La Rochette est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
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La Rochette et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).
La route qui vient de Saint-Pierre passe sous un porche taillé dans la montagne. Le village offre de beaux panoramas sur les Alpes-Maritimes.
Relief
Col du Trébuchet, limite occidentale de la commune.
Le point culminant de la commune est le pic de Salomon (1 196 m).
Le Val de Chanan est délimité au nord par le massif du Gourdan, entre le col de Félines et le col Saint-Raphaël; au sud par l'Esteron; à l'ouest par les hauteurs d'Amirat et du Castellet-Saint-Cassien; à l'est par la partie des territoires d'Ascros et de Cuebris qui bordent Saint-Antonin. La Rochette fait partie intégrante du val de Chanan qui était autrefois une seigneurie à part entière.
«Grandiosement enchâssé dans les replis de la zone dite des Barres, entre le Var et les hauts de l'Estéron, le Val de Chanan constitue l'un des plus beaux fleurons de l'ancien évêché de Glandèves. C'est un pays où l'eau, qui sort en abondance des nappes souterraines du Gourdan, arrose et fertilise de larges espaces cultivables dans un décor ambiant de petits vallons, de ravins sauvages, de chaînons et de plateaux rocailleux.
La masse vert-sombre des bois de pin, éclaircie çà et là par le feuillage des chênaies, les magnifiques restes de châtaigneraies séculaires, les grands damiers des champs et des prairies, le genêt et la lavande, le buis et les plantes aromatiques y drapent joliment, à la belle saison, dans un reposant assemblage, la nature tourmentée des roches sous-jacentes.», par Joseph-Antoine Durbec, «Le Chanan et ses environs. Aux confins des Alpes-Maritimes et de la Haute-Provence»[2],[3],[4].
Géologie
Le village est accroché sur un flanc de montagne escarpé à 850 m d’altitude[5].
Le périmètre de protection de la Réserve naturelle géologique de Haute-Provence couvre également la commune de La Rochette.
Hydrographie et les eaux souterraines
Cascade: là où elle coule, le calcaire gris tout autour prend une teinte jaune.
vallons de l'ubac, de fontagne, de brins, de mardaric, des miolans, du raï, des moulières, du moulin,
ravin de merle.
Climat
La variété des reliefs lui confère 2 types de climat: méditerranéen et montagnard[8], classés Cfb dans la classification de Köppen et Geiger: méditerranéen et montagnard.
Article détaillé: Climat des Alpes-de-Haute-Provence.
Environnement
La commune compte 975ha de bois et forêts, soit plus de la moitié de sa superficie[1].
Voies de communications et transports
Voies routières
La route départementale RD 10 à flanc de montagne.
La commune est desservie par la route départementale RD 10.
Gares ferroviaires les plus proches par le Train des Pignes: Chemins de fer de Provence[11] de Nice à Digne.
Risques naturels et technologiques
La commune de La Rochette est également exposée à trois risques naturels[12]:
feu de forêt,
inondation,
mouvement de terrain: quelques versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[13].
La commune de La Rochette n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[14].
Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 2006 pour les risques d’inondation, de mouvement de terrain et de séisme[14] et le Dicrim n’existe pas[15].
La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle: en 1984 pour un tremblement de terre, pour des inondations, des glissements de terrain et des coulées de boue en 1994[12]. Le tremblement de terre le plus fortement ressenti dans la commune est celui du , dont l’épicentre était situé à Bussana Vecchia, en Italie. Il a été ressenti à La Rochette avec une intensité macro-sismique de VII sur l’échelle MSK (lézardes et chutes de cheminée)[16],[17].
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Entrevaux auquel appartient La Rochette est en zone 2 (sismicité moyenne) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[18], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[12].
Toponymie
Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois vers 1200 (las Roquetas), est interprété comme dérivant du nord-provençal roucheto, désignant une petite fortification[19].
Histoire
Datant peut-être de l’âge du fer, un site fortifié contrôlant l'accès au col de Rigaudon (1 283 m) a été découvert en 1986: il occupe une superficie de 300 m2. Il est défendu par un mur allant jusqu’à 4 m d’épaisseur, et par la barre rocheuse au sud[20].
Moyen Âge et Ancien Régime
Le village sur son arête rocheuse.
Saint-Saturnin, qui était un fief distinct, était l’objet d’un pèlerinage.
La Rochette était parfois appelée La Rochette-Chanan; le Val de Chanan, aujourd'hui divisé par les limites départementales des Alpes Maritimes et des Alpes de Haute-Provence, faisait autrefois partie du comté de Provence. Jusqu’en 1245, la communauté de La Rochette relevait de la baillie d’Outre-Siagne, circonscription administrative du comté de Provence. Celle-ci est ensuite démembrée en plusieurs circonscriptions plus petites, et après une période de stabilisation, on sait qu’en 1264 La Rochette faisait partie de la viguerie de Puget-Théniers[21]. C’est également aux XIIeetXIIIesiècles qu’une importante donation permet à l’abbaye de Lérins d’établir un prieuré, le prieuré Saint-Saturnin[22]. L’abbaye Saint-Victor de Marseille possédait aussi un prieuré à La Rochette[23].
En 1388, le comte de Savoie décide de s'approprier le comté de Nice, le val de Chanan devint alors une zone frontalière, ravagée par les incendies et les rafles consécutives à cette invasion[24]. Le château d’Ascros, pris par le comte de Savoie, avait à sa merci les villages de La Penne, Saint-Antonin et Cuebris, car le château de Briançonnet, première défense du comté de Provence, ne pouvait les secourir en cas d'attaque. C'est pourquoi La Rochette devint une place forte et par la suite le village le plus peuplé du Chanan. Les seigneurs de La Rochette sont les Glandevès du XIIIe au XVesiècle, puis les Villeneuve au XVesiècle, les d’Arquier au XVIIesiècle et enfin les Rasque au XVIIIesiècle[25].
En 1715, l’abbaye de Lérins cède ses deux prieurés Saint-Martin et Saint-Saturnin à l’archidiacre de Glandèves, qui perçoit donc les redevances liées à ces deux prieurés[22]. À la fin de l’Ancien Régime, La Rochette relevait de la viguerie d’Annot[22].
Révolution française
En 1791, le prieuré Saint-Saturnin, en ruines, et son domaine sont vendus comme biens nationaux[22].
Durant la Révolution, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[26].
Époque contemporaine
Monument aux morts à La Rochette
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités. Dès 1818, le cadastre dit napoléonien de La Rochette est achevé[27].
Comme de nombreuses communes du département, La Rochette se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, elle possède déjà son école dispensant une instruction primaire aux garçons, au village chef-lieu[28]. Aucune instruction n’est donnée aux filles: ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[29], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concerne la commune[30]. Si la municipalité profite de la deuxième loi Duruy (1877) pour rénover son école[31], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de La Rochette sont scolarisées.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la 19e compagnie de travailleurs étrangers, internant et soumettant au travail forcé des étrangers jugés indésirables par la Troisième République et par Vichy, est établie à La Rochette.
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement: De gueules à un rocher d'argent, surmonté de trois étoiles d'or, rangées en chef.[33],[34]
Les trois étoiles jaunes représentent le chef, car La Rochette était le chef-lieu du Val de Chanan. Le rocher représente l'endroit autour duquel le village a été construit. Les rayures noires et rouges représentent l'appartenance du village au comté de Provence.
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[38]:
total des produits de fonctionnement: 109 000 €, soit 1 590 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 70 000 €, soit 1 036 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 179 000 €, soit 2 637 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 243 000 €, soit 3 578 € par habitant.
endettement: 149 000 €, soit 2 186 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 10,11%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 13,83%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 55,30%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00% ;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017[39].
Intercommunalité
La Rochette fait partie:
de 2008 à 2016 de la communauté de communes du Pays d'Entrevaux[40];
à partir du , de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.
Urbanisme
Typologie
La Rochette est une commune rurale[Note 1],[41]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[42],[43].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[44],[45].
La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[46].
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
En 2019, La Rochette comptait 75 habitants. À partir du XXIesiècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2004, 2009, 2014, etc. pour La Rochette). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
Évolution démographique
1471
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
34 feux
285
345
285
380
390
365
355
396
407
Évolution démographique, suite (1)
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
427
392
338
340
323
310
282
286
276
272
Évolution démographique, suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
259
258
241
190
168
165
144
135
112
90
Évolution démographique, suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2009
2019
-
-
74
66
41
48
53
54
58
75
-
-
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999; population municipale depuis 2006 (Sources: Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[25], EHESS[47], Insee à partir de 1968[48],[49],[50],[51])
L’histoire démographique de La Rochette est marquée par une période d’«étale» où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1821 à 1856[52]. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population rapide et de longue durée[52]. En 1921, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1851[52]. Le mouvement de baisse continue jusqu'aux années 1980. Depuis, la population se stabilise entre 50 et 60 habitants plus que doublé.
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Agriculture
L’ancien mode d’exploitation en terrasses des versants aujourd’hui abandonné.
L’ancien mode d’exploitation en terrasses est aujourd’hui abandonné.
Commerces
Outre le bar-tabac ouvert sur la commune, plusieurs tournées de boulanger, boucher et épicier passent au village[53].
Le château fort, en très mauvais état, a dû être abattu en 1927. Il n’en reste que les fondations[32].
L’église paroissiale Notre-Dame-des-Parans possède un campanile.
Dans son mobilier, se trouvent:
une statue de la Vierge en bois doré du XVIesiècle[55];
buste de saint Saturnin, XVIIesiècle selon Raymond Collier[56],[57], plus jeune d’un siècle selon la DRAC, qui l’a classée monument historique au titre objet[58];
un tableau du XVIIesiècle représente saint Saturnin et saint Martin, avec le donateur, Jean Saqui (peint en 1626, classé monument historique)[59],[60];
un autre tableau de la même époque représente deux évêques accompagnant saint Jean Baptiste[59];
Chapelles de La Rochette.
Chapelle privée du hameau d’Avenos.
Chapelle d’Avenos, détail du clocher.
Chapelle du village.
Chapelle Saint-Saturnin.
La chapelle du prieuré Saint-Saturnin date du XIIesiècle[61]. Située au désert sous la montagne de Gourdan, plusieurs fois réparée, elle menaçait ruine à la fin du XXesiècle et a été restaurée en 1999[22].
La chapelle d’Avenos est une chapelle privée; elle porte la date de 1815 sur la clef de voûte de son portail[22]. La restauration du clos et couvert incluant la restitution de la voûte, a été réalisée en 1999 dans le cadre d'un chantier école de formation intégrant des stagiaires du « Centre européen de formation PARTIR (Patrimoine Architectural Rural, Techniques d'Identification et de Restauration) » - École d'architecture de Paris-La Villette[62], dont un agent de l'Office national des forêts (O.N.F.) en formation. Une seconde tranche de travaux, portant sur les intérieurs et quelques travaux d'entretien sur la toiture, a reçu le soutien de la Fondation du patrimoine[63],[64].
Monument aux morts: Le village ne s'est doté d'un monument aux morts qu'en 2006: une stèle adossée au rocher près de l'entrée du tunnel[65].
Monument aux morts.
Monument aux morts et fontaine
Personnalités liées à la commune
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Sources
Bibliographie
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Les intempéries, la peste et le recul démographique à partir de 1337, Dubec, Val Chanan, étude sur le Chanan médiéval], parue une première fois en 1965 dans le Bulletin Philologique et Historique de la Bibliothèque nationale puis mis à la disposition d'un public plus large en 1983 par la Société Scientifique et Littéraire de Cannes et de l'Arrondissement de Grasse dans une version abrégée, pages 25 et s.
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Références
Roger Brunet, «Canton d’Entrevaux», Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013.
Montagnes médiévales: XXXIVe Congrès de la SHMES, Chambéry, 23-25 mai 2003 Par Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public]
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence: le guide complet des 200 communes, p.aris, Deslogis-Lacoste, coll. «Villes et villages de France», 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN2-7399-5004-7).
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 13 août 2012.
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, p. 37.
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 97.
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, vol.1: Formations préceltiques, celtiques, romanes, Genève, Librairie Droz, coll.«Publications romanes et françaises» (no193), , 1869p. (ISBN978-2-600-02884-4, lire en ligne)., § 1638, p. 88.
Géraldine Bérard, Carte archéologique des Alpes-de-Haute-Provence, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, p.aris, 1997, p. 396.
Daniel Thiery, «La Rochette», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 13 août 2012.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p. 192.
Patrice Alphand, «Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no307, 1ertrimestre 1989, 108eannée, p.296-298.
Alexeï Laurent, «Paysages ruraux de la première moitié du XIXesiècle dans le sud-est des Basses-Alpes», in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe-XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains: Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN978-2-86004-016-7), p.10.
Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN978-2-86-004-015-0), p.9.
Labadie, op. cit., p.16.
Labadie, op. cit., p.18.
Labadie, op. cit., p.11.
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p., p.245.
Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition: Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994.
Pays d'Entrevaux: La Rochette, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
[Sébastien Thébault, Thérèse Dumont], «La Libération», Basses-Alpes 39-45, publié le 31 mars 2014, consulté le 2 avril 2014.
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Rochette», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
Au pied du mur, Éditions Eyrolles, Centre européen de formation P.A.R.T.I.R. (Patrimoine Architectural et Rural - Techniques d'Identification et de Restauration)
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