Localisation de Genevraye dans le département de Seine-et-Marne.
La commune de Genevraye se trouve dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1]. Son territoire s'étend le long de la rive droite de la rivière le Loing et de son canal.
Elle se situe à 31,38 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département, à 14,88 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture et à 8,72 km de Nemours[4], bureau centralisateur du canton de Nemours dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Nemours[1].
Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.
L'altitude varie de 51 mètres à 79 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 58 mètres d'altitude (mairie)[6].
Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire), à l'exception d'une très faible couche de craie blanche datant du Crétacé supérieur (Mésozoïque)[7],[8].
Carte du relief de La Genevraye.
Carte géologique vectorisée et harmonisée de La Genevraye.
Géologie de la commune de La Genevraye selon l'échelle des temps géologiques[7],[8].
Ères
Périodes géologiques
Époques géologiques
Nature des sols
Cénozoïque
Quaternaire
Holocène
X:
Dépôts anthropiques, remblais.
LP:
Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
un bras de la Clairette de 0,36 km[20], qui conflue avec le canal du Loing.
Par ailleurs, son territoire est également traversé par un bras secondaire de l'aqueduc du Loing[21] de 1,73 km.
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 14,58 km[22].
Gestion des cours d'eau
Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles: le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[23].
La commune fait partie du SAGE «Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés», approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[24]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de «structure porteuse»[25].
Climat
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000
- Moyenne annuelle de température: 11,3 °C
- Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C: 3,1 j
- Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,3 j
- Amplitude thermique annuelle[Note 4]: 15,7 °C
- Cumuls annuels de précipitation: 680 mm
- Nombre de jours de précipitation en janvier: 0,7 j
- Nombre de jours de précipitation en juillet: -1,4 j
La commune bénéficie d’un «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[26].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[27]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[26]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[28]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 31 km à vol d'oiseau[29], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2°C pour 1981-2010[30] à 11,6°C pour 1991-2020[31].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[32],[33].
La réserve de biosphère «Fontainebleau et Gâtinais», créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544ha, est également un espace protégé présent sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles: une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[34],[35],[36],[37].
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats» et «Oiseaux». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[38].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la «directive Habitats»[39],[Carte 1]: les «Rivières du Loing et du Lunain», d'une superficie de 400ha, deux vallées de qualité remarquable pour la région Île-de-France accueillant des populations piscicoles diversifiées dont le Chabot, la Lamproie de Planer, la Loche de Rivière et la Bouvière[40],[41].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Genevraye comprend cinq ZNIEFF de type 1[Note 5],[42],[Carte 2]:
la «vallée du Loing entre Moret et Saint-Pierre-Lès-Nemours» (1 749,77ha), couvrant 13 communes du département[48];
la «vallée du Lunain entre Episy et Lorrez-Le-Bocage» (1 224,01ha), couvrant 9 communes du département[49].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Urbanisme
Typologie
La Genevraye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[50],[51],[52].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire regroupe 1 929 communes[53],[54].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,27% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,49%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terre arable (47,04%),
forêts (40,99%),
eaux continentales[Note 9] (7,13%),
zones urbanisées (3,60%),
prairies (1,23%)[55].
Territoires artificialisés (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
28,29ha
2,12%
48,02ha
3,60%
19,74ha
Territoires agricoles (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
672,78ha
50,49%
643,30ha
48,27%
−29,49ha
Forêts et milieux semi-naturels (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
536,56ha
40,26%
546,31ha
41,00%
9,75ha
Surfaces en eau (eaux continentales, eaux maritimes)
94,97ha
7,13%
94,97ha
7,13%
0ha
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[56],[57],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orhophotogrammétrique de la commune.
Planification
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Seine et Loing, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Seine et Loing rassemblant à la fois 44 communes et trois communautés de communes[58].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme en révision[59]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
Lieux-dits et écarts
Carte du cadastre de la commune de La Genevraye.
La commune compte 48 lieux-dits administratifs[Note 10] répertoriés consultables ici[60] (source: le fichier Fantoir).
Cugny, dont la population compte pour moitié de celle de La Genevraye, situé à 1 km. Anciennement, site d'une usine d'explosifs, créée en 1887 et fermée en 1987, entourée d'une cité ouvrière construite vers 1926-1927.
Pleignes, les Genévriers (lotissement).
Logement
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 356 dont 91,1% de maisons et 6,9% d'appartements[Note 11].
Parmi ces logements, 86,3% étaient des résidences principales, 10% des résidences secondaires et 3,7% des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 76,2% contre 19,9% de locataires et 4% logés gratuitement[61].
Voies de communication et transports
Voies de communication
Deux routes départementales relient La Genevraye aux communes voisines:
la D 40, à Moret-Loing-et-Orvanne, au nord-est; et à Montcourt-Fromonville, au sud-est;
la D 58, à Nonville, au sud-ouest.
Transports
La Genevray est desservie par quatre lignes du réseau d'autocars Transdev Nemours[62],[63],[64]:
la ligne 7A, qui relie Saint-Pierre-lès-Nemours à Fontainebleau;
la ligne 8B, qui relie Saint-Pierre-lès-Nemours à Héricy;
la ligne 18A, qui relie qui relie Saint-Pierre-lès-Nemours à Montereau-Fault-Yonne.
Toponymie
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Le nom de la localité est mentionné sous les formes La Genevraia vers 1200[65]; Genuperia en 1369[66]; La Genevroye vers 1380[67]; La Genevrois en 1485[68].
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Préhistoire
La sépulture de Pleignes, sur la commune, fait partie d'un alignement de six mégalithes orienté N. 25° O, qui inclut le menhir de Chevannes (Loiret), la Pierre aux Aiguilles (Nanteau-sur-Lunain), l'une des Pierres de Saint Barthélémy (Treuzy), la Haute Borne et la Pierre Levée du Moque Baril (tous deux à Nonville)[70].
Politique et administration
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
février 1874
janvier 1881
Germain Trébuchet
décembre 1899
juillet 1922
François Alexandre dit "Xavier" Bender
Directeur de la dynamiterie de Genevraye chevalier de la Légion d'honneur[71]
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Équipements et services
Eau et assainissement
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [73],[74].
Assainissement des eaux usées
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de La Genevraye est assurée par le SIDASS de Moret Seine et Loing pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [75],[76],[77].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[78]. Le SIDASS de Moret Seine et Loing assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à une entreprise privée , dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2025[75],[79].
Eau potable
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIDEAU Moret Seine et Loing qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [75],[80],[81].
Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Bocage[82].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[83]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[84].
En 2019, la commune comptait 802 habitants[Note 12], en augmentation de 20,6% par rapport à 2013 (Seine-et-Marne: +4,1%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
168
141
151
195
175
206
225
237
242
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
270
262
271
216
270
244
255
331
383
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
386
401
397
403
533
540
576
592
630
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
581
541
507
507
528
579
639
632
619
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
764
802
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[85] puis Insee à partir de 2006[86].)
Histogramme de l'évolution démographique
Manifestations culturelles et festivités
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Enseignement
La Genevraye dispose d’une école élémentaire “Maurice Martin”, située 2 route de Montigny.
Cet établissement public, inscrit sous le code UAI (Unité administrative immatriculée): 0770760H, comprend 60 élèves (chiffre du Ministère de l'Éducation nationale)[87].
Il ne dispose pas d’un restaurant scolaire.
La commune dépend de l'Académie de Créteil; pour le calendrier des vacances scolaires, La Genevraye est en zone C.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2017, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 307, représentant 795 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 24 340 euros[88].
Emploi
En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 170, occupant 395 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 76,4% contre un taux de chômage de 6%.
Les 17,6% d’inactifs se répartissent de la façon suivante: 6,8% d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,8% de retraités ou préretraités et 6% pour les autres inactifs[89].
Entreprises et commerces
En 2015, le nombre d'établissements actifs était de 63 dont 7 dans l'agriculture-sylviculture-pêche, 1 dans l’industrie, 12 dans la construction, 35 dans le commerce-transports-services divers et 8 étaient relatifs au secteur administratif[90].
Ces établissements ont pourvu 106 postes salariés.
Entreprise la plus importante: Adisco-Daugeron et Fils.
La Genevraye est dans la petite région agricole dénommée le «Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau», couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 13] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[91].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30% du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[92]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 5 en 1988 à 3 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 134ha en 1988 à 98ha en 2010[91].
Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Genevraye, observées sur une période de 22 ans:
Évolution de l’agriculture à La Genevraye entre 1988 et 2010.
parti: au 1) mi parti de gueules à l'aigle d'argent armée et lampassée d'or, au 2) d'argent à la croix pattée au pied fiché de gueules et à la champagne d'azur chargée de trois fasces ondée du champ.
Voir aussi
Bibliographie
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Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
Nature en attente de mise à jour.
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100%.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1248 - (ISBN2600001336).
[Viré 1926] Armand Viré, «La Vallée du Lunain aux âges préhistoriques», Bulletin de la Société préhistorique française, vol.23, nos3-4, , p.65-109 (lire en ligne[sur persee]), p.94.
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