Fort-du-Plasne est une commune française située dans le département du Jura en région Bourgogne-Franche-Comté. Les habitants se nomment les Grandvalliers et Grandvallières.
Cet article est une ébauche concernant une commune du département du Jura.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade « Bon début » quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune.
Si vous avez un doute, l’atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d’aide à la rédaction d’un article de commune de France.
Fort-du-Plasne | |
![]() Vue générale. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Bourgogne-Franche-Comté |
Département | Jura |
Arrondissement | Saint-Claude |
Intercommunalité | Communauté de communes la Grandvallière |
Maire Mandat |
Michel Monnet 2020-2026 |
Code postal | 39150 |
Code commune | 39232 |
Démographie | |
Population municipale |
442 hab. (2019 ![]() |
Densité | 34 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 46° 37′ 09″ nord, 5° 59′ 23″ est |
Altitude | Min. 730 m Max. 970 m |
Superficie | 12,92 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton de Saint-Laurent-en-Grandvaux |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
modifier ![]() |
![]() |
Entre-deux-Monts | Les Planches-en-Montagne | Foncine-le-Bas | ![]() |
La Chaux-du-Dombief La Chaumusse |
N | Lac-des-Rouges-Truites | ||
O Fort-du-Plasne E | ||||
S | ||||
Saint-Laurent-en-Grandvaux |
Fort-du-Plasne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4],[5].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,7 %), prairies (41,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %), zones humides intérieures (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,6 %), zones urbanisées (2,2 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Etymologie
Le nom latin de cette paroisse était Fornus Platanus, et un plane [8] est un arbre, qui peut être un platane commun ou une espèce d'érable. Le platane commun est en effet également appelé platane à feuille d'érable, et cette espèce d'érable est également appelée érable-platane, érable plane ou érable de Norvège. Et dans ce climat de montagne, Fort du Plasne signifie ainsi « Four de l’érable ».
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
mars 2001 | En cours | Michel Monnet | DVD | Retraité |
Le gentilé des habitants de Fort-du-Plasne est Placus.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[9]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[10].
En 2019, la commune comptait 442 habitants[Note 2], en augmentation de 2,31 % par rapport à 2013 (Jura : −0,5 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
816 | 783 | 815 | 836 | 849 | 831 | 830 | 844 | 824 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
779 | 726 | 702 | 672 | 654 | 643 | 620 | 557 | 540 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
531 | 484 | 509 | 437 | 370 | 329 | 305 | 315 | 326 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
312 | 302 | 308 | 264 | 314 | 397 | 429 | 429 | 442 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
442 | - | - | - | - | - | - | - | - |
Numa Magnin (1874-1958), enseignant et écrivain. Auteur de Histoire de La Bique.
Sur les autres projets Wikimedia :