Gorze est une commune française située dans le département de la Moselle en région Grand Est, connue pour son aqueduc romain du Iersiècle qui alimentait Metz et son abbaye bénédictine fondée au VIIIesiècle, foyer majeur du chant messin, futur chant grégorien.
La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Le village est logé au creux du vallon du ruisseau de Gorze, alimenté par de nombreuses sources du vallon et qui va se jeter dans la Moselle, quelque six kilomètres en aval. Elle est drainée également part le ruisseau de Parfond Val[Carte 1].
Le ruisseau de Gorze, d'une longueur totale de 18,4 km, prend sa source dans la commune de Rezonville-Vionville et se jette dans la Moselle à Novéant-sur-Moselle, après avoir traversé cinq communes[3].
Réseaux hydrographique et routier de Gorze.
La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau de Gorze, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Urbanisme
Typologie
Gorze est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,3% en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (57,3%), terres arables (28,9%), zones agricoles hétérogènes (10,2%), zones urbanisées (2%), prairies (1,6%)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].
Surnom sur les habitants: Lés wahhs-chins (les chiens verts)[11], car l’entrée de la petite place de l’hôtel de ville aurait été gardée anciennement par deux grands chiens de bronze.
Histoire
Au Iersiècle, les sources de Gorze furent captées par les Romains pour alimenter Divodorum en eau à l'aide d’un aqueduc allant de Gorze à Metz, long de 22 km et dont on peut encore admirer quelques arches de la partie aérienne, de part et d'autre de la Moselle à Jouy-aux-Arches et Ars-sur-Moselle.
En 749, l’évêque de Metz Chrodegang fonde l’abbaye de Gorze. Elle devient un foyer majeur du chant liturgique qui se répand dans le monde, alors appelé chant messin, par la suite qualifié de chant grégorien.
Les souverains carolingiens Pépin, Charles et Louis munirent l´abbaye de donations dans les ans 751, 761, 773, 788 et 815 (Cartul. Gorze p.109, Reg.Imp. I.,93,154,294,579).
L'abbaye est réformée en 934 par Jean de Vandières à la demande d’Adalbéron Ier de Metz. Otton Ier octroie par la suite des diplômes à l'abbaye de Gorze, notamment les domaines de Varangéville, Vanault ou Moivrons.
Les religieux répandent la culture et le savoir-faire de la vigne dans la région, dans le Pays messin jusqu'à Rombas.
Entre le XIIeetXIIIesiècles, est construite l’église Saint-Étienne, le plus ancien édifice gothique de Lorraine.
Au XVIesiècle, l’abbaye est dévastée et sécularisée.
Plan de Gorze (1787)
Chef-lieu de canton entre 1790 et 1871 dans l'ancien département de la Moselle, puis de 1919 à 1950 dans le nouveau département de la Moselle. En 1950, le chef-lieu du canton de Gorze est transféré à Ars-sur-Moselle.
Terre de Gorze
La terre de Gorze[12] est une ancienne seigneurie. Composée de trente hautes justices[12], elle formait le domaine[12] de l’abbaye bénédictine Saint-Gorgon de Gorze[12]. Forte de plus de vingt villages, son origine remontait à l’aube des temps carolingiens.
Les villages que comprenait la terre de Gorze étaient les suivants[12]:
le bourg[12] de Gorze[13] avec les trois fiefs du château[14] Sainte-Catherine[15], de la cense[16] d’Auconville[13] et de celle[17] de Labauville[13];
Le village de Chambley, appartenant au duché de Lorraine, était enclavé dans la terre de Gorze[42].
Au XVIesiècle, les rois de France reconnaissent l’abbé et la terre de Gorze comme leurs alliés: Henri II dès avec le traité du Cateau-Cambrésis[43] puis Henri IV en avec le traité de Vervins[44].
Le , le cardinal Charles de Lorraine, abbé commendataire de Gorze, obtient du pape Grégoire XIII la sécularisation de l’abbaye et de la terre de Gorze[45],[46].
Par un édit du mois d’, Louis XIII crée la prévôté de Gorze, une prévôté dont le siège est à Gorze, dont la terre de Gorze est le ressort et qui relève du bailliage de Metz[47]. L’entrée en vigueur de cet édit est différée: il n’est envoyé au parlement de Metz qu’à la fin de l’année et la cour souveraine ne l’enregistre que le .
Le , le traité de Vincennes rattache la terre de Gorze à la France.
Les cinq villages d’Arnaville, Hagéville, Jonville (auj. Jonville-en-Woëvre), Olley et Vilcey (auj. Vilcey-sur-Trey) ne relevaient qu’en partie de la terre de Gorze. L’article 10 du traité de Paris du les répartit entre la France et la Lorraine: Hagéville, Jonville et Vilcey vont, en entier, à la France; Arnaville et Olley, en entier, à la Lorraine[48].
La Maison de la Terre de Gorze, musée d’art et d’histoire, est centré sur l’ancienne seigneurie abbatiale[49],[50].
Politique et administration
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
maire en 1837
?
M. Gillon
Conseiller d'arrondissement puis conseiller général
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[53].
En 2019, la commune comptait 1 157 habitants[Note 3], en diminution de 3,42% par rapport à 2013 (Moselle: −0,03%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1836
1841
1861
1866
1871
1 589
1 535
1 568
1 535
1 800
1 810
1 853
1 774
1 529
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1875
1880
1885
1890
1895
1900
1905
1910
1921
1 493
1 416
1 451
1 326
1 212
1 216
1 221
1 208
807
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1926
1931
1936
1946
1954
1962
1968
1975
1982
837
958
1 036
874
1 092
1 203
1 122
1 204
1 254
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1990
1999
2006
2008
2013
2018
2019
-
-
1 389
1 392
1 278
1 242
1 198
1 158
1 157
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[54] puis Insee à partir de 2006[55].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue! Comment faire?
Maison de l'histoire de la Terre de Gorze, rue de l'Église: ce musée est centré sur l'histoire de la seigneurie abbatiale de Gorze, il présente des reproductions de manuscrits du XIVe (légende de saint Clément), des pièces d'histoire locale et deux diaporamas consacrés à l'aqueduc romain et à la vie monastique.
Souterrain entre l’ancienne abbaye et le Bois-le-Prêtre. Ce trou est une cavité naturelle créée par la rupture de la roche. Elle est composée d’un puits de 7 mètres de profondeur et d’un boyau long de 40 mètres fait de deux galeries disposées en vis-à-vis.
Ancien hôtel de ville, bel édifice du XIXesiècle. Halle publique à l'origine, il était la propriété de l'abbé. Pendant la Révolution, il abrita les assemblées populaires et les locaux de sûreté, toujours visibles sous la cour. Au début du XIXesiècle le maire Joseph Louis-Anne de Marionnelz y fonde un collège. Le bâtiment, remanié en 1844, accueille le commissariat de police, le conseil municipal et le tribunal cantonal (jusqu'en 1871). Il connut ensuite des fortunes diverses et de nombreux occupants, y compris la recette postale. Actuellement il abrite les associations de Gorze.
Édifices religieux
Édifices religieux
Porte de la collégiale Saint-Étienne.
Statue de la Vierge.
Chapelle Saint-Clément.
Prieuré Saint-Thiébault.
Croix Saint-Clément.
collégiale Saint-Étienne du XIesiècle; restaurée XIXesiècle et XXesiècle: clocher central bulbé XIIIesiècle, porte royale, porche et tympan du Jugement dernier XIIesiècle, extérieur roman, intérieur gothique (oculus); grand christ en bois attribué à Ligier RichierXVIesiècle, boiseries du chœur XVIIIesiècle. L'église abbatiale est classée au titre des monuments historiques par arrêté du [56].
abbaye de Gorze, ancienne abbatiale détruite au XVIesiècle;
palais abbatial du XVIIesiècle (construit de 1696 à 1699); par l’abbé Philippe Eberhardt de Löwenstein de Bavière[57]. Au XVIIIesiècle, le palais abbatial a été mis à la disposition de parlementaires messins pour de grandes fêtes. Chapelle baroque XVIIIesiècle. Le palais est vendu comme bien national en 1792. En 1811, le département de la Moselle achète le château pour y installer son dépôt de mendicité. Travaux d’aménagement et d'agrandissement. En 1813, le palais sert d’hôpital militaire. En 1816, il devient caserne de cavalerie. En 1828, annexe de l’hospice Saint-Nicolas de Metz.[58] La congrégation des Filles de la Charité de Strasbourg s’y installe en 1886. La porte d'entrée, les escaliers, les terrasses et les murs de soutènement décorés de fontaines sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du . Les parties anciennes du palais abbatial en totalité, le sol de la cour et le sol de ses jardins sont à leur tour classés par arrêté du [59].
Palais abbatial
Le palais abbatial.
Entrée du palais abbatial.
Cour intérieure.
Fontaines du jardin.
Détail d'une fontaine.
chapelle Saint-Clément construite en 1603; en mémoire du passage à Gorze de saint Clément, évêque de Metz. À côté de la chapelle, se trouve l'autel des lépreux datant de 1582: niche en pierre surmontée d'une croix, servait à dire la messe aux lépreux résidant en face, sur le mont Saint-Blin. La chapelle Saint-Clément, l'oratoire daté 1582, ainsi que la croix dite "Croix aux Loups" sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [60].
chapelle du prieuré Saint-Thiébault, XVesiècle, aujourd'hui centre de spiritualité orthodoxe occidentale.
croix aux Loups 1607, située dans la forêt (les fidèles y déposaient des petites croix de bois).
statue de Notre-Dame-de-Gorze, sur le mont Belin. Elle est érigée sur un rocher de 9,25 mètres. Avec le nimbe, la statue mesure 4 mètres; elle est en fonte, d'un poids de 1800 kilos. Inaugurée le .
prieuré de 1773, conserve encore dans ses murs un four à pain, un potager et une magnifique alcôve dans les jardins se trouve une pierre de haute justice et son gibet. Actuellement occupé par les locaux de la mairie, de l'office du tourisme et de son musée.
Ancien Prieuré
L'ancien prieuré.
Pierre de justice et son gibet.
Le four à pain.
Gastronomie
La tomme de Gorze est un fromage à pâte étuvée, non cuite, qui après avoir été pressée est affiné durant deux semaines à quatre mois. Sa saveur douce et typée est due à l'utilisation d'une présure de brebis-chevreau. Elle est commercialisée plus ou moins jeune, également sous la forme poivrée. Malheureusement cette tome n'est plus produite depuis 2014
[61].
Personnalités liées à la commune
Chrodegang de Metz (712-766), évêque de Metz et fondateur de l’abbaye de Gorze, saint de l’Église catholique;
Jean de Gorze (v. 900-974), abbé de Gorze, bienheureux de l’Église catholique;
Pierre Richard (1802- 1879), artiste précurseur de l'art brut;
Louis Lanternier (1859-1916), architecte appartenant au mouvement de l'école de Nancy;
Sylvie Riedle (1969-), coureuse cycliste.
Héraldique
Article connexe: Armorial des communes de la Moselle.
Blason
D'azur à saint Gorgon à cheval d'or, armé de pied en cap, sur une terrasse du même.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
«Qualité des eaux de rivière et de baignade.», sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, Décret no2015-73 du 27 janvier 2015 portant renouvellement du classement du parc naturel régional de Lorraine (région Lorraine), (lire en ligne)
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Passé-Présent: La Moselle dévoilée N°4 (Novembre-Décembre 2011)
Entrée «Gorze» dans Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l’ancien département de la Moselle: Comprenant les noms de lieu anciens et modernes; rédigé en 1868 (monographie, répertoire géographique), Paris, Imprimerie nationale, , LV-316p., in-4o [28 cm] (OCLC433271911, BNF30149354, lire en ligne), p.99[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Bulletin de la Société d’archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, , p.187[premier aperçu(page consultée le 12 mars 2016)].
Entrée «Sainte-Catherine1» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.235[fac-similé(page consultée le 12 mars 2016)].
Bulletin de la Société d’archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, , p.188[aperçu(page consultée le 12 mars 2016)].
Entrée Auconville dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.11[fac-similé(page consultée le 12 mars 2016)].
Entrée Labauville dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.139[fac-similé(page consultée le 12 mars 2016)].
Entrée «Bagneux» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.14[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Champs» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.49[fac-similé(page consultée le 12 mars 2016)].
Entrée «Dampvitoux»[php] dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.65[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Marimbois» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.160[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Dornot» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.70[fac-similé(page consultée le 12 mars 2016)].
Entrée «Hagéville» dans Ernest de Bouteiller, op. cit. p.109[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Jonville»[php] dans Félix Liénard, Dictionnaire topographique du département de la Meuse (monographie, répertoire géographique), Paris, Imprimerie nationale, , XLIV-297p., in-4o [28 cm] (BNF30818141, lire en ligne), p.117[fac-similé(page consultée le 12 mars 2016)].
Entrée «Moncheux-la-Grande» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.172[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Bulletin de la Société d’archéologie et d’histoire de la Moselle, vol.9eannée, Metz, , séance du , p.127.
Entrée «Novéant» dans Ernest de Bouteiller, op. cit. p.191[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Voisage» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.277[fac-similé(page consultée le 12 mars 2016)].
Bulletin de la Société d’archéologie lorraine et du Musée historique lorrain, , p.187[second aperçu(page consultée le 12 mars 2016)].
Entrée «Onville» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.194[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Ornel» dans Félix Liénard, op. cit., p.173[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Rezonville» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.215[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Villers-aux-Bois» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.272[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Sponville»[php] dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.251[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Tronville»[php] dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.261[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Villecey-sur-Mad» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.271[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Grande-en-Haie» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.101[fac-similé(page consultée le 12 mars 2016)].
Entrée «Vionville» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.274[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)] et p.275[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Waville» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.282[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Entrée «Moulin (le Petit)7» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.178[fac-similé(page consultée le 12 mars 2016)].
Entrée «Chambley» dans Ernest de Bouteiller, op. cit., p.48[fac-similé(page consultée le 11 mars 2016)].
Étienne Manson (éd.), Gorze au fil des siècles: 9ecentenaire de la mort de l’abbé Henri le Bon (monographie), Metz, Serpenoise, [1reéd.], 207+[errata], 24 cm (ISBN2-87692-155-3 et 978-2-87692-155-9, OCLC463805132, BNF35696843), p.205, n.5[aperçu(page consultée le 12 mars 2016)].
Étienne Manson, op. cit., p.205, n.8[aperçu(page consultée le 12 mars 2016)].
Chapitre de la collégiale Saint-Gorgon (Gorze, Moselle) (BNF13621678).
Jean-Louis Masson, Histoire administrative de la Lorraine: des provinces aux départements et à la région (monographie), Paris, Fernand Lanore, [1reéd.], 577p., 25 cm (OCLC461732472, BNF34683566), p.87[lire en ligne(page consultée le 12 mars 2016)].
«Abbaye (ancienne)», notice noPA00106772, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Marie-France Jacops, Gorze au fil des siècles, Metz, Editions Serpenoise, , 207p. (ISBN978-2-87692-155-9), Le palais abbatial de Gorze. Etude historique et archéologique pp 165-185.
Marie-Bernard Diligent, «Histoire de la psychiatrie en Moselle», Lettres su musée de la faculté de médecine de Nancy, , N° 11&12.
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии