Darvault est une commune française située près de Nemours, dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Cet article est une ébauche concernant une commune de Seine-et-Marne.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade « Bon début » quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune.
Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Darvault | |
![]() La mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Île-de-France |
Département | Seine-et-Marne |
Arrondissement | Fontainebleau |
Intercommunalité | Communauté de communes Pays de Nemours |
Maire Mandat |
Fabrice Jeulin 2022-2026 |
Code postal | 77140 |
Code commune | 77156 |
Démographie | |
Gentilé | Darvaultois |
Population municipale |
896 hab. (2019 ![]() |
Densité | 114 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 16′ 18″ nord, 2° 43′ 56″ est |
Altitude | Min. 57 m Max. 137 m |
Superficie | 7,83 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Nemours (banlieue) |
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Nemours |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | mairie-darvault.fr |
modifier ![]() |
Darvault est situé dans le sud de la Seine-et-Marne à environ 3,2 km par la route[1],[Note 1] à l'est de Nemours et à 6,40 km au sud de Montcourt-Fromonville, commune dont elle s'est séparée en 1913[2].
Saint-Pierre-lès-Nemours | Montcourt-Fromonville | Nonville |
Nemours | ![]() |
Treuzy-Levelay |
Poligny |
L'altitude de la commune varie de 57 mètres à 137 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 89 mètres d'altitude (mairie)[3]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[4].
Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 0,53 km[7].
Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000 | |
- Moyenne annuelle de température : 11,3 °C |
La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[8].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[8]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[10]. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 37 km à vol d'oiseau[11], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[12] à 11,6 °C pour 1991-2020[13].
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », créée en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est un espace protégé présent sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Education, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[16],[17],[18].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[20],[Carte 1] :
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Darvault comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3],[25],[Carte 2], les « Bois de Darvault et forêt de Nanteau » (1 456,27 ha), couvrant 4 communes du département[26] , et un ZNIEFF de type 2[Note 4],[25], la « vallée du Loing entre Moret et Saint-Pierre-Lès-Nemours » (1 749,77 ha), couvrant 13 communes du département[27].
Darvault est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[28],[29],[30]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nemours, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[31] et 21 105 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[32],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire regroupe 1 929 communes[34],[35].
La commune compte 57 lieux-dits administratifs[Note 7] répertoriés consultables ici[36] (source : le fichier Fantoir) dont les Caillaux, la Barauderie.
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,3% ), forêts (21,1% ), zones urbanisées (5,9% ), prairies (3,9% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6% ), eaux continentales[Note 8] (0,2 %)[37].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[38],[39],[Carte 3]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 4].
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais[40].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[41]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 5].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 461 dont 96 % de maisons et 1,7 % d'appartements[Note 9].
Parmi ces logements, 77,6 % étaient des résidences principales, 10,3 % des résidences secondaires et 12,2 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait t à 87,6 % contre 9,2 % de locataires[42] dont, 0,8 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 10] et, 3,2 % logés gratuitement.
La commune est desservie par la ligne d’autocars :
La D403 traverse le village et des chemins relie Darvault avec les communes voisines de Nonville et Montcourt-Fromonville. L'autoroute A6 passe également sur le territoire de la commune et la sortie no 16 se situe à environ deux kilomètres du centre du village. La construction de cette autoroute dans le milieu des années 1960 a réduit la superficie et le nombre d'habitants de la commune[44].
Le nom de la commune est utilisé pour la dénomination d’une aire de repos de l’autoroute A6 qui traverse son territoire, l’aire de Darvault en direction de Paris située au point kilométrique 74[45].
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Darveia vers 1140[46] ; Darveis en 1156[47] ; Dalveia, 1164[48] ; Grangia de Dervoer vers 1173[49] ; Dervaux, 1340[50] ; La seigneurie d'Arveaux 1599[51] ; Ervaulx, 1599[52] ; Darvaux et Ervaux au XVIe siècle[53],[54].
Le nom de la commune pourrait venir soit du latin arvus qui signifie « labourable » et du préfixe ab qui transforme le mot en « inculte » soit du celte derva qui veut dire « chêne ». Il semble plus probable qu'il soit issu de l'étymon indo-européen *deru- (avec le sens polysémique de solide, ferme comme un arbre) qui se retrouve dans le sens de chêne, l'arbre par excellence, dans le gaulois dervos[55].
Dès 1140, le nom de Darveia apparaît dans les textes. À la fin du XVe siècle, le village a appartenu à l'abbaye de la Joye puis à Antoine Hutin qui était le grainetier de Nemours. À partir du XIXe siècle, l'exploitation des carrières a remplacé la viticulture dans l'économie locale. Darvault a été érigée en commune par la loi du 23 décembre 1913. Auparavant, Darvault était un hameau de Fromonville. À sa création, la nouvelle commune s'étendait sur 882 hectares et comptait 347 habitants.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
15 mars 1914 | 1919 | Francisque Farisy | ||
décembre 1919 | 1925 | Henri Beaugereau | Agriculteur | |
mai 1925 | 1935 | Francisque Farisy | ||
mai 1935 | 1936 | Henri Beaugereau | Agriculteur | |
septembre 1936 | 1945 | Marcel Saussois | ||
mai 1945 | 1953 | Albert Dubois | ||
mai 1953 | 1959 | Roland Beaugereau | ||
mars 1959 | 1978 | Maurice Tillou | ||
juin 1978 | 1998 | Jean-Noël Vigouroux | Conseiller en Formation Continue | |
1998 | 2008 | Serge Besnard | Retraité | |
mars 2008 | avril 2014 | Patrick Benso | Directeur de projet | |
avril 2014 | En cours (au 8 juillet 2020) |
Didier Chassain | Juriste Vice-président délégué de la CC Pays de Nemours (2020 → ) Réélu pour le mandat 2020-2026[56] |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [57],[58].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Darvault est assurée par le SIAEP de Nemours, Saint-Pierre pour la collecte, le transport et la dépollution. Ce service est géré en délégation par une entreprise privée, dont le contrat arrive à échéance le [59],[60],[61].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[62]. Le SIAEP de Nemours, Saint-Pierre assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations. Cette prestation est déléguée à la SAUR, dont le contrat arrive à échéance le 31 décembre 2028[59],[63].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SIAEP de Nemours, Saint-Pierre qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [59],[64].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1921. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[65]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[66].
En 2019, la commune comptait 896 habitants[Note 11], en augmentation de 7,18 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +4,1 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 | 1962 | 1968 | 1975 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
279 | 292 | 305 | 309 | 341 | 371 | 509 | 437 | 613 |
1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 | 2018 | 2019 | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
652 | 742 | 778 | 783 | 785 | 836 | 890 | 896 | - |
Darvault est située dans l'académie de Créteil. La ville administre une école élémentaire[68]. Le collège de secteur est situé à Nemours (collège Honoré de Balzac). Les lycéens de la commune ont accès au lycée Étienne Bézout de Nemours, au lycée professionnel Uruguay France de Avon et au lycée polyvalent Georges Clemenceau de Champagne-sur-Seine.
La fête du village se déroule le second week-end de mai.
Il n'y a aucun médecin ou de pharmacien sur la commune. Cependant Nemours compte plusieurs médecins, des pharmaciens et un hôpital. Enfin, il existe une pharmacie à Moncourt Fromonville.
La commune a un club de Karaté présidé par Jean-Luc Aubertin, le seul 7e dan de Seine-et-Marne[69].
Le quotidien régional Le Parisien, dans son édition locale Seine-et-Marne, l’hebdomadaire La République de Seine-et-Marne ainsi que L'Éclaireur du Gâtinais, relatent les informations locales. La commune est en outre dans le bassin d’émission des chaînes de télévision France 3 Paris Île-de-France et d'IDF1. L’information institutionnelle est assurée par plusieurs publications périodiques : Seine-et-Marne Magazine, mensuel diffusé par le conseil général de Seine-et-Marne[70] et le Journal du Conseil régional, bimensuel diffusé par le conseil régional d'Île-de-France[71].
En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 364, représentant 896 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 23 390 euros[72].
En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 267, occupant 364 actifs résidants (dont 12,4 % dans la commune de résidence et 87,6 % dans une commune autre que la commune de résidence).
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 67,3 % contre un taux de chômage de 7,9 %. Les 24,8 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,6 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 9,6 % de retraités ou préretraités et 5,5 % pour les autres inactifs[73].
Au , le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 53 dont 5 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 10 dans la construction, 15 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans l’Information et communication, 1 dans les activités financières et d'assurance, 4 dans les activités immobilières, 4 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 5 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 7 étaient relatifs aux autres activités de services[74].
En 2020, 6 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 3 individuelles.
Au , la commune ne possédait aucun hôtel mais un terrain de camping disposant de 140 emplacements[79].
Darvault est dans la petite région agricole dénommée le « Pays de Bière et Forêt de Fontainebleau », couvrant le Pays de Bière et la forêt de Fontainebleau[Carte 6]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 12] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[80].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[81]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 9 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 49 ha en 1988 à 221 ha en 2010[80]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Darvault, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[80],[Note 13] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 9 | 3 | 1 |
Travail (UTA) | 10 | 3 | 1 |
Surface agricole utilisée (ha) | 441 | 301 | 221 |
Cultures[82] | |||
Terres labourables (ha) | 434 | 295 | s |
Céréales (ha) | 301 | s | s |
dont blé tendre (ha) | 121 | 76 | s |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 58 | s | s |
Tournesol (ha) | 92 | s | s |
Colza et navette (ha) | s | ||
Élevage[80] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 14]) | 11 | 3 | 0 |
La commune ne compte pas de monument répertorié à l'inventaire des monuments historiques (Base Mérimée)[83].