patrimoine mondial de l'UNESCO[32], signé à Québec début juillet 2008.
Les lieux à voir à Neuf-Brisach:
les fortifications[33] en forme d'étoile à 16 pointes;
la place d'Armes au centre de la ville[34],[35],[36];
le musée Vauban[37] retraçant l'histoire de la ville (ouvert du 1er mai au 30 septembre, tous les jours sauf le mardi, de 10h à 12h et de 14h à 17h);
les fossés, l'enceinte de sûreté, les huit tours bastionnées, les tenailles, contre-gardes, demi-lunes et réduits de demi-lunes[38],[39],[40];
Louis XIV (1638-1715), roi de France qui a commandé et financé la construction de Neuf-Brisach.
Sébastien Le Prestre de Vauban (1633-1707), concepteur de Neuf-Brisach (fortifications et ville nouvelle).
Nicolas Remi Favart d'Herbigny (1735-1800), général commandant la défense de Neuf-Brisach en 1792.
Jean-Baptiste Schlachter (1741-1819), général de brigade de la Révolution et de l’Empire, maire de la commune de 1801 à 1804, mort dans la ville.
Jean-Antoine Louis (1742-1796), membre du Comité de sûreté générale en octobre 1793.
Jean Gheneser (1766-1851), militaire du Premier Empire d'origine russe décédé à Neuf-Brisach. Sa tombe est visible dans le cimetière communal de Neuf-Brisach[53].
Louis Antoine de Saint-Just (1767-1794), pro-consul d'Alsace.
François Joseph d'Offenstein (1760-1837), général français.
Charles O'Brien de Thomond (1699-1761), gouverneur de Neuf-Brisach.
Paul Ferdinand Stanislas Dermoncourt (1771-1847), général d'Empire. En 1813, s'est opposé à l'entrée des Autrichiens dans la place
Nicolas Louis Jordy (1758-1825), militaire.
Frédéric-Georges Herr (1855-1932), général français né le 7 mai 1855 à Neuf-Brisach.
Jean-Jacques Keller (1635-1700), orfèvre et fondeur d'origine suisse, vint s'installer en France et établit une fonderie de canons à Vieux-Brisach.
Jules Thurmann (1804-1855), géologue suisse né le 5 novembre 1804 à Neuf-Brisach.
Louis Schlaefli (1938-), historien et conservateur de la bibliothèque du Grand Séminaire de Strasbourg.
Festivités
Festival International de Land Art de Neuf Brisach "Remp'Arts" (biennale)
Le 1er mai a lieu la fête du Muguet
Des groupes musicaux et folkloriques animent la commune. Un marché des terroirs se tient autour de la place d'Armes. Des forains participent aussi à la fête.
Le marché de Noël se tient le deuxième week-end de décembre. On y trouve le «Village 1700» avec de nombreux exposants en costume d'époque, des artisans, des jeux d'autrefois pour les plus jeunes. Un sapin géant de 25 m, symbole de Noël en Alsace, illumine la place centrale de mille feux.
Tous les deux ans, la place forte vit au rythme d'un bivouac napoléonien (campement, reconstitutions de batailles, 300 figurants en costume...).
Visites guidées
Des visites guidées sont proposées toute l'année par l'Office de Tourisme du Pays Rhin-Brisach. Les guides en costumes campent des personnages historiques tels que Vauban, Louvois, Laubanie, Tarade et retracent la vie de la cité au temps de Louis XIV. En été, les visites se déroulent chaque premier dimanche du mois ainsi que les mardis et les vendredis en français et les jeudis en allemand.
Jumelages
La commune de Neuf-Brisach est jumelée:
avec la commune de Meilhan-sur-Garonne, située dans la région Nouvelle-Aquitaine et dans le département de Lot-et-Garonne,
ainsi qu'avec sa sœur jumelle côté allemand Breisach am Rhein (Vieux-Brisach en français), située dans le district de Fribourg-en-Brisgau et dans le Land du Bade-Wurtemberg.
Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 663p. (ISBN2-7165-0250-1)
Monuments historiques de Neuf-Brisach, pp. 265 à 269
René Dinkel, L'Encyclopédie du patrimoine (Monuments historiques, Patrimoine bâti et naturel: Protection, restauration, réglementation. Doctrines: Techniques: Pratiques), Paris, éditions Les Encyclopédies du patrimoine, , 1512p. (ISBN2-911200-00-4)
Chapitre VII Les monuments au service de l'écologie: Mise en valeur des fortifications Vauban à Neuf-Brisach, pp 219-220
Louis Schlaefli, «À Neuf-Brisach en 1944-45: simples souvenirs d'un enfant», in Annuaire de la Société d'histoire de la Hardt et du Ried, 2002, no15, p.119-123
BALLIET (J.M.) - Festungsbaukunst und Kulturlandschaft. Ein Beitrag zur Gestaltung des Festungsvorfeldes vom 18. bis zur Mitte des 20. Jahrhunderts. S.l., 2014. In: Militärische Schichten der Kulturlandschaft, 2014, No. Alemannischen Instituts Nr. 81.
BALLIET (J.M.) - L'eau et l'hygiène dans les fortifications: l'architecture hydraulique de la place-forte de Neuf-Brisach et son évolution de 1700 à 1870. S.l., 2016. In: Schriftenreihe Festungs-Forum Saarlouis, 2016, No. 2.
BALLIET (J.M.) - L'approvisionnement des places fortes françaises au XVIIe et XVIIIe siècle, en période de paix comme en temps de guerre. In: Schriftenreihe Festungs-Forum Saarlouis, 2018, No. 3, p.55-100.
BALLIET (J.M.) - La caserne Suzzoni à Neuf-Brisach. S.l., 2012. In: Revue de l'Association des Amis du Musée de l'Infanterie, 2012, No. 60.
BALLIET (J.M.) - La place forte de Neuf-Brisach au XVIIIe. Archétype de la fortification bastionnée contemporaine. S.l., 2012. In: Revue de l'Association des Amis du Musée de l'Infanterie, 2012, No. 60.
BALLIET (J.M.) - Neuf-Brisach 1698 bis 1870. Vom Vauban'schen Meisterwerk zur unbekannten Festung. Regensburg, 2011. In: Festungsbaukunst in Europas Mitte, 2011, No. Festungsforschung vol. 3.
BALLIET (J.M.) - Wasser und Festungswesen am Beispiel von Straßburg und Neu-Breisach. S.l., 2008. In: Schriften der Deutschen Wasser-historischen Gesellschaft (DWhG) e.V., 2008, No. 10.
JEANNERET L., BALLIET J.M. (Avec la coll. de) - Neuf-Brisach, Haut-Rhin. Tour bastionnée n° 6 (anciennement tour bastionnée n° 2). Première approche archéologique de trois siècles d'histoire de la «fortification Vauban». Rapport diagnostic préventif, du 24 au 26 octobre 2017. Sélestat, Archéologie Alsace, 2018.
Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région Alsace
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Élisabeth Bonnefoi, Alsace, coups de cœur: Sites et monuments remarquables, spécialités, curiosités insolites, Rennes, Éditions Ouest France, , 112p. (ISBN978-2-7373-6785-4), p.14.
CGAE, lien du 15/07/2009: «JOURDAIN Jean Louis André né le 30.11.1757 à Neuf-Brisach, secrétaire de la municipalité, sergent de la guerre, conseiller municipal, administrateur de l'hospice, notaire +, marié, 3 enfants, maire de Neuf-Brisach, nomination: 1808»
CGAE, lien du 15/07/2009: «MOREAU Henri né le 3.10.1747 à Neuf-Brisach, marié, 7 enfants, maire de Neuf-Brisach, nomination: 1811»
CGAE, lien du 15/07/2009: «BLEIN Hyacinthe né le 29.6.1772 à Neuf-Brisach, marchand, marié, / enfants, maire de Neuf-Brisach, nomination: 1813»
CGAE, lien du 15/07/2009: «WIMPFFEN (Baron de) Herrmann, baron, maréchal de camp + 3.2.1820, marié, 2 enfants, maire de Neuf-Brisach, nomination: 1815»
CGAE, lien du 15/07/2009: «LEROY Nicolas Claude né le 10.6.1765 à St-Marcel, colonel d'artillerie en retraite, marié, 1 enfant, maire de Neuf-Brisach, nomination: 1820»
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