Labarthe-Inard est une commune française située dans l'ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
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Labarthe-Inard | |
![]() La mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Haute-Garonne |
Arrondissement | Saint-Gaudens |
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur et Coteaux du Comminges |
Maire Mandat |
Jacques Albenque 2020-2026 |
Code postal | 31800 |
Code commune | 31246 |
Démographie | |
Gentilé | Inardais |
Population municipale |
866 hab. (2019 ![]() |
Densité | 87 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 06′ 33″ nord, 0° 50′ 20″ est |
Altitude | Min. 308 m Max. 374 m |
Superficie | 9,97 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Saint-Gaudens (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Gaudens |
Législatives | Huitième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | http://www.labarthe-inard.fr/ |
modifier ![]() |
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Garonne, le Soumès et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (« la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Labarthe-Inard est une commune rurale qui compte 866 habitants en 2019, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens. Ses habitants sont appelés les Inardais ou Inardaises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église de la Nativité-de-la-Sainte-Vierge, inscrite en 1950.
La commune de Labarthe-Inard se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 74 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 9 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Saint-Médard (2,2 km), Beauchalot (2,5 km), Montespan (2,9 km), Savarthès (2,9 km), Pointis-Inard (3,3 km), Castillon-de-Saint-Martory (3,4 km), Estancarbon (4,2 km), Ganties (4,9 km).
Sur le plan historique et culturel, Labarthe-Inard fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[4].
Labarthe-Inard est limitrophe de six autres communes.
Savarthès | Saint-Médard | |
Estancarbon | ![]() |
Beauchalot |
Pointis-Inard | Montespan |
La superficie de la commune est de 997 hectares ; son altitude varie de 308 à 374 mètres[6].
La commune de Labarthe-Inard est situé sur les hautes terrasses de la vallée de la Garonne au pied d’un coteau qui porte l’actuelle route D817. Celui-ci est enrichi d’une nappe phréatique abondante qui est à l’origine de nombreuses sources en contrebas. Celle de la côte de la Canaou a sûrement dû influencer l’implantation des premières populations locales[7].
La commune s’étend du lit de la Garonne au sud à la vallée du Soumès au nord. Beauchalot à l’est et Estancarbon à l’ouest encadrent la commune[7].
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Garonne, le Soumès, un bras de la Garonne, un bras de la Garonne, un bras de la Garonne, un bras de la Garonne, un bras de la Garonne, Canal de la Gentille, le Rioumort et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[9],[Carte 1].
La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[10].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[11]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Labarthe-Rivière », sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975[16] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[17],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7 °C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010[18]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 25 km[19], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[20], à 12,3 °C pour 1981-2010[21], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[22].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[23],[24].
Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[25].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[27], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[28].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 6] est recensée sur la commune[29] : « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[30] et une ZNIEFF de type 2[Note 7],[29] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[31].
Labarthe-Inard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[32],[I 2],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (60,6 %), prairies (16,1 %), zones urbanisées (12,9 %), terres arables (7,8 %), forêts (2,6 %)[34].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Accès par l'autoroute A64 sortie no 18 et avec le réseau Arc-en-ciel ainsi qu'en gare de Labarthe-Inard.
De 1862 à 2020, Labarthe-Inard était desservi par la ligne de Toulouse à Bayonne.
En 2022, les trains ne s'arrêtent plus à la gare qui est aujourd'hui désaffectée[35].
Le territoire de la commune de Labarthe-Inard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[36]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[37].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Ger et le Soumès. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009, 2018 et 2022[38],[36].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 417 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 417 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[39],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[40].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1993 et 2002 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2014[36].
La commune est en outre située en aval du barrage de Naguilhes sur le Gnoles (affluent de l'Ariège, département de l'Ariège). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[41].
Le nom : Labarthe doit provenir du mot ancien bart ou barth ce qui signifie marécage et même boue en liaison avec les sources. Le nom Inard a été ajouté au Moyen Âge, Pointis et Labarthe Inardis appartenaient à Isnardus[7].
Il a existé au Moyen Âge une famille de La Barthe. Parmi les représentants successifs de cette famille de la branche des seigneurs de La Barthe-Ynard, nous citerons :
![]() (vers 1750). |
La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIè siècle, Labarthe-Inard était une paroisse située sur la rive droite de la Garonne.
Le terroir du village, délimité au nord par la rivière Le Soumès et au sud par la Garonne, est traversé d'est en ouest par le chemin de St-Gaudens à St-Martory,aujourd'hui D 817.
Deux moulins à eau fonctionnaient à cette époque sur le fleuve.
De nombreux hameaux (Serris, Gaudines, les Saumés, la Bourdette, Galignac, la Guinson, dont le nom est évoqué de nos jours par le Chemin de la Guinsoune) et de nombreuses fermes (Gabaret, Millon, Guinolle) parsemaient le plateau. Les habitants vivaient essentiellement de la culture et de l'élevage.
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[42],[43].
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cœur et Coteaux de Comminges et du canton de Saint-Gaudens. Avant le Labarthe-Inard faisait partie de la communauté de communes du Saint-Gaudinois.
La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
juin 1995 | 2014 | Christian Thore | ||
2014 | En cours | Jacques Albenque | SE | retraité des entreprises publiques |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].
En 2019, la commune comptait 866 habitants[Note 10], en diminution de 2,48 % par rapport à 2013 (Haute-Garonne : +7,81 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Histogramme de l'évolution démographique ![]() |
selon la population municipale des années : | 1968[48] | 1975[48] | 1982[48] | 1990[48] | 1999[48] | 2006[49] | 2009[50] | 2013[51] |
Rang de la commune dans le département | 130 | 130 | 139 | 148 | 165 | 175 | 176 | 177 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
L'éducation est assurée sur la commune par un groupe scolaire : maternelle et primaire[52].
Un médecin est présent sur la commune.
Salle des fêtes, fête des plantations,
Football, basket-ball, tennis, pétanque, gymnastique,
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 358 ménages fiscaux[Note 11], regroupant 873 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 20 660 €[I 5] (23 140 € dans le département[I 6]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 7,2 % | 9,1 % | 6,2 % |
Département[I 8] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 526 personnes, parmi lesquelles on compte 74,6 % d'actifs (68,4 % ayant un emploi et 6,2 % de chômeurs) et 25,4 % d'inactifs[Note 12],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 271 emplois en 2018, contre 289 en 2013 et 266 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 364, soit un indicateur de concentration d'emploi de 74,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55 %[I 11].
Sur ces 364 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 62 travaillent dans la commune, soit 17 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 91 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,8 % les transports en commun, 3,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
100 établissements[Note 13] sont implantés à Labarthe-Inard au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 14],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 100 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 12 | 12 % | (5,7 %) |
Construction | 28 | 28 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 35 | 35 % | (25,9 %) |
Information et communication | 1 | 1 % | (4,1 %) |
Activités financières et d'assurance | 2 | 2 % | (3,8 %) |
Activités immobilières | 1 | 1 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 14 | 14 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 2 | 2 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 5 | 5 % | (7,9 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35 % du nombre total d'établissements de la commune (35 sur les 100 entreprises implantées à Labarthe-Inard), contre 25,9 % au niveau départemental[I 15].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[53] :
Se trouvent à Labarthe-Inard une épicerie, un café, un salon de coiffure, deux hôtels restaurants, deux plombiers.. et en bordure ou proximité de la RN 117 : 21 entreprises commerciales et artisanales sur la zone d'activités de Perbost
La commune est dans « La Rivière », une petite région agricole localisée dans le sud du département de la Haute-Garonne, consituant la partie piémont au relief plus doux que les Pyrénées centrales la bordant au sud et où la vallée de la Garonne s’élargit[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 22 | 17 | 7 | 10 |
SAU[Note 16] (ha) | 487 | 443 | 269 | 325 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 22 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 17 en 2000 puis à 7 en 2010[56] et enfin à 10 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 55 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[57],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 487 ha en 1988 à 325 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 22 à 33 ha[56].
La commune a la particularité de posséder un chemin de croix extérieur situé sur les hauteurs, près du lavoir. Les stations de la passion du christ sont représentées par une croix métallique d'environ 1,50 m de haut, sur un socle de pierre sur lequel sont gravés le numéro de la station et l'intitulé.
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