Mérifons (en occitanMerifonts) est une commune française située dans le centre du département de l'Hérault en région Occitanie.
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Mérifons
Église Saint-Pierre-ès-Liens
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Hérault
Arrondissement
Lodève
Intercommunalité
Communauté de communes du Clermontais
Maire Mandat
Sophie Costeau 2020-2026
Code postal
34800
Code commune
34156
Démographie
Gentilé
Mérifonois
Population municipale
44 hab. (2019 )
Densité
6,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées
43° 38′ 08″ nord, 3° 17′ 10″ est
Altitude
180 m Min. 157 m Max. 452 m
Superficie
6,74 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Clermont-l'Hérault
Législatives
Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Mérifons
Géolocalisation sur la carte: France
Mérifons
Géolocalisation sur la carte: Hérault
Mérifons
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Mérifons
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Salagou, le Lignous et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 («le Salagou») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Mérifons est une commune rurale qui compte 44 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 92 habitants en 1831. Ses habitants sont appelés les Mérifonois ou Mérifonoises.
Géographie
CartePhotographie de 1902 d'un paysage sur le territoire communal
Cette commune bâtie sur de la ruffe près du lac du Salagou, est située à l'ouest de Clermont-l'Hérault
Communes limitrophes
Communes limitrophes de Mérifons
Octon
Brenas
Octon
Pézènes-les-Mines
Valmascle
Salasc
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14,1°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,1 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 12,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 7,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Octon», sur la commune d'Octon, mise en service en 1998[6]et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,9°C et la hauteur de précipitations de 942,8 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Sete», sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 42 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15°C pour la période 1971-2000[10], à 15,4°C pour 1981-2010[11], puis à 15,8°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux: «le Salagou»[14], d'une superficie de 12 794ha, effectuant la transition entre la plaine languedocienne et les premiers contreforts de la montagne Noire et du Larzac. Outre l'aigle de Bonelli, trois autres espèces d'oiseaux ont également été prises en compte dans la délimitation de la ZPS, l'Outarde canepetière, le Blongios nain et le Busard cendré[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[16]:
les «Castelas et Planas» (59ha), couvrant 2 communes du département[17];
les «Ruffes du Salagou» (1 170ha), couvrant 5 communes du département[18],
le «vallon du Lignou» (44ha), couvrant 3 communes du département[19];
le «bassin du Salagou» (8 089ha), couvrant 12 communes du département[20];
le «plateau de Carlencas-et-Levas» (6 239ha), couvrant 11 communes du département[21].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Mérifons.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Mérifons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[22],[I 1],[23].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,8% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (62,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (26,1%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (24,4%), forêts (23,3%), cultures permanentes (18,4%), zones agricoles hétérogènes (8%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Mérifons est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier: le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
Mérifons est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 8],[27].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mérifons.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 40,9% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 54 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 46 sont en en aléa moyen ou fort, soit 85%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 2014 et 2019.
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Mérifons est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[31].
Histoire
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1790
Etienne Vailhé
An II
Etienne Vailhé
An VI
Duguiés
An VII
Ambroise Reynes
An VIII
Etienne Vailhé
An IX
Etienne Vailhé
1818
1843
Jean Vailhé
1843
1848
Pierre Rossignol
1848
1850
Jean Vailhé
1850
1851
Antoine Rocassel
1851
1853
Etienne Birouste
1853
1864
Pierre Rossignol
1864
1871
Adolphe Vailhé
1871
1876
Albert Rossignol
1876
1890
Adolphe Vailhé
1890
1907
Cyprien Ollier
1908
1925
Joseph Rossignol
1918
1918
Bousquet
1925
1929
Henri Ollier
1929
1945
Joseph Rossignol
1945
1953
Jacques Blayes
1953
1968
Henri Ollier
1968
1989
Maurice Lacas
1989
2020
Daniel Viala
SE
Retraité Fonction publique
2020
En cours
Sophie Costeau
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].
En 2019, la commune comptait 44 habitants[Note 9], en diminution de 6,38% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
86
71
80
74
92
82
77
90
71
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
85
85
82
72
69
73
80
90
82
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
84
85
86
72
81
77
72
70
73
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
66
47
42
29
29
26
47
50
49
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
43
44
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 17 personnes, parmi lesquelles on compte 88,2% d'actifs (64,7% ayant un emploi et 23,5% de chômeurs) et 11,8% d'inactifs[Note 10],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 7]. Elle compte 17 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 13 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 15, soit un indicateur de concentration d'emploi de 111% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,8%[I 8].
Sur ces 15 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 5 travaillent dans la commune, soit 33% des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 80% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,7% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 13,3% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
4 établissements[Note 11] sont implantés à Mérifons au [I 11].
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 4 entreprises implantées à Mérifons), contre 17,1% au niveau départemental[I 12].
La commune est dans le «Soubergues», une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[36]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la viticulture[Carte 4]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (cinq en 1988). La superficie agricole utilisée est de 195ha[38],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château de Malavieille. Il est cité en 1098. En 1223, Amalric de Narbonne le donne aux évêques de Lodève. Le château date des XIIe et XIIIe. Son état de conservation actuel est mauvais.
Église Saint-Pierre, du XIIe. Elle était possession des évêques de Lodève, puis des abbés de Valmagne à partir de 1197. Le voûtement date de l'époque gothique. Le clocher est plus récent. Elle est inscrite aux Monuments historiques depuis 1978[39].
Chapelle Saint-Fulcran du Moulinas.
Dalle paléontologique de la Lieude. Protégée sous un toit, cette dalle située près du hameau de la Lieude, présente 18 pistes d'animaux et 951 empreintes de pas de reptiles thérapsides datant du permien supérieur.
Château de Malavieille.
Dalle paléontologique de La Lieude.
Église Saint-Pierre.
Personnalités liées à la commune
Gustave Tramblay, photographe et astronome
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[37].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Joseph Couffinhal, «Si Mérifons m'était conté», Bulletin du GREC, Groupe de recherches et d'études du Clermontais, nos51-52, , p.45-47
Joseph Couffinhal, Mérifons en Languedoc: monographie de la commune de Mérifons (Malavieille, La Chapelle, La Lieude, le Pradels), Lodève, Les Amis du Lodévois, , 20p.
Albert Fabre et Paul (de) Rouville, Histoire de Mérifons, arrondissement de Lodève, canton de Lunas, Nîmes, Clavel-Ballivet, coll.«Histoire populaire des communes du département de l'Hérault», , 20p.
Mas des terres rouges, La commune de Mérifons: une terre en héritage, une culture en partage, Clermont l'Hérault, Communauté de communes du Clermontais, coll.«Les livrets du Clermontais», , 195p.
Sylvain Olivier, «Les limites communales de l'Ancien Régime à nos jours: un cas de migration de toponyme de frontière à La Lieude (communes de Brenas et de Mérifons, Hérault)», dans Retrouver les paysans: communauté, pouvoirs, territoires, XIIIe-XXe siècles, mélanges en l'honneur d'Élie Pélaquier, directeur de recherche émérite du CNRS, Montpellier, Presses universitaires de la Méditerranée, , p.173-185
Fonds d'archives
Série: Délibérations du conseil municipal (1837-1963) [3 registres]. Fonds: Archives communales de Mérifons; Cote: 58 PUB. Montpellier: Archives départementales de l'Hérault (lire en ligne).
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