Marquixanes [maʁkiʃan] Écouter est une commune française, située dans le centre du département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Conflent, correspondant à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis et Rodès.
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Marquixanes | |
![]() Vue générale du village. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Pyrénées-Orientales |
Arrondissement | Prades |
Intercommunalité | Communauté de communes Conflent-Canigó |
Maire Mandat |
Anne-Marie Canal 2020-2026 |
Code postal | 66320 |
Code commune | 66103 |
Démographie | |
Gentilé | Marquixanais |
Population municipale |
574 hab. (2019 ![]() |
Densité | 120 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 42° 38′ 34″ nord, 2° 29′ 11″ est |
Altitude | Min. 244 m Max. 568 m |
Superficie | 4,80 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Canigou |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Têt, le ruisseau de la Coume d'Espira et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Marquixanes est une commune rurale qui compte 574 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Marquixanois ou Marquixanoises.
La commune de Marquixanes se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 34 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, à 6 km de Prades[2], sous-préfecture, et à 24 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[3], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Prades[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Eus (2,3 km), Arboussols (2,4 km), Espira-de-Conflent (2,9 km), Los Masos (2,9 km), Finestret (3,5 km), Vinça (3,5 km), Joch (4,2 km), Rigarda (4,4 km).
Sur le plan historique et culturel, Marquixanes fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[5].
Arboussols | ||
Eus | ![]() |
Vinça |
Los Masos | Estoher | Espira-de-Conflent |
L'altitude de la commune varie entre 244 et 568 mètres[7].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[9].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Eus », sur la commune d'Eus, mise en service en 1994[14] et qui se trouve à 2 km à vol d'oiseau[15],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 500,9 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 34 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[18], à 15,7 °C pour 1981-2010[19], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[20].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 5] est recensée sur la commune[21] : les « coteaux du Fenouillèdes et Roc del Maure » (1 147 ha), couvrant 5 communes du département[22] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[21] : le « massif du Fenouillèdes » (34 157 ha), couvrant 40 communes dont une dans l'Aude et 39 dans les Pyrénées-Orientales[23].
Marquixanes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[24],[I 2],[25].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (59,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (35,5 %), forêts (24 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), cultures permanentes (11,2 %), zones urbanisées (5,6 %), eaux continentales[Note 9] (2,2 %)[26].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
La commune compte une gare sur son territoire, la gare de Marquixanes, desservie quotidiennement par des TER Occitanie effectuant des missions entre les gares de Perpignan et de Villefranche - Vernet-les-Bains.
La ligne 520 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan depuis Prades.
Le territoire de la commune de Marquixanes est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[27],[28].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt[29].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[30]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[31].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[32].
Sur le département des Pyrénées-Orientales, on dénombre sept grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 66 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages, le Barrage des Bouillouses sur la Têt, un ouvrage de 17,5 m de hauteur construit en 1910[33].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Marquixanes est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[34].
La première mention du nom en 1007 est Marchexanes[35]. On rencontre ensuite Matrechexanas en 1025 et Madrechexanes en 1035[36], suivies au XIIe siècle des formes Marechexanes et Marchexanes. On a aux XIVe et XVe siècles Marcaxanes et Marquexanes, au XVIIe siècle Marcaxanes et Marqueixanes. Le nom actuel, Marquixanes, s'impose à partir du XVIIIe siècle[37].
Marquixanes est une francisation du catalan Marqueixanes, prononcé [məɾki'ʃanəs] ou [məɾkə'ʃanəs][38].
Le nom du village apparaît pour la première fois dans les textes en 1007, alors qu'un certain Miron et son épouse font don de terrains situés à Marquixanes au profit de l'abbaye Saint-Martin-du-Canigou[35]. Une première église est bâtie au XIe sur les restes d'un soubassement terrassé par les romains. De cette petite église romane, il ne reste presque rien. Une deuxième église plus grande, construite au XIVe siècle d'après la thèse des architectes venus étudier les lieux en 2014, aurait également disparu[39]. Autour de la première église s'est installée une cellera en trois périodes. Une première enceinte a d'abord enserré quelques celliers construits dans le périmètre du cimetière, espace consacré censé être à l'abri des pillages. Les récoltes y sont engrangées. En 1172 le roi Alphonse d'Aragon donne l'autorisation de construire un deuxième rang de fortification. Ce rempart protège un périmètre plus important et abrite des celliers supplémentaires. Il est en galets disposés en arête-de-poisson[40]. En 1245 Jaume premier, roi d'Aragon accorde le privilège de construire de nouvelles fortifications. Les celliers ont été utilisés pour conserver les récoltes jusqu'au XIXe. Ce n'est qu'à cette époque que quelques celliers ont été convertis en maisons. Certains d'entre eux servent encore de remise dans les années 2010[41].
Dans sa forme actuelle l'église est dédiée à sainte Eulalie. Elle date du XVIIe siècle, le clocher porte la date de 1611.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1790 | 1793 | Jean Carbonell | ||
1793 | 1795 | Bonaventure Vergès | ||
1795 | 1795 | François Vallmary | ||
1795 | 1796 | François Mas-Molins | ||
1796 | 1800 | Jean Carbonell | ||
1800 | 1810 | Xavier Queyra | ||
1810 | 1815 | Ambroise Mas-Marie | ||
1815 | 1815 | Bonaventure Ferran | ||
1815 | 1826 | François-Xavier de Compte | ||
1826 | 1828 | Joseph Solera | ||
1828 | 1831 | Joseph Mas-Maler | ||
1831 | 1846 | Jean Izern | ||
1846 | 1848 | Pierre Vergès | ||
1848 | 1856 | Maurice Mas | ||
1856 | 1858 | Jean Solera | ||
1858 | 1865 | François Dorandeu-Solera | ||
1865 | 1873 | François Mas-Illes | ||
1874 | 1903 | Jean Petit | ||
1903 | 1908 | François Escape | ||
1908 | 1919 | François Dorandeu | ||
1919 | 1924 | Pierre Llagonne | ||
1925 | 1944 | Joseph Dorandeu | ||
1944 | 1947 | Martin Fons | ||
1947 | 1959 | Laurent Fabre | ||
1959 | 1966 | Émile Pauco | ||
1966 | 1977 | Lucien Baillette | ||
1977 | 1983 | Jules Debeyre | ||
1983 | 2001 | Gérard Dorandeu | ||
2001 | 2014 | Gérard Capdet | ||
2014 | En cours | Anne-Marie Canal[43] |
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
1358 | 1365 | 1378 | 1424 | 1470 | 1515 | 1553 | 1709 | 1720 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
27 f | 26 f | 13 f | 13 f | 27 f | 24 f | 25 f | 84 f | 82 f |
1767 | 1774 | 1789 | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
505 H | 102 f | 110 f | - | - | - | - | - | - |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[45].
En 2019, la commune comptait 574 habitants[Note 10], en augmentation de 4,55 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Orientales : +3,73 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
474 | 488 | 564 | 571 | 561 | 581 | 589 | 619 | 583 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
576 | 536 | 532 | 530 | 570 | 564 | 509 | 491 | 480 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
446 | 461 | 480 | 446 | 393 | 416 | 412 | 386 | 405 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2004 | 2006 | 2009 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
388 | 363 | 333 | 307 | 299 | 397 | 513 | 527 | 541 |
2014 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
551 | 574 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[47] | 1975[47] | 1982[47] | 1990[47] | 1999[47] | 2006[48] | 2009[49] | 2013[50] |
Rang de la commune dans le département | 115 | 101 | 109 | 119 | 111 | 108 | 107 | 107 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
En 2018, la commune compte 201 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 473 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 15 800 €[I 5] (19 350 € dans le département[I 6]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 9 % | 12,7 % | 17,7 % |
Département[I 8] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 343 personnes, parmi lesquelles on compte 57,7 % d'actifs (40 % ayant un emploi et 17,7 % de chômeurs) et 42,3 % d'inactifs[Note 12],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département, alors qu'il était inférieur à celui du département en 2008.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 10]. Elle compte 126 emplois en 2018, contre 121 en 2013 et 129 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 142, soit un indicateur de concentration d'emploi de 88,3 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 44,4 %[I 11].
Sur ces 142 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 81,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 6,2 % les transports en commun, 9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
46 établissements[Note 13] sont implantés à Marquixanes au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 46 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 8 | 17,4 % | (8,7 %) |
Construction | 8 | 17,4 % | (14,3 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 10 | 21,7 % | (30,5 %) |
Information et communication | 4 | 8,7 % | (1,9 %) |
Activités immobilières | 2 | 4,3 % | (6,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 4 | 8,7 % | (13 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 2 | 4,3 % | (13,9 %) |
Autres activités de services | 8 | 17,4 % | (8,5 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,7 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 46 entreprises implantées à Marquixanes), contre 30,5 % au niveau départemental[I 15].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 35 | 15 | 11 | 4 |
SAU[Note 15] (ha) | 164 | 95 | 27 | 61 |
La commune est dans le Conflent, une petite région agricole occupant le centre-ouest du département des Pyrénées-Orientales[52]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 3]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (35 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 61 ha[54],[Carte 4],[Carte 5].
![]() |
Blason | Parti : au 1er d'argent au chef de sinople, au 2e de gueules plain. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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