Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par, le ruisseau de Bonis, le ruisseau de la Baraque et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montberaud est une commune rurale qui compte 203 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 803 habitants en 1836. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse..
Ses habitants sont appelés les Montberaudois.
Géographie
Localisation
Représentations cartographiques de la commune
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Avec les communes environnantes
1: carte dynamique; 2: carte OpenStreetMap; 3: carte topographique; 4: avec les communes environnantes
La commune de Montberaud se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 55 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 37 km de Muret[2], sous-préfecture, et à 7 km de Cazères[3], bureau centralisateur du canton de Cazères dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Cazères[I 1].
Sur le plan historique et culturel, Montberaud fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].
La superficie de la commune est de 1 587 hectares; son altitude varie de 265 à 474mètres[6].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Volp, le ruisseau de la Boussège, le ruisseau de Bonis, le ruisseau de la Baraque, le ruisseau de Balahé, le ruisseau de Cercaude, le ruisseau de Figaro, le ruisseau de la Lause, le ruisseau de Rouby, le ruisseau du Clot de la Chère et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Réseaux hydrographique et routier de Montberaud.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[9]
Moyenne annuelle de température: 12,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 7,4 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,9 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Cerizols», sur la commune de Cérizols, mise en service en 1982[14] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,1°C et la hauteur de précipitations de 933,1 mm pour la période 1981-2010[16].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Saint-Girons», sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 16 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[18], à 12,3°C pour 1981-2010[19], puis à 12,7°C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels et biodiversité
Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[21]:
le «cours du Volp» (205ha), couvrant 15 communes dont 11 dans l'Ariège et quatre dans la Haute-Garonne[22] et
les «Quères des Petites Pyrénées (partie nord)» (1 262ha), couvrant 9 communes dont une dans l'Ariège et huit dans la Haute-Garonne[23]
et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[21]:
les «Petites Pyrénées en rive droite de la Garonne» (12 847ha), couvrant 20 communes dont huit dans l'Ariège et 12 dans la Haute-Garonne[24].
Urbanisme
Typologie
Montberaud est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[25],[I 2],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (51,4% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (48,6%), zones agricoles hétérogènes (25,6%), prairies (25,5%), terres arables (0,3%)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
Accès par la D86 ancienne route nationale 627 et la D35.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montberaud est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible)[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le ruisseau de la Boussège. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2000, 2009 et 2018[30],[28].
Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Montberaud est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif des Coteaux du Volvestre. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[31],[32]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montberaud.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 124 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 124 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 98% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[28].
Toponymie
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Histoire
Préhistoire
L'abri de Buholoup se trouve à environ 1 200 m au sud du bourg, en rive gauche (côté nord-est) du Volp, à une vingtaine de km en aval des grottes du Volp au sud-est[Carte 1]. Il est a 310 m d'altitude et mesure environ 7 × 5 m[35]. Il a fait l'objet d'une fouille programmée de 1988 à 1993 avec l'équipe de François Briois[36] et Jean Vaquer[37]. Cet habitat saisonnier de chasseurs-cueilleurs a été occupé à l'Épipaléolithique, au Mésolithique et au Néolithique ancien[36]. La transition de la fin du Paléolithique se traduit par une occupation azilienne (environ 12 000 à 9 600 ans av. J.-C, fin du Magdalénien)[38], et notablement par une occupation laborienne[37]. Sa stratigraphie de longue durée[39] recouvre l'Azilien, le Sauveterrien ancien, le Montclusien, le Mésolithique final du type Dourgne-Gazel et le Néolithique ancien péricardial[40].
Moyen-Âge
À partir du moyen Âge jusqu'à sa disparition en 1790 pendant la Révolution française, Montberaud faisait partie du diocèse de Rieux
Politique et administration
Commune de l'aire urbaine de Toulouse.
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[41],[42].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne de la Communauté de communes Cœur de Garonne et du canton de Cazères. Avant le Montberaud faisait partie de la communauté de communes du canton de Cazères.
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2020 en Haute-Garonne.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2001
En cours
Raymond Denjean
Artisan
Les données manquantes sont à compléter.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[44].
En 2019, la commune comptait 203 habitants[Note 9], en diminution de 5,14% par rapport à 2013 (Haute-Garonne: +7,81%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
571
578
629
715
760
803
781
777
788
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
752
700
663
604
563
583
555
527
502
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
470
460
428
331
309
295
291
256
218
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
176
195
170
152
167
166
194
196
210
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
211
203
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du canton de Cazères[51].
Une déchèterie intercommunale gérée par la communauté de communes est présente sur la commune de Mondavezan[52].
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 92 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 186 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 220 €[I 5] (23 140 € dans le département[I 6]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 111 personnes, parmi lesquelles on compte 77,6% d'actifs (72,9% ayant un emploi et 4,7% de chômeurs) et 22,4% d'inactifs[Note 11],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 16 emplois en 2018, contre 22 en 2013 et 24 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 82, soit un indicateur de concentration d'emploi de 20% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49,7%[I 11].
Sur ces 82 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 14% des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 91,1% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3% les transports en commun, 2,5% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,1% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
10 établissements[Note 12] sont implantés à Montberaud au [I 14].
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 10 entreprises implantées à Montberaud), contre 12% au niveau départemental[I 15].
La commune est dans le Volvestre, une petite région agricole localisée dans l'est du département de la Haute-Garonne, constituée de collines de terrefort à fortes pentes autrefois consacrées à l’élevage s’orientent aujourd’hui vers les grandes cultures[53]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 5]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (26 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 457ha[55],[Carte 6],[Carte 7].
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[54].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
[Philibert 2002] Sylvie Philibert, Les derniers ”sauvages”: Territoires économiques et systèmes techno-fonctionnels mésolithiques (thèse de doctorat de l'EHESS), BAR International Series 1069, , 193p. (lire en ligne[PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr), p.45.
[Barbaza 1997] Michel Barbaza, «L'Azilien des Pyrénées dans le contexte des cultures de la fin du Tardiglaciaire entre France et Espagne», Bulletin de la Société préhistorique française, vol.94, no3, , p.315-318 (lire en ligne[sur persee]), p.317.
Collectif, La Recherche archéologique en France: Bilan 1990-1994 et programmation du Conseil national de la recherche archéologique, Paris, Maison des Sciences de l'Homme, , 460p. (lire en ligne), p.68.
[Briois & Vaquer 2009] François Briois et Jean Vaquer, «L'abri de Buholoup. De l'Épipaléolithique au Néolithique ancien dans le piedmont central des Pyrénées», dans De Méditerranée et d'ailleurs… Mélanges offerts à Jean Guilaine, Toulouse, Archives d'Écologie Préhistorique, , sur academia.edu (lire en ligne).
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