Lignan-sur-Orb est une commune française située dans le sud du département de l'Hérault en région Occitanie. Les habitants de Lignan-sur-Orb sont les lignanaises et les lignanais.
Lignan-sur-Orb | |
![]() Statue de la Vierge à l'Enfant | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Hérault |
Arrondissement | Béziers |
Intercommunalité | Béziers Méditerranée |
Maire Mandat |
Catherine Montaron-Sanmarti 2022-2026 |
Code postal | 34490 |
Code commune | 34140 |
Démographie | |
Gentilé | Lignanais, Lignanaises |
Population municipale |
3 218 hab. (2019 ![]() |
Densité | 944 hab./km2 |
Population agglomération |
93 623 hab. (2019) |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 23′ 05″ nord, 3° 10′ 16″ est |
Altitude | Min. 9 m Max. 86 m |
Superficie | 3,41 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Béziers (banlieue) |
Aire d'attraction | Béziers (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Béziers-2 |
Législatives | Sixième circonscription |
Localisation | |
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Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Orb et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Lignan-sur-Orb est une commune urbaine qui compte 3 218 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Béziers et fait partie de l'aire d'attraction de Béziers. Ses habitants sont appelés les Lignanais ou Lignanaises.
Les communes limitrophes sont Thézan-lès-Béziers, Corneilhan, Béziers et Maraussan.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cazouls-les-Beziers », sur la commune de Cazouls-lès-Béziers, mise en service en 1980[6]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,8 °C et la hauteur de précipitations de 691,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 43 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[13] : la « vallée de l'Orb » (634 ha), couvrant 8 communes du département[14].
Lignan-sur-Orb est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[I 1],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béziers, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[I 2] et 93 623 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 5],[I 6].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (45,2 %), cultures permanentes (37,5 %), terres arables (9,3 %), forêts (5,3 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Lignan-sur-Orb est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Béziers-Agde, regroupant 15 communes duautour des basssins de vie de Béziers et d'Agde, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[20], retenu au regard des submersions marines et des débordements de cours d’eau, notamment d'ouest en est, de l'Orb, du Libron et de l'Hérault. Les crues historiques antérieures à 2019 les plus significatives sont celles du , un épisode généralisé sur la quasi-totalité du bassin, et du , un épisode cévenol en partie supérieure du bassin. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[21]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1984, 1986, 1987, 1992, 1994, 1995, 1996, 1997, 2014 et 2019[22],[18].
Lignan-sur-Orb est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 7],[23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 370 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 370 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
La commune est en outre située en aval du Barrage des monts d'Orb, un ouvrage de classe A[Note 8] sur l'Orb, mis en service en 1961 et disposant d'une retenue de 30,6 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[27].
En occitan, la commune se nomme Linha d'Òrb.
Lignan fut conquis en 120 par les Romains et reçut une colonie en 52 avant Jésus-Christ. Plus tard la civilisation chrétienne fut introduite par saint Aphrodise, le premier évêque de Béziers. Prise en 416 par les Wisigoths, la localité possède un sarcophage de cette époque. Lignan fut l’objet de terribles combats, non seulement de la fureur des Wisigoths, mais aussi de Sarrasins en 725. Détruite onze ans plus tard, par Charles Martel en 736. Entre 780 et 844, Charlemagne et ses successeurs voulaient effacer les conséquences des invasions et des guerres qui suivirent, prirent des mesures pour assurer la remise en culture des terres abandonnées par les guerres. C’est alors que le , Louis le Débonnaire donne un diplôme en faveur des Espagnols fugitifs s’étant réfugiés à Lignan. Les terres de Lignan furent concédées à ces Espagnols qui occupèrent le village en travaillant avec ardeur à sa reconnaissance.
Les évêques de Béziers s’établirent en 924 à Lignan. Et nous retrouvons dans les archives que le Guillaume successeur de Rainard II, vicomte de Béziers, et sa femme Armentrude dotent le diocèse de Béziers du domaine de Lignan, avec ses dépendances, afin que les revenus servent à la construction de la cathédrale Saint-Nazaire.
Plus tard, peu avant la guerre de Cent Ans, en 1358, Jean de Grailly, dit capitaine de Buch s’avança avec ses troupes jusqu’à Lignan. En 1360, le traité de Brétigny mets la frontière anglaise à 10 lieues de notre village de Lignan. C’est alors que les Grandes compagnies commencèrent leurs invasions dévastatrices… Aussi, en 1361, Lignan devient une base de leurs opérations. Les troupes séjournent à Lignan durant plusieurs années !…tenant Béziers en perpétuelles alertes ! Lignan étant un point stratégique de très haute importance ! Le vicomte de Béziers, Hugues de la Juque las de cet état des choses, avec l’aide de son sénéchal de Carcassonne, lèvent les troupes pour reprendre le château de Lignan aux Routiers ! Ceux-ci commencèrent à partir en échange de dix mille florins, laissant le pays de Lignan dans une grande misère. Un an après, en 1364, celle-ci s’aggrave encore, par un hiver vigoureux qui sévit, les bords de l'Orb, gelèrent les oliviers et les vignes qui furent détruites.
Pareilles calamités se renouvelèrent au cours des siècles, Lignan toujours se relève, mais plus tard, en 1562, Lignan fut ravagé par les guerres de religion. Les protestants et les catholiques y soutinrent tour à tour, des sièges acharnés. Il fut pris et repris jusqu’à trois fois. Joyeuse ne s’en empara définitivement que le et ne put s’y maintenir qu’un an ! Ce fut le que les catholiques en devinrent maîtres grâce à l’édit d’Amboise qui suspendit les hostilités. Notons que Lignan est également citée dans les périodes prospères, comme un domaine de choix aux produits réputés. Ainsi, sous le règne d’Henri IV, la nouvelle reine, Marie de Médicis remercie dans une lettre datée de 1604, l’évêque de Bonsi d’un envoi d’huile et de fruits récoltés dans le domaine de Lignan !…
Lignan sera évoqué lors de la Révolution française, l’ordonnance mettant les biens ecclésiastiques à la disposition de la Nation. C’est ainsi que dépossédé de son dernier propriétaire, monsieur Nicolaë 81e évêque de Béziers, le mobilier du château se vendit le . L’argenterie seule fut sauvée par les nouveaux acquéreurs. Signalons que l’empereur des Français accorda les armoiries spéciales pour Lignan.
En 1800, la commune se dote d'armoiries, encore conservées de nos jours, soit « d'hermine au sautoir losangé d'or et de gueules ».
Avant la fin du XIXe siècle, Vincent Tartot alors maire permet à la commune de connaître un premier essor économique grâce à la construction de la gare acheminant le transport des vins de Béziers et de Faugères. Sa demeure, le château du Bosc et une pompe à incendie sont d'autres vestiges qui restent de cette époque.
Dès 1928, Lignan devient Lignan-sur-Orb, avec un peu moins de 300 habitants. Vers 1940, la commune voit arriver des réfugiés fuyant l'Espagne franquiste, et durant ces quarante dernières années, de nouveaux arrivants le plus souvent de Béziers et de ses environs viennent augmenter les rangs des Lignanais. La ville a dû rapidement maîtriser son urbanisation (eau, assainissement, station d'épuration, voies de circulation) et améliorer les équipements scolaires, sportifs et culturels.
(Historique de Mme Régine Gout sur le site de la commune)
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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février 1970 | mars 2001 | Paul Mas[28] | ||
mars 2001 | mars 2014 | Alain Sénégas | DVD | |
mars 2014 | septembre 2022 | Jean-Claude Renau | DVG | |
septembre 2022 | En cours | Catherine Montaron-Sanmarti | ||
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2019, la commune comptait 3 218 habitants[Note 9], en augmentation de 10,13 % par rapport à 2013 (Hérault : +7,63 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
287 | 332 | 338 | 335 | 347 | 354 | 329 | 330 | 301 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
298 | 305 | 331 | 286 | 327 | 376 | 509 | 442 | 449 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
445 | 450 | 454 | 473 | 454 | 452 | 397 | 347 | 386 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
482 | 654 | 1 081 | 1 867 | 2 543 | 2 839 | 2 932 | 2 888 | 3 097 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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3 218 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, la commune compte 1 403 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 3 304 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 480 €[I 7] (20 330 € dans le département[I 8]). 47 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 11] (45,8 % dans le département).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 6,8 % | 8,8 % | 8,7 % |
Département[I 10] | 10,1 % | 11,9 % | 12 % |
France entière[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 904 personnes, parmi lesquelles on compte 71,6 % d'actifs (63 % ayant un emploi et 8,7 % de chômeurs) et 28,4 % d'inactifs[Note 12],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Béziers, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 431 emplois en 2018, contre 355 en 2013 et 435 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 211, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,7 %[I 13].
Sur ces 1 211 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 233 travaillent dans la commune, soit 19 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 89,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 4,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
273 établissements[Note 13] sont implantés à Lignan-sur-Orb au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 273 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 13 | 4,8 % | (6,7 %) |
Construction | 60 | 22 % | (14,1 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 52 | 19 % | (28 %) |
Information et communication | 7 | 2,6 % | (3,3 %) |
Activités financières et d'assurance | 12 | 4,4 % | (3,2 %) |
Activités immobilières | 26 | 9,5 % | (5,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 23 | 8,4 % | (17,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 52 | 19 % | (14,2 %) |
Autres activités de services | 28 | 10,3 % | (8,1 %) |
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22 % du nombre total d'établissements de la commune (60 sur les 273 entreprises implantées à Lignan-sur-Orb), contre 14,1 % au niveau départemental[I 17].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[33] :
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 29 | 21 | 9 | 5 |
SAU[Note 15] (ha) | 210 | 165 | 44 | 28 |
La commune est dans la « Plaine viticole », une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est la culture de légumes ou champignons[Carte 4]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 17] (29 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 28 ha[36],[Carte 5],[Carte 6].
![]() |
Blason | D'hermine, au sautoir losangé d'or et de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Fête locale : 3e week-end de juillet
Les Maïerolles : Le dernier dimanche de Mai. La tartugo de Lignan.
Le sentier du Bladier : du seuil de Tabarka au parc du Château.
L'ile de Tabarka proche de la rivière l'Orb.
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