Saint-Pierre (parfois Saint-Pierre-d'Entrevaux ou Saint-Pierre-Figette) est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
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La particularité de la commune est d'être située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence mais le code postal est le 06260 correspondant à Puget-Théniers[3].
Saint-Pierre et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).
Voies de communications et transports
Voies routières
La commune est accessible par les D2211A et D10, depuis Puget-Théniers qui se trouve sur la route nationale 202.
Transports en commun
Transport en Provence-Alpes-Côte d'Azur
Un réseau des lignes de transport dessert régulièrement l'ensemble des communes des départements des Alpes-de-Haute-Provence - Alpes-Maritimes et Var[4],[5].
Environnement
La commune compte 383ha de bois et forêts, soit 68% de sa superficie[1].
Géologie et relief
Le col du Trébuchet 1 141 m et un relief proche "Le Pic de Salomon".
Risques majeurs
La commune de Saint-Pierre est exposée à troisrisques naturels[6]:
feu de forêt;
inondation;
mouvement de terrain.
La commune de Saint-Pierre n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[7]; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[7]; le Dicrim existe depuis 2011[8].
La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle: en 1984 pour un tremblement de terre, et pour des inondations, coulées de boue et glissements de terrain en 1994[6]. Le dernier tremblement de terre fortement ressenti dans la commune est celui du , et dont l’épicentre était situé à Bussana Vecchia, en Italie; il a atteint une intensité macro-sismique ressentie de VII et demi sur l’échelle MSK (causant d’importants dégâts aux maisons)[9],[10].
Sismicité
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Entrevaux auquel appartient Saint-Pierre est en zone 2 (sismicité moyenne) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[11], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[6]
La variété des reliefs lui confère deux types de climat, classés Cfb dans la classification de Köppen et Geiger: méditerranéen et montagnard.
Article détaillé: Climat des Alpes-de-Haute-Provence.
Urbanisme
Typologie
Saint-Pierre est une commune rurale[Note 1],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (77,4% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (77,3%), prairies (19,4%), zones agricoles hétérogènes (3,2%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,1%)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].
Histoire
Moyen Âge
Le village est issu du déplacement de Puget-Figette, communauté existante depuis au moins le XIIIesiècle[20], et située sur une colline plus au nord. Le village change d’emplacement après les guerres de religion, et prend le nom de Saint-Pierre vers 1660[21].
Au départ, la communauté dépend du prieuré Saint-Pierre, relevant de l’abbaye Saint-Victor de Marseille, du XIesiècle au XIVesiècle[22]. Le fief appartient aux Glandevès (XIIIesiècle), puis aux Rostang (XIVesiècle) et aux Villeneuve (XVesiècle)[20]. Au XIIesiècle, l’habitat se regroupe sur une colline, entre la cime de Borrel et le pic Salomon, avec le nom de Puget-Figette et avec une église sous le vocable de Saint-Étienne[22]. À cette époque et jusqu’en 1245, la communauté de Saint-Pierre relevait de la baillie d’Outre-Siagne, circonscription administrative du comté de Provence. Celle-ci est ensuite démembrée en plusieurs circonscriptions plus petites, et après une période de stabilisation, on sait qu’en 1264 Saint-Pierre faisait partie de la viguerie de Puget-Théniers[23].
La mort de la reine Jeanne Ire ouvre une crise de succession à la tête du comté de Provence, les villes de l’Union d'Aix (1382-1387) soutenant Charles de Duras contre Louis Ier d'Anjou. Mais ce dernier, entre les mauvais souvenirs qu'il a laissé lors de sa tentative de conquête en 1368[24] et la confusion des premières années sur la réalité de la mort de Jeanne Ire[25], ne se rallie que peu de communautés. La communauté de Figette (Saint-Pierre) est conquise par le parti angevin au début de la guerre[26] après que la confiscation ait été prononcée (Jean de Grimaldi, l’ancien seigneur, étant carliste). Le village est donné en récompense à Pierre Balbi, seigneur de Tende, le [27].
Les communautés médiévales de Chaudol et Chauragnesse, fortement dépeuplées par la crise du XIVesiècle (Peste noire et guerre de Cent Ans), sont annexées par celle de Saint-Pierre au XVesiècle[28], la communauté de Saint-Pierre étant elle-même déclarée inhabitée en 1471[22]. Le prieuré est abandonné avec la crise démographique[22].
Temps modernes
Au XVIesiècle, le terroir est progressivement repeuplé, en s’installant autour du château: la communauté porte le nom de Saint-Pierre-Figette[22]. Au XVIIIesiècle, l’habitat se déplace à nouveau[22]. À la fin de l’Ancien Régime, Saint-Pierre est rattachée à la viguerie d’Annot[22] et le hameau de Besseuges, qui faisait partie de la communauté, est réuni à celle de La Penne en 1760[22]. Le fief appartient aux d’Arquier (XVIIesiècle) puis aux Rasque jusqu’à la Révolution[20]
Époque contemporaine
Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune reprend son ancien nom de Puget-Figette[29],[30].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du précise ses modalités. Dès 1817, le cadastre dit napoléonien de Sausses est achevé[31].
Toponymie
La localité apparaît pour la première fois dans les textes au XIesiècle (ecclesia sancti Petri), selon l’église placée sous le patronage de l’apôtre Pierre, en occitanPèire, francisé par la suite[32]. Le nom de Puget-Figette est formé du diminutif de puy, dans le sens de montagne: c’est donc la petite montagne[33].
La communauté de Chaudol apparaît dès 1044 (Caldo); son nom est formé sur la racine oronymique (désignant une montagne) *KaL-[34].
Héraldique
Article détaillé: Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blasonnement: Fascé d'or et de gueules de six pièces et deux clefs d'argent passées en sautoir, brochant sur le tout.[35],[36].
Économie
Entreprises et commerces
Agriculture
Culture de céréales, de légumineuses et de graines oléagineuses[37].
Le maire Sauveur Patricola accorde sa signature à Marine Le Pen pour la présidentielle de 2017[47].
Budget et fiscalité 2019
En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[48]:
total des produits de fonctionnement: 137 000 €, soit 1 417 € par habitant;
total des charges de fonctionnement: 142 000 €, soit 1 466 € par habitant;
total des ressources d’investissement: 81 000 €, soit 837 € par habitant;
total des emplois d’investissement: 58 000 €, soit 595 € par habitant.
endettement: 51 000 €, soit 521 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants:
taxe d’habitation: 21,67%;
taxe foncière sur les propriétés bâties: 30,00%;
taxe foncière sur les propriétés non bâties: 83,88%;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties: 0,00% ;
cotisation foncière des entreprises: 0,00%.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017[49].
Intercommunalité
Saint-Pierre fait partie:
de 2008 à 2016 de la communauté de communes du Pays d'Entrevaux[50];
à partir du , de la communauté de communes Alpes Provence Verdon.
Urbanisme
La Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière, créée le avec effet le , regroupe désormais 41 communes. Cet Établissement public de coopération intercommunale (EPCI) s'est engagé dans une démarche d’élaboration d’un Plan local d’urbanisme intercommunal (PLUi)[51].
Population et société
Démographie
Évolution démographique
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
En 2019, Saint-Pierre comptait 96 habitants. À partir du XXIesiècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2008, 2013, 2018, etc. pour Saint-Pierre). Depuis 2004, les autres chiffres sont des estimations.
Évolution démographique
1471
1765
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
inhabité
185
198
109
179
162
199
144
180
199
Évolution démographique, suite (1)
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
207
182
146
145
145
127
139
124
93
105
Évolution démographique, suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
111
107
119
97
118
107
98
104
91
53
Évolution démographique, suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2008
2019
-
-
-
51
37
50
71
73
111
96
-
-
-
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999; population municipale depuis 2006 (Sources: Baratier, Duby & Hildesheimer pour l’Ancien Régime[20], EHESS[30], Insee à partir de 1968[52],[53],[54])
L’histoire démographique de Saint-Pierre, après l’abandon complet au XVesiècle et la lente croissance allant de la fin du XVesiècle aux années 1830, est marquée par une période d’«étale» où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1831 à 1856. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de diminution de longue durée. En 1921, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1851[55] (même si elle repasse ponctuellement au-dessus de ce seuil, en 1926-1931 et 1946). Le mouvement de perte se poursuit jusqu’aux années 1970, où le plancher représente une perte de 82% du maximum de 1851. Depuis, on assiste à un mouvement inverse qui a permis un triplement de population par rapport au minimum historique de 1975, et un retour au-dessus du seuil de la moitié de la population de 1851.
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Comme de nombreuses communes du département, Saint-Pierre se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry: en 1863, elle compte chacune leur école dispensant une instruction primaire aux garçons, au village chef-lieu[56]. Aucune instruction n’est donnée aux filles: ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants[57], ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent la commune[58]. Ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles des trois communes sont scolarisées.
La commune de Saint-Pierre dépend de l'Académie d'Aix-Marseille (Rectorat de Nice).
Elle est dotée d’une école[59] comportant une classe unique en primaire et une classe unique en maternelle. Dans le même bâtiment, un point-lecture informatisé (Le réseau des Médiathèques de la Communauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière (CCAPV) est installé, dans le cadre d'un réseau de 8 médiathèques et 10 bibliothèques qui maillent le territoire répartit en 5 secteurs.
Les établissements scolaires les plus proches sont à[60]:
Collèges: Puget-Théniers, Annot;
Lycées: Vence, Valdeblore.
Santé
Les professionnels et établissements de santé les plus proches[61]:
médecins à Villars-sur-Var;
kinésithérapeute à Touët-sur-Var;
Infirmiers à Villars-sur-var;
pharmacie à Entrevaux;
hôpitaux à Puget-Théniers.
Cultes
Culte catholique, Paroisse Notre-Dame du Var[62], Diocèse de Nice.
Lieux et monuments
Monuments de Saint-Pierre.
Chapelle du village de Saint-Pierre.
La façade de la chapelle.
L'église Saint-Étienne et l'école.
L'école.
Puget-Figette, en ruines, avec son église et le donjon XIIesiècle, dit tour Saint-Étienne;
maison fortifiée dite château des Isnardy, du nom d'une des plus vieilles familles notables de Saint-Pierre (1673);
église Saint-Étienne (XIXesiècle):
deux cierges porte-pascals, en bois doré et peint[63],
bustes de saint Pancrace et saint Fortunat, style Louis XIV (fin XVIIesiècle[64]), classés monuments historiques au titre objet[65],
un tableau représentant l’Adoration des bergers, signé du peintre Joseph André et daté par lui de 1662, classé monument historique au titre objet[66],
un triptyque représentant la Vierge à l’Enfant (sculptée) entre saint Pierre et saint Paul (peints);
chapelle au village, 1612 (date figurant sur une pierre enchâssée dans la façade);
chapelle au hameau du château;
ruines de la tour du Douanier, entre Saint-Pierre et Besseuge[67].
Personnalités liées à la commune
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Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559p.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017)
Une étude générale d'identification et d'inventaire du bâti du village a été réalisée par les stagiaires du « Centre européen de formation PARTIR (Patrimoine Architectural Rural, Techniques d'Identification et de Restauration) » - École d'architecture de Paris-La Villette, dans le cadre de ses sessions de formations d'application organisées par l'antenne du Centre pour la région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4ème trimestre 1979, 1287p. (ISBN2-86535-070-3)
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Références
Roger Brunet, «Canton d’Entrevaux», Le Trésor des régions, consultée le 9 juin 2013.
Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN2-7399-5004-7).
Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 17 août 2012.
Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p.98.
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF35450017), p.197.
Notice noIA04001683, base Mérimée, ministère français de la Culture Village de Saint-Pierre
Daniel Thiery, « Saint-Pierre», Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 17 août 2012.
Baratier, Duby & Hildesheimer, op. cit., p.171 et 197.
Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 , consulté le 18 novembre 2008.
Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «Notice communale: Saint-Pierre», sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIesiècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains: Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN978-2-86004-016-7), p.10.
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: étymologie de 35 000 noms de lieux, vol.3: Formations dialectales (suite); formations françaises, Genève, Librairie Droz, coll.«Publications romanes et françaises» (no195), , 1852p. (lire en ligne). § 28517, p.1633.
Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares, Laffite Reprints, Marseille, 1973 (1reédition 1950), p.212.
Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, 1866. Réédition: Marcel Petit CPM, Raphèle-lès-Arles, 1994.
Pays d'Entrevaux: Saint-Pierre, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
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