Gan est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
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Gan | |
![]() Vue sur le bas de Gan et les Pyrénées. | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Nouvelle-Aquitaine |
Département | Pyrénées-Atlantiques |
Arrondissement | Pau |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées |
Maire Mandat |
Francis Pées 2020-2026 |
Code postal | 64290 |
Code commune | 64230 |
Démographie | |
Gentilé | Gantois |
Population municipale |
5 585 hab. (2019 ![]() |
Densité | 141 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 13′ 46″ nord, 0° 23′ 11″ ouest |
Altitude | Min. 186 m Max. 478 m |
Superficie | 39,62 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Pau (banlieue) |
Aire d'attraction | Pau (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton d'Ouzom, Gave et Rives du Neez |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | villedegan.fr |
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Le gentilé est Gantois[1].
La commune de Gan se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 9,5 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, et à 16 km de Nay[4], bureau centralisateur du canton d'Ouzom, Gave et Rives du Neez dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pau[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Bosdarros (3,0 km), Uzos (5,7 km), Rontignon (6,0 km), Narcastet (6,0 km), Mazères-Lezons (6,1 km), Gelos (6,2 km), Jurançon (6,5 km), Baliros (6,6 km).
Sur le plan historique et culturel, Gan fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[6].
Saint-Faust | Jurançon | Gelos |
Lasseube | ![]() |
Bosdarros |
Lasseubetat, Buziet (par un quadripoint) |
Buzy | Rébénacq |
Le site naturel fossilifère de Gan est un lieu unique de grande valeur géologique et écologique. À la suite de la cessation d’activité de l’ancienne tuilerie de Gan, en 1974, la fosse d’extraction de marne s’est peu à peu remplie pour former un étang. Au fil des ans, la nature a investi les lieux et ce site abrite aujourd’hui une biodiversité importante. Les zones aquatiques, la végétation des rives, les boisements, les prairies, sont autant de milieux naturels qui favorisent le développement d’une faune et d’une flore caractéristiques.
Ce site est bien connu des géologues pour sa richesse en fossiles. On le date de l'étage yprésien, soit il y a environ 50 millions d'années. Des fossiles caractéristiques de milieux marins y ont été trouvés. Ce site a été identifié d'intérêt prioritaire par le conseil général des Pyrénées-Atlantiques lors d'un inventaire du patrimoine géologique réalisé il y a quelques années. Au début des années 2000, le conservatoire d'espaces naturels d'Aquitaine[8] met en évidence la valeur écologique du site. Un partenariat est ainsi mis en place avec la réserve naturelle nationale géologique de Saucats et la Brède pour l'évaluation du patrimoine géologique du site, en complément de l'étude naturaliste réalisée. Ce rapprochement a abouti à un projet de plan de gestion et de mise en valeur pédagogique du site.
Le site est désormais géré par le CEN Aquitaine, en partenariat avec le RNG de Saucats sur les aspects fossilifères, dans le cadre d'une convention signée avec la commune de Gan. Une valorisation du site a été réalisée avec l'aménagement d'un sentier de découverte équipé de panneaux pédagogiques conçus avec la participation des élèves de l'école élémentaire Paule-Constant. Hélas, hormis les panneaux d'accueil, la quasi-totalité de ces supports a été lourdement vandalisée. En 2013, un nouveau projet collaboratif a été initié, coordonné par le CPIE Béarn et associant de multiples acteurs, dans le but de développer de nouveaux outils pédagogiques pour la découverte des nombreuses richesses de ce site.
Les terres de la commune sont arrosées[9] par des affluents du gave de Pau, la Bayse (rejointe sur la commune par le ruisseau la Peyrouse), le Neez (ainsi que par ses tributaires, les ruisseaux de Trébessot et de Tolou) et las Hies et deux tributaires de ce dernier, les ruisseaux l'Arribeu et de Casabonne. Un affluent du ruisseau de Labagnère, qui rejoindra plus loin la Bayse, le ruisseau les Courrèges, traverse également le territoire de Gan.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Asson », sur la commune d'Asson, mise en service en 1970[15] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[16],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 1 304,6 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 19 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[19], à 13,4 °C pour 1981-2010[20], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[21].
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 6]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : le « gave de Pau »[23], d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 7] encore vivace[24],[Carte 1].
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensée sur la commune[25],[Carte 2] : le « site fossilifère de Gan » (20,39 ha)[26] et une ZNIEFF de type 2[Note 9],[25],[Carte 3] : les « coteaux et vallées "bocagères" du Jurançonnais » (20 986,16 ha), couvrant 23 communes du département[27].
Gan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10],[28],[29],[30]. Elle appartient à l'unité urbaine de Pau, une agglomération intra-départementale regroupant 55 communes[31] et 200 666 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[32],[33].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[34],[35].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (63,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (37,3 %), forêts (31,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,5 %), zones urbanisées (5,8 %), terres arables (1,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %), cultures permanentes (0,2 %)[36].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].
La commune est traversée par la route nationale 134, ainsi que par les routes départementales 134, 217 et 230.
Gan est desservie par le réseau de bus Idelis :
Gan est desservie par la Citram et la Sobetra.
La gare de Gan est située sur la ligne Pau-Canfranc. Elle est desservie par les TER Nouvelle-Aquitaine reliant Pau à Oloron-Sainte-Marie.
Le territoire de la commune de Gan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[37]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[38].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le Nez, les Hiès et la Baïse de Lasseube. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1997, 2007, 2008, 2009, 2014, 2018 et 2021[39],[37].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 98 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 12],[41].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1991 et par des mouvements de terrain en 2010, 2016 et 2018[37].
À l'instar de nombreuses autres villes neuves fondées à la même époque, Gan emprunte son nom à une ville prestigieuse, Gand en Flandre-Orientale, comme gage du succès de son développement[42].
Le toponyme Gan apparaît sous les formes Guan (1358[43], titres de Buzy[44]), Gant (1385[43], censier de Béarn[45]), Guant (1559[43], titres de Béarn[46]) et Gand (1675[43], réformation de Béarn[47]).
Son nom béarnais est Gant[48] ou Gan[49].
Le quartier d’Acots est mentionné en 1863 (dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[43]), tout comme Andoins, fief créé en 1591 sur la commune et vassal de la vicomté de Béarn.
Gan est une bastide fondée en 1335 par Gaston II de Foix-Béarn. Il lui donne ce nom, homonyme de Gand en Belgique, en souvenir de la campagne de Flandres à laquelle il a participé.
Important point de passage de la transhumance, elle s'étend rapidement. En 1385 Gan compte 175 feux[43], elle est à l'époque plus importante que Pau. Elle dépend alors du bailliage de Nay. La notairie de Gan englobait également Rébénacq[43]. En 1685 Loustau prêtre vicaire de Gan, rédige le testament de Jean de Menjolet (alias de la Nape) en l'absence de notaire.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1793 | 1805 | Jean-Pierre de Catriulet | ||
1805 | 1813 | M. Cuyalaa | ||
1813 | 1815 | Jacques Nogue | ||
1815 | 1815 | M. Bonnafon | ||
1815 | 1818 | Jacques Nogue | ||
1818 | 1831 | Pierre-Antoine Darrac | ||
1831 | 1848 | Pierre Claverie | ||
1848 | 1849 | Barthélémy Duserm | ||
1849 | 1851 | M. Acot | ||
1855 | 1855 | M. Tillet | ||
1852 | 1855 | Jean-Marie Sarthou | ||
1855 | 1864 | Théodore de Courrèges | ||
1864 | 1872 | Jean-Urbain Barthes | ||
1872 | 1874 | Michel Latapie | ||
1874 | 1882 | Jean-Achille Camy | ||
1882 | 1912 | Xavier Fondeville | Conseiller d'arrondissement (Canton de Pau-Ouest) | |
1913 | 1919 | Théodore Arbes | ||
1919 | 1943 | Léonce Dissez | ||
1943 | 1944 | Jean Mondinet | ||
Eugène Laborde | ||||
Louis Bidau | ||||
Pierre Renon | ||||
Pierre Foussats | Médecin généraliste | |||
Albert Baubion | ||||
(décès) |
Jean-Pierre Léris | UDF | Directeur de l’institution Saint-Dominique de Pau Conseiller général du canton de Jurançon (1992 → 2004) | |
Éliane Mounat | UDF | |||
Jean-Michel Tissanié | PS | Ingénieur informatique | ||
En cours | Francis Pèes | DVD | Chef d'entreprise Vice-président de la CA de Pau-Pyrénées puis de la CA Pau Béarn Pyrénées (2014 →) |
Gan fait partie de l'aire urbaine de Pau et est membre de cinq structures intercommunales[51] :
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[52]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[53].
En 2019, la commune comptait 5 585 habitants[Note 13], en augmentation de 0,9 % par rapport à 2013 (Pyrénées-Atlantiques : +2,8 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 552 | 2 848 | 2 819 | 3 017 | 3 027 | 3 150 | 3 237 | 3 076 | 3 136 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
3 051 | 3 018 | 3 115 | 2 830 | 2 759 | 3 274 | 2 700 | 2 672 | 2 698 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 710 | 2 660 | 2 538 | 2 262 | 2 363 | 2 182 | 2 326 | 2 395 | 2 643 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2007 | 2012 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
2 915 | 3 125 | 3 543 | 4 047 | 4 724 | 4 971 | 5 197 | 5 225 | 5 517 |
2017 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
5 510 | 5 585 | - | - | - | - | - | - | - |
Gan fait partie de l'aire urbaine de Pau.
La commune dispose de deux écoles élémentaires publiques (école de Haut-d- Gan : 1 classe, école Paul- Constant : 11 classes), d'une école maternelle publique (école Pierre-Emmanuel : 6 classes) ainsi que d'une école primaire privée (école Pierre-de-Marca).
Le pôle santé comprend :
Le marathon de Pau emprunte la route de Gan, en provenance de Jurançon.
La commune fait partie des zones AOC du vignoble du Jurançon et du Béarn.
Dans une région de polyculture traditionnelle le paysage agricole se transforme avec une émergence des élevages de vaches blondes, une production laitière discrète et quelques troupeaux d'ovins.
La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Deux marbreries y sont en activité (Marbrerie Tucoulat et Marbrerie du Neez).
Le siège de la société Famille Michaud Apiculteurs - numéro 1 mondial du miel - y est installé depuis 1965, tout comme celui de l'Entreprise Pèes, acteur significatif du secteur du bâtiment et de la rénovation en Béarn, depuis 1936.
La porte de la prison[56] date du XIVe siècle (1335) ; elle a été inscrite Monument historique par arrêté du 30 décembre 1994.
D'autres éléments du patrimoine témoignent également du passé tels que :
L'église Saint-Barthélémy a été rebâtie à proximité de l'ancienne église Saint-Jean[57] qui fut restaurée en plusieurs phases entre 1811 et 1930. L'église Saint-Pierre[58] (Haut de Gan) date, elle, de 1838.
On découvre également dans ces églises des vitraux des maitres verriers Mauméjean (en plusieurs épisodes de 1891 à 1939), un chemin de croix (1937 - céramiques de E. Cazaux, artiste biarrot) et un retable en bois doré du XVIIIe siècle.
L'église Saint-Pierre du Haut de Gan est bien antérieure à 1838, puisqu'on en retrouve traces dans le archives paroissiales en 1759 (baptêmes, mariages, sépultures).
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Blason | Écartelé d'or à trois pals de gueules, et de gueules aux chaines d'or passées en orle en croix et en sautoir, l'écu accompagné à la droite d'un gand d'azur de la main gauche, bordé d'or, et à la gauche deux vaches passantes de gueules accornées, accollées et clarinées d'azur[59]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
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Alias | ![]() |