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Méteren [metʁɛn] est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

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Méteren

Mairie.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté de communes de Flandre Intérieure
Maire
Mandat
Elizabeth Boulet
2020-2026
Code postal 59270
Code commune 59401
Démographie
Gentilé Méterennois
Population
municipale
2 307 hab. (2019 )
Densité 125 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 44′ 29″ nord, 2° 41′ 35″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 150 m
Superficie 18,44 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Armentières (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bailleul
Législatives Quinzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Méteren
Géolocalisation sur la carte : France
Méteren
Géolocalisation sur la carte : Nord
Méteren
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Méteren

    Géographie


    Méteren dans son canton et son arrondissement.
    Méteren dans son canton et son arrondissement.

    Méteren est située dans le département du Nord, jouxtant la ville de Bailleul et le Mont des Cats. Son territoire s'étend sur 1 844 hectares. Elle est traversée par la RD 933, la RD 42, la RD 18 et la RD 318. Deux échangeurs de l'autoroute A25 desservent le village.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Méteren
    Godewaersvelde Berthen Saint-Jans-Cappel
    Flêtre Bailleul
    Strazeele Merris

    Climat


    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 733 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[7] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 762,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 34 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].


    Urbanisme



    Typologie


    Méteren est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Armentières (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 10 communes[17] et 78 804 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].


    Occupation des sols


    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (95,7 %), zones urbanisées (4,2 %), forêts (0,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].


    Toponymie


    Méteren est un hydronyme et viendrait de Matrona (divinité des sources et des cours d'eau). En 1158, le village est cité sous le nom de Matrenes (bulle du pape Alexandre III)[24].


    Histoire



    Époque médiévale


    Restes du château des seigneurs de Méteren. D’après Behague, il en est resté des vestiges jusque vers le milieu du XIXe s., sur la propriété dénommée dans le terrier “Hoog-Wal”; l'endroit s'appelait le fort (t’foort)[25].

    Du point de vue religieux, la commune était située dans le diocèse de Thérouanne puis dans le diocèse d'Ypres, doyenné de Bailleul[26].


    XIXe siècle



    Première Guerre Mondiale


    Stationnement des troupes anglaises jusqu'en 1918.

    La commune reçoit donc la croix de guerre 1914-1918 le 1, .


    Entre-deux guerres



    Seconde Guerre mondiale


    En , les bombes causent le bris des vitraux de l'église et quelques dégâts minimes sur la tour. Les réparations se firent dans les années 1950 car l'église était utilisable.


    Héraldique


    Blason
    De gueules à deux clefs d'argent affrontées et passées en sautoir, et sur le tout un écusson d'or à trois cors de sable, liés de gueules.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration


    Maire en 1802-1803 : David Berteloot[31].

    La mairie.
    La mairie.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca 1838   Alexis Wicart [32]    
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca 1854   M. Leurs[33]    
    avant 1862 1870 Pierre Jean Deswarte    
    1870 1871 Pierre Becuwe    
    1871   Monsieur Leurs   Maire en 1876[34]
    1883   Pierre Becuwe    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1887 1892[35] P. Becuwe-Gantois    
    1893 1896[36] Amédée D'Hem    
    1897 1900[37] Bailleul-Vallée    
    1900 1940 César Herreman    
    1945 1958 Georges Herreman UMP  
    1958 mars 1983 César Lauwerie    
    mars 1989 Erick Dufour    
    mai 2020 Béatrice Descamps UMP-LR Professeure retraitée
    Sénatrice du Nord (2007 → 2010)
    Conseillère départementale du canton de Bailleul (depuis 2015)
    Présidente de la CCR des Monts de Flandres (1994 → 2007)
    mai 2020 En cours Elizabeth Boulet    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2019, la commune comptait 2 307 habitants[Note 8], en augmentation de 6,95 % par rapport à 2013 (Nord : +0,49 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2252 1752 2692 2282 3622 5142 5062 5122 639
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 5662 6232 5822 6202 7022 5162 5492 4412 414
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 3692 4002 3161 6521 8521 7701 7031 6591 763
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 7381 6551 7361 9792 0002 1142 1552 1402 279
    2019 - - - - - - - -
    2 307--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 1 149 hommes pour 1 165 femmes, soit un taux de 50,35 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    2,1 
    5,5 
    75-89 ans
    7,8 
    15,5 
    60-74 ans
    16,3 
    20,3 
    45-59 ans
    19,4 
    21,7 
    30-44 ans
    20,8 
    15,9 
    15-29 ans
    15,5 
    20,5 
    0-14 ans
    18,1 
    Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[43]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,3 
    5,1 
    75-89 ans
    8,1 
    14,3 
    60-74 ans
    15,6 
    19,2 
    45-59 ans
    18,6 
    19,6 
    30-44 ans
    18,7 
    20,7 
    15-29 ans
    19,1 
    20,7 
    0-14 ans
    18,5 

    Lieux et monuments



    L'église Saint-Pierre-Saint-Paul



    L'ancienne église

    C'était une église-halle construite en 1550 et entourée de son cimetière. On ne dispose pas d’information sur l’édifice médiéval. Selon Béhague, “elle était belle et spacieuse, avec ses trois vastes nefs aux voûtes élevées et sa tour massive qui la flanquait à l’ouest ”[44].

    Le mobilier (détruit en 1918)

    Vicissitudes


    Les églises provisoires


    La nouvelle église

    La nouvelle église.
    La nouvelle église.
    Portail de l'église.
    Portail de l'église.

    La première pierre en est posée . Elle est construite sous la direction des architectes Louis Quételart et André Pavlovsky. Bénie le , elle est de style néo-byzantin.

     : baptême de la première cloche Omérine Léon qui sonne lesol, d'un poids de 660 kg  : baptême de Marie Renée qui sonne le fa et pèse 900 kg et de Hélène André qui tire le et pèse 1 270 kg.


    Monuments


    Le monument aux morts.
    Le monument aux morts.
    Le chartil de Meteren reconstitué au musée de Plein air de Villeneuve-d'Ascq.-
    Le chartil de Meteren reconstitué au musée de Plein air de Villeneuve-d'Ascq.-

    Chapelles


    Chapelle dédiée au curé d'Ars.
    Chapelle dédiée au curé d'Ars.

    Située sur la RN42, route d'Hazebrouck à l'entrée de Strazeele (face au château d'eau), située à l'entrée de l'ancienne ferme Boddaert sur le territoire communal de Méteren. Architecture flamande remarquable. Entrepreneur-architecte Gaston Ringot de Malo-les-Bains[47]. Bénie par Mgr Georges Jansoone, en présence de l'abbé Joseph Woets Monument commémoratif de marbre blanc. Dernière messe "officielle" célébrée le pour le bicentenaire de la naissance du Curé d'Ars par l'abbé Jean Coquant.

    Hoog Weg. attestée en 1856, reconstruite à l'identique après 1918. Inscription en flamand Waxht te verzetten uwoen voet. Eer gy Maria Carmelia groet soit Attends de déplacer ton pied Honores-tu bien Marie du Carmel par un salut?[48]

    Water Straete. Existait avant 1914 et détruite pendant le conflit. Mais une suite de malheur étant survenue, elle fut reconstruite en 1930, sur le conseil des père Carmes d'Ypres[50].

    Saint Omaers straete, 1890

    Rue Neuve

    Chemin Goddeloozenhouck (coin des athées), restaurée en 1984. Anciennement dédiée à Notre-Dame-du-Bon-Secours[48].


    Personnalités liées à la commune



    Pour approfondir



    Bibliographie


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    Articles connexes



    Liens externes


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    Notes et références



    Notes


    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Méteren et Richebourg », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Richebourg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Méteren et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Unité urbaine 2020 d'Armentières (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Jean-Marie Cassagne, Mariola Korsak : Origine des noms de villes et villages, Nord, 2009
    25. BEHAGUE (R.), “Méteren, essai d’histoire d’une commune flamande”, An. Com. flam. France, 1932, t. XXXVIII, p. 31.
    26. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 65, lire en ligne.
    27. Lauwerie, César, Méteren, presse flamande, 200 p. 57.
    28. Lauwerie, César, Méteren, presse flamande, 200 p. 62.
    29. Lauwerie, César, Méteren, presse flamande, 200 p. 71.
    30. Cent ans de vie dans la région, Tome II : 1914-1939, La Voix du Nord éditions, n° hors série du 17 février 1999, p. 47
    31. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
    32. Lauwerie, César, Méteren, presse flamande, 200 p37
    33. Almanach du commerce du Nord Année 1854
    34. Lauwerie, César, Méteren, presse flamande, 200 p46
    35. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1883 et de 1887 à 1892
    36. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1893 à 1896
    37. Annuaire Ravet-Anceau Département du Nord Années 1897 à 1900
    38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Méteren (59401) », (consulté le ).
    43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
    44. BEHAGUE (R.), “Méteren, essai d’histoire d’une commune flamande”, An. Com. flam. France, 1932, t. XXXVIII, p. 60-61.
    45. Lauwerie, César, Méteren, presse flamande, 200 p. 113.
    46. http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/palissy_fr
    47. « Chapelle du curé d'Ars », sur patrimoine-religieux.fr
    48. MESSIANT, Jacques, Chemins et chapelles p. 80.
    49. MESSIANT, Jacques, Chemins et chapelles p. 78.
    50. MESSIANT, Jacques, Chemins et chapelles p. 84.
    51. MESSIANT, Jacques, Chemins et chapelles p. 82.

    На других языках


    [de] Méteren

    Vorlage:Infobox Gemeinde in Frankreich/Wartung/abweichendes Wappen in Wikidata

    [en] Méteren

    Méteren (French pronunciation: ​[metʁɛn]; from Flemish; Meteren in modern Dutch spelling) is a commune in the Nord department in northern France.[3] In October 1914, the British army passed through Meteren during the Retreat from Mons, and the future Field-Marshal Montgomery of Alamein received a DSO at the rank of Lieutenant.[4]
    - [fr] Méteren



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