Durfort-Lacapelette est une commune française située dans le nord du département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Quercy Blanc, correspondant à la partie méridionale du Quercy, devant son nom à ses calcaires lacustres du Tertiaire.
Durfort-Lacapelette | |
Mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Tarn-et-Garonne |
Arrondissement | Castelsarrasin |
Intercommunalité | Communauté de communes Terres des Confluences |
Maire Mandat |
Mme Dominique Forneris 2020-2026 |
Code postal | 82390 |
Code commune | 82051 |
Démographie | |
Gentilé | Durfortais |
Population municipale |
841 hab. (2019 ![]() |
Densité | 23 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 44° 11′ 14″ nord, 1° 09′ 20″ est |
Altitude | 195 m Min. 91 m Max. 205 m |
Superficie | 35,83 km2 |
Type | Commune rurale |
Aire d'attraction | Moissac (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton du Pays de Serres Sud-Quercy |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
modifier ![]() |
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Barguelonne, le ruisseau du Bartac, le ruisseau de Lembenne et par divers autres petits cours d'eau.
Durfort-Lacapelette est une commune rurale qui compte 841 habitants en 2019. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Moissac. Ses habitants sont appelés les Durfortais ou Durfortaises.
Commune située dans le Quercy, dans la zone de production de l'AOC chasselas de Moissac.
Durfort-Lacapelette est limitrophe de six autres communes.
Montbarla | Saint-Amans-de-Pellagal | |
Montesquieu | ![]() |
Cazes-Mondenard |
Moissac | Lafrançaise (sur 100 m) |
La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par la Barguelonne, le ruisseau de Lembenne, un bras de la Barguelonne, un bras de la Barguelonne, le ruisseau de Bonnet, le ruisseau de Claveillé, le ruisseau de Couget, le ruisseau de Ferret, le ruisseau de Lanet, le ruisseau de la Thomaze, le ruisseau de Malepeyre, le ruisseau de Ménic, le ruisseau de Palorme, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 48 km de longueur totale[3],[Carte 1].
La Barguelonne, d'une longueur totale de 61,1 km, prend sa source dans la commune de Lhospitalet et s'écoule du nord-est au sud-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le canal de Golfech à Lamagistère, après avoir traversé 24 communes[4].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1993 à 2020 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[10]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2,5 | 2,6 | 4,7 | 7 | 10,6 | 14 | 15,6 | 15,6 | 12,1 | 9,7 | 5,1 | 2,8 | 8,6 |
Température moyenne (°C) | 6,1 | 7,1 | 10,2 | 12,6 | 16,5 | 20,3 | 22,1 | 22,1 | 18,4 | 14,9 | 9,1 | 6,2 | 13,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,7 | 11,6 | 15,7 | 18,2 | 22,4 | 26,5 | 28,6 | 28,7 | 24,6 | 20,1 | 13,1 | 9,6 | 19,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−9,5 19.01.17 |
−13 09.02.12 |
−10 01.03.05 |
−1,5 07.04.08 |
1,5 06.05.19 |
5,5 01.06.06 |
8,5 17.07.00 |
7,5 31.08.1993 |
4 18.09.01 |
−3,5 25.10.03 |
−8,5 18.11.07 |
−10,5 25.12.01 |
−13 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
19 28.01.02 |
24,5 27.02.19 |
27 20.03.05 |
31 08.04.11 |
35 30.05.01 |
39 29.06.19 |
39,5 23.07.19 |
42 12.08.03 |
36,5 03.09.05 |
32 02.10.11 |
24,5 07.11.15 |
19 08.12.10 |
42 2003 |
Précipitations (mm) | 67,7 | 50,1 | 51,8 | 81,8 | 81,7 | 61,3 | 51,9 | 48,4 | 74,5 | 59,3 | 67,3 | 69,8 | 765,6 |
La superficie de la commune est de 3 583 hectares ; son altitude varie de 91 à 205 mètres[11].
Accès avec les routes départementales D 2 et D 16.
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[12],[13],[14].
Durfort-Lacapelette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[I 1],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Moissac, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (63,1 %), forêts (25,6 %), terres arables (6 %), prairies (4,2 %), zones urbanisées (1,2 %)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Le territoire de la commune de Durfort-Lacapelette est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Barguelonne et le ruisseau du Bartac. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[20]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1993, 1996, 1999, 2007, 2015 et 2018[21],[18].
Durfort-Lacapelette est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire . Le département de Tarn-et-Garonne présentant toutefois globalement un niveau d’aléa moyen à faible très localisé, aucun Plan départemental de protection des forêts contre les risques d’incendie de forêt (PFCIF) n'a été élaboré. Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 5],[22].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 86,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (92 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 433 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 297 sont en en aléa moyen ou fort, soit 69 %, à comparer aux 96 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1999, 2002, 2003, 2009, 2011, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[18].
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].
Durfort proviendrait de « Dur » qui en gaulois signifie important et « Fort » dans le sens forteresse.
La commune de Durfort a pris le nom de Durfort-Lacapelette en 1972 (pour éviter la confusion avec son homonyme du Tarn ou bien Durfort en Ariège).
La maison de Durfort (depuis ducs de Duras et de Lorges) est originaire de cette commune et y est connue depuis 1045. Ils ont pour berceau la motte castrale de Saint-Hilaire-de-Durfort[27], de nos jours simple hameau au nord-oest de la paroisse (Saint-Hilaire).
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[28],[29].
La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes Terres des Confluences et du canton du Pays de Serres Sud-Quercy (avant le redécoupage départemental de 2014, Durfort-Lacapelette faisait partie du canton de Lauzerte).
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
Les données manquantes sont à compléter. | ||||
1792 | 1794 | Michel Pierre Perrin-Grandpre | ||
1794 | 1797 | Charles Bouisset | ||
1797 | 1799 | Joseph Berne | ||
1799 | 1800 | Etienne Fieldes | ||
1800 | 1816 | Jean Thimothée Garderes | ||
1816 | 1821 | Charles Bouisset | ||
1821 | 1834 | Guillaume Demotes | ||
1834 | 1857 | Antoine Aurientis | ||
1857 | 1860 | Etienne Combadazou | ||
1860 | 1870 | Pierre-Emile Carrere | ||
1870 | 1871 | Jean Mouillerac | ||
1871 | 1881 | Pierre-Emile Carrere | ||
1881 | 1881 | Pierre Tapiou | ||
1881 | 1891 | Jean-Baptiste Bonnet | ||
1891 | 1894 | Jules Salers | ||
1894 | 1902 | Paul Jean François Combadazou | ||
1902 | 1917 | Eugène Delpon | ||
1917 | 1919 | Jean Urbain Arnal | ||
1919 | 1944 | Louis Fontanie | ||
1944 | 1945 | Raoul Fleury | ||
1945 | 1959 | Eugène Duffau | ||
1959 | 1989 | Pierre Pertenaïs | MRG | |
1989 | 2008 | Jean Claude Delcassé | PRG | |
mars 2008 | En cours | Mme Dominique Forneris[30][ | PRG |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].
En 2019, la commune comptait 841 habitants[Note 6], en diminution de 1,18 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +4,13 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
990 | 1 094 | 1 333 | 1 449 | 1 500 | 1 500 | 1 653 | 1 591 | 1 514 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 501 | 1 510 | 1 418 | 1 445 | 1 350 | 1 284 | 1 194 | 1 144 | 1 111 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 120 | 1 090 | 1 021 | 921 | 980 | 963 | 1 006 | 1 013 | 947 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2008 | 2013 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
881 | 832 | 723 | 761 | 686 | 675 | 755 | 775 | 851 |
2018 | 2019 | - | - | - | - | - | - | - |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
834 | 841 | - | - | - | - | - | - | - |
selon la population municipale des années : | 1968[35] | 1975[35] | 1982[35] | 1990[35] | 1999[35] | 2006[36] | 2009[37] | 2013[38] |
Rang de la commune dans le département | 86 | 106 | 83 | 89 | 94 | 99 | 99 | 97 |
Nombre de communes du département | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 | 195 |
En 2018, la commune compte 335 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 823 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 900 €[I 4] (20 140 € dans le département[I 5]).
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 6] | 5,3 % | 5,8 % | 8,2 % |
Département[I 7] | 8,4 % | 10,2 % | 10,3 % |
France entière[I 8] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 464 personnes, parmi lesquelles on compte 75,6 % d'actifs (67,5 % ayant un emploi et 8,2 % de chômeurs) et 24,4 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Moissac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 207 emplois en 2018, contre 235 en 2013 et 216 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 326, soit un indicateur de concentration d'emploi de 63,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,8 %[I 10].
Sur ces 326 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 102 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 83,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 5,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].
74 établissements[Note 9] sont implantés à Durfort-Lacapelette au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 13].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 74 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres | 7 | 9,5 % | (9,6 %) |
Construction | 14 | 18,9 % | (14,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 14 | 18,9 % | (29,7 %) |
Activités financières et d'assurance | 4 | 5,4 % | (3,4 %) |
Activités immobilières | 4 | 5,4 % | (3,3 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 16 | 21,6 % | (14,1 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 11 | 14,9 % | (13,6 %) |
Autres activités de services | 4 | 5,4 % | (9,3 %) |
Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 21,6 % du nombre total d'établissements de la commune (16 sur les 74 entreprises implantées à Durfort-Lacapelette), contre 14,1 % au niveau départemental[I 14].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[39] :
Viticulture : zone de production de l'AOC chasselas de Moissac. Artisanat et commerce y sont présents[40].
La commune est dans le « Bas-Quercy de Montpezat », une petite région agricole couvrant une bande nord du département de Tarn-et-Garonne[41]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 109 | 80 | 48 | 41 |
SAU[Note 12] (ha) | 2 220 | 1 778 | 1 578 | 1 402 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 109 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 80 en 2000 puis à 48 en 2010[43] et enfin à 41 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 62 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[44],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 220 ha en 1988 à 1 402 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 20 à 34 ha[43].
Durfort-Lacapelette fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée sur la commune par une maternelle et une primaire[45].
Chasse, pétanque, randonnées pédestres,
Le village possède un habitat très dispersé avec de nombreuses églises qui satisfaisaient à une population plus nombreuse qu'aujourd'hui. Mais à Lacapelette (hameau de la mairie) il n'y a pas présence d'une chapelle. Le monument le plus ancien est l'ancienne mairie, installée là depuis 1922.
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