Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le ruisseau de Bagnols et par divers autres petits cours d'eau.
Elle appartient à la communauté d'agglomération Béziers Méditerranée.
Corneilhan est une commune rurale qui compte 1 724 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Béziers. Ses habitants sont appelés les Corneilhanais ou Corneilhanaises.
Géographie
Carte
Le village de Corneilhan est ancien castrum situé sur un mamelon en forme de pain de sucre[Quoi ?] dont le point culminant est à 133 mètres. Cette commune se situe à 7,7 km au nord de Béziers, à mi-distance des rivières Orb et Libron. Le village est desservi par le car régional Lio et la ligne 10 de bus Beemob (communauté d'agglomération Béziers Méditerranée).
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[1].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 14,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 13,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 5,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 2,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Murviel Les Beziers», sur la commune de Murviel-lès-Béziers, mise en service en 1990[6]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[7],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,9°C et la hauteur de précipitations de 675,5 mm pour la période 1981-2010[8].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Sete», sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 41 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15°C pour la période 1971-2000[10], à 15,4°C pour 1981-2010[11], puis à 15,8°C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].
Urbanisme
Typologie
Corneilhan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[I 1],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,5% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,9%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
cultures permanentes (83,8%), zones urbanisées (5,9%), zones agricoles hétérogènes (5,7%), forêts (2,4%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,3%)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Corneilhan est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].
Corneilhan est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6],[21].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Corneilhan.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (59,3% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 783 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 783 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100%, à comparer aux 85% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1994, 1996, 2014 et 2019.
Toponymie
Attestée sous les formes villa Corneliano (975), 'in villa Corneliano, ecclesia S. Leoncii (après 1010), terminio de Corneliano (1071), de Cornilhano (1344), Cornillan (1643).
Provient du nom d'un domaine gallo-romain, gentilice latin Cornelius et du suffixe -anum qui signifie: « la terre de Cornelius »[24].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].
En 2019, la commune comptait 1 724 habitants[Note 7], en augmentation de 0,88% par rapport à 2013 (Hérault: +7,63%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
595
574
614
641
732
721
710
668
643
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
607
633
635
645
678
667
706
731
835
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 012
1 038
1 053
1 024
944
1 035
939
866
878
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
951
1 017
1 136
1 265
1 363
1 536
1 494
1 622
1 715
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
1 724
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 753 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 707 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 410 €[I 4] (20 330 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 001 personnes, parmi lesquelles on compte 77,1% d'actifs (67,6% ayant un emploi et 9,4% de chômeurs) et 22,9% d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui de la France.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Béziers, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 249 emplois en 2018, contre 207 en 2013 et 184 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 682, soit un indicateur de concentration d'emploi de 36,5% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,6%[I 10].
Sur ces 682 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 147 travaillent dans la commune, soit 22% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 87,5% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,1% les transports en commun, 4,7% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,7% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
124 établissements[Note 10] sont implantés à Corneilhan au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
124
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
8
6,5%
(6,7%)
Construction
26
21%
(14,1%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
24
19,4%
(28%)
Information et communication
1
0,8%
(3,3%)
Activités financières et d'assurance
3
2,4%
(3,2%)
Activités immobilières
5
4%
(5,3%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
25
20,2%
(17,1%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
13
10,5%
(14,2%)
Autres activités de services
19
15,3%
(8,1%)
Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21 % du nombre total d'établissements de la commune (26 sur les 124 entreprises implantées à Corneilhan), contre 14,1% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[33]:
Bonnet Freres, travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment (202 k€)
Isoplus, travaux de plâtrerie (135 k€)
Fortunea, agences immobilières (25 k€)
Thiflo & Co, activités des sociétés holding (18 k€)
Fortunimmo, autres activités auxiliaires de services financiers, hors assurance et caisses de retraite, n.c.a. (5 k€)
Agriculture
La commune est dans la «Plaine viticole», une petite région agricole occupant la bande côtière du département de l'Hérault[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la viticulture[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 133 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 110 en 2000 puis à 79 en 2010[36] et enfin à 60 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 55% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67% de ses exploitations[37],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 992 ha en 1988 à 623 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 7 à 10 ha[36].
Culture et festivités
Vie locale avec des clubs d'activités culturels ou sportifs[réf.nécessaire].
Sociétés sportives. École de football et de rugby. École de tennis[réf.nécessaire].
Fête locale: tous les débuts du mois de juillet (4 jours)[réf.nécessaire].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Vestiges préhistoriques et antiques:
villas romaines à Saint-Sernin, Rouet, Le Mouillou, Mazassi-le-Vieux, Peilhan, La Jasse, Les Carniès;
four de poterie romain aux Maisons Neuves;
tronçons de l'aqueduc romain de Béziers.
Tombes wisigothiques à La Garriguette.
Pont de Fabrégat, construit en 1755, sur le tracé d'une voie romaine.
Fontaine de 1781, avec façade à pilastres et niche.
Église Saint-Léonce de Corneilhan datant de 1869: grille de communion et maître-autel 18e siècle, crédence avec armoiries.
Chapelle Sainte-Marie de Corneilhan.
Monument aux morts construit en hommage aux soldats durant la Première Guerre mondiale. Les artistes qui ont construit ce monument s'appellent Louis Paul (1854-1922) et Jean-Baptiste Blattes (1877-1966) et le monument est inauguré le 11 Novembre 1923[38]. Il est composé de deux éléments principaux: un Poilu sur le point de mourir et une femme au-dessus de lui qui pourrait selon Alain Choubard être une allégorie de la «Vie»[38]. Les femmes sculptées apparaissent souvent sur les monuments aux morts et représentent la réaction douloureuse à la mort du soldat. Ici cette douleur est manifestée très fortement selon Oddon Abbal. En effet la femme est nue, «affiche sa douleur sans retenue»[39], et permet ainsi selon Abbal d'humaniser l'ensemble sculpté.
Galerie
La partie historique du village construite sur une colline. Aperçu de l'église Saint-Léonce
Place du centre du village: carte postale (1913).
Monument aux morts de Corneilhan construit après la première guerre mondiale.
Survolez une image pour afficher sa légende; survolez la légende pour l'afficher en entier si elle est tronquée.
Personnalités liées à la commune
Sainte Céronne: née en 410 à Corneilhan, au sein d'une famille noble et païenne, elle se convertit au christianisme. Elle s'en fut dans le diocèse de Sées où l'évêque saint Hile l'accueillit. Une chapelle dans l'église Saint-Léonce du village lui est dédiée. Une localité garde sa mémoire: Sainte-Céronne-lès-Mortagne dans l'Orne;
Monseigneur Félix de Las Cases: évêque de Constantine (département de Constantine, Algérie) de 1867 à 1870 est inhumé au cimetière de Corneilhan.
André Jules Chaussouy. né à Corneilhan le 1er septembre 1893. Études à Béziers. Licencié en droit et en sciences politiques, Obtient son doctorat en économie ainsi qu’une licence de lettres. Félibre. Recueil de poèmes Occitans. Thèse sur les manifestations viticoles de 1907. Il meurt le 23 mars 1915 à l’âge de 21 ans. Dans les tranchées de Beauséjour[40] tué par un obus allemand.
Notes et références
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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