Le gentilé est Moneinchon[1] (Monenshon ou Mounenchoun[2], en béarnais).
Géographie
Localisation
La commune de Monein se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].
Elle se situe à 23 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, et à 8,5 km de Mourenx[5], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3].
La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mourenx[3].
Sur le plan historique et culturel, Monein fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[7].
Monein est limitrophe avec 13 communes, dont deux en deux endroits différents.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat des marges montargnardes», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type «climat de montagne» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[15].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]
Moyenne annuelle de température: 13,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 6,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[17] complétée par des études régionales[18] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1971 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[19]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records MONEIN (64) - alt: 241 m 43° 17′ 54″ N, 0° 31′ 36″ O Records établis sur la période du 01-03-1971 au 04-01-2022
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
3,3
3,7
5,7
7,1
10,5
13,6
15,7
15,8
13,3
10,5
6,3
4,1
9,2
Température moyenne (°C)
7,1
7,9
10,4
12,1
15,7
18,8
21
21,1
18,7
15,2
10,3
7,9
13,9
Température maximale moyenne (°C)
10,8
12
15,2
17
20,9
24,1
26,3
26,3
24
19,8
14,3
11,6
18,6
Record de froid (°C) date du record
−13,5 15.01.1985
−9,6 12.02.12
−9,5 06.03.1971
−2 10.04.1980
1 05.05.19
5,8 06.06.1984
7 02.07.1978
7 08.08.1990
4,5 25.09.02
−1,7 25.10.03
−7 23.11.1988
−9 09.12.1980
−13,5 1985
Record de chaleur (°C) date du record
24 25.01.16
27,5 26.02.1994
29 31.03.21
32,7 30.04.05
35 26.05.17
40 30.06.15
40,2 08.07.1982
41 04.08.03
36,7 14.09.20
33,5 02.10.1985
27 01.11.20
26 04.12.1985
41 2003
Précipitations (mm)
109
94,1
97,9
128,3
106,7
83,4
66
70,5
85,1
107
126,6
108,7
1 183,3
Source: «Fiche 64393001» [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le: 06/01/2022 dans l'état de la base
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux», constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»: le «gave de Pau»[21], d'une superficie de 8 194ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 6] encore vivace[22],[Carte 1].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 7] est recensée sur la commune[23],[Carte 2]:
les «coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais» (20 986,16ha), couvrant 23 communes du département[24].
Urbanisme
Typologie
Monein est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[25],[26],[27].
Elle appartient à l'unité urbaine de Mourenx, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[28] et 14 288 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[29],[30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[31],[32].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,9% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (58%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (39,4%), prairies (30,2%), zones agricoles hétérogènes (14%), terres arables (13,3%), zones urbanisées (2,7%), cultures permanentes (0,4%)[33].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Lieux-dits et hameaux
Arue; comptait 47 feux en 1385.
Bourg-Neuf; comptait 58 feux en 1385.
Candeloup; comptait 49 feux en 1385.
Coos; comptait 20 feux en 1385.
Loupien; comptait 43 feux en 1385.
Marquemale; comptait 7 feux en 1385.
Tresserre; comptait 28 feux en 1385.
le Trouilh et Lizà; comptaient 24 feux en 1385.
Ucha; comptait 39 feux en 1385.
Autres quartiers de Monein: Serrot, Laquidée, Cabirau, Castet, Yolette.
Voies de communication et transports
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Risques majeurs
Le territoire de la commune de Monein est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier: le risque de radon[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment la Baïse de Lasseube, la Baysère, la Baylongue et le Luzoué. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 2006, 2008, 2009 et 2018[36],[34].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Monein.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 93,9% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59% au niveau départemental et 48,5% au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 10],[38].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2012 et par des mouvements de terrain en 2013, 2019 et 2020[34].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Monein est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[39].
Toponymie
Le toponyme Monein /munéŋ/ (cf. Munein) est basé sur le radical mun- (basque munho «colline») et le suffixe aquitanique -eŋ[40]. Il est documenté[12] sous les formes
Moneng (1127)[41],
Moneing (1128)[42],
Monen (XIIesiècle)[41]Munins (1154, Édrisi[43]),
Monenh (1215)[44]),
Sent-Girontz de Monenth (1434)[45],
Monneinh et Mouneinh (1675)[46].
Larring / Laring / Larincq (Arinc en 1267[50], Larrinco en 1323[51], Larinc en 1441…), d'un ancien Larrinko (basque Larre «lande» — ou harri «roche»? — et suffixe pré-celtique -enko): bois traversé par le Laring ou Hibaruet.
Lizà (Lo Lisar en 1385, Lo Lizar en 1420):
Loupien /lupijéŋ/ (Lopienh en 1385, Lopieng en 1657; comparer avec Loubieng).
Marca: ancien moulin.
Marquemale «limite dangereuse».
Marquiza: ancien moulin sur la Baylongue
Oustaloup: bois où coule le Luzoué au niveau de Loupien
Le Trouilh (lo Trolh en 1385)
Uchaà ou Uxà (Uxar en 1385, Uxa en 1441…): relief séparant les cours de la Baïsère et de la Baylongue.
Histoire
De nombreux vestiges (lames, grattoirs, bifaces) prouvent que le site de Monein était déjà très fréquenté au paléolithique et au néolithique.
Paul Raymond[12] associait la ville de Monein avec le peuple aquitain présumé des Monesi. Il s'agit en fait d'une mauvaise lecture du nom des Onesii (Pline le Jeune, livre IV) de Bagnères-de-Luchon[52].
Il note que Monein comptait une abbaye laïque dès le XIIesiècle, vassale de la vicomté de Béarn.
En 1385, Monein comptait 414 feux. Le bailliage de Monein était composé de Cardesse, Cuqueron et Monein.
Le roi Henri IV surnommait Monein «le Paris du Béarn»[53].
Politique et administration
Situation administrative
Monein a fait partie de l'arrondissement d'Oloron-Sainte-Marie jusqu'au . À cette date, elle appartient désormais à celui de Pau[54].
La commune fait partie de quatre structures intercommunales[55]:
la communauté de communes de Lacq-Orthez;
le SIVU pour l'aménagement et la gestion des cours d'eau du bassin des baises;
le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques;
le syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement Gave et Baïse.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[57].
En 2019, la commune comptait 4 435 habitants[Note 11], en diminution de 1,62% par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques: +2,8%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
5 520
5 159
5 396
5 405
5 028
5 131
5 373
5 163
5 059
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
4 926
4 637
4 793
4 454
4 494
4 361
4 362
4 234
4 236
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
4 209
4 278
4 203
3 816
3 667
3 605
3 475
3 407
3 240
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2007
2012
3 563
3 967
3 865
3 879
4 032
4 183
4 367
4 393
4 466
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2017
2019
-
-
-
-
-
-
-
4 438
4 435
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[58] puis Insee à partir de 2006[59].)
Depuis la rentrée de l'école publique communale propose une filière bilingue français/occitan (dans sa variante locale gasconne-béarnaise) qui commence dès la maternelle.
Économie
Vignoble à Monein à la période des vendanges.
La commune fait partie des zones AOC du vignoble du Jurançon et du Béarn et de celle de l'ossau-iraty. L'activité est principalement agricole (élevage, maïs). Une variété de pêche est également présente sur la commune, la roussane.
Culture locale et patrimoine
Monein, l'église.
L'entrée du parc du château.
Les halles.
La route de Monein.
La commune possède un office de tourisme intercommunautaire, l'office de tourisme du Pays de Lacq, Cœur de Béarn[60]
Lieux et monuments
Patrimoine civil
Le monument aux morts est l'œuvre d'Ernest Gabard, sculpteur palois et soldat de la Grande Guerre.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Girons date[61] des XVeetXVIesiècles. Elle est la plus grande église gothique du Béarn.
Elle abrite une charpente construite en cœur de chêne de cinquante mètres de long et de dix-huit mètres de hauteur, ayant la forme d'une double coque de navire renversé.
Personnalités liées à la commune
Nées au Moyen Âge
Raymond de Saint-Sever (? Monein - 1317 Avignon), cardinal bénédictin;
Nées au XVIIIesiècle
Jean-Baptiste Lalanne (1757 Monein - 1805 Tours), funambule au théâtre Nicolet à Paris dans la troupe des Grands-Danseurs du Roi;
Sa fille Marguerite-Antoinette Lalanne, dite «Madame Saqui» (1786 Agde - 1866 Paris); mariée à Tours à Jean Julien Saqui, artiste d'agilité[62];
Pèdre Lacaze (1794 Monein - 1874 Paris), homme politique français
Nées au XIXesiècle
Jean Sarrailh, né à Monein le et mort à Paris le , est un historien français, spécialiste de l'histoire et de la culture hispaniques aux XVIIIe et XIXesiècles;
Le compositeur Henri Duparc a vécu plusieurs années à Monein;
Marie Bartête (1863 Monein - 1938) qualifiée de "dernière bagnarde", orpheline, mariée à 15, veuve à 20. Elle commet un vol à l'étalage puis se range en se trouvant une place de bonne à Bordeaux; malgré cela cette première condamnation sert de prétexte à sa déportation comme reléguée au bagne de Saint-Laurent-du-Maroni dans le cadre du plan du Second Empire pour le repeuplement de la colonie. Une stèle lui rendant hommage a été inaugurée le [63];
Henri Lapuyade (1894 Orthez - 1956 Pau), homme politique, résistant et conseiller général de Monein.
Nées au XXesiècle
Jean-Patrick Lescarboura (1961, Monein), joueur de rugby à XV.
D'argent au monde d'azur sommé d'une croix du même[65].
Blasonnement:
De sinople au chef chevronné d'or et de sable.
Culture populaire
L'érudit béarnais Vastin Lespy, dans son Dictionnaire béarnais de 1887, mentionne une danse (proche du «saut» basque) moneinchone: Lo saut de Monenh. Pour cette raison peut-être, au gentilé monenshon il relève cette expression: Monenshons, gays e lurons, ajam cansons e vriulons («Moneichons, gais et lurons, ayons des chansons et des violons")[66].
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[16].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent:
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208p. (BNF31182570, lire en ligne)..
Noté Luzouré sur le site du Sandre
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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