Montpeyroux est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Montpeyroux.
Montpeyroux
L'église de Montpeyroux.
Administration
Pays
France
Région
Nouvelle-Aquitaine
Département
Dordogne
Arrondissement
Bergerac
Intercommunalité
Communauté de communes de Montaigne Montravel et Gurson
Maire Mandat
Christophe Marceteau 2020-2026
Code postal
24610
Code commune
24292
Démographie
Gentilé
Peyroumontois
Population municipale
458 hab. (2019 )
Densité
20 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 55′ 16″ nord, 0° 03′ 28″ est
Altitude
Min. 17 m Max. 100 m
Superficie
23,37 km2
Unité urbaine
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton du Pays de Montaigne et Gurson
Législatives
Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Montpeyroux
Géolocalisation sur la carte: France
Montpeyroux
Géolocalisation sur la carte: Dordogne
Montpeyroux
Géolocalisation sur la carte: Nouvelle-Aquitaine
Montpeyroux
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Géographie
Communes limitrophes
Carte de Montpeyroux et des communes avoisinantes.
Montpeyroux est limitrophe de neuf autres communes dont une dans le département de la Gironde. Au sud-ouest, son territoire est distant d'environ 80 mètres de celui de Gardegan-et-Tourtirac et au nord-ouest d'un peu plus de 400 mètres de celui de Francs.
Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Montpeyroux est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e5-6, est la formation de Guizengeard supérieur (Lutétien supérieur à Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille «no805 - Sainte-Foy-la-Grande» de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].
Carte géologique de Montpeyroux.
Légende de la carte géologique.
Ère
Période
Époque
Formations géologiques
Cénozoïque (0 - 66.0)
Quaternaire (0 - 2.58)
Holocène
CF :
Formations superficielles: colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses de pentes et de vallons indifférenciés des terrains tertiaires et quaternaires, des terrains mésozoiques et de socle
Fy3-z :
Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées: argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
non présent
Néogène (2.58 - 23.03)
non présent
Paléogène (23.03 - 66.0)
Oligocène
g1-As :
Calcaire à Astéries: biocalcarénite détritique à rudistes, calcaire bioclastique à rhodolites et polypiers, marno-calcaire et marne à foraminifères à intercalations molassiques ou lacustre (Rupélien marin)
g1-Ml :
marnes à Longirostris: argiles et marnes à huîtres (Crassostrea longirostris), foraminifères, nodules carbonatés et intercalation de micrite (Rupélien marin)
g1b :
Formation de Boisbreteau moy.: sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses - deuxième séquence différenciée et cartographiée sur la feuille de Sainte-Foy-la-Grande (Rupélien inf. continental)
Éocène
e7 :
Formation Boisbreteau inf.: sable fin silto-argileux marron, à petits graviers et débris de cuirasses ferrugineuses, argile silteuse (Priabonien sup. continental)
e7-g1-S :
Molasse du Fronsadais sup. à faciès sableux dominant: sables argileux grossiers feldspathiques, argiles silteuses/sableuses gris-vert et grès carbonatéss. Nombreux chenaux sableux au sommet (Priabonien sup. à Rupélien basal continental)
e7c-A :
Molasses du Fronsadais inf. à moy. (faciès argileux dominant): argiles sableuses bariolées jaunes à vertes à chenaux sableux micacés et feldspathiques (Priabonien sup. continental)
e5-6 :
Formation de Guizengeard sup.: sables feldspathiques micacés, graviers, galets et argiles sableuses, ensemble ferrugineux, versicolore à lentilles argileuses parfois kaoliniques (Lutétien sup. à Bartonien sup. continental)
Paléocène
non présent
Mésozoïque (66.0 - 252.17)
non présent
Paléozoïque (252.17 - 541.0)
non présent
Relief et paysages
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 17 mètres et 100 mètres[5],[6].
Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Landais, au sein de l'unité de paysage «La Double et le Landais», deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (206 m au sud de Vallereuil). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[9]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[10].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 23,37 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 23,8 km2[3].
Hydrographie
Réseau hydrographique
La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Lidoire, le Lechout, le Rieutord, l'Escuret et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 34 km de longueur totale[15],[Carte 1].
La Lidoire, d'une longueur totale de 49,46 km, prend sa source dans la commune de Bosset et se jette en rive droite de la Dordogne en limite de Castillon-la-Bataille et Lamothe-Montravel, face à Mouliets-et-Villemartin[16],[17]. Elle borde la commune du nord-est au sud-ouest sur neuf kilomètres et demi, face à Montazeau, Saint-Vivien et Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières.
Son affluent le Lechout traverse le territoire communal du nord au sud-ouest sur huit kilomètres, servant de limite naturelle sur cinq kilomètres et demi, en deux tronçons, face à Villefranche-de-Lonchat et Les Salles-de-Castillon.
La Lidoire au pont de la RD 10, en limite de Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières et Montpeyroux.
Réseaux hydrographique et routier de Montpeyroux.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) «Dordogne Atlantique». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].
La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[20]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]
Moyenne annuelle de température: 12,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 7,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[24] complétée par des études régionales[25] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Port Ste Foy», sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt, mise en service en 1956[26] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[27],[Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,5°C et la hauteur de précipitations de 802,2 mm pour la période 1981-2010[28].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Bergerac», sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 34 km[29], la température moyenne annuelle évolue de 13,2°C pour la période 1971-2000[30], à 13,1°C pour 1981-2010[31], puis à 13,3°C pour 1991-2020[32].
Urbanisme
Typologie
Montpeyroux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35].
La commune est en outre hors attraction des villes[36],[37].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,7% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (50,7%), zones agricoles hétérogènes (27,9%), prairies (13,2%), cultures permanentes (6,9%), terres arables (1,3%)[38].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Villages, hameaux et lieux-dits
Outre le petit bourg de Montpeyroux proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[39]:
Beau Champ
Beaulieu
le Bernis
Blaye
le Bonnadier
le Bos Vieux
Bourdelat
Brandelette
Cantaloup
le Cardayre
la Chambre Haute
le Chapout
Chez Piarrot
Claveau
les Coulauds
les Écorces
Forêt de Saint-Cloud
le Fumat
le Gendre
la Grange
Jacob
Lagarde
les Landes
la Lidoire
Magardeau
Maison Neuve
Marquat
le Mayne Gros Bos
Nicoulaud
Papassus
les Parents
Petit Puy
le Petit Puy
le Peycher
Piconneau
le Pont de Palot
Puy Sauvage
les Quatre Chemins
Rousselaud
le Sabatier
Saint-Cloud
Sivadou
Trompette.
Prévention des risques
Le territoire de la commune de Montpeyroux est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[40]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[41].
Montpeyroux est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées: interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[42]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[43],[44].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montpeyroux.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[45]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[46]. 99,4% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6% au niveau départemental et 48,5% au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[47].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2008, par la sécheresse en 1992, 1995, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[40].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Mont Peirós[48].
Histoire
En 1794, l'ancienne commune de Saint-Cloud fusionne avec Montpeyroux.
Politique et administration
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[49],[50].
Dans le domaine judiciaire, Montpeyroux relève[53]:
du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac;
de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
Les habitants de Montpeyroux sont les Peyroumontois[54].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[55]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[56].
En 2019, la commune comptait 458 habitants[Note 10], en stagnation par rapport à 2013 (Dordogne: −0,88%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
631
732
728
727
779
737
837
847
856
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
853
796
865
809
764
744
631
619
669
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
691
712
650
687
662
643
585
539
537
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
514
452
359
318
338
360
409
448
441
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
458
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[57].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Emploi
En 2015[58], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 178 personnes, soit 39,8% de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-trois) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (vingt-deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,1%.
Établissements
Au , la commune compte trente-sept établissements[59], dont dix-huit au niveau des commerces, transports ou services, huit dans la construction, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[60].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château des Durands, au lieu-dit le Bos Vieux, ne se visite pas
Château de Matecoulon, XVIe, XVIIIeetXIXesiècles, classé monument historique en 1972 pour ses façades et toitures, le reste du château, les dépendances et le parc étant inscrits en 2003 et 2008[61].
Église Saint-Pierre-ès-Liens, romane des XIeetXIIesiècles, classée monument historique en 1908[62].
Près de celle-ci, il y a des jardins privés que l'on peut visiter une fois par an. Ce sont des ruines romaines, notamment un cirque et des bains.
Croix hosannière de Montpeyroux.
Château de Matecoulon, la façade sud.
Château de Matecoulon, la façade ouest.
La croix hosannière du cimetière.
Personnalités liées à la commune
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Héraldique
Blason
Écartelé: au 1) d’azur à la tour donjonnée d’or maçonnée de sable, au 2) de gueules aux trois fasces d’argent, au 3) de gueules au lion d’argent au 4) d’azur à la rose d’argent; sur le tout d’azur semé de trèfles d’or à la patte de lion arraché du même armée de gueules brochant en fasce sur le tout[63]
L. Gardeau, «La faïencerie de Montpeyroux», Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t.88, no4, , p.166-176 (lire en ligne)
Origine des noms de lieux dans le canton de Villefranche-de-Lonchat, association Histoire et mémoire du canton de Villefranche-de-Lonchat, La Nef-Chastrusse, 2002.
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Articles connexes
Liste des communes de la Dordogne
Communauté de communes de Montaigne Montravel et Gurson
Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[22].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[23].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Démissionnaire. Source: Émilie Delpeyrat, Qui sera candidat?, Sud Ouest édition Dordogne du 20 juin 2012.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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