La Sentinelle est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.
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La Sentinelle
L'église était auparavant un des bâtiments de la fosse La Sentinelle de la Compagnie des mines d'Anzin. Au premier plan, le puits.
Administration
Pays
France
Région
Hauts-de-France
Département
Nord
Arrondissement
Valenciennes
Intercommunalité
Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut
Maire Mandat
Éric Blondiaux 2020-2026
Code postal
59174
Code commune
59564
Démographie
Gentilé
Sentinellois, Sentinelloises
Population municipale
3 117 hab. (2019 )
Densité
801 hab./km2
Population agglomération
334 571 hab. (2019)
Géographie
Coordonnées
50° 21′ 00″ nord, 3° 29′ 20″ est
Altitude
Min. 21 m Max. 66 m
Superficie
3,89 km2
Type
Commune urbaine
Unité urbaine
Valenciennes (partie française) (banlieue)
Aire d'attraction
Valenciennes (partie française) (commune du pôle principal)
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Hydrographie
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]
Moyenne annuelle de température: 10,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,7 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 9,4 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Valenciennes», sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9°C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Lille-Lesquin», sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 38 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4°C pour la période 1971-2000[11] à 10,8°C pour 1981-2010[12], puis à 11,3°C pour 1991-2020[13].
Voie de communication et transport
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La Sentinelle est desservie par la station Bois des Montagnes du Tramway de Valenciennes.
Trois lignes de bus la relient également au centre-ville de Valenciennes, à Denain, Hérin, et aux communes environnantes grâce au réseau Transvilles/Semurval.
La Sentinelle est traversée de part en part par les autoroutes A2 et A23, qui la relient directement à Lille, Bruxelles et Paris. L'échangeur entre ces deux autoroutes est situé sur le territoire de la commune. Deux sorties la desservent, la sortie 20 sur l'A2, et la sortie Valenciennes Nord, sur l'A23.
Urbanisme
Typologie
La Sentinelle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[17] et 334 571 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (60% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (35%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (38,4%), zones urbanisées (35,7%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (24,3%), prairies (1,3%), eaux continentales[Note 8] (0,3%)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
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Histoire
L'origine de sa dénomination provient du nom donné à un puits de mine jouant le rôle de sentinelle en cas de montée des eaux.
Commune née de la mine, La Sentinelle est un des plus remarquables témoins de l'histoire économique du Valenciennois. Jusqu'au début du XIXesiècle, son territoire, entièrement consacré à l'agriculture, appartient à Trith-Saint-Léger. Les cartes du temps n'y signalent qu'une auberge. La Compagnie des Mines d'Anzin cherche alors de nouveaux gisements de charbon vers l'ouest de sa concession. Le est ouverte la fosse « Sentinelle». Son nom lui vient de sa proximité de l'étang du Vignoble alimenté par des sources souterraines. En cas de montée des eaux et de risque d'inondation, les mineurs de La Sentinelle peuvent donner l'alerte aux autres puits voisins. Des corons sont construits dès 1826 et, bientôt, le nombre d'habitants du hameau minier dépasse largement celui du bourg de Trith-Saint-Léger. La création d'une nouvelle commune est alors décidée et le le décret no4601 officialise la division de la commune de Trith-Saint-Léger[24]. La mairie y est construite peu après. La vie associative est très vivante dans cette population longtemps stabilisée autour de 3 000 habitants.
Le , la Compagnie des Mines d'Anzin déplaçait ses travaux vers le sud, sur le territoire de la commune de Valenciennes en ouvrant le puits Long/Prés (Lomprez) d'un diamètre de 2,20 m. Elle fut instruite entre-temps des démarches d'une Société de recherche concurrente, connue sous le nom de Desmaisières, qui sollicita en , auprès de l'intendant du Hainaut, une permission d'exploiter du charbon sur les Seigneuries de Trith (La Sentinelle actuelle). La Compagnie d'Anzin, désireuse de supplanter cette dernière, se hâta d'extraire la houille au puits Long Près à la profondeur de 78 mètres, et d'ouvrir d'autres puits sur Trith (La Sentinelle) et deux autres sur St Waast (fosse Dutemple). C'est en 1770, au terme d'un long procès, qu'un arrangement fut enfin trouvé entre les deux sociétés rivales.
Politique et administration
La commune a été créée en 1875, par détachement de Trith-Saint-Léger
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Valenciennes du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la dix-neuvième circonscription du Nord.
La commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Valenciennes de Valenciennes, et de la cour d'appel de Douai, de Valenciennes.
Dans l'ordre administratif, la commune fait partie du ressort du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut (CAPH), créée fin 2001.
Tendance politique
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Aide-soignant Réélu à la suite de l'élection municipale partielle du 5 septembre 2021[30]
Politique de développement durable
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Jumelages
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Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].
En 2019, la commune comptait 3 117 habitants[Note 9], en diminution de 4,45% par rapport à 2013 (Nord: +0,49%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1876
1881
1886
1891
1896
1901
1906
1911
1921
2 658
2 947
2 890
2 890
2 735
2 676
2 695
2 746
2 570
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
1982
2 641
2 785
2 817
2 816
3 203
3 586
3 288
3 680
3 729
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1990
1999
2004
2006
2009
2014
2019
-
-
3 588
3 360
3 253
3 232
3 332
3 226
3 117
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,2%, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8% la même année, alors qu'il est de 22,5% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 537 hommes pour 1 589 femmes, soit un taux de 50,83% de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ou +
0,6
4,8
75-89 ans
7,6
18,0
60-74 ans
18,2
21,0
45-59 ans
20,9
19,4
30-44 ans
16,7
17,8
15-29 ans
16,5
18,6
0-14 ans
19,4
Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[35]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,1
75-89 ans
8,1
14,3
60-74 ans
15,6
19,2
45-59 ans
18,6
19,6
30-44 ans
18,7
20,7
15-29 ans
19,1
20,7
0-14 ans
18,5
Santé
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Enseignement
La Sentinelle fait partie de l'académie de Lille.
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Sports
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Média
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Cultes
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Économie
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Le taux de chômage au recensement de 2006 était de 15,5%, contre 11% pour la population en France métropolitaine.
Culture et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Sainte-Barbe: ancien édifice minier, entièrement maçonné, long de 35 m, haut de 20 m, transformé par la Compagnie des mines en église dès 1852. L'autorité diocésaine lui donne alors le nom de Sainte-Barbe, patronne des mineurs. Le , les travaux de réhabilitation de cet édifice ont été inaugurés. Notre église entrera bientôt au patrimoine minier.[Quand?] Entièrement rénovée en 2006.
Les corons: le premier coron minier, dit «de l'Église» est construit dès 1826. Suivront ensuite les corons Carré et Demézières et enfin la cité Ernest.
«Saint-Christophe»: à l'entrée de la commune se trouve le lieu-dit «St Christophe». Son nom a pour origine un oratoire, ou bien l'enseigne d'une auberge construite au milieu du XVIIIesiècle au carrefour de la grand-route, créée à l'époque, et du vieux chemin reliant Trith à Wallers. Le patronage du St protecteur des voyageurs se justifie amplement par l'importance du trafic routier.
Le puits Desmaizières, creusé en 1764 (le plus ancien sur le territoire de La Sentinelle), passa aux mains de la Compagnie d'Anzin. En contrepartie, celle-ci s'engagea à verser au Sieur Desmaizières, 300 livres par an tant qu'elle n'exploitait pas sur sa terre, 4800 livres dans le cadre de l'extraction du charbon. Le puits garda son nom ainsi que les Corons s'y rattachant.On remarquera l'orthographe du nom Desmaizières (Demézières actuel) et Long-Près (Lomprez actuel).
Le puits Ernest: Ouvert en 1826 sur le territoire de La Sentinelle (Hameau de Trith à cette époque), à 180 mètres au nord-est de Desmaizières et à 380 m au sud-ouest de la Réussite. Le puits Ernest, d'un diamètre de 3,80 m, traversa 50 m de morts terrains avant de rencontrer le terrain houiller à la profondeur de 80 m. Le fonçage constitua à lui seul, un record, puisqu'il avait duré moins de huit mois. L'aérage était en partie assuré par le puits Réussite et le puits Desmaizières. D'une profondeur de 387 m, le puits Ernest fut fermé en 1894, après une production totale de 617 000 tonnes. Le gisement plus profond fut repris par la fosse Réussite. C'est avec Ernest que s'achevèrent les dernières recherches dans le faisceau gras d'Anzin. L'intérêt principal de la compagnie allait en effet se déplacer vers la région de Denain, où la fosse Villars découvrit le charbon gras en 1826. Abandonnée par la police des «mines» avant 1909, une cité minière s'implanta sur l'ancien carreau de fosse (cité Ernest actuelle). Le puits fut relocalisé en 2001 par les charbonnages de France. L'origine du nom Ernest est inconnue dans les archives.
Personnalités liées à la commune
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Pour approfondir
Bibliographie
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Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Bruno Figurski, «La Sentinelle: l’ancien maire Claude Tréfois nous a quittés: Maire communiste de La Sentinelle d’août 1987 à décembre 1999, Claude Tréfois est décédé ce mercredi 24 mars à l’âge de 93 ans. Il était aussi très impliqué au sein de la musique et du club de foot local.», La Voix du Nord, (lire en ligne)
Bruno Figurski, «La Sentinelle: Éric Blondiaux n’est plus maire, une délégation spéciale aux affaires: C’est officiel depuis le 3 juin: une délégation spéciale s’est installée en mairie de La Sentinelle pour gérer la ville dans l’attente de nouvelles élections prévues le 5 septembre.», La Voix du Nord, (lire en ligne)
Bruno Figurski, «La Sentinelle: le maire retrouve son écharpe, après une cérémonie chahutée: Samedi après-midi à la salle culturelle, Eric Blondiaux a repris son écharpe de maire après une parenthèse de trois mois, l’annulation des élections de 2020 et un nouveau scrutin.», La Voix du Nord, (lire en ligne)
V.A., «La Sentinelle: Éric Blondiaux va reprendre le mandat interrompu en juin: Dimanche, le maire sortant de La Sentinelle Éric Blondiaux a reçu la confiance de ses administrés. Parmi les 1 216 votants (1 190 exprimés), 706 lui ont accordé leur suffrage, contre 484 pour Bernadette Sopo.», La Voix du Nord, (lire en ligne)
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