Ganties est une commune française située dans le sud-ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le ruisseau de Rieumajou, le ruisseau du Chevalier de Saint-Paul et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Ganties est une commune rurale qui compte 327 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 705 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens. Ses habitants sont appelés les Gantinois ou Gantinoises.
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le souterrain de Houantaou, classé en 1924.
Géographie
Localisation
La commune de Ganties se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 78 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 10 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture, et à 36 km de Bagnères-de-Luchon[3], bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].
La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Aspet[I 1].
Sur le plan historique et culturel, Ganties fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].
La superficie de la commune est de 1 203 hectares; son altitude varie de 355 à 501mètres[7].
Hydrographie
La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le ruisseau de Rieumajou, le ruisseau du Chevalier de Saint-Paul, un bras du Ruisseau du Chevalier de Saint-Paul, le ruisseau Goutte de la Herrère et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[9],[Carte 1].
Réseaux hydrographique et routier de Ganties.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]
Moyenne annuelle de température: 12,4°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 5,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 9,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7,2 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Labarthe-Rivière», sur la commune de Labarthe-Rivière, mise en service en 1975[15] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,7°C et la hauteur de précipitations de 745,9 mm pour la période 1981-2010[17].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Saint-Girons», sur la commune de Lorp-Sentaraille, dans le département de l'Ariège, mise en service en 1949 et à 24 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 12,2°C pour la période 1971-2000[19], à 12,3°C pour 1981-2010[20], puis à 12,7°C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels et biodiversité
Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[22]:
les «buttes de Montespan et de Ganties» (425ha), couvrant 2 communes du département[23] et
les «prairies naturelles, bois et ruisseaux des vallées de la Justale et du Louch-Rieumajou» (487ha), couvrant 7 communes du département[24].
Urbanisme
Typologie
Ganties est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[25],[I 2],[26].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 3],[I 4].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,7% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
prairies (40,4%), zones agricoles hétérogènes (32,3%), forêts (26,7%), zones urbanisées (0,7%)[27].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
Accès par l'autoroute A64 sortie no18 puis la route départementale D 5 et avec le réseau Arc-en-ciel ainsi qu'en gare de Saint-Gaudens.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Ganties est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque particulier: le risque de radon[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[30],[28].
Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Ganties est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif des piémonts des Pyrénées. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[31],[32]
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Ganties.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 83,7% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 184 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 178 sont en en aléa moyen ou fort, soit 97%, à comparer aux 98% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1998 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[28].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Ganties est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[35].
Toponymie
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Histoire
Préhistoire
Vestiges magdaléniens: les plaquettes gravées magdaléniennes de la Spugo de Ganties[36],[37].
La grotte de Khépri est une grotte sépulcrale du début de l'âge du bronze[38],[39],[40].
Époque moderne
Ancienne station thermale qui portait le nom de Ganties-les-Bains. La station thermale était sur Ganties et sur la commune voisine de Couret, où subsistent des bâtiments.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[41],[42].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cagire-Garonne-Salat et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Ganties faisait partie de l'ex-canton d'Aspet).
Avant le , elle faisait partie de la communauté de communes des Trois Vallées et du SIVOM de la région de Salies-du-Salat.
Tendances politiques et résultats
Article détaillé: Élections municipales de 2020 en Haute-Garonne.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1791
1796
Joseph Tarride
1796
1810
Jean François Vaque
1810
1812
Sébastien Duffour
1812
1815
Michel Tuchen
1815
1817
Laurent Duchein (fils)
1817
1821
Jean Duffour de Plan
1834
1836
Pierre Bouillon
1836
1837
Pierre Vaque
1837
1848
Pierre Dencausse
1848
1848
Jean Pierre Vaque
1848
1855
Jean Joseph Abadie
1855
1869
Pierre Dencausse
1869
1876
Jean Sébastien Abadie
1876
1884
Jean Sébastien Dufour
1884
1905
Jean Pierre Antoine Abadie
1905
1915
Jean-Louis Trombe
1915
1917
Léon Sébastien Aubic
1917
1944
Jean-Louis Trombe
Directeur Etablissement thermal de Ganties
1944
1969
Robert Cerciat
Parti socialiste
Exploitant agricole
1969
1989
Jean Puntos
Parti socialiste
Commerçant
1989
1995
Fernand Cerciat
Parti Socialiste
Fonctionnaire DDE
1995
2001
Jean-Pierre Durrieu
Parti socialiste
Directeur IME
mars 2001
2014
Henry Dispagne
2014
En cours
Jeannine Rey
SE
Retraitée des entreprises publiques
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[44].
En 2019, la commune comptait 327 habitants[Note 8], en diminution de 4,66% par rapport à 2013 (Haute-Garonne: +7,81%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
614
696
459
513
615
616
702
705
676
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
662
608
624
610
605
605
569
550
512
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
542
602
612
449
354
353
342
335
306
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
309
271
252
255
247
244
282
303
322
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
327
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
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Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 144 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 314 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 950 €[I 5] (23 140 € dans le département[I 6]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 201 personnes, parmi lesquelles on compte 64,8% d'actifs (57,8% ayant un emploi et 7% de chômeurs) et 35,2% d'inactifs[Note 10],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Saint-Gaudens, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 30 emplois en 2018, contre 28 en 2013 et 20 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 116, soit un indicateur de concentration d'emploi de 26% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47,4%[I 11].
Sur ces 116 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 24 travaillent dans la commune, soit 21% des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 90,4% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,6% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
20 établissements[Note 11] sont implantés à Ganties au [I 14].
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 20 entreprises implantées à Ganties), contre 19,8% au niveau départemental[I 15].
Agriculture
La commune est dans les «Pyrénées centrales», une petite région agricole occupant le sud du département de la Haute-Garonne, massif montagneux où s’étagent les vallées profondes, la forêt et les zones intermédiaires, les estives[51]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 21 en 2000 puis à 16 en 2010[53] et enfin à 13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 62% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57% de ses exploitations[54],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 717ha en 1988 à 793ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 21 à 61ha[53].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Sébastien à Ganties (Haute-Garonne), son abside romane et son clocher-pignon.
Souterrain de Houantaou: galeries et grottes, inscrites au titre des monuments historiques depuis 1924[55]. Le souterrain est situé sur deux communes: Ganties et Montespan.
Station thermale de Ganties-Couret[56], station thermale.
Chapelle Sainte Radegonde XVesiècle.
Église paroissiale Saint-Sébastien à clocher mur.
Personnalités liées à la commune
Félix Trombe, chimiste, physicien et spéléologue français, mort à Ganties en 1985.
Pour approfondir
Bibliographie
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Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[52].
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
David Lubell, «Prehistoric edible land snails in the circum-Mediterranean: the archaeological evidence», dans J.-P. Brugal et J. Desse (dir.), Petits animaux et sociétés humaines. Du complément alimentaire aux ressources utilitaires (XXIVe rencontres internationales d'archéologie et d'histoire d'Antibes), Antibes, Éditions APDCA, (www.manandmollusc.net/Antibes.pdf [PDF] sur manandmollusc.net).
[Vaquer & Vergély 2003] Jean Vaquer et Hélène Vergély, «L'utilisation du silex en plaquette dans le Néolithique final et le Chalcolithique du sud du Massif Central aux Pyrénées», dans Jean Vaquer et F. Briois (dir.), La Fin de l'âge de Pierre en Europe du Sud (Actes de la table ronde de l'EHESS, Carcassonne, 5-6 sept), (lire en ligne[PDF] sur academia.edu), p.175-204, p.183.
[Le Guillou et al. 1999] Yannick Le Guillou, Éric Boës, Nathalie Lecomte et Jean Paulin, «Ganties - Grotte de Khépri», Bilan scientifique 1998 du Service Régional de l'Archéologie de Midi-Pyrénées, Ministère de la Culture et de la Communication, Service régional de l'archéologie (SRA), , p.83-84 (lire en ligne[PDF] sur culture.gouv.fr, consulté le ).
[Le Guillou et al. 1998] Yannick Le Guillou, Nathalie Lecomte-Ferriz, Jean Paulin et Éric Boës, «Ganties - Grotte de Khépri», Bilan scientifique 1998 du Service Régional de l'Archéologie de Midi-Pyrénées, Ministère de la Culture et de la Communication, Service régional de l'archéologie (SRA), , p.87-89 (lire en ligne[PDF] sur culture.gouv.fr, consulté le ).
[Le Guillou et al. 1997] Yannick Le Guillou, Nathalie Lecomte et Jean Paulin, «Ganties - Grotte de Khépri», Bilan scientifique 1998 du Service Régional de l'Archéologie de Midi-Pyrénées, Ministère de la Culture et de la Communication, Service régional de l'archéologie (SRA), , p.102-104 (lire en ligne[PDF] sur culture.gouv.fr, consulté le ).
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