Génolhac (prononciation occitane normale API: [ʒenujak] «génou-yac») est une commune française située dans le nord du département du Gard, en région Occitanie.
Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Luech, l'Homol, l'Amalet et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans les Cévennes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (les «hautes vallées de la Cèze et du Luech» et «les Cévennes») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Génolhac est une commune rurale qui compte 826 habitants en 2019. Ses habitants sont appelés les Génolhacois ou Génolhacoises.
Géographie
Localisation
Génolhac est situé dans le nord du département du Gard. La commune est limitrophe de la Lozère. Son altitude moyenne est de 500 mètres. Son point culminant est au belvédère des Bouzèdes (1 232 mètres), au bord du plateau de Lozère.
L' Amalet, ruisseau de 6 km environ, prend sa source à Concoules, à 732 mètres d'altitude, puis traverse la commune pour se jeter dans l'Homol à Sénéchas. Son lit fixe une bonne partie de la frontière communale Nord et Est avec les communes de Concoules et Sénéchas.
L' Homol, ruisseau de 21 km environ, affluent de la Cèze, elle-même affluent du Rhône, entre dans la commune par Vialas, la traverse sur une longueur de 8,6 km pour atteindre Chambon.
Le Luech, rivière de 31,5 km environ, affluent de la Cèze, entre dans la commune par Vialas, la traverse sur une longueur de 3,2 km et en sort au Pont-de-Rastel où elle atteint Chamborigaud.
On trouve à Génolhac des formations métamorphiques et du granite post-tectonique du mont Lozère. Les roches sont riches en silice et en alumine mais pauvres en potasse. Les matériaux ont subi les actions du froid quaternaire qui ont façonné les pentes et donné naissance aux alluvions des
fonds de vallées.
La Gardonnette.
Pont sur la Gardonnette.
L'Homol.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen franc», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[2].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 11,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 5,3 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 11,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 8,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 4,8 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1974 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[7]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records GENOLHAC (30) - alt: 519 m 44° 20′ 30″ N, 3° 57′ 36″ E Records établis sur la période du 01-01-1974 au 04-01-2022
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
1,6
1,9
4,3
6,3
9,7
13,1
15,8
15,7
12,5
9,2
5
2,4
8,2
Température moyenne (°C)
5
5,7
8,7
10,9
14,7
18,6
21,8
21,6
17,6
13,1
8,4
5,7
12,7
Température maximale moyenne (°C)
8,4
9,5
13
15,5
19,8
24,1
27,9
27,6
22,6
17
11,8
8,9
17,2
Record de froid (°C) date du record
−13 12.01.1987
−11 10.02.1986
−9,3 01.03.05
−3,5 14.04.1998
1 07.05.1997
2 18.06.1991
8 11.07.1993
7,2 29.08.1986
3,5 29.09.1974
−2 18.10.1992
−5,5 21.11.1993
−10 27.12.1996
−13 1987
Record de chaleur (°C) date du record
20,5 10.01.15
23,5 23.02.20
26,2 31.03.12
29,1 29.04.05
33 30.05.01
42,3 28.06.19
37,6 21.07.06
40,2 12.08.03
35,4 04.09.06
30,3 02.10.11
24,2 16.11.15
21 18.12.1987
42,3 2019
Précipitations (mm)
145,6
95,9
79,2
147,2
152,4
76
45,8
75,3
162,1
242,1
234,9
176,5
1 633
Source: «Fiche 30130001» [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le: 06/01/2022 dans l'état de la base
Génolhac est desservie par un train Intercités qui effectue des missions entre les gares de Clermont-Ferrand et de Nîmes, et des trains TER Occitanie qui effectuent des missions entre les gares: de Clermont-Ferrand et de Nîmes ou de Montpellier-Saint-Roch; de Mende et de Nîmes.
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].
Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur du Parc national des Cévennes. Ce parc national, créé en 1967, est un territoire de moyenne montagne formé de cinq entités géographiques: le massif de l'Aigoual, le causse Méjean avec les gorges du Tarn et de la Jonte, le mont Lozère, les vallées cévenoles ainsi que le piémont cévenol[10].
La commune fait également partie des Cévennes, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 1985 pour la mosaïque de milieux naturels qui la composent et qui abritent une biodiversité exceptionnelle, avec 2 400 espèces animales, 2 300 espèces de plantes à fleurs et de fougères, auxquelles s’ajoutent d’innombrables mousses, lichens, champignons[11],[12].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[14]:
les «hautes vallées de la Cèze et du Luech», d'une superficie de 12 680ha, correspondant à la partie amont du bassin versant de la Cèze. Elles présentent un patrimoine naturel remarquable, avec quatre espèces piscicoles: l'écrevisse à pattes blanches, le castor, la loutre et le barbeau méridional et cinq habitats d'intérêt communautaire d'origine[15]
«les Cévennes», d'une superficie de 92 044ha, correspondant précisément à la zone centrale du parc national des Cévennes et rassemblant plusieurs ensembles distincts. La diversité des milieux et des paysages permet le maintien d'une avifaune riche et diversifiée: au total, 135 espèces d'oiseaux, dont 22 inscrites à l'annexe 1 de la directive 79-409-CEE, recensées dans la zone centrale du parc, dont une vingtaine d'espèces de rapaces diurnes et sept nocturnes[16].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[17]:
la «forêt Domaniale de l'Homol» (133ha), couvrant 2 communes dont 1 dans le Gard et 1 dans la Lozère[18], et
la «forêt domaniale de Malmontet» (1 511ha), couvrant 3 communes du département[19]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[17]:
le «massif du Mont Lozère» (40 064ha), couvrant 22 communes dont 3 dans le Gard et 19 dans la Lozère[20];
les «vallées amont de la Cèze et de la Ganière» (10 752ha), couvrant 11 communes dont 9 dans le Gard et 2 dans la Lozère[21].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Génolhac.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Génolhac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[22],[I 1],[23].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (86,9% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (80,4%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,5%), prairies (5%), zones agricoles hétérogènes (4,8%), zones urbanisées (3,3%)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Génolhac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier: le risque de radon[25]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[26].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Luech et l'Homol. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1994, 1995, 1997, 2007, 2008, 2011 et 2014[27],[25].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Génolhac.
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 22,6% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 658 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 467 sont en en aléa moyen ou fort, soit 71%, à comparer aux 90% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1983[25].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[31].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Génolhac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[32].
Toponymie
Attestations anciennes
1169: Junilhacum - castrum de Junilhaco (généalogie des Châteauneuf-Randon)[33].
1199: Castrum de Genouillac (Gallia Christiana, t.VI, p.622)[33].
1243: Genoillaicum (cartulaire de Franquevaux)[33].
1280: Genolhacum (généalogie des Châteauneuf-Randon)[33].
1345: Parrochia de Genulhaco (cartulaire de la seigneurie d'Alais, f. 31)[33].
1376: La paroisse de Guinoac (cartulaire de la seigneurie d'Alais, f. 43)[33].
1384: Junilhacum (dénombrement de la sénéchaussée)[33].
1426: J. de Jinoliaco (bulletin de la société de Mende, t. XVII, p.39)[33].
1433: Genolhac (Léon Ménard, Notes manuscrites, III, preuves p.237, col. 2 - Bibliothèque de Nîmes)[33].
1434: Ginolhac (Léon Ménard, Notes manuscrites, III, preuves p.238, col. 2 - Bibliothèque de Nîmes)[33].
1715: Genouillac (J.-B. Nolin, carte du diocèse d'Uzès)[33].
1721: Genolhac (bulletin de la société de Mende, t. XVI, p.164)[33].
Toponymie
En occitan Génolhac est prononcé Ginouillac, le digramme lh étant équivalent au ill français.
Au vu des formes anciennes et au-delà des hypothèses obsolètes livrées par l'abbé Nicolas en 1895, on peut interpréter le mot comme un gentilice romain (porté par un autochtone) Genilius[34] (si l'on se base sur la première mention) ou un nom de personne gallo-romain *Gennulius, dérivé du gaulois Gennos[35],[36] (si l'on se base sur les mentions suivantes et la forme actuelle). Il est suivi du suffixe -(i)acum[35],[36], d'origine gauloise. On peut ainsi comprendre Génolhac comme «domaine de Genilius» ou «terres de Genilius»[34] ou encore «domaine de Gennulius»[35],[36]. Les formes beaucoup plus anciennes de Génouillé (Vienne, Genulliaco 1096) et Genouilleux (Ain, de Genoliaco 868), toponymes qui semblent identiques au type occitan Genolhac[35] ne peuvent pas s'expliquer par l'anthroponyme latin Genilius.
Homonymie avec les nombreux Genouillac (Creuse, Charente, Genoliaco 1281); Ginouillac (Lot)[35] de langue d'oc (graphies francisées) et les Genouillé (Charente-Maritime, Vienne); Genouilly (Cher, Saône-et-Loire); Genouilleux (Ain), etc.[35] de langue d'oïl et franco-provençal
Remarque: l'hypothèse d'un dérivé *Gen[n]ulius basée sur l'existence de l'anthroponyme gaulois Gen[n]os (-ius) est également soutenue par plusieurs noms de personnes qui contiennent cet élément genos «lignée, famille», tels que Congennolitanos; Congenno (datif); Adgennius; Adgenus; Adegennorix; Camulogenus; Matugenus; etc.[37].
Ses habitants sont les Génolhacois.
Histoire
Repères chronologiques
Au IIIesiècle, saint Martial répand le christianisme dans la région.
Dès le haut Moyen Âge, le chemin de Régordane traverse Génolhac.
En 1228, Bernard d'Anduze octroie une charte à la ville.
Le couvent des Dominicains est fondé en 1300[réf.nécessaire].
En 1312, fondation d'un couvent de Jacobins par les barons de Randon[33].
En 1562, Claude de Chalençon, fils d'un premier lit de Louis de Chalençon, vicomte de Polignac et seigneur de Génolhac, s'empare de la ville à la tête de troupes calvinistes; brouillé avec son père qui voulait faire de lui un ecclésiastique, il avait opté pour la Réforme.
En 1629, la peste ravage Génolhac et les villages environnants.
En 1702, l'église Saint-Pierre est brûlée par des Camisards, commandés par Jouanny qui s'empare de la cité; il sera le seul chef camisard à avoir investi une ville-garnison.
En 1721, la peste, apportée, dit-on, par un ballot de coton venant de Marseille, se déclare à nouveau à Génolhac; elle ne cessera qu'en 1723.
Le , la ville subit une inondation qui fait six victimes et de grands dégâts.
Le , les cahiers de doléances sont approuvés en assemblée générale à la maison de ville.
Le , survient une inondation encore plus forte que celle de 1772.
En 1810, l'église des Dominicains est convertie en temple protestant.
Le la région Languedoc-Roussillon, à laquelle appartient le Gard, fusionne avec la région Midi-Pyrénées. L'ensemble est devenu la nouvelle région Occitanie.
Moyen Âge
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Les seigneurs de Génolhac
Durant tout le Moyen Âge, la seigneurie de Génolhac est partagée entre les évêques d’Uzès et des seigneurs laïcs.
Armes des Anduze.
Armes des Randon.
Armes des Polignac, reprises par les Chalençon.
Armes des Budos.
Armes des Princes de Conti.
Anduze
Articles détaillés: Maison d'Anduze et Château de Portes.
1029 à 1054 - Bermond, seigneur d’Anduze
1054 à 1078 - Bernard, seigneur d’Anduze, son fils
1078 à 1109 - Raymond, seigneur d’Anduze, son fils
1109 à 1128 - Bernard, seigneur d’Anduze, son fils
1128 à 1162 - Bernard, seigneur d’Anduze, son fils
1162 à 1169 - Bertrand, seigneur d’Anduze, son fils
1169 à 1200 - Bernard, seigneur d’Anduze, son fils
1200 à 1223 - Bernard, seigneur d’Anduze, son fils
1223 à v. 1250 - Bernard, seigneur des Portes de Largentière et d’Alès, son fils
v. 1250 à 1289 - Marguerite, dame des Portes, sa fille et héritière, qui épouse Randon, seigneur de Châteauneuf-Randon
1303 à 1334 - Marquise, dame de Randon, fille et héritière du précédent, qui épouse Armand, vicomte de Polignac
Polignac
1334 à 1351 - Armand de Randon, vicomte de Polignac, leur fils
1351 à… - Marguerite de Polignac, sa fille et héritière
… à 1385 - Randonnet, vicomte de Polignac, seigneur de Randon, son petit cousin
1385 à 1421 - Randon, vicomte de Polignac, seigneur de Randon, son frère
… à … - Valfurge, vicomtesse de Polignac, dame de Randon et de Randonnet, sa fille et héritière, qui épouse Guillaume, seigneur de Chalençon
Chalençon
Article détaillé: Maison de Chalençon.
… à … - Pierre de Chalençon, vicomte de Polignac, leur fils
… à … - Louis Armand, vicomte de Polignac, baron de Chalençon, son fils
… à 1473 - Guillaume Armand, vicomte de Polignac, baron de Chalençon, son fils
1473 à 1518 - Guillaume Armand, vicomte de Polignac, baron de Chalençon, son fils
1518 à 1582 - François Armand, vicomte de Polignac, baron de Chalençon, son fils
1582 à 1584 - Louis, vicomte de Polignac, baron de Chalençon, son fils
1584 à 1606 - Gaspard Armand, vicomte de Polignac, marquis de Chalençon, baron de Randon, son fils
Époque moderne
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Les seigneurs de Génolhac
Durant tout l’Époque moderne, la seigneurie de Génolhac est partagée entre les évêques d’Uzès et des seigneurs laïcs.
Armes des Budos.
Armes des Princes de Conti.
Budos
Article détaillé: Château de Portes.
1606 à 1613 - Catherine de Clermont, vicomtesse de Portes, veuve de Jacques de Budos, achète la seigneurie de Génolhac
1613 à 1629 - Antoine Hercule de Budos, marquis de Portes, leur fils
1629 à 1693 – Marie Félice de Budos, sa fille et héritière
Conti
Article détaillé: Princes de Conti.
1693 à 1709 – François Louis de Bourbon, prince de Conti, hérite de la seigneurie par le testament de Marie-Félice de Budos
1709 à 1727 – Louis Armand de Bourbon, prince de Conti, son fils
1727 à 1776 – Louis François de Bourbon, prince de Conti, son fils
1776 à 1779 – Louis François Joseph de Bourbon, prince de Conti, son fils
Roche
1779 à la Révolution – Claude François de Roche, chevalier, achète la seigneurie de Génolhac aux Conti 20 000 livres
Révolution française et Empire
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Époque contemporaine
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Politique et administration
Tendances politiques et résultats
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Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1945
1989
Pierre Olivier
SFIO puis PS
1989
2001
Jean-Pierre Olivier
PS
2001
2008
Maurice Mayol
DVG
2008
2014
Henri Galinier
DVG
Trésorier adjoint de l'Association des maires du Gard
2014
2020
Georges Besse-Desmoulières
SE
Retraité
2020
En cours
Guy Chéron
SE
Retraité
Jumelages
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Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].
En 2019, la commune comptait 826 habitants[Note 7], en diminution de 3,95% par rapport à 2013 (Gard: +2,08%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 580
1 390
1 460
1 350
1 491
1 533
1 586
1 583
1 613
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 451
1 313
1 509
1 406
1 387
1 181
1 182
1 221
1 219
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1 184
1 210
1 225
1 081
968
1 009
1 008
953
893
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
951
920
936
825
827
840
886
864
844
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
826
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-
-
-
-
-
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De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
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Santé
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Manifestations culturelles et festivités
L'esplanade, un jour de concours de boules.
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Cultes
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Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 403 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 749 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 100 €[I 4] (20 020 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 448 personnes, parmi lesquelles on compte 74,6% d'actifs (63,8% ayant un emploi et 10,8% de chômeurs) et 25,4% d'inactifs[Note 9],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 288 emplois en 2018, contre 312 en 2013 et 315 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 291, soit un indicateur de concentration d'emploi de 99% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,6%[I 10].
Sur ces 291 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 146 travaillent dans la commune, soit 50% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 68,3% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 13,3% les transports en commun, 10,2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,3% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
91 établissements[Note 10] sont implantés à Génolhac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
91
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
10
11%
(7,9%)
Construction
10
11%
(15,5%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
32
35,2%
(30%)
Activités financières et d'assurance
1
1,1%
(3%)
Activités immobilières
3
3,3%
(4,1%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
7
7,7%
(14,9%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
19
20,9%
(13,5%)
Autres activités de services
9
9,9%
(8,8%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35,2% du nombre total d'établissements de la commune (32 sur les 91 entreprises implantées à Génolhac), contre 30% au niveau départemental[I 14].
Entreprises et commerces
L'entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[42]:
Les Oursons, hébergement touristique et autre hébergement de courte durée (184 k€)
La commune est dans les Cévennes, une petite région agricole occupant l'ouest du département du Gard[43]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 14] (19 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 395ha[45],[Carte 5],[Carte 6].
Culture locale et patrimoine
Édifices civils
Rue de la Soubeyrane.
Tour carrée de l'ancien château (XIIesiècle)
Maisons en granit des XVe et XVIesiècles
Château des Oliviers du XIXesiècle
Édifices religieux
Église Saint-Pierre, avec clocher à peigne du XIIesiècle.
Temple protestant de Génolhac du XIXesiècle.
Temple protestant du Pont de Rastel.
Patrimoine culturel
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La ZNIEFF continentale de type 1 des Vallées amont de la Cèze et de la Ganière comprend 10 752,18 hectares sur 11 communes[Note 15]. Son habitat déterminant est fait de terrains en friche et terrains vagues. Cette ZNIEFF vise six espèces végétales protégées sur l'ensemble du territoire français métropolitain:
l'orchis à odeur de punaise (Anacamptis coriophora, une orchidée terrestre), le ciste de Pouzolz (Cistus pouzolzii), le botrychium à feuilles de matricaire (Botrychium matricariifolium, une petite fougère vivace), la gratiole officinale (Gratiola officinalis, une scrophulaire), l'ophioglosse des Açores (Ophioglossum azoricum, une fougère) et la spiranthe d'été (Spiranthes aestivalis, une orchidée) - cette dernière étant également protégée au titre de la directive Habitat. L'œillet du granite (Dianthus graniticus), autre espèce visée, est sur la «liste des espèces végétales sauvages pouvant faire l'objet d'une réglementation préfectorale permanente ou temporaire».
Deux espèces animales sont de même visées par cette ZNIEFF: l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes), résidente, y est protégée au titre de la directive Habitat et de la "Protection des écrevisses autochtones sur le territoire français métropolitain"; le faucon pèlerin (Falco peregrinus) est protégé au titre de la directive Oiseaux et, en sus, est sur la liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire français[51].
Hautes vallées de la Cèze et du Luech
Articles connexes: Réseau Natura 2000, Site d'intérêt communautaire et Zone spéciale de conservation (ZSP).
Génolhac est depuis 2013 entièrement incluse dans les 13 080 ha de la Zone spéciale de conservation Natura 2000 dite Hautes vallées de la Cèze et du Luech au titre de la Directive Habitats, au sein de la Réserve de biosphère des Cévennes. De la grande variété de types de couverts protégés par la Zone spéciale de conservation (ZSP) des Hautes vallées de la Cèze et du Luech[Note 16], reste alors essentiellement les prairies semi-naturelles humides ou mésophiles améliorées, souvent des prairies de fauche, dont la qualité et/ou la superficie diminuent avec la fermeture croissante du milieu, les activités humaines prenant le pas.
Pourtant ce site est pour la loutre (Lutra lutra) d'une importance capitale pour la colonisation des rivières méditerranéennes; on y trouve, ainsi que pour le castor commun (Castor fiber), des populations non isolées mais en marge de leur aire de répartition. Trois autres espèces sédentaires résidentes sont de même inscrites à l’annexe II de la directive Habitats: le blageon (Telestes souffia), l'écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes) et le barbeau méridional (Barbus meridionalis)[52], ce dernier étant une rare espèce vestige de la faune précédant les périodes glaciaires[53].
Blageon (Telestes souffia)
Écrevisse à pattes blanches (Austropotamobius pallipes)
Jean-Paul Fournier, homme politique et maire de Nîmes.
Jean-Pierre Chabrol, écrivain.
Jean-Pierre Milovanoff, écrivain.
Héraldique
Blason
De sable, à un pal losangé d'argent et de gueules[33].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Voir aussi
Bibliographie
César Nicolas, Histoire de Génolhac (Reprod. en fac-sim. de l'éd. de 1895), Nîmes, C. Lacour, coll.«Rediviva», , 211p., couv. ill.; 21 cm (ISBN2-86971-211-1, ISSN0989-4616, BNF35211172)
Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard: comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298p., in-4 (BNF30500934)
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[44].
Les types de couverts du sol protégés par la Zone spéciale de conservation (ZSP) des Hautes vallées de la Cèze et du Luech incluent 40% de forêts de résineux, 20% de forêts sempervirentes non résineuses, 20% de landes, broussailles, recrus, maquis, garrigues et phrygana, 10% de forêts caducifoliées (dont des Châtaigneraies), 5% de rochers intérieurs et éboulis rocheux, 2% de prairies semi-naturelles humides ou mésophiles améliorées et 2% de pelouses sèches.
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1reéd. 1963), 738p. (ISBN2-85023-076-6), p.316.
Paul Fabre, Dictionnaire des noms de lieux des Cévennes, Paris, Christine Bonneton, , 160p. (EAN978-2-86253-450-3), p.80a.
Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise: Une approche linguistique du vieux celtique continental, Paris, Errance, coll.«Hespérides», , 440p. (ISBN978-2-87772-237-7 et 2-87772-237-6), p.176-177.
(oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français: embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179p., 2 vol.; 25 cm (ISBN84-499-0563-X, BNF37258238), p.42, t. 2.
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