Luc-sur-Mer est une commune française située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 3 213 habitants[Note 1].
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La commune de Luc-sur-Mer se situe au sud de la baie de Seine, au cœur de la Côte de Nacre, aux confins nord du Bessin et de la plaine de Caen, au nord du Calvados. Son bourg est à 2,5 km au nord-est de Douvres-la-Délivrande, à 9 km au nord-ouest d'Ouistreham et à 15 km au nord de Caen[1]. Le territoire communal est au croisement de trois unités paysagères: un espace littoral et balnéaire, un espace rural et un espace périurbain.
Le point culminant (33 m) se situe en limite sud, près du lieu-dit le Bout Varin. Bien que la commune soit littorale, l'IGN considère que le point le plus bas est à 4 m correspondant à la hauteur de digue.
La biodiversité marine a été suivie sur ce secteur par de nombreux universitaires depuis plusieurs décennies. Elle était élevée, mais est en déclin. Les bioindicateurs d'eutrophisation et de dégradation de la qualité des habitats se font plus nombreux[3]. La biodiversité marine serait la moins dégradée sur la plage d'Agon-Coutainville (plage dangereuse et interdite à la baignade) avec des espèces de substrat meubles et durs et des laisses de mer. Les reliques d'un herbier de zostères y persistaient encore au début des années 2000, en bas de la plage.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]
Moyenne annuelle de température: 11°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 0,3 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Sallenelles», sur la commune de Sallenelles, mise en service en 2004[10] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[11],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,2°C et la hauteur de précipitations de 715,8 mm pour la période 1981-2010[12].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], «Caen-Carpiquet», sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 16 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,9°C pour la période 1971-2000[14] à 11,2°C pour 1981-2010[15], puis à 11,5°C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Luc-sur-Mer est une commune urbaine[Note 7],[17]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[18],[19].
Elle appartient à l'unité urbaine de Luc-sur-Mer, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[20] et 9 701 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[21],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].
La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[25]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[26],[27].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,4% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (50,5%), zones urbanisées (41,5%), prairies (5,9%), zones humides côtières (2,1%)[28].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[29].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Lu en 1077 (charte de Saint-Étienne)[30], Luques en 1675 (carte de Petite)[31].
Ce toponyme serait issu de l’ancien français *luc, «bois», attesté sous la forme luz[32], terme issu du latin lucus, «bois sacré».
Le gentilé est Lutin.
Histoire
Edgar Audra: une cabane de plage à Luc-sur-Mer (1904, musée de Normandie).
Luc-sur-Mer a connu une occupation humaine dès le Néolithique, ainsi qu'en atteste le mobilier trouvé dans les deux premières décennies du XXesiècle par Edmond Hue, ancien maire de la commune et fondateur de la Société Préhistorique Française, dans le cadre de ses recherches le long du vallon du ruisseau du Luc: couteaux, lames, grattoirs, percuteurs et pierres de jet. De petite taille et très retouchés, ces outils préhistoriques témoignent, selon leur inventeur, de la rareté de la matière première (silex) sur le bord de mer[33]. Il est vraisemblable que Luc fut un centre important d'occupation à l'époque romaine et Edmond Hue a mis au jour en 1905 un four à briques sur une coupe de la falaise à l'est de la Brèche du Corps de Garde[34].
Une nécropole mérovingienne a été découverte en février 1936, rue du Parc, comportant plusieurs sarcophages de pierre[35]
Aux XVIIIe et XIXesiècles, Luc est une commune habitée par des cultivateurs et par des marins-pêcheurs et leurs matelots, ainsi qu'en témoigne la Monographie communale rédigée par l’instituteur de Luc-sur-Mer dans la dernière décennie du XIXesiècle[36]. Réputée pour la fertilité de ses sols légèrement siliceux, que les engrais maritimes récoltés sur le rivage viennent enrichir, la commune pratique la culture maraichère et compte 252 exploitations agricoles à la fin du XIXesiècle. Les propriétés, très morcelées, sont de petite taille, atteignant à peine 10ha pour les plus importantes. Au milieu du XIXesiècle, l'activité de la pêche bat son plein, avec près de 200 marins se livrant à la pêche au maquereau et au hareng. Les opérations de saurissage et de salaison qui en découlent occupent plus de 300 personnes. A cette période d'apogée, Luc compte 11 bateaux d'environ 400 tonneaux qui emploient 350 hommes d'équipage pour le trafic avec le port du Havre, principal débouché de la pêche lutine.
Le fut créée à Luc une manufacture de dentelles, placée sous la direction de deux institutrices, que devaient fréquenter toutes les filles de la commune pour y apprendre à lire, à écrire et à filer de la dentelle. En 1836, la commune compte 511 dentellières et fileuses. Au recensement de 1901, les dentellières et fileuses ont disparu[37].
Durant le XIXesiècle, Luc a participé à la défense côtière du Calvados. S'y trouvait en effet une redoute, dénommée le Fort de la Vigie, qui sera détruite en 1884. Cette redoute repoussa les assauts des Anglais de 1807 à 1815 mais fut impuissante face aux Prussiens qui réussirent à débarquer le et ne reprirent la mer qu'en février 1816.
Bien que située sur un terrain plat bien aéré, la commune sera ravagée par deux fois par le choléra, en 1832 et en 1849[36].
En 1839, Luc-sur-Mer cède le hameau de la Délivrande à la commune de Douvres (qui prendra en 1961 le nom de Douvres-la-Délivrande)[38],[39].
Le village, à dominante agricole, se développe dans les terres à l'écart du littoral (actuel vieux Luc), à l'exception du hameau du Petit Enfer. À partir des années 1840, la mode des bains de mer se développe, ce qui fait de Luc la doyenne des stations balnéaires de la Côte de Nacre[40]. Toutefois, Luc était fréquenté par l'aristocratie parisienne, les artistes et les familles anglaises dès 1820, qui le préférait à Dieppe, réservée aux bourgeois. Ce serait à George Brummel que Luc doit son premier établissement de bains chauds et de varech frais, fondé en 1859, en annexe au premier casino. La station balnéaire avait alors pour slogan[41]:
«Le frais varech de Luc, tel un bain de jouvence,
Rajeunit le vieillard et fortifie l'enfance.»
À partir de 1875, Luc est connecté au réseau de chemin de fer par la ligne de Caen à la mer, qui part de la gare Saint-Martin au centre de Caen. Cette ligne est fermée au sortir de la Seconde Guerre mondiale.
En , la plage de Luc fait partie de Sword Beach, mais les récifs côtiers gênant le débarquement, l'essentiel des troupes affiliées à Sword débarqueront vers la Brèche d'Hermanville[42]. En 1945, avec l'arrivée massive de Caennais sinistrés, la commune voit sa population doubler[37].
Politique et administration
La mairie côté parc de la Baleine.La mairie côté rue de la Mer.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans le Calvados.
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].
En 2019, la commune comptait 3 213 habitants[Note 9], en augmentation de 2,03% par rapport à 2013 (Calvados: +0,72%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
960
1 524
1 709
1 865
1 969
2 007
1 598
1 645
1 703
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 620
1 580
1 563
1 520
1 468
1 450
1 406
1 277
1 286
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 261
1 294
1 236
1 199
1 185
1 283
1 292
2 582
2 157
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
1 931
1 976
2 392
2 609
2 902
3 036
3 186
3 065
3 182
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
3 213
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[49].)
Manifestations culturelles et festivités - Luc Animation
Luc sur Mer Tribute Fest: tous les ans, ce festival de musique ouvre la saison estivale de la commune. Des Tributes Bands se succèdent sur scène devant près de 10 000 festivaliers (sur deux jours). Un rendez-vous désormais ancré chez les lutins.
Noël en Lumière: Tous les ans, le Parc de la Baleine (Parc de l'Hôtel de Ville) se transforme pour devenir un lieu féerique. Illuminations, déambulations et village de noël font vivre le parc le temps d'un weekend.
Festival de voltige aérienne: Il y a quelques années, en été, des démonstrations d'aéronefs civils et militaires étaient effectuées au-dessus de la mer. Cet événement a été créé en 1997 à l'initiative de la mairie et du casino.
Économie et tourisme
Depuis , Luc-sur-Mer est dénommée «station balnéaire classée de tourisme»[51].
La commune est une ville fleurie (trois fleurs) au concours des villes et villages fleuris[52].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Quentin est du XIXesiècle à l'exception de son clocher disjoint hérité de l'ancienne église et qui date du XIIesiècle. Ce clocher est classé au titre des monuments historiques[53].
La croix du cimetière daterait de 1662. Elle fait l'objet d'un classement au titre des Monuments historiques[54].
La chapelle Notre-Dame de l'Espérance (23, rue de la Mer), appelée aussi chapelle "des baigneurs"[55], a été édifiée dans le style néogothique sur l'emplacement d'une ancienne chapelle votive vers 1865 par l'abbé Pierre Frédéric Vengeon, curé de la paroisse de 1850 à 1883 et inhumé dans l'abside. Cette chapelle, rénovée en 1958, présente un mobilier contemporain original: une statue de la Vierge taillée dans une bûche de bois, due au ciseau de Lydia Luzanowski, artiste ukrainienne née à Kiev en 1899, qui fut présente à la bénédiction de son œuvre le ; un autel en pierre de Berchères[Note 10] conçu par Jean Ransart, une grille en fer forgé due au ferronnier Jacques Briand, ainsi que des vitraux abstraits réalisés en 1957 par le maître-verrier Gérard Lardeur[56],[57]. L'icône de la Vierge accrochée au pilier nord du transept est l’œuvre de Roger Blanchard, artiste-peintre qui s'installa dans la commune en 1995[Note 11].
Les falaises de Luc-sur-Mer, site classé en 1976[58].
Menhir de la Pierre de Luc, propriété de la Société préhistorique française.
La jetée fut montée en 1971 venant de Ouistreham dans le prolongement du lieu appelé «Brèche Marais».
Un squelette de baleine, échouée sur la plage en limite de Luc-sur-Mer et Langrune-sur-Mer en [59], est exposé dans le parc municipal au musée de la «Maison de la Baleine»[60].
La station marine du Centre régional d'études côtières (Université de Caen-Normandie) est installée à Luc depuis 1880
Casino de l'architecte caennais Auvray, inauguré en 1956.
Château de Mathan, gravement endommagé pendant la Seconde Guerre mondiale et détruit peu après.
L'église Saint-Quentin.
L'église Saint-Quentin.
L'église Saint-Quentin. Vue sud-est.
La jetée des pêcheurs.
La jetée des pêcheurs en hiver.
L'ancienne gare de Luc-sur-Mer.
Les cabines sur la digue.
Le menhir.
La baleine.
Le château de Mathan.
Personnalités liées à la commune
Xavier Deluc (1958-), acteur, tire son pseudonyme de Luc-sur-Mer qu'il apprécie particulièrement.
Aurélien Wiik (1980-), acteur, y passa une partie de son enfance.
Luc-sur-Mer dans les arts
Cinéma
Gérard Depardieu, Jeanne Moreau et Patrick Dewaere mangent un plateau de fruits de mer au Salon de thé de la Digue sur la place de Petit-Enfer dans le film Les Valseuses de Bertrand Blier, sorti en 1974[61]. L'année précédente, cette séquence —pourtant courte— a nécessité trois jours de tournage[62].
Patrick Dewaere plonge, nu, de la jetée sous les yeux de Brigitte Fossey et Jacques Dufilho dans le film Un mauvais fils de Claude Sautet, sorti en 1980.
Adulte, le personnage principal —interprété par Jean Rochefort— du film Le Mari de la coiffeuse de Patrice Leconte, sorti en 1990, se souvient, qu'enfant —celui-ci étant interprété par Henry Hocking— sa mère l'obligeait à porter des slips de bain en laine sur la plage de Luc-sur-Mer[63].
Littérature
Dans le roman Au-dessous du volcan de Malcolm Lowry, paru en 1947, le héros Geoffrey Firmin, consul britannique, séjourna à Luc dans sa jeunesse.
Héraldique
Les armes de la commune de Luc-sur-Mer se blasonnent ainsi: Taillé: au premier de gueules aux deux lions léopardés d'or passant l'un sur l'autre, soutenus et adextrés d'une lettre L capitale du même, au second d'azur au drakkar d'argent accompagné d'une coquille du même en pointe [64].
Les deux lions léopardés d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.
Bibliographie
Edmond Hue, 8 articles parus entre 1909 et 1936 sur l'histoire antique de Luc-sur-Mer dans le Bulletin de la Société Préhistorique française.
René Streiff, Luc-sur-Mer, doyenne des cités balnéaires de la Côte de Nacre, article dans Études nornandes, tome XLIX, 1964.
Collectif, Luc-sur-Mer au fil du temps, Office du tourisme de Luc-sur-mer et éditions Maury, 1995. (ISBN2-9509555-0-9). 190 pages illustrées de documents et reproduction de cartes postales en noir et blanc.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
calcaire ayant servi à la construction de la cathédrale de Chartres en l'an 1020.
cf notice affichée par la paroisse sur le vantail intérieur de la porte de l'édifice.
Voir document cité en lien externe du Département de zoologie et de biologie animale, de septembre 2004
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Larousse, .
Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du Calvados: comprenant les noms de lieu anciens et moderne, Impr. nationale (Paris, (lire en ligne), p.174.
René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223p. (ISBN2-86253-247-9), p.1213.
Edmond Hue, «L'âge de la Pierre aux environs de Luc-sur-Mer (Calvados)», Bulletin de la Société préhistorique française, vol.11, no9, , p.419–430 (DOI10.3406/bspf.1914.7080, lire en ligne, consulté le )
Edmond Hue, «Luc-sur-Mer néolithique et romain», Bulletin de la Société préhistorique française, vol.33, no7, , p.457–480 (DOI10.3406/bspf.1936.4479, lire en ligne, consulté le )
Luc-sur Mer au fil du temps, éditions Maury, 1995, pages 23 et 24.
Sandie Brémond, «La villégiature balnéaire sur la Côte de Caen au XIXesiècle: représentations à travers les guides touristiques et les journaux balnéaires», In Situ [En ligne], no24-2014, mis en ligne le 9 juillet 2014 [lire en ligne]
René Streiff, «Luc-sur-Mer, doyenne des stations balnéaires de la côte de Nacre», Études Normandes, vol.49, no164, , p.1–8 (DOI10.3406/etnor.1963.3200, lire en ligne, consulté le )
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