Nœux-les-Mines est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
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Nœux-les-Mines | |
La mairie. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Hauts-de-France |
Département | Pas-de-Calais |
Arrondissement | Béthune |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane |
Maire Mandat |
Serge Marcellak 2020-2026 |
Code postal | 62290 |
Code commune | 62617 |
Démographie | |
Gentilé | Nœuxois |
Population municipale |
11 575 hab. (2019 ![]() |
Densité | 1 309 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 50° 28′ 49″ nord, 2° 39′ 56″ est |
Altitude | Min. 23 m Max. 76 m |
Superficie | 8,84 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
Aire d'attraction | Nœux-les-Mines (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton de Nœux-les-Mines (bureau centralisateur) |
Législatives | Dixième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | noeux-les-mines.fr |
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Loisinord - Nœux-les-Mines | |
Une vue aérienne de la station serait la bienvenue. | |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Subdivision administrative | Pas-de-Calais |
Site web | loisinord.e-monsite.com |
Géographie | |
Coordonnées | 50° 28′ 19″ nord, 2° 40′ 45″ est |
Massif | |
Altitude | 55 m |
Altitude maximum | 129 m |
Altitude minimum | 55 m |
Ski alpin | |
Remontées | |
Nombre de remontées | 2 |
Téléskis | 2 |
Pistes | |
Nombre de pistes | 2 |
Bleues | 1 |
Vertes | 1 |
Total des pistes | 0,320 km |
![]() Nouvelles glisses |
1 half-pipe, rails, tremplins |
Neige artificielle | |
Canons | buses tous les mètres environ |
Superficie | 10 km2 |
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La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.
La Compagnie des mines de Nœux y a exploité ses fosses nos 1 - 1 bis et 3 - 3 bis.
Verquin | Verquigneul | Labourse |
Houchin | ![]() |
Mazingarbe |
Barlin | Hersin-Coupigny | Sains-en-Gohelle |
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
La commune est traversée par la Loisne amont, cours d'eau naturel de 10,52 km, qui prend sa source dans la commune de Hersin-Coupigny et se jette dans le canal de Beuvry au niveau de la commune de Beuvry[1].
Nœux-les-Mines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[5] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nœux-les-Mines, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe huit communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (54,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (53,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,5 %), zones urbanisées (37,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (8,2 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Nœux-les-Mines est desservie par l'A26 Troyes - Calais via Reims et Arras, dite l'autoroute des Anglais. La commune est également traversée par la nationale 37 de Château-Thierry à Saint-Venant. Cette route a été déclassée en route départementale en 1972 et devient alors la D 937.
Nœux-les-Mines figure sur la voie ferrée Arras - Dunkerque.
Le nom de la localité est attesté sous les formes Nuet (vers 1000) ; Nuez (1104) ; Nouz (1118) ; Nue, Noum (1154-1159) ; Nouth (1163) ; Noue (1169-1191) ; Noe (1171) ; Neu, Nueu (1201) ; Nueh (1210) ; Nuee (1226) ; Noee (1257) ; Neue (1257) ; Noeue (1304) ; Nonne [lire : Nouue (1321) ; Neuwe (1331) ; Neue (1429) ; Newe (1469) ; Nooues (1520) ; Noeuwe, Noeve (1530) ; Noche (1589-1590) ; Neux (1720) ; Noeu (1750) ; Nœux-les-Béthune (XVIIIe siècle)[12].
Les formes anciennes montrent une certaine hésitation de graphie pour rendre le son issu du bas latin nauda, puis en français d'oïl noe, ce mot d'origine gauloise qui a donné noue dans d'autres régions de France. Nauda signifie « lieu marécageux, marais », ici au pluriel.[réf. nécessaire].
Nœux-les-Mines en 1887[13], après la découverte du charbon dans son sous-sol en 1850.
Nœux-les-Mines s'est appelé Vitris au IVe siècle, c'est le premier nom qu'on lui connaisse. Ce village fut détruit en 882 par les Normands, avant d'être reconstruit au Xe siècle et de devenir Noewe « ville nouvelle »[réf. nécessaire].
Il faisait partie d'une petite province, la Gohelle, appartenant elle-même à la province d'Artois. L'activité y était essentiellement agricole. Mais on y trouvait aussi de petites activités annexes à l'agriculture : meuneries, sucreries, brasseries…
Des erreurs de transcriptions successives transformeront Noewe en Nœux-lez-Béthune puis en Nœux-les-Mines en 1887, après la découverte du charbon dans son sous-sol en 1850. La commune compte alors 1 100 habitants. Les travaux de percement de la première fosse ont débuté en 1851. La ville connut alors une forte poussée démographique jusqu'à compter 14 070 habitants en 1962. Toutes les fosses ont été fermées entre 1956 et 1968.
La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.
La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.
La commune est rattachée au canton de Nœux-les-Mines.
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la dixième circonscription du Pas-de-Calais.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
juin 1878 | mai 1892 | Édouard Guilleman | ||
mai 1892 | janvier 1916 | Henri Béharelle[15] | Républicain | Agriculteur Député du Pas-de-Calais (4e circ. de Béthune) (1902 → 1906) Conseiller d'arrondissement (1898 → 1904) Décédé en fonction |
janvier 1916 | juin 1916 | Augustin Coquerelle | ||
juin 1916 | janvier 1918 | Édouard Guilleman | Décédé en fonction | |
janvier 1918 | décembre 1919 | Charles Descamps | Capitaine des sapeurs-pompiers Élu maire provisoire | |
décembre 1919 | août 1922 | Louis Monsauret[16] | SFIO | Boulanger Révoqué |
août 1922 | octobre 1922 | Édouard Viard | Premier adjoint faisant fonction de maire | |
octobre 1922 | mars 1959 | Henri Beaussart[17] | SFIC puis SFIO |
Mineur puis négociant en grains |
mars 1959 | mars 1965 | Albert Versquel[18] | PCF | Médecin, ancien résistant |
mars 1965 | avril 1978 | André Fourdrinier[19] | SFIO puis PS |
Instituteur et directeur d'école, maire honoraire Démissionnaire pour raisons de santé |
avril 1978 | mars 2014 | Jacques Villedary[20] | PS | Professeur de collège Conseiller général de Nœux-les-Mines (1982 → 2015) Président de la CC de Nœux et environs Suppléant du député Marcel Wacheux (1981 → 1986) |
mars 2014 | En cours (au 31 mars 2022) |
Serge Marcellak | PS[21] | Professeur des écoles[22],[23] Conseiller régional des Hauts-de-France (2021 → ) Réélu pour le mandat 2020-2026[24],[25] |
L'ancien maire Albert Versquel est médecin, résistant et adhérent du Parti communiste français. Lors de la grève des mineurs de 1948, il soigne un mineur blessé, et est pour cela arrêté, emprisonné et condamné à quatre mois de prison et à la dégradation de ses grades militaires obtenus dans la Résistance. Médecin libéral, il s'attache à la lutte contre la silicose (il y consacre son livre Les poumons de pierre) et il promeut les méthodes d’accouchement sans douleur à partir de 1955[26].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[27],[Note 3]
En 2019, la commune comptait 11 575 habitants[Note 4], en diminution de 6,83 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
671 | 589 | 837 | 947 | 912 | 950 | 981 | 1 036 | 1 112 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 746 | 2 216 | 3 130 | 3 839 | 4 219 | 4 235 | 4 905 | 4 962 | 5 997 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
7 771 | 8 280 | 8 649 | 10 667 | 12 269 | 12 168 | 12 156 | 12 938 | 13 670 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
14 113 | 13 325 | 13 567 | 13 166 | 12 351 | 11 966 | 12 111 | 12 242 | 12 010 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
11 575 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 5 613 hommes pour 6 200 femmes, soit un taux de 52,48 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 2,0 |
5,7 | 75-89 ans | 10,2 |
17,4 | 60-74 ans | 18,7 |
18,6 | 45-59 ans | 17,8 |
18,5 | 30-44 ans | 17,9 |
18,6 | 15-29 ans | 16,7 |
20,6 | 0-14 ans | 16,6 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,5 | 90 ou + | 1,5 |
5,4 | 75-89 ans | 8,9 |
15,9 | 60-74 ans | 17,3 |
20,2 | 45-59 ans | 19,4 |
19,1 | 30-44 ans | 18,2 |
18,6 | 15-29 ans | 16,3 |
20,3 | 0-14 ans | 18,3 |
Nœux-les-Mines a transformé l'un de ses terrils en piste de ski artificielle, la deuxième plus vaste d'Europe, derrière celle d'Edimbourg en Ecosse. Inaugurée le , la « station la plus basse de France » - comme le rappelle son site internet - fonctionne ainsi toute l'année. Elle était constituée d'une sorte de paillasson en plastique vert fluo, arrosé en permanence par des buses automatiques pour faciliter la glisse et pour éviter l'échauffement de la piste. Elle a subi un important lifting en 2006, car son premier revêtement l'empêchait d'accueillir les planches de surf.
Depuis le bâtiment d'entrée, une vue directe est permise sur le domaine skiable. Celui-ci offre une hauteur de 74 mètres, la longueur de la piste est de 320 mètres pour 35 mètres de large, avec une inclinaison qui va jusquʼà 28°. La piste est desservie par deux téléskis du constructeur Montaz-Mautino, dont un pour débutants, ce qui permet des rotations de quatre minutes pour un skieur rapide. La piste offre trois tremplins, une corniche de 2 m de haut, un champ de 21 bosses, un half pipe de 44 m, trois rails de 5 m, un quarter pipe, et la possibilité de pratiquer du ski ou du snowboard[31]. L'originalité du site a permis l'apparition d'une discipline : le skiathlon, qui mélange la course à pied, le VTT et le ski.
La piste attire plus de 30 000 skieurs par an (tendance décroissante depuis les années 2010), avec un pic de fréquentation (près de 20 000) entre décembre et mi-mars quand elle sert à la population locale notamment de terrain d'entraînement en préparation d'un séjour aux sports d'hiver dans les stations de montagne. Le revêtement permet une glisse plus rapide quand les températures sont inférieures à 12 °C.
Près de ce terril se trouve une base nautique, ouverte généralement entre avril et fin septembre. Elle accueille un téléski nautique, une plage, des locations de pédalos et canoës, un minigolf et divers terrains de sports. L'ensemble est appelé Loisinord (inauguré en 1994).
En 2002, puis en 2003, la commune a accueilli la finale du Trophée Andros sur son circuit automobile, le premier ovale de glisse d'Europe.
La fédération anglaise y a organisé ses championnats nationaux de ski freestyle deux années de suite[32].
Au patrimoine mondial de l'Unesco depuis le :
L'artiste Ladislas Kijno a passé une partie de son enfance à Nœux-les-Mines, où son père travaillait aux Houillères. En souvenir de ces années, il a fait don à la ville de dizaines d'œuvres. Ces pièces sont rassemblées dans un bâtiment administratif ouvert au public[33].
Construite à une date inconnue, on sait que ce sont les Vikings qui l'ont détruite en 882. Reconstruite à l’identique par ordre du pape Adrien III, elle sera de nouveau rasée en 1550. Treize ans plus tard, un nouvel édifice est érigé, sous lequel seront enterrés les notables entre 1678 et 1708. Cette année-là, les soldats espagnols mettent le feu au clocher dans lequel se sont réfugiés des soldats français et des villageois. L’incendie fera neuf victimes. Sept ans après, on bâtit une quatrième église qui tombera en ruines.
En 1790, elle est fermée et transformée en atelier de salpêtre. C’est une grange située dans une rue derrière, qui sert pour les offices. Le , on lance une souscription publique et en 1822, Louis XVIII donne l’autorisation du début des travaux qui s’achèvent en 1827. Cette nouvelle église, fabriquée à faible coût, est trop petite et vite délabrée. Il faut la rénover en 1845. Puis on l’agrandit en 1876 grâce à une somme conjointe de l’État, la commune et la population.
Après la foudre en 1910, c’est ensuite au tour des conflits de s’attaquer au bâtiment. Le , un obus autrichien s’abat dans l’édifice au moment où aurait dû se dérouler un cortège funèbre. Heureusement, la prudence de l’abbé Roussel permet d’éviter un carnage. En 1940, un autre bombardement fit heureusement peu de dégâts. Le dernier aléa de la vie tourmentée de l’église Saint-Martin est dû au modernisme et remonte en 1993. Le chauffage, installé depuis quelques décennies avait provoqué une condensation propice au développement d’un champignon appelé mérule. Il en coûtera 1,7 million de francs et plusieurs mois de travaux pour que les Nœuxois retrouvent leur lieu de prières.
On ne peut dissocier l’histoire de la paroisse et de l’église Sainte-Barbe à celle de l’exploitation minière. En 1857, avec la construction de nombreux corons pour accueillir les mineurs de la fosse no 1, on nomma un vicaire, Élisée Dussart, pour s’occuper des fidèles. Il célébrait la messe dans trois maisons de la rue Saint-Arnaud (12,14,16) qu’on faisait communiquer pour contenir toute la foule. Le , la paroisse est officiellement érigée et c’est l’abbé Marquant qui a l’honneur d’ouvrir le premier registre. En 1868, on construit un presbytère et en 1875, le conseil d’administration des mines de Vicoigne vote un budget de 100 000 francs pour la construction d’un édifice religieux. La tâche est confiée à l’architecte M. Moyaux qui termine les travaux en 1878. En hommage à la patronne des mineurs, on lui donne le nom de Sainte-Barbe et on inscrit sur son portail : « HAEC EST DOMUS DEI ET PORTAE CAELI (Ici est la maison du seigneur et la porte du ciel) ». Le , on bénit la cloche « Julie » et le , c’est Fernand Lesert qui inaugure les orgues. Le , on tirera même un feu d’artifice du sommet du clocher.
Au cours de la grande guerre, les obus ne font que l’effleurer. Chapelle ardente, elle accueille les soldats tués à Notre-Dame-de-Lorette, comme le général Moussy. Le , dans l’église et dans la ville se déroule un événement marquant : le congrès eucharistique diocésain, en présence des plus hautes autorités religieuses et de plus de 15 000 fidèles. Un cortège de 80 groupes français et polonais défila sur plus d’un kilomètre jusqu’au stade.
Aujourd’hui[Quand ?], l’église commence à subir les outrages du temps et aurait besoin d’être rénovée.
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Blasonnement :
D'azur aux attributs de mineur au marteau et au pic passés en sautoir, chargé d'une lampe et surmonté d'un casque, le tout d'or, accompagné de deux barres d'argent, chacune chargée d'une traverse ondée de gueules et délimitant des angles de sinople.
Croix de guerre 1914-1918 (ajoutée au bas du blason). |
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