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Méricourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais dans la région Hauts-de-France.

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Méricourt

La mairie.

Blason
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Lens
Intercommunalité CA de Lens-Liévin
Maire
Mandat
Bernard Baude
2020-2026
Code postal 62680
Code commune 62570
Démographie
Gentilé Méricourtois
Population
municipale
11 267 hab. (2019 )
Densité 1 496 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 24′ 11″ nord, 2° 52′ 00″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 63 m
Superficie 7,53 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Lens - Liévin
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Avion
Législatives 3e circonscription du Pas-de-Calais

Onzième circonscription

Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Méricourt
Géolocalisation sur la carte : France
Méricourt
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Méricourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Méricourt
Liens
Site web https://mairie-mericourt.fr/

    La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe 36 communes et compte 241 703 habitants en 2018.

    La Compagnie des mines de Courrières y a ouvert la fosse no 3 - 15, et la Compagnie des mines de Drocourt la fosse no 4 - 5. Celles-ci sont devenues de grands sièges de concentration, et ont fermé dans les années 1980.


    Géographie



    Description


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    La gare de Coron-de-Méricourt est desservie par des trains TER Hauts-de-France qui effectuent des missions, entre les gares de Lens et de Lille-Flandres, ou de Valenciennes, ou de Dourges.


    Communes limitrophes


    Communes limitrophes de Méricourt
    Sallaumines Fouquières-lès-Lens

    Billy-Montigny

    Avion Rouvroy
    Vimy Arleux-en-Gohelle Acheville

    Urbanisme



    Typologie


    Méricourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[4] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].


    Occupation des sols


    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (56,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (53,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (51,1 %), terres arables (43,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].


    Quartiers, hameaux et écarts


    La cité du Maroc est le plus grand quartier de la ville. On y trouve deux écoles, une place qui accueillait auparavant la fête foraine, un « city-stade » et le parc de la Croisette qui fait le bonheur des amateurs de football.


    Toponymie


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    Le nom de la localité est attesté sous les formes Menricurt (1115) ; Merlicurt (1119) ; Menricort (1154) ; Merricourt (1302) ; Mainricourt (1328) ; Menricourt (1387) ; Meuricourt (1449) ; Méricourt-en-Gohelle (XVIIIe siècle)[11].

    Le nom de « Méricourt » viendrait d'un nom d'origine germanique, Médéric, et du suffixe -court, dérivé du latin curtis, domaine.


    Histoire


    Avant la Révolution française, Méricourt est le siège d'au moins deux seigneuries : en 1585, un Antoine de Loueuse est dit seigneur de Cronevelt et de Méricourt en partie[12].

    La ville est desservie depuis 1860 par la ligne de Lens à Ostricourt, qui a favorisé son développement minier.

    La ville est considérée comme détruite à la fin de la Première Guerre mondiale[13] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [14].

    Articles connexes : Croix de guerre 1914-1918 des communes de la Somme et Reconstruction en France et en Belgique après la Première Guerre mondiale.

    En 1945, Méricourt accueille un camp de prisonniers allemands, qui seront progressivement réquisitionnés pour travailler dans les mines, et/ou dans les fermes : le , c'est le cas pour neuf cents prisonniers du camp[15].

    Article connexe : Camp d'internement français.

    Exploitation minière


    Articles détaillés : Fosse n° 3 - 15 des mines de Courrières et Fosse n° 4 - 5 des mines de Drocourt.
    Fosse no 3 en 1982
    Fosse no 3 en 1982

    La Fosse 3 des Mines de Courrières est ouverte à partir d', sur le faisceau des veines du puits no 2 et à l'ouest. La fosse est mise en exploitation en 1860. Le terrain houiller est atteint à 149,55 mètres. Le diamètre est de quatre mètres, le cuvelage possède vingt côtés (ou pans). Le maximum d'eau fourni par le niveau a été de cent hectolitres par minute. La houille contient 34 à 40 % de matières volatiles.

    La nécropole (le Silo) de Méricourt.
    La nécropole (le Silo) de Méricourt.

    Le puits no 15 est commencé en 1905. Alors que se déroule la catastrophe minière dite catastrophe de Courrières qui fit 1 099 morts le sur les territoires de Billy-Montigny, Méricourt, Noyelles-sous-Lens et Sallaumines, le puits n'est pas encore assez profond pour desservir les chantiers. Dès sa mise en service, le puits no 15 est entrée d'air, le puits no 3 assure le retour d'air.


    Années 1920


    Article détaillé : immigration polonaise dans le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.

    Après la catastrophe de Courrières de 1907, les communes voisines commencent à recruter des mineurs à l'étranger. Au début de l'année 1913, des familles polonaises s'installent à Méricourt, dans les vieilles cités appelées "Méricourt-Coron", selon le témoignage d'un mineur polonais de l'époque[16].

    Tout comme le reste du bassin minier, Méricourt a accueilli une part importante de l'immigration polonaise en France dans les années 1920.


    Seconde Guerre mondiale


    La ville est occupée par l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale, quand elle est placée sous administration militaire allemande.

    Article détaillé : grève des mineurs du Nord-Pas-de-Calais (1941).

    C'est dans la commune proche de Montigny-en-Gohelle, dans le Pas-de-Calais, à la fosse 7 de la Compagnie des mines de Dourges, que la grève patriotique des cent mille mineurs du Nord-Pas-de-Calais de mai-juin 1941 a démarré, avec Emilienne Mopty et Michel Brulé (1912-1942), privant les Allemands de 93.000 tonnes de charbon pendant près de 2 semaines[17]. C'est l'un des premiers actes de résistance collective à l'occupation nazie en France et le plus important en nombre, qui se solda par 414 arrestations en 3 vagues, la déportation de 270 personnes[18], 130 mineurs étant par ailleurs fusillés à la Citadelle d'Arras. Après-guerre, la commune est aussi au centre de trois événements nationaux, la "bataille du charbon" (1945-1947), suivie des grève des mineurs de 1947 et celles de 1948.


    Années 1950


    La fosse est modernisée en 1953. L'année suivante, la fosse no 4/11 est concentrée dessus. En 1963, des ingénieurs évoquent la possibilité de creuser un troisième puits sur le site, équipé d'une tour d'extraction semblable à Barrois no 1 et 2, au 10 d'Oignies ou au 19 de Lens, mais l'idée est abandonnée. En 1965, la fosse no 6/14 est concentrée, quatre ans plus tard, c'est au tour de la fosse no 5/12. En 1971, le chevalement et la recette du puits no 15 sont détruits, et remplacés par une nouvelle recette, et le chevalement du puits no 6 bis de Liévin.


    Années 1980


    La concentration fonctionne jusqu'en 1983, date à laquelle l'extraction est reprise par la fosse no 4 - 5 de Drocourt. Le puits no 15 est remblayé en 1983, il est profond de 840 mètres. Le puits no 3 assure le service pendant deux ans, puis il est remblayé en 1985. Il est lui profond de 757 mètres.

    Les deux chevalements sont détruits en 1988. Subsistent sur le site cinq bâtiments en 2011, les bains douches, les bureaux, le magasin, le poste électrique et les garages.


    Politique et administration



    Découpage territorial


    Article connexe : Arrondissements du Pas-de-Calais.

    La commune se trouvait dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais. Le , elle est rattachée à son arrondissement de Lens[19].


    Commune et intercommunalités

    Article connexe : Liste des intercommunalités du Pas-de-Calais.

    Méricourt est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette intercommunalité a adopté en 2004 la dénomination de communication de Communaupole, mais son nom officiel demeure communauté d'agglomération de Lens-Liévin.


    Circonscriptions administratives

    Articles connexes : Liste des cantons du Pas-de-Calais, Conseil départemental du Pas-de-Calais et Liste des conseillers départementaux du Pas-de-Calais.

    La commune faisait partie de 1793 à 1973 du canton de Vimy, année où elle intègre le canton d'Avion. En 1984, une partie de la commune est rattachée au canton de Rouvroy, le surplus restant dans celui d'Avion[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

    Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton d'Avion.


    Circonscriptions électorales

    Articles connexes : Liste des circonscriptions législatives du Pas-de-Calais et Liste des députés du Pas-de-Calais.

    Pour l'élection des députés, la commune fait partie à la fois de la troisième et de la onzieme circonscription du Pas-de-Calais, correspondant à la division des anciens cantons d'Avion et de Rouvroy.


    Élections municipales et communautaires


    Articles connexes : Élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais, Histoire des maires de France et Nomination des maires sous la Troisième République française.

    La commune a la particularité d'être sans discontinuer une municipalité communiste.

    Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Pas-de-Calais, la liste FG-PS menée par le maire sortant Bernard Baude obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 656 voix (51,25 %, 26 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires); devançant largement les listes menées respectivement par[21] :
    - Jean-François Delcroix (FN, 1 745 voix, 33,67 %, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
    - Daniel Sauty (UDI, 781 voix, 15,07 %, 2 conseillers municipaux élus).
    Lors de ce scrutin, 40,76 % des électeurs se sont abstenus.

    Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Pas-de-Calais.

    Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais, la liste PCF menée par le maire sortant Bernard Baude remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 376 voix (68,51 %, 29 conseillers municipaux, dont 4 communautaires), devançant très largement celles menées respectivement par[22] :
    - Laurent Dassonville (RN, 897 voix, 25,86 %, 4 conseillers municipaux élus) ;
    - Daniel Sauty (LR), 195 voix, 5,65 %, pas d'élus).
    Lors de ce scrutin, marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 59,19 % des électeurs se sont abstenus

    Article connexe : Élections municipales de 2020 dans le Pas-de-Calais.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1919 1924 Michel Richard[23] SFIO puis PCF Ouvrier mineur
    1924 1935 Georges Thernisien[24] PCF Marchand de vins
    1935 1939 Michel Richard PCF Ouvrier mineur
    Les données manquantes sont à compléter.
    1944 1945 Michel Richard PCF Ouvrier mineur
    Les données manquantes sont à compléter.
    1947 1953 Henri Hotte   Ouvrier mineur
    1953   Henri Bodart    
    1959   Henri Hotte   Ouvrier mineur, maire honoraire
    février 1970 avril 2002 Léandre Létoquart[25],[26] PCF Ouvrier électricien puis permanent politique
    Fils de Léandre Létoquart, député-maire d'Avion
    Conseiller régional du Pas-de-Calais (1983 → 1998)
    Démissionnaire
    avril 2002 En cours
    (au 6 juillet 2021)
    Bernard Baude PCF Ancien cadre chez les Pionniers de France
    Conseiller régional du Pas-de-Calais (? → 2015)[réf. nécessaire]
    Conseiller régional des Hauts-de-France (2021 → )
    Vice-président de la CA de Lens-Liévin (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2014-2020[27],[28]
    Réélu pour le mandat 2020-2026[29]

    Jumelages


    Articles connexes : Jumelage et coopération dans le Pas-de-Calais et Jumelages franco-allemands.

    La commune est jumelée avec :

    Jumelages et partenariats de Méricourt.
    Jumelages et partenariats de Méricourt.
    VillePays
    FlöhaAllemagne
    Tarnowskie GóryPologne

    Population et société



    Démographie



    Évolution démographique

    Articles connexes : Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[30],[Note 3]

    En 2019, la commune comptait 11 267 habitants[Note 4], en diminution de 3,77 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : 0 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    535486587658673648705736667
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    6566691 0821 6822 1902 3212 6262 8443 157
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 5933 5963 8051 6628 50110 4967 1878 74010 297
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    13 20013 41613 80613 27312 33011 72311 85811 81211 688
    2019 - - - - - - - -
    11 267--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,3 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

    En 2018, la commune comptait 5 425 hommes pour 5 921 femmes, soit un taux de 52,19 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

    Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,8 
    5,6 
    75-89 ans
    11,3 
    15,8 
    60-74 ans
    16,0 
    19,4 
    45-59 ans
    19,0 
    18,0 
    30-44 ans
    17,6 
    18,2 
    15-29 ans
    15,6 
    22,4 
    0-14 ans
    18,8 
    Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2018 en pourcentage[33]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,5 
    90 ou +
    1,5 
    5,4 
    75-89 ans
    8,9 
    15,9 
    60-74 ans
    17,3 
    20,2 
    45-59 ans
    19,4 
    19,1 
    30-44 ans
    18,2 
    18,6 
    15-29 ans
    16,3 
    20,3 
    0-14 ans
    18,3 

    Culture locale et patrimoine



    Lieux et monuments


    Vue de l'église Saint-Martin.
    Vue de l'église Saint-Martin.
    Le monument aux morts.
    Le monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune



    Héraldique


    Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

    d'azur aux deux terrils de sable, au chevalement de mine d'argent brochant sur le tout, posé sur une terrasse de gueules chargée d'une foi d'or, au franc canton cousu aussi de gueules chargé d'une roue d'engrenage d'argent surchargée d'un coupon de rail de sable.


    Pour approfondir


    Sur les autres projets Wikimedia :


    Bibliographie


     : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.


    Articles connexes



    Liens externes



    Notes et références



    Notes


    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2021, date de référence statistique : 1er janvier 2019.

    Références


    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lens - Liévin », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 252.
    12. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 8-9, lire en ligne.
    13. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    14. Journal officiel du 24 septembre 1920, p. 14066.
    15. Cent ans de vie dans la région, tome 3 : 1939-1958, La Voix du Nord éditions, hors série du 17 juin 1999, p. 47
    16. Mihout 1993, p. 128.
    17. "Chronique de la grève des mineurs du Nord/Pas-de-Calais (27 mai - 6 juin 1941)" par Etienne Dejonghe, Maître de conférences à l'Université de Lille III et président du Conseil scientifique de l'Association "Mémoire de l'Occupation et de la Résistance en Zone interdite", dans la Revue du Nord en 1987
    18. « Grève des mineurs du Nord-Pas-de-Calais », Chemins de Mémoire (consulté le )
    19. « Commune de Méricourt (62570) (commune actuelle) », Code Officiel Géographique (date de référence : 01/01/2021), sur https://www.insee.fr (consulté le ).
    20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    21. Résultats officiels pour la commune Méricourt
    22. « Pas-de-Calais (62) - Méricourt », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
    23. Yves Le Maner, notice RICHARD Michel, Léon, Eugène, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 27 décembre 2013.
    24. « THERNISIEN Georges », sur maitron.fr, .
    25. Christian Lescureux, « LÉTOQUART Léandre (fils) : Né le 9 février 1937 à Maroeuil (Pas-de-Calais) ; ouvrier électricien puis permanent ; membre du secrétariat de la fédération communiste du Pas-de-Calais, maire de Méricourt (Pas-de-Calais), conseiller régional du Nord Pas-de-Calais », Le Maitron en ligne, 20/3/2012 mis à jour le 25/4/2013 (consulté le ).
    26. « Léandre Létoquart, ancien maire de Méricourt est décédé : Méricourt La nouvelle a provoqué une vive émotion auprès des habitants », L'Avenir de l'Artois, (lire en ligne, consulté le ) « Il avait fêté ses 80 ans en février dernier. Il s’était retiré de la vie politique après avoir passé la main à Bernard Baude, en 2002. Élu depuis 1970 dans sa commune, il a présidé durant 32 années le conseil. En 1986 il a été tête de liste au conseil régional. Son mandat a été renouvelé en 1992 ».
    27. « Méricourt: Bernard Baude réélu face à une nouvelle opposition, le FN : Dimanche matin, le maire communiste Bernard Baude a officiellement reçu de nouveau l’écharpe de premier magistrat. Lui qui a fait taire les ambitions d’un FN pourtant confiant en étant élu dès le premier tour avec 51,25 % des suffrages, devra désormais composer avec ces élus d’opposition. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    28. Céline Debette, « Méricourt: le maire compte bien mener à terme le projet «fou» d’une grande cuisine pédagogique : La démocratie participative a guidé chacun de ses mandats. Et ce n’est pas près de changer. Le maire de Méricourt continue de la mettre en place pour mener à bien les projets de ces six prochaines années. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    29. Élise Forestier, « Méricourt: le conseil municipal installé, premières joutes avec l’opposition RN : Ce mercredi soir, salle Jean Vilar, la ville installait son conseil municipal et son maire, Bernard Baude, dans ses fonctions », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018 et 2019.
    32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Méricourt (62570) », (consulté le ).
    33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
    34. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 9, lire en ligne.

    На других языках


    [de] Méricourt (Pas-de-Calais)

    Méricourt ist eine französische Gemeinde mit 11.267 Einwohnern (Stand 1. Januar 2019) im Département Pas-de-Calais der Region Hauts-de-France. Sie gehört zum Arrondissement Lens und zum Kanton Avion.

    [en] Méricourt, Pas-de-Calais

    Méricourt (French pronunciation: ​[meʁikuʁ]) is a commune in the Pas-de-Calais department in the Hauts-de-France region of France.[3]
    - [fr] Méricourt (Pas-de-Calais)

    [ru] Мерикур (Па-де-Кале)

    Мерикур (фр. Méricourt) — коммуна во Франции, регион О-де-Франс, департамент Па-де-Кале, округ Ланс, кантон Авьон. Пригород Ланса, находится в 5 км к юго-востоку от центра города, в 5 км от автомагистрали А21 «Рокада Миньер».



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