Magny-les-Hameaux est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France, située à 27 km au sud-ouest de Paris.
Magny-les-Hameaux | |
![]() L'hôtel de ville. | |
![]() Héraldique |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Yvelines |
Arrondissement | Rambouillet |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Saint Quentin en Yvelines |
Maire Mandat |
Bertrand Houillon 2020-2026 |
Code postal | 78114 |
Code commune | 78356 |
Démographie | |
Gentilé | Magnycois |
Population municipale |
9 418 hab. (2019 ![]() |
Densité | 566 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 44′ 11″ nord, 2° 05′ 16″ est |
Altitude | Min. 105 m Max. 171 m |
Superficie | 16,64 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Maurepas |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | magny-les-hameaux.fr |
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La commune est située à environ 12 km au sud-sud-ouest de Versailles et à 23 km au nord-est de Rambouillet.
La commune est arrosée par la rivière la Mérantaise.
Les communes sont : Montigny-le-Bretonneux, Voisins-le-Bretonneux, Trappes et Guyancourt au nord, Châteaufort à l'est, Milon-la-Chapelle et Saint-Rémy-lès-Chevreuse au sud et Saint-Lambert à l'ouest, ainsi que Villiers-le Bâcle au sud-est.
Le principal axe de circulation est la route départementale 938 qui passe dans Cressely, conduit vers le nord à Châteaufort et Versailles et vers le sud à Saint-Rémy-lès-Chevreuse. La commune est traversée d'est en ouest par la route départementale 195, dite route de Port-Royal des Champs, qui commence à Cressely et dessert la majeure partie des hameaux du plateau au sud-ouest de la Mérantaise, avant de se terminer à la route départementale 91 qui traverse l'extrémité ouest de la commune et relie Magny à Voisins-le-Bretonneux et Chevreuse par Port-Royal. Sur le plateau de Toussus-le-Noble (au nord-est de la Mérantaise), la route départementale 36 dessert le hameau du Bois des Roches et les zones d'activité des Jeunes Bois et de Mérantais, les reliant à Montigny-le-Bretonneux et à Saclay.
Les gares les plus proches sont la gare RATP de Saint-Rémy-lès-Chevreuse (train-RER B) et la gare de Saint-Quentin-en-Yvelines - Montigny-le-Bretonneux (train-RER C, train-Transilien N et U).
La commune est desservie par :
Magny-les-Hameaux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[4] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7],[8].
Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).
Type d’occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Tissu urbain discontinu | 12,7 % | 211 |
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques | 1,9 % | 32 |
Équipements sportifs et de loisirs | 4,6 % | 76 |
Terres arables hors périmètres d'irrigation | 40,0 % | 666 |
Prairies et autres surfaces toujours en herbe | 11,6 % | 193 |
Forêts de feuillus | 29,2 % | 488 |
Source : Corine Land Cover[9] |
Outre le village, Magny-Village, cœur historique de la commune, le territoire comprend aujourd'hui sept hameaux : le Bois des Roches, Buloyer, Romainville, Brouessy, Villeneuve, Gomberville et Cressely. La fusion de plusieurs anciens hameaux à la suite d'une importante politique d'urbanisation autour de l'ancien hameau de Cressely a créé le centre de gravité actuel de la commune et comporte plusieurs quartiers : le quartier de l'Hôtel de Ville (quartier récent qui lie peu à peu Cressely et Gomberville), la Croix aux Buis, le Vieux Cressely, la Chapelle Lacoste et le Buisson. Parmi les nombreux lieux-dits de la commune, on peut notamment citer la Croix du Bois, le Clos Rose, le Mérantais, Port-Royal et les 25-Arpents.
Les principaux commerces se trouvent aujourd'hui dans les quartiers de l'Hôtel de Ville, de Cressely et du Buisson ; de nombreuses entreprises sont installées dans les parcs d'activité de Gomberville, du Bois des Roches, de Magny-Mérantais et des Jeunes Bois.
Cœur historique de la commune, il est constitué en grande majorité de maisons en pierre meulière, typiques de la région. Structuré autour de l'église Saint-Germain, il est essentiellement orienté vers la vallée de la Mérantaise, le plateau de Magny ayant été jusqu'au XVIIe siècle essentiellement marécageux.
Regroupe les quartiers pavillonnaires, les commerces et services, répartis essentiellement au bord de la route de Versailles (route départementale 938). L'usage désigne le Vieux Cressely et la Chapelle Lacoste. Ces quartiers ont été construits en grande partie après la Seconde Guerre Mondiale. Constitués majoritairement de maisons particulières modestes au centre de petits jardins, ils gardent un charme particulier hérité de l'époque où ils étaient les quartiers des résidences secondaires de parisiens à la recherche d'un cadre paisible, naturel et proche de Paris.
Ce quartier est le nouveau centre-ville structuré autour de la mairie inaugurée en 2000. Il est composé de plusieurs lotissements (pavillons, maisons de ville, immeubles) récents (des années 1990 à aujourd'hui) et comporte une zone commerçante et de services.
Quartier résidentiel, la Croix aux Buis se confond avec le quartier de Beauplan à Saint-Rémy-lès-Chevreuse, de l'autre côté du chemin de la Chapelle. Il est séparé du quartier de l'Hôtel de Ville par la route de Port-Royal des Champs.
Quartier créé au cours des années 1970, composé essentiellement de maisons mitoyennes et d'immeubles de moins de quatre étages, en grande partie HLM. Il comporte une zone commerçante en son centre, autour de la place du . Le Buisson a malheureusement connu une vague de violence au cours des années 2005-2006 mais est resté discret lors des émeutes de (avec seulement deux voitures incendiées). L'année 2006 fut également marqué par le meurtre d'un buraliste. L'affaire avait créé une vive émotion dans la commune. Après une rénovation urbaine à la fin des années 1990 concernant les logements sociaux et les commerces de proximité, le cœur du quartier a été entièrement réaménagé (espaces verts, circulations douces, aires de jeux pour enfants et parkings) et inauguré le .
Ces quatre hameaux sont parcourus d'ouest en est par la route de Port-Royal, qui serpente sur le plateau céréalier de Magny. Structurés autour de grandes fermes en meulière, ils ne se sont pas encore beaucoup étendu au-delà de leurs limites historiques et gardent donc un caractère authentique. Dans la ferme de Buloyer, ancien siège de l'établissement public d'aménagement de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines, se développe aujourd'hui des associations de formation et d'insertion comme notamment un Jardin de Cocagne . La charte du parc naturel régional de la Haute Vallée de Chevreuse protège le plateau et les hameaux de l’urbanisation jusqu'en 2023.
Ce hameau s'est étendu essentiellement grâce à une zone d'activité, qui accueille de nombreuses PME. Le hameau historique (en meulière, avec notamment une ferme-pépinière) est ainsi nettement séparé de ses extensions récentes. La progression du quartier de l'hôtel de ville et l'implantation de nouvelles entreprises dans la zone d'activité réduisent peu à peu la séparation de Gomberville du cœur actuel de la commune.
Le nom de ce lieu-dit est issu de l'exploitation d'une couche de grès dans le plateau situé entre l'Orge au nord et la Renarde au sud. La dernière grande carrière du Bois-des-Roches ferma en 1945.
Seul hameau au nord-est de la Mérantaise, il n'est pas accessible par la route depuis le reste de la commune sans passer par une autre commune (Voisins-le-Bretonneux ou Châteaufort). Il comporte actuellement quelques dizaines d'habitations. Attenant à Châteaufort, il se prolonge vers Voisins-le-Bretonneux par une zone d'activités (dite de Mérantais), ainsi que le Golf national de Saint-Quentin-en-Yvelines aux deux tiers sur la commune.
Au XIIIe siècle la paroisse, lorsqu'elle est citée en latin, on trouve Malliacum en 1204[10], Magneium au XIIIe siècle[10], puis Magniacum en 1193[10], Magniacum Lessard en 1626[10], en 1288 apparaît Magny-l'essart et en 1370 Magny-les-Hameaux. Au XVe siècle, Magnaum-Lessardi et Magnaco-Lessardi. Au XVIe siècle, la forme romane de Magny-Lessard ou Magny-Lessart apparaît, dans les actes écrits en français. Entre le milieu du XVIe siècle jusqu'à l'époque révolutionnaire les deux noms, Magny-l'essart et Magny-les-Hameaux sont utilisés, Magny-l'essart semblant l'emporter. À partir de 1793, Magny-les-Hameaux est le seul à être employé.
Magny correspond à un archétype fréquent en France dont les formes anciennes sont du type Maniacum ou Magniacum, nom de domaine gallo-romain composé avec le suffixe -acum de propriété et le nom du propriétaire Manius « né le matin » ou Magnus « le Grand ». Ces noms latins étaient bien sûr portés par des personnages d'origine gauloise.
Le territoire de la commune comprend aujourd'hui sept hameaux[réf. nécessaire].
La commune est surtout marquée par l'histoire de l'abbaye de Port-Royal des Champs (à l'extrême ouest du territoire communal) qui accueillit des religieuses cisterciennes et fut un haut-lieu du jansénisme jusqu'en 1709, date de l'expulsion des religieuses par Louis XIV.
La commune présente encore quelques ruines de l'abbaye de Port-Royal. Au bout de la plaine de Trappes, dans un vallon retiré nommé Borroy, qui, en celtique, signifiait broussailles, et dont on fait Port-Roi, puis Port-Royal, Eudes de Sully, en 1204, avait réuni une communauté de religieuses, dotée par les plus puissants seigneurs du temps et dirigée en 1316 par Béatrix de Dreux, princesse de la maison royale ; le cloître avait été abandonné pendant les longues guerres civiles, et l'établissement, transféré à Paris, rue Saint-Jacques, lorsque, en 1630, l'abbesse Angélique Arnauld obtint que la communauté fût soustraite à l'ordre de Cîteaux et soumise à une règle nouvelle dont la base était l'adoration perpétuelle du Saint Sacrement.
Le mysticisme de la nouvelle doctrine, la réputation méritée de la fondatrice lui attirèrent de nombreux adeptes ; le couvent de Paris ne pouvant les contenir, on se souvint du vieux cloître des champs ; plusieurs pieux solitaires, presque tous parents ou admirateurs de la mère Angélique Arnauld s'y étaient retirés, pour y vivre en philosophes chrétiens dans l'étude et la méditation ; ils cédèrent les bâtiments de l'ancien monastère, qui furent réparés, à la sainte colonie de la rue Saint-Jacques, mais ils ne s'éloignèrent pas : la science et le talent de ces hommes vinrent rehausser la piété et la vertu des religieuses.Cet éclat leur devint funeste : les doctrines de Jansénius, qu'ils défendaient, furent attaquées et condamnées par le pape Clément XI. Louis XIV, guidé par les rivalités hostiles, exagéra, dans l'exécution, les rigueurs de la sentence : l'établissement fut rasé jusque dans ses fondements, et la persécution vint ajouter une nouvelle aura à la renommée de Port-Royal.
Il ne reste plus de l'abbaye que l'étang d'où sort le Rhodon, petit ruisseau qui se jette dans l'Yvette ; le moulin, le colombier, une partie des murs de clôture et des tourelles, les caves du petit palais que la duchesse de Longueville y avait fait construire, la fontaine d'Angélique Arnauld, et les fondations des murs de l'église avec la base des piliers et des colonnes. Dans un petit pavillon (XIXe) qui occupe l'emplacement du chevet de l'église, on a pieusement réuni une collection de plans, de gravures de l'ancienne abbaye, et des débris de tombes[11].
Du site d'origine, seuls restent debout la ferme (granges de Port-Royal), rattachée a posteriori (1709) et le bâtiment des Petites Écoles (XVIIe siècle), accueillant depuis 1962 le musée national des Granges de Port-Royal.
Depuis 2006 un groupement d'intérêt public culturel réunissant État et collectivités territoriales gère les deux sites et sert de structure juridique de gestion et de projets au musée national de Port-Royal des Champs.
Antérieurement à la loi du [12], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet après un transfert administratif effectif au .
Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1988 de la deuxième circonscription des Yvelines.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Chevreuse du département de Seine-et-Oise puis des Yvelines[13]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Maurepas.
La commune fait partie de la ville nouvelle organisée dans le cadre de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
31 janvier 1790 | Sixte Nicolas Desvignes | |||
13 novembre 1791 | Jean-Charles Destournelles | |||
Novembre 1792 | Germain Favry | |||
7 pluviôse, an II (26 janvier 1794) | Jean David | |||
22 ventôse, an III (12 mars 1795) | Germain Favry | |||
Mai 1808 | Marin Daix | |||
Mars 1813 | mars 1815 | Rameau | ||
1815 | 1830 | Marin Daix | ||
1830 | mai 1831 | L. Mazure | Démissionnaire | |
13 mai 1841 | L. Charles Mercier | Démissionnaire | ||
23 janvier 1852 | Benoît Joseph Flabaut | |||
1871 | 1885 | Claude Augustin Daix | ||
6 décembre 1885 | Louis Charles Justin Aubé | |||
18 novembre 1888 | 1896 | Amédée Louis Dartuis | ||
17 mai 1896 | 1905 | François Albert Guérard | ||
1905 | 1912 | René Stanislas Delafond | ||
1912 | 1919 | Pierre Émile Mauguin | ||
1919 | 1929 | Louis Étienne Daix | ||
1929 | 1935 | Jean Paul Bernard | ||
1935 | 1940 | Paul Weiss | Ingénieur et haut fonctionnaire, polytechnicien | |
1940 | 1944 | Abel Delalande | ||
août 1944 | novembre 1944 | Albert Pierret | Nommé à titre provisoire | |
1944 | 1947 | Maurice Girard[15] | PCF | |
1947 | 1971 | Baron Marcel de Hubsch | ||
mars 1971 | mars 1977 | Raymond Obel | Droite | |
mars 1977 | mars 1983 | Alain Le Vot | PCF | |
mars 1983 | mars 1989 | Jacques Lollioz | PS | Formateur enseignant |
mars 1989 | juin 1995 | Jacques Rivallier | UDF | |
juin 1995 | septembre 2012[16],[17] | Jacques Lollioz[18] | PS | Formateur enseignant retraité Démissionnaire |
septembre 2012[19] | En cours (au 23 juin 2019[20] Réélu pour le mandat 2020-2026) |
Bertrand Houillon | PS puis G·s[21] |
Directeur de communication 13e vice-président de Saint-Quentin-en-Yvelines CA (? → 2016) |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].
En 2019, la commune comptait 9 418 habitants[Note 3], en augmentation de 3,92 % par rapport à 2013 (Yvelines : +2,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
506 | 476 | 523 | 456 | 442 | 440 | 475 | 426 | 474 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
500 | 476 | 434 | 442 | 442 | 446 | 421 | 440 | 413 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
371 | 401 | 443 | 411 | 380 | 387 | 608 | 691 | 950 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 021 | 1 228 | 2 902 | 7 035 | 7 800 | 8 769 | 8 857 | 9 100 | 9 258 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
9 418 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,6 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 608 hommes pour 4 729 femmes, soit un taux de 50,65 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,3 | 90 ou + | 0,3 |
3,6 | 75-89 ans | 4,8 |
13,3 | 60-74 ans | 12,9 |
22,0 | 45-59 ans | 22,3 |
19,2 | 30-44 ans | 20,6 |
18,1 | 15-29 ans | 16,3 |
23,6 | 0-14 ans | 22,7 |
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
---|---|---|
0,6 | 90 ou + | 1,3 |
5,7 | 75-89 ans | 7,7 |
13,4 | 60-74 ans | 14,5 |
20,6 | 45-59 ans | 20,3 |
19,8 | 30-44 ans | 19,9 |
18,4 | 15-29 ans | 17 |
21,5 | 0-14 ans | 19,4 |
Deux centres commerciaux de taille moyenne se trouvent sur le territoire de la commune :
Quatre zones d'activités se trouvent sur le territoire communal[27] :
La commune accueille de grandes entreprises comme Hilti, Colas (siège social) et la Snecma au sein du parc de Mérantais. Un campus d'innovation du groupe Safran va être installé, à la suite du rachat des locaux occupés auparavant par Nortel, dans le parc des Jeunes Bois. L'entreprise Telehouse Europe s'est installée dans les anciens locaux de l'Aérospatiale (EADS) en centre bourg.
Il y a 28 clubs sportifs à Magny-les-Hameaux[28]. Par ailleurs, la commune dispose de nombreuses infrastructures sportives[29] :
On pourra également découvrir sur le site de l'abbaye de Port-Royal :
Verger, jardins potager, médicinal ou bouquetier sont animés par l'association des Amis du dehors, qui les entretient, y organise conférences, animations, et activités socio-pédagogiques ou jardinthérapie.
Les deux sites sont maintenant gérés par un groupement d'intérêt public culturel approuvé par le ministère de la Culture et de la Communication (arrêté du portant approbation de la convention constitutive d'un groupement d'intérêt public pour une durée de 7 ans MCCB0601035A[Quoi ?].
Fête de la musique concert à l'estaminet.
![]() |
Blason | Écartelé, au premier et au quatrième d'or à trois aiglettes de sable, au second d'azur à une chapelle d'argent ombrée de pourpre, au troisième d'azur aussi à une gerbe de blé d'or accompagnée d'un arbre de sinople en pointe. |
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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