Montvalent est une commune française située dans le nord du département du Lot, en région Occitanie. Ses habitants sont les Monvalentais et les Monvalentaises.
Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.
Montvalent
Vue de l'église au milieu du village.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Lot
Arrondissement
Gourdon
Intercommunalité
Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Dordogne et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: deux sites Natura 2000 (la «vallée de la Dordogne quercynoise» et les «vieux chênes des Imbards»), un espace protégé (le «cours lotois de la Dordogne») et cinq zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Montvalent est une commune rurale qui compte 287 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 1 257 habitants en 1861. Ses habitants sont appelés les Montvalentais ou Montvalentaises.
Géographie
La commune est située sur le Causse de Gramat en rive gauche de la Dordogne,
Communes limitrophes
Montvalent est limitrophe de sept autres communes.
Carte de la commune de Montvalent et de ses proches communes.
La superficie de la commune est de 2 761 hectares; son altitude varie de 95 à 322mètres[2].
Voies de communication et transports
Accès avec la route départementale RD 840 ancienne route nationale 140 entre Martel et Gramat (voir aussi ancienne route nationale 681) et avec le train en gare de Saint-Denis-près-Martel ou en gare de Rocamadour - Padirac sur la ligne Brive - Toulouse entre Floirac et Padirac la de gare de Montvalent étant fermée.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]
Moyenne annuelle de température: 12,5°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,9 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 10,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Cressensac», sur la commune de Cressensac-Sarrazac, mise en service en 1991[8] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,8°C et la hauteur de précipitations de 1 021,9 mm pour la période 1981-2010[10].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Gourdon», sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 25 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4°C pour la période 1971-2000[12], à 12,7°C pour 1981-2010[13], puis à 13,1°C pour 1991-2020[14].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[17],[18].
Un autre espace protégé est présent sur la commune:
le «cours lotois de la Dordogne», objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 569,6ha[19].
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[21]:
la «vallée de la Dordogne quercynoise», d'une superficie de 5 567ha, qui présente des milieux aquatiques d'intérêt majeur et de un important éventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espèces de l'annexe II, de nombreuses espèces localisées à rares aux niveaux régional ou national[22];
les «vieux chênes des Imbards», d'une superficie de 33,09ha, un site remarquable par la présence de Limoniscus violaceus, situé sur plateau calcaire (causse de Gramat)[23];
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Trois ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[24]:
«la Dordogne quercynoise» (2 081ha), couvrant 24 communes dont deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt dans le Lot[25], qui comprend de nombreuses espèces déterminantes (soixante-six animales et cinquante végétales);
les «pelouses sèches et bois de la partie Nord du causse de Gramat et rivière souterraine de Padirac» (3 605ha), couvrant 10 communes du département[26],
les «rocher Sainte-Marie, puech d'Aussel, vallon du Limon et combes tributaires» (369ha), couvrant 3 communes du département[27];
le «plateau et bassin d'alimentation du système karstique de Padirac» (10 133ha), couvrant 11 communes du département[28];
la «vallée de la Dordogne quercynoise» (8 758ha), couvrant 28 communes[Note 7]: deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt-quatre dans le Lot[29].
Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 à Montvalent.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Montvalent est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[30],[I 1],[31].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,5% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,8%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (38,9%), forêts (27,6%), zones agricoles hétérogènes (23,9%), prairies (7,1%), eaux continentales[Note 9] (2%), terres arables (0,4%)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montvalent est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[33]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[34].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[35]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1992, 1993 et 1999[36],[33].
Montvalent est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[37].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montvalent.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[38]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[39].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,8% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 288 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 278 sont en en aléa moyen ou fort, soit 97%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[40],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[39].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999 et par des glissements de terrain en 1993[33].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[41].
La commune est en outre située en aval du barrage de Saint-Étienne-Cantalès, un ouvrage de classe A[Note 10] disposant d'une retenue de 133 millions de mètres cubes[43]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[44].
Toponymie
Le toponyme Montvalent est basé sur le mot latinmontem qui désigne un endroit élevé et sur valent qui montre sa valeur militaire et sa solidité[45].
Histoire
Montvalent était le centre de la vicomté de Brassac. Vendu par Guillaume ou Raymond de Brassac les derniers vicomtes entre 1174 et 1183 au vicomte de Turenne.(Raymond II de Turenne).
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[46],[47].
Rattachements administratifs et électoraux
Commune faisant partie de l'arrondissement de Gourdon de la communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne et du canton de Martel.
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans le Lot.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].
En 2019, la commune comptait 287 habitants[Note 11], en diminution de 2,38% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
860
792
837
862
922
883
890
926
925
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
911
1 257
888
851
806
795
766
712
676
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
596
586
526
424
417
376
345
317
262
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
228
212
214
197
233
267
299
302
285
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
287
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
En 2018, la commune compte 139 ménages fiscaux[Note 12], regroupant 278 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 880 €[I 4] (20 740 € dans le département[I 5]).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 182 personnes, parmi lesquelles on compte 81,5% d'actifs (72,1% ayant un emploi et 9,4% de chômeurs) et 18,5% d'inactifs[Note 13],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 62 emplois en 2018, contre 59 en 2013 et 47 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 138, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,3%[I 10].
Sur ces 138 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 48 travaillent dans la commune, soit 35% des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 85,4% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3% les transports en commun, 2,1% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,3% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
Activités hors agriculture
38 établissements[Note 14] sont implantés à Montvalent au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 15],[I 13].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
38
100%
(100%)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
9
23,7%
(14%)
Construction
6
15,8%
(13,9%)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
9
23,7%
(29,9%)
Information et communication
1
2,6%
(1,8%)
Activités financières et d'assurance
2
5,3%
(2,8%)
Activités immobilières
1
2,6%
(3,5%)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
5
13,2%
(13,5%)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
3
7,9%
(12%)
Autres activités de services
2
5,3%
(8,7%)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,7% du nombre total d'établissements de la commune (9 sur les 38 entreprises implantées à Montvalent), contre 29,9% au niveau départemental[I 14].
Agriculture
La commune est dans les Causses», une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[57]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 16] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 25 lors du recensement agricole de 1988[Note 18] à 18 en 2000 puis à 16 en 2010[59] et enfin à 12 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 52% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60% de ses exploitations[60],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 893 ha en 1988 à 1485 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 36 à 124 ha[59].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Dolmen de Barrade.
Dolmen de Barthe Soubronne: dolmen à vestibule avec une table de près de 4 m2 et une très belle dalle de chevet (1,80 mètre de long pour 1,10 mètre de haut).
Dolmen des Placels: dolmen qui a conservé son tumulus.
Ancienne tour de garde de Montvalent.
Église Saint-Christophe.
Sous le village de Montvalent, au pied des falaises, se trouvent les résurgences de la rivière du gouffre de Padirac:
La fontaine Saint-Georges.
La fontaine de Lombard et l'émergence de la Finou.
Église Saint-Christophe. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1975[61]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[61].
Ancienne tour carrée de garde de style roman.
Le cirque de Montvalent formé par un bras de la Dordogne qui coule en bas de la vallée.
La halle récemment construite avec ses grands piliers taillés dans de la pierre calcaire.
Halle
Personnalités liées à la commune
Pierre Verdet, écrivain, journaliste.
Roger Pecheyrand, écrivain naturaliste
Férit Iscan (1931-1986), artiste peintre, professeur aux beaux-arts de Paris
Guy de Lavaur qui réalise une des premières plongées souterraines à la fontaine Saint-Georges, qu'il estime être la résurgence de la rivière de Padirac.
Pierre Ortal, né en 1846. Parti à 13 ans de Montvalent. Il fonde la station Balnéaire de Lacanau.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Pour cette ZNIEFF, l'INPN compte 30 communes dont trois en Corrèze et 25 dans le Lot mais le territoire de la ZNIEFF ne fait que tangenter ceux d'Altillac en Corrèze et de Puybrun dans le Lot, comme le montre la carte du site.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Le classement des barrages est fonction de deux paramètres: hauteur et volume retenu[42].
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[58].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy: Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127p. (ISBN2-910540-16-2), p.66.
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