Montceau-les-Mines est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.
Pour les articles homonymes, voir Montceau.
Montceau-les-Mines | |
![]() L'hôtel de ville. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Bourgogne-Franche-Comté |
Département | Saône-et-Loire |
Arrondissement | Autun |
Intercommunalité | Communauté urbaine Le Creusot Montceau-les-Mines |
Maire Mandat |
Marie-Claude Jarrot (Horizons) 2020-2026 |
Code postal | 71300 |
Code commune | 71306 |
Démographie | |
Gentilé | Montcelliens, Montcelliennes |
Population municipale |
17 678 hab. (2019 ![]() |
Densité | 1 064 hab./km2 |
Population agglomération |
38 419 hab. (2017) |
Géographie | |
Coordonnées | 46° 40′ 04″ nord, 4° 22′ 11″ est |
Altitude | Min. 274 m Max. 326 m |
Superficie | 16,62 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Montceau-les-Mines (ville-centre) |
Aire d'attraction | Montceau-les-Mines (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton de Montceau-les-Mines (bureau centralisateur) |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | montceaulesmines.fr |
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C'est une ancienne ville minière du bassin minier de Saône-et-Loire exploité dès le Moyen Age, mais de façon industrielle à partir du XIXe siècle et ce jusqu'en 2000, permettant l'essor de l'industrie sidérurgique et mécanique dans la région.
Il s'agit de la 13e commune de Bourgogne-Franche-Comté en nombre d'habitants.
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Saint-Berain-sous-Sanvignes | Blanzy | ![]() | |
N | ||||
O Montceau-les-Mines E | ||||
S | ||||
Sanvignes-les-Mines | Saint-Vallier |
La commune repose sur le bassin houiller de Blanzy daté du Stéphanien (daté entre -307 et -299 millions d'années)[1].
Le territoire de la commune est traversé par la Bourbince.
La ligne Montchanin – Paray-le-Monial dispose une gare ferroviaire au centre-ville de Montceau, à laquelle desservie par la liaison TER Montchanin – Moulins.
Pour le transport local, la commune est desservie par 5 lignes d'autobus, dont une permet de rejoindre la gare TGV du Creusot-Montchanin-Montceau-les-Mines.
Montceau-les-Mines est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montceau-les-Mines, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[5] et 38 419 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montceau-les-Mines, dont elle est la commune-centre[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (75,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (46,5 %), prairies (16,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (11,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), eaux continentales[Note 3] (3 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Le terme de Montceau apparaît pour la première fois en 1266 sur un titre des archives de la Côte-d'Or.
La mention des mines apparait avec l'intensification de l'activité houillère au XIXe siècle.
En 1475, Montceau compte environ 25 âmes et il faut attendre 1645 pour trouver trace du nom actuel : Le bar. Les siècles passant, les communes voisines se développent. Au départ, une auberge et quelques fermes forment un hameau. Un des domaines s'appelant Le Montceau, le nom de la commune est vite trouvé. La construction du canal du centre entre 1783 et 1791 puis l'installation de la Compagnie des mines de houille de Blanzy en 1833, sont les deux principaux événements entraînant la naissance de la ville[12]. A l'initiative de Jules Chagot, le une loi instaure la commune de Montceau-les-Mines, communauté de 1300 habitants, sur un territoire ponctionné sur les communes de Blanzy, Saint-Vallier, Saint-Berain-sous-Sanvignes, et Sanvignes-les-Mines. En 1857, Léonce Chagot, premier maire de la ville et gérant des Mines de Blanzy, fait construire une église et réaliser un cimetière. Un bureau de poste est mis en place en 1869, un nouvel hôpital en 1871 et l'hôtel de ville est achevé en 1876, mais la devise de la République ne viendra s'y ajouter qu'en 1996. C'est donc l'exploitation du charbon à Blanzy qui fait prospérer la ville. Véritable laboratoire social du paternalisme, Montceau vit une fin de XIXe siècle et un début du XXe particulièrement agités par des mouvements sociaux (voir Grèves ci-dessous).
Par son expansion économique et industrielle, la commune connaît une croissance exceptionnelle de sa population, atteignant un maximum de près de 29 000 habitants en 1901, contre moins de 20 000 depuis 2005. Vingt maires se succèdent en 144 ans à la tête de la commune, depuis Léonce Chagot en 1856 jusqu'à Marie-Claude Jarrot en 2020.
La ville fait partie des 17 villes françaises décorées, par décret du 24 avril 1946, de la médaille de la Résistance[13]. La citation précise "dès 1943, malgré de nombreuses et cruelles déportations, la torture, les exécutions capitales, Montceau-les-Mines devient un centre très actif de sabotage et de renseignements. Le "Centre Noir" redouté des allemands s'affirme comme la capitale résistante de la Région... Montceau fournit au département un tiers de ses maquisards. Les "gueules noires" reconnues et recherchées forcent l'admiration par l'audace de leurs innombrables sabotages et embuscades..."[14].
En , les Montcelliens élisent un républicain à la tête de la commune, le Dr Jeannin. La pilule passa plutôt mal au sein de la Compagnie. Quinze mineurs de tendance républicaine furent licenciés en février. Aussitôt une grève vit le jour, à la grande surprise des autorités. Les gendarmes interviennent quelques jours plus tard. Les bases d'un syndicat des mineurs étaient jetées. Ces syndicalistes tenaient des réunions en plein air et de nuit, d'où le surnom de bande noire. Les troubles et attentats anarchistes qui émaillèrent les années 1882-1884 à Montceau leur furent imputés. Début 1899, des mouvements ont déjà commencé avec succès au Creusot, à la faïencerie de Digoin, aux forges de Gueugnon et aux chantiers de Chalon-sur-Saône. Le , un groupe de grévistes se rend au puits Saint-François et réussit à débaucher ses camarades. L'opération est réitérée avec succès au puits Sainte-Eugénie, puis Saint-Pierre et la Maugrand. Une grève générale est en cours. Un comité de grève s'érige en bureau syndical et rallie 8 000 adhérents. Le 1er juillet, les grévistes obtenaient gain de cause, renvoi de la police de la mine, dite Bande à Patin, et reconnaissance du syndicat. Plus tard le patronat aida à la constitution de syndicats dissidents, constitués d'ouvriers acquis à leur cause. Ces syndicats jaunes virent le jour en 1899 au Creusot puis à Montceau où le premier fut officiellement fondé le par un petit groupe de mineurs[15].
En 1900, la dynastie Chagot cède la place à la Compagnie des mines de houille de Blanzy, société anonyme. Un polytechnicien, M. Coste, est nommé directeur de la mine. Jean Bouveri est élu maire le . C'est le premier maire issu d'une liste socialiste élu en France. Un certain réveil libertaire voit le jour parmi les ouvriers. Le directeur avait décidé de réduire les effectifs afin d'augmenter production et productivité. Les ouvriers étaient payés selon la valeur du charbon extrait. Un travail identique ne rapportait pas, malheureusement, un salaire identique. Le , le syndicat, qui avait entrepris des négociations le 19, est débordé par sa base. La grève est déclenchée. Des députés viennent soutenir les mineurs grévistes. La Soupe Populaire est mise en place le . La collecte des vivres et des victuailles s'organisait dans l'arrière-pays. De janvier à , une troupe qui compte jusqu'à 25 000 hommes est déployée à Montceau-les-Mines. Le discours du à l'Assemblée nationale n'eut pas le retentissement escompté par les Montcelliens. La grève de 1901 a été une des plus longues du mouvement ouvrier : 108 jours. Elle se termina le .
Le nom de Bandes noires fut associé aux bandes anarchistes qui commirent des attaques entre 1882 et 1885. Les premières actions spectaculaires furent dirigées contre différents symboles de la religion chrétienne, comme les croix. Le clergé local était alors accusé de beaucoup de zèle envers les ouvriers peu habitués à fréquenter l'église[16].
En 1883 leurs attaques prennent une tournure différente, et sont majoritairement dirigées contre ceux considérés comme bourgeois, ou informateurs, on peut par exemple citer l'ingénieur Michalowski qui voit sa chambre à coucher dynamitée à trois reprises entre le et le mais qui y échappe à chaque fois[17].
Le un piège monté par la gendarmerie et un informateur nommé Claude Brenin, mais l’exécutant (et cible) nommé Jean Gueslaff, censé poser une bombe, tire alors sur deux gendarmes et sur un maréchal des logis qui sont tous les trois grièvement blessés[18],[19]. Gueslaff est arrêté et dénonce de nombreux membres de la bande noire.
À la suite de cet attentat raté et des arrestations qui suivirent, le procès a lieu en . Durant celui-ci trente-deux accusés sont jugés : Jean Gueslaff le tireur est condamné à dix ans de travaux forcés, Brenin l'informateur à cinq ans et huit autres membres sont condamnés à des peines allant de quatre ans de prison à vingt ans de travaux forcés. Douze accusés sont finalement acquittés. À la suite de ces lourdes condamnations les Bandes noires font beaucoup moins parler d'elles [20].
C'est en 1885 qu'on assiste aux derniers attentats des Bande noires dans le bassin minier et ses alentours.
Les premiers travaux d'exploitation débutent à Blanzy en 1813 et se propagent ensuite à Montceau en 1820. Depuis 1833 le charbon a toujours été extrait en sous-sol. En 1884 on dénombre 6500 mineurs pour une population de 24 000 individus. Une part importante de cette population dépend donc directement de la Compagnie, compte tenu que les enfants en fréquentent les écoles. L'emploi des enfants est réglementé. L'entrée à la mine se fait à 12 ans. Une loi du interdit le travail de nuit aux enfants de moins de 16 ans de 9 heures du soir à 5 heures du matin. Le travail souterrain est interdit aux femmes et aux filles. Quant aux jeunes gens, certaines exceptions les amènent à travailler dans les galeries, où les conditions de travail sont particulièrement pénibles. La journée est de 10 heures. Dans l'eau, la chaleur, la poussière, l'angoisse, l'obscurité, les cris. La maladie les guette tous, La Compagnie est très hiérarchisée. Les femmes travaillent aussi mais pas au fond. Les différentes explosions et accidents ont causé près de 400 décès du début de l'exploitation jusqu'à 1882 (voir Coup de grisou). La Grande Guerre permet à la SA des Mines de Blanzy de battre des records de production (2 786 500 tonnes) en 1918. Les puits Darcy et Plichon voient le jour après la guerre.
L'agglomération de Montceau-les-Mines compte une importante communauté polonaise qui, 70 ans après l'arrivée des mineurs polonais, est toujours très active. A la sortie de la Seconde guerre mondiale, en 1946, on trouve encore 8 puits, et 10 000 ouvriers y travaillent. Vers 1960 ce seront plus de 100 puits pour une production annuelle atteignant 2,5 millions de tonnes[21]. Mais de plus en plus concurrencées par les productions étrangères, particulièrement par le charbon des pays de l'Europe de l'Est et d'autres sources d'énergie, la production passe sous les 2 millions de tonnes en 1965 puis sous le million en 1985. Le procédé d'exploitation en découverte apparaît dans les années 1980 comme le moyen de sauvegarder des emplois et de maintenir l'extraction du charbon dans la région. Le site d'exploitation de Darcy cesse toute activité le , après 159 ans d'activité. Il n'y a dès lors plus d'exploitation du fond. Le vendredi , l'extraction du charbon dans le bassin minier montcellien se termine avec la fin de l'exploitation en découverte de Saint-Amédée à Sanvignes.
Depuis la fermeture de la dernière mine à Montceau en 2000, la ville a su se transformer : la zone minière entre le centre-ville et la route express est, en partie, devenue un ensemble de deux parcs, le parc Maugrand, au sud, et le parc Saint-Louis, au nord. De nombreux quartiers ont été réhabilités, et la vie culturelle a été entretenue, notamment à travers le centre culturel créé en 1979 baptisé « Centre d'animation et de rencontres », puis renommé en 2003 « l'Embarcadère »[22].
La ville maintient donc une dynamique de modernisation et continue sa transformation. Parmi les grands projets en cours de réalisation on trouve :
En 2010, Montceau-les-mines est la 18e ville de plus de 20 000 habitants la plus pauvre de France et celle possédant le taux de chômage le plus élevé en Bourgogne[23].
Elle est en déclin démographique (- 20 % de population en 20 ans).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1856. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[26],[Note 4]
En 2019, la commune comptait 17 678 habitants[Note 5], en diminution de 6,81 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,85 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
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2 206 | 3 337 | 5 377 | 8 287 | 11 011 | 13 108 | 15 313 | 19 612 | 22 467 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
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28 779 | 26 305 | 26 830 | 24 629 | 26 606 | 28 173 | 26 902 | 26 726 | 28 308 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
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29 364 | 27 421 | 28 177 | 26 925 | 22 999 | 20 634 | 19 538 | 19 124 | 18 722 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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17 678 | - | - | - | - | - | - | - | - |
Depuis 1997, à l'initiative du député-maire Didier Mathus, Montceau-les-Mines organise le festival « TSB » (Tango, Swing et Bretelles) qui accueille durant quelques semaines divers artistes, tels que Louise Attaque, Renan Luce, Adrienne Pauly, Benabar, Cali, Bernard Lavilliers, Patrick Bruel, Yves Jamait, La Grande Sophie, Alain Bashung, La Ruda, Anaïs Croze, Olivia Ruiz. Ce festival a attiré en 2007 un public venu de toute la Bourgogne pour assister à ces spectacles[réf. nécessaire].
L'Orchestre Symphonique de la Communauté Le Creusot-Montceau né en 1976, avec une cinquantaine de musiciens recrutés dans la Communauté Urbaine et au-delà, popularise la musique classique et symphonique. Constitué d'un mélange d'amateurs et de professionnels, il travaille en liaison avec les professeurs des Conservatoires du département et se produit sur les scènes de la région.http://orchestreccm.monsite.orange.fr
Le rugby, sport majeur dans les années 1960 et 1970, a vu le Rugby club montcellien (RCM) évoluer en 1re division nationale et 2e division nationale.
Champion de Bourgogne en 2009, le club refuse néanmoins de monter en Fédérale 3 faute de moyens. Alors qu'il évolue en Promotion d'Honneur pour la saison 2011-2012, le RCMB devient premier de sa poule et obtient la remontée en Honneur pour la saison 2012-2013, puis gagne le bouclier de Champion de Bourgogne. Après une activité en sommeil l'équipe fanion est relancée pour la saison 2017-2018 et le RCMB devient champion de Bourgogne Franche Comté 2ème série. Promu en 1re série, il remporte un nouveau bouclier de champion de Bourgogne Franche Comté en 2019 et accède à la promotion d'honneur régionale.
En 2020, le RCMB accède au niveau honneur.
Le football est une activité sportive majeure à Montceau-les-Mines. L'Entente de Montceau, devenue le FC Montceau Bourgogne, a évolué pendant sept saisons en Division 2 dans les années 1980, dont cinq de professionnalisme. Son meilleur résultat fut la 4e place du groupe A en 1987-1988[29].
En 2007, le FC Montceau Bourgogne, évoluant en bas de la quatrième division (CFA), a accédé aux demi-finales de la coupe de France de football après avoir éliminé les Girondins de Bordeaux aux tirs au but en huitièmes de finale. En quart de finale, ils éliminèrent le deuxième du championnat de France de Ligue 1, le RC Lens (1-0). Ce fut une grande surprise et l'équipe fut considérée de ce fait comme le « Petit Poucet » de la compétition. Son parcours s'arrêta en demi-finale face au FC Sochaux (0-2 après prolongations).
Depuis, le FC Montceau Bourgogne (FCMB) évolue toujours en bas du tableau de CFA.
L'équipe féminine de Basket de la Gerbe Montceau-les-Mines fut Championne de France deux années de suite en 1966 et 1967. Le club a disparu en 1982.
Églises :
Mosquées :
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Blason | Écartelé au 1) de gueules à la lampe de mineur ancienne d’argent, au 2) d'argent à la masse de sable et à la hache du même passées en sautoir, au 3) d’argent au marteau de sable et au pic du même passés en sautoir, au 4) de gueules à la lampe de mineur de sûreté d’argent ; au caducée de mercure d’or brochant en pal sur la partition ; le tout sommé d’un chef d’azur de trois étoiles d’argent. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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