Floirac est une commune française, située dans le nord du département du Lot en région Occitanie.
Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.
Pour les articles homonymes, voir Floirac.
Floirac
La tour de Floirac.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Lot
Arrondissement
Gourdon
Intercommunalité
Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire Mandat
Alexandre Barrouilhet 2020-2026
Code postal
46600
Code commune
46106
Démographie
Gentilé
Floiracois
Population municipale
241 hab. (2019 )
Densité
13 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 55′ 00″ nord, 1° 39′ 19″ est
Altitude
132 m Min. 90 m Max. 345 m
Superficie
19,02 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales
Canton de Martel
Législatives
Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte: France
Floirac
Géolocalisation sur la carte: France
Floirac
Géolocalisation sur la carte: Lot
Floirac
Géolocalisation sur la carte: Occitanie
Floirac
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Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Dordogne, la Tourmente et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (la «vallée de la Dordogne quercynoise»), trois espaces protégés (le «cours lotois de la Dordogne», les «falaises lotoises (rapaces)» et le «géoparc des causses du Quercy») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Floirac est une commune rurale qui compte 241 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 526 habitants en 1861. Ses habitants sont appelés les Floiracois ou Floiracoises.
Géographie
La commune est située dans le Quercy sur le causse de Floirac. Elle est arrosée par la Dordogne, et bordée au nord-ouest par son affluent, la Tourmente.
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 12,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Branceilles», sur la commune de Branceilles, mise en service en 1989[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,7°C et la hauteur de précipitations de 1 002,5 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Brive», sur la commune de Brive-la-Gaillarde, dans le département de la Corrèze, mise en service en 1987 et à 29 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,7°C pour la période 1971-2000[11], à 12,7°C pour 1981-2010[12], puis à 13,0°C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune est dans le périmètre du «géoparc des causses du Quercy», classé Géoparc en mai 2017 et appartenant dès lors au réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[16],[17].
La commune fait également partie du bassin de la Dordogne, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[18],[19].
Deux autres espaces protégés sont présents sur la commune:
le «cours lotois de la Dordogne», objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 569,6ha[20];
les «falaises lotoises (rapaces)», objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 6,6ha[21].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: la «vallée de la Dordogne quercynoise»[23], d'une superficie de 5 567ha, qui présente des milieux aquatiques d'intérêt majeur et de un important éventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espèces de l'annexe II, de nombreuses espèces localisées à rares aux niveaux régional ou national[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[25]:
«la Dordogne quercynoise» (2 081ha), couvrant 24 communes dont deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt dans le Lot[26], qui comprend de nombreuses espèces déterminantes (soixante-six animales et cinquante végétales);
les «pelouses sèches et bois de la partie Nord du causse de Gramat et rivière souterraine de Padirac» (3 605ha), couvrant 10 communes du département[27],
les «pentes forestières d'Ourjac et Mézels» (167ha), couvrant 3 communes du département[28];
le «plateau et bassin d'alimentation du système karstique de Padirac» (10 133ha), couvrant 11 communes du département[29];
la «vallée de la Dordogne quercynoise» (8 758ha), couvrant 28 communes[Note 7]: deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt-quatre dans le Lot[30].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Floirac.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Floirac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[31],[I 1],[32].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (60,4% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (42,8%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,6%), zones agricoles hétérogènes (12,8%), prairies (12,7%), cultures permanentes (8,2%), eaux continentales[Note 9] (4,2%), zones urbanisées (1,7%)[33].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Floirac est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et la Tourmente. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[36]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1992, 1993 et 1999[37],[34].
Floirac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[38].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Floirac.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[39]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[40].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 78,8% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 269 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 196 sont en en aléa moyen ou fort, soit 73%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[41],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[40].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[34].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une infrastructure ferroviaire. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[42].
La commune est en outre située en aval des barrages de Saint-Étienne-Cantalès et de Bort-les-Orgues, des ouvrages de classe A[Note 10] disposant d'une retenue de respectivement 133 millions[44] et 477 millions de mètres cubes[45],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[46].
Toponymie
Le toponyme Floirac est basé sur l'anthroponyme gallo-romain Florus. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois-acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes. Ce toponyme Floracum se retrouve dans Floracum fundum qui signifiait: le domaine de Florus[47].
Histoire
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octobre 1944 (Magistrat communal - comité de Libération)
1944
Antoine Magne
22 novembre 1944
1947
Antoine Magne
2 novembre 1947
1953
Joseph Daubet
10 mai 1953
1965
Paul Alfred Passerat
21 mars 1965
1983
Marcel Soustre
21 mars 1983
1995
René Alagnoux
23 juin 1995
2014
Frédéric Bonnet-Madin
2014
En cours
Raphaël Daubet
PRG-MRSL
conseiller régional
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].
En 2019, la commune comptait 241 habitants[Note 11], en diminution de 12,68% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
821
640
958
778
872
860
871
951
894
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
945
1 526
935
868
855
789
785
760
716
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
679
610
577
504
432
391
390
440
395
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
370
365
337
291
242
277
266
268
271
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
273
241
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 119 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 242 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 420 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 131 personnes, parmi lesquelles on compte 78,6% d'actifs (65,1% ayant un emploi et 13,5% de chômeurs) et 21,4% d'inactifs[Note 13],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 38 emplois en 2018, contre 38 en 2013 et 37 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 88, soit un indicateur de concentration d'emploi de 43,1% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,2%[I 10].
Sur ces 88 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 29 travaillent dans la commune, soit 33% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,5% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,5% les transports en commun, 5,9% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 7,1% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
28 établissements[Note 14] sont implantés à Floirac au [I 13].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 35,7 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 28 entreprises implantées à Floirac), contre 29,9% au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans la Limargue», une petite région agricole occupant une bande verticale à l'est du territoire du département du Lot[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 15] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 29 lors du recensement agricole de 1988[Note 17] à 16 en 2000 puis à 14 en 2010[56] et enfin à 15 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 48% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60% de ses exploitations[57],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 586 ha en 1988 à 885 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 20 à 59 ha[56].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Entrée de la chapelle Saint-Roch.
L'église Saint-Georges.
Tour de Floirac.
Chapelle Saint-Roch, datant du XVesiècle, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 10 décembre 1925[58];
Église Saint-Georges, datant du XVIIesiècle, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 30 mai 1978[59]; Plusieurs objets sont référencer dans la base Palissy[59].
Tour de Floirac, datant du Moyen Âge, inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 8 août 2013[60].
Dolmens
Dolmen de Camp del Prieu: 44° 54′ 47″ N, 1° 40′ 54″ E
Dolmens de Candare: le dolmen no1 a conservé sa table (2,10 mètres de long et 1,50 mètre de large); le dolmen no2 se caractérise par deux orthostates très longs (plus de 3 mètres) et une dalle de chevet très haute (1,70 mètre de haut pour 1,40 mètre de large) 44° 53′ 30″ N, 1° 40′ 57″ E et 44° 53′ 28″ N, 1° 40′ 52″ E
Dolmen de la Combe de Xey: dolmen enfoui dans son tumulus et surmonté d'une gariotte 44° 54′ 25″ N, 1° 41′ 02″ E
Dolmens des Barthes: 2 dolmens
Dolmen du Cloup de Roual: dolmen dont le sol de la chambre sépulcrale est orné d'un dallage 44° 53′ 33″ N, 1° 41′ 47″ E
Dolmen du Pech-Cayrou: la table de plus de 10 m2 s'est effondrée sur ses orthostates de support.44° 54′ 17″ N, 1° 40′ 24″ E
Dalle du Camp de Rastoul et Dalle du Ressegayre: belles dalles de calcaire reposant sur le sol, ce ne sont à proprement parler des dolmens, mais plutôt des dalles en mouvement qui ont été abandonnées en cours de route. 44° 54′ 06″ N, 1° 40′ 21″ E (Ressegayre)
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy: Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127p. (ISBN2-910540-16-2), p.39.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[22].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Pour cette ZNIEFF, l'INPN compte 30 communes dont trois en Corrèze et 25 dans le Lot mais le territoire de la ZNIEFF ne fait que tangenter ceux d'Altillac en Corrèze et de Puybrun dans le Lot, comme le montre la carte du site.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[43].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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