Haudricourt est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.
Pour les articles homonymes, voir Haudricourt (homonymie).
Cet article est une ébauche concernant une commune de la Seine-Maritime.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade «Bon début» quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion.
Haudricourt est une commune normande du Pays de Bray dans la Seine-Maritime, limitrophe de l'Oise et située à 43 km au-sud-est de la Manche au Tréport, 46 km au sud-ouest d'Amiens et à 55 km au nord-est de Rouen.
Elle est desservie par l'autoroute A29 et l'ex-RN 29 (actuelle RD 929).
La commune est drainée par plusieurs ruisseaux qui forment la Vitardière, qui y conflue en aval du hameau de Villers dans le fleuve côtier la Bresle, sur lesquels se trouvaient le moulin d’Haudricourt, au centre du village et le moulin de Caumont, un peu plus en aval du ruisseau
Des travaux menés en 2022 par le syndicat mixte d’aménagement de la Bresle (SMAB) de renaturation sur 1,3 km de la Vitardière ont permis d'en enlever la vase, facilitant ainsi le passage des poissons et des sédiments et réduisant ainsi les risques d'inondation lors des crues du cours d'eau[1]
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 9,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,7 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 2,9 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 13,2 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Arnoult», sur la commune de Saint-Arnoult, mise en service en 2001[8] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,2°C et la hauteur de précipitations de 766,9 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Beauvais-Tillé», sur la commune de Tillé, dans le département de l'Oise, mise en service en 1944 et à 42 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4°C pour la période 1971-2000[12] à 10,6°C pour 1981-2010[13], puis à 11,1°C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Haudricourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17].
La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,6% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,6%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (47%), prairies (34,2%), forêts (12,5%), zones agricoles hétérogènes (4,4%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9%), zones urbanisées (0,8%), zones humides intérieures (0,1%)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Lieux-dits, hameaux et écarts
La commune compte une vingtaine de hameaux et d'écarts[22], dont Bretagne[23] Beaufresne, Roupied et Villers.
Habitat et logement
En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 243, alors qu'il était de 239 en 2014 et de 226 en 2009[I 1].
Parmi ces logements, 78,5% étaient des résidences principales, 9,5% des résidences secondaires et 12% des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,6% d'entre eux des maisons individuelles et pour 0% des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Haudricourt en 2019 en comparaison avec celle de la Seine-Maritime et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (9,5%) supérieure à celle du département (4%) et à celle de la France entière (9,7%). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,9% des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,9% en 2014), contre 53% pour la Seine-Maritime et 57,5 pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en%)
9,5
4
9,7
Logements vacants (en%)
12
8,2
8,2
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous la forme Aldricort vers 1138[24], puis sous la forme latinisée Audricuria en 1337[25].
Il s'agit d'un type toponymique antérieur au Xesiècle en -court[26], jadis noté -cort. Cet appellatif toponymique caractéristique du nord de la France est issu du gallo-roman corte «cour de ferme, ferme, domaine rural», également noté cōrtem[24]. La forme -curia des mentions latinisées s'explique par une étymologie erronée d'après le latin curia «cour, curie», responsable également de la graphie moderne du mot cour en français, alors que l'anglais court conserve la graphie ancienne du français.
Le premier élément Aldri-, Audri- ou Haudri- représente un anthroponyme germanique conformément à la plupart des toponymes en -court. Son identification exacte est complexe, peut-être Hild-ric[24], ou mieux Aldricus[27],[28], voire Haldricus[29]. Cet anthroponyme germanique se perpétue dans les noms de famille Haudry et Audry[29],[Note 7].
Selon Albert Dauzat, Haudry est composé des éléments hald «héros» et ric «puissant»[30] et Audry de Alda «vieux» et ric «puissant»[31].
Le hameau de Bretagne tire probablement son nom de son ancien propriétaire, mentionné en 1481 comme étant Bretan, dit Bretaigne[23]
Histoire
À partir de 1840 ont été trouvés des cercueils en pierre et en plâtre, sur le penchant d'une colline, au lieu dit le Camp Varnier[32].
Aux Larris-de-la-commune a été découverte en 1987 une nécropole mérovingienne comptant 103 sépultures des VIeetVIIesiècles. On constate une différence d'orientation des tombes: une majorité est orientée nord-sud, une partie est orientée est-ouest et une autre ouest-est. Cette différence est peut-être l'indice de communautés culturelles d'origines ethniques et géographiques différentes[33]. Le mobilier « guerrier » de certaines tombes (un scramasaxe, une lame de couteau en fer), certains bijoux et plaques boucles en fer damasquiné font penser à un groupe de Germains et leurs familles, comme on le voit ailleurs.
N.-R. Potin de La Mairie relate qu'en 1592, Henri IV blessé lors d'un combat avec le duc de Parme, est pansé dans une ferme du hameau de Bretagne, tenue par le fermier Cauchois[23].
La commune de Haudricourt, instituée par la Révolution française, a absorbé en 1823 celle de Villers-sur-Aumale, puis, le , celle de Beaufresne[34].
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Dieppe du département de la Seine-Maritime. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la sixième circonscription de la Seine-Maritime.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Aumale[34]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Gournay-en-Bray.
Intercommunalité
Haudricourt était membre de la communauté de communes du canton d'Aumale, créée fin 2001.
Dans le cadre de l'approfondissement de la coopération intercommunale prévu par la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes interrégionale Aumale - Blangy-sur-Bresle dont est désormais membre la commune.
Président du SI de gestion de l’eau (SIGE) de Conteville et Haudricourt[22] Réélu pour le mandat 2020-2026[22],[37]
Démographie
Articles connexes: Histoire du recensement de la population en France et Démographie de la France.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].
En 2019, la commune comptait 407 habitants[Note 11], en diminution de 12,28% par rapport à 2013 (Seine-Maritime: +0,08%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
401
396
421
459
771
776
791
779
800
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
776
762
726
714
671
656
621
618
558
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
538
528
539
507
524
501
533
574
515
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
508
423
491
456
443
443
457
471
422
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
407
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Église Saint-Jean-et-Saint-Martin. l'Abbé Cochet mentionnait en 1871: « L'église, dédiée à saint Jean et à saint Martin, doit remonter, pour le fond, au XIe et au XIIesiècle. Dans l'appareil de la nef, qui est en forme d'arête de poisson , on remarque des tuiles antiques. Le pignon de l'ouest est percé d'une porte et d'une fenêtre romanes. Au chevet, un grand cintre encadre trois ogives inégales, emblème de la Trinité. Le reste de l'église a été refait au XVIIe et au XVIIIesiècle[32] ».
Le coq du clocher a été béni l’abbé Jean-Claude Varin après la réfection du clocher, début 2021[41]. Celui-ci est connu pour être fortement incliné. Selon de nombreux habitants, il s'agirait d'une déformation de la charpente, mais il semblerait qu'il s'agit d'une situation volontaire permettant de mieux lutter contre la force des vents violents du secteur[42]
Église Notre-Dame à Villers[43]. Egalement selon l'Abbé Cochet, elle comprend une « nef du XVIIe et du xXVIIIesiècle, flanquée au midi d'une chapelle seigneuriale, ornée d'une corniche sculptée et garnie d'une belle fenêtre ogivale à meneaux, avec verrière représentant le Jugement dernier. Le chœur, construit au XVIesiècle, en pierre blanche, remplacée par de la brique en certains endroits, est éclairé par cinq fenêtres à un meneau, dont trois sont au chevet. Deux contiennent des verrières. Au midi est une Annonciation au bas de laquelle on voit les donateurs conduits par leurs saints patrons. Au nord sont la Naissance de Jésus-Christ, l'Adoration des Bergers et les emblèmes mystiques de la Vierge Marie. Au bas est le donateur, M. Philippe Féret, curé du lieu eu 1546. Corniche en bois sculpté et restes d'un baldaquin placé sur l'autel pour porter des rideaux et une suspension du saint sacrement[32]».
Jean Baptiste Arthur Gentien Mey de Châles (1857- ), capitaine au 41e régiment d'infanterie, chevalier de la Légion d'honneur, né à Haudricourt[44].
Prosper Albert Armand Monnier (1859-1934), adjudant-chef, gardien de batterie au parc d'artillerie de la place de Maubeuge, chevalier de la Légion d'honneur, né à Haudricourt[45].
L'artiste peintre américaine Mary Cassatt (1844-1926), propriétaire du château de Beaufresne.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Certains auteurs notent les noms de personnes germaniques avec la désinence latinisée -us, tels qu'ils apparaissent dans les documents anciens rédigés en latin
Décédé le 10/04/1857
Décédé le 21/02/1859 fils du précédent Blaise Mallart
Décédé le 14/09/1949
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Romain Amichaud, «Les truites devraient revenir grâce aux travaux sur la Vitardière à Haudricourt: Une des raisons principales de ce chantier de trois mois à Haudricourt est de permettre la croissance des truites fario dans ce cours d'eau qui se trouve en amont de la Bresle», Le Réveil de Neufchâtel, 25/9/2022 mis à jour le 28/9/2022 (lire en ligne, consulté le ).
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Vincent Beny, «Municipales 2020: le maire d’Haudricourt, près d’Aumale, a décidé de se représenter: Sur les 15 maires de l’ex-canton d’Aumale, Dany Delabouglise était l’un des derniers à ne pas avoir dévoilé ses intentions pour les élections municipales.», Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, (lire en ligne, consulté le ).
«pourquoi la Bretagne a son hameau près d’Aumale en lien avec Henri iV?», Le Réveil, édition Bresle Oise Somme, no3787, , p.8.
François de Beaurepaire (préf.Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180p. (ISBN978-2-7084-0040-5, OCLC6403150), p.91.
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN2-85023-076-6), p.345a.
François de Beaurepaire, op. cit., p.9.
François de Beaurepaire, op. cit., p.91.
Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
François de Beaurepaire, op. cit.
Albert Dauzat, Dictionnaire des noms de famille et prénoms de France, éd. Larousse, janvier, 1951, p.321.
Albert Dauzat, Dictionnaire des noms de famille et prénoms de France, éd. Larousse, janvier, 1951, p.15.
Abbé Cochet, Répertoire archéologique du département de la Seine-Inférieure: rédigé sous les auspices de l'Académique des sciences, belles-lettres et art de Rouen, Paris, Imprimerie nationale, coll.«Répertoire archéologique de la France», , 652p. (lire en ligne), p.169, lire en ligne sur Gallica.
Isabelle Rogeret, Carte archéologique de la Gaule: La Seine-Maritime, Fondation Maison des Sciences de l'Homme 1998.
Vincent Beny, «Le coq du clocher d'Haudricourt a été béni: Moment important pour la commune d'Haudricourt, près d'Aumale, le coq de l'église a été béni. Les travaux de restauration seront bientôt terminés», Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le ).
Vincent Beny, «Haudricourt, près d’Aumale. Pourquoi le clocher de l’église est-il incliné?: Si l’inclinaison du clocher de l’église d'Haudricourt est bien connue de ses habitants, peu de gens en connaissent les vraies raisons. L'hypothèse la plus probable est étonnante», Le Réveil de Neufchâtel, (lire en ligne, consulté le )«En effet, plus haut clocher de l’ex-canton d’Aumale, il a dû, à travers les temps, faire face à de nombreuses tempêtes avec des vents parfois très puissants venant du nord ouest. Son inclinaison lui a donc permis de résister aux vents dominants. Et visiblement cela a fonctionné puisque lors de l’intervention des charpentiers et couvreurs lors de sa rénovation, seulement quelques petites poutres ont dû être remplacées».
Céline Leray, «Église Notre-Dame à Haudricourt: où sont passées les subventions?: Le chantier de l’église de Villers devrait s’achever en septembre. Si les travaux avancent bien, les subventions peinent à arriver dans les caisses de la municipalité.», Le Réveil, (lire en ligne, consulté le ).
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии