Durbans est une commune française, située dans le centre du département du Lot en région Occitanie.
Elle est également dans le causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.
Pour les articles ayant des titres homophones, voir Durban (homonymie).
Durbans
La mairie, au lieu-dit Ladignac.
Administration
Pays
France
Région
Occitanie
Département
Lot
Arrondissement
Figeac
Intercommunalité
Communauté de communes Grand-Figeac
Maire Mandat
Henri Gratias 2020-2026
Code postal
46320
Code commune
46090
Démographie
Population municipale
148 hab. (2019 )
Densité
5,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées
44° 40′ 40″ nord, 1° 46′ 24″ est
Altitude
318 m Min. 287 m Max. 393 m
Superficie
27,81 km2
Type
Commune rurale
Aire d'attraction
Gramat (commune de la couronne)
Élections
Départementales
Canton de Gramat
Législatives
Deuxième circonscription
Localisation
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Durbans
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Durbans
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Durbans
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Durbans
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Exposée à un climat océanique altéré, aucun cours d'eau permanent n'est répertorié sur la commune. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (la «zone centrale du causse de Gramat») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Durbans est une commune rurale qui compte 148 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 563 habitants en 1856. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Gramat. Ses habitants sont appelés les Durbansiens ou Durbansiennes.
Géographie
Généralités
Paysage en bordure du hameau de Ladignac.
Située sur la route de Gramat à Figeac, la commune de Durbans comporte quatre hameaux:
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 11,3°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 4,4 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,6 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,7 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Gery», sur la commune de Saint Géry-Vers, mise en service en 1974[7] et qui se trouve à 27 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 14,1°C et la hauteur de précipitations de 862,5 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Gourdon», sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4°C pour la période 1971-2000[11], à 12,7°C pour 1981-2010[12], puis à 13,1°C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[16]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[17],[18]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination «géoparc des causses du Quercy», faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[19],[20].
La commune fait également partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[21],[22].
Réseau Natura 2000
Site Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats: la «Zone centrale du causse de Gramat»[24], d'une superficie de 6 413ha, un site comprenant diverses espèces remarquables d'orthoptères (Stenobothrus nigromaculatus, Arcytera fusca, Oedaleus decorus), de lépidptères (Brenthis hecate, Chazara briseis, Polyommatus dorylas) et de coléoptères (Cyrtonus dufouri, Chrysolina femoralis, Chrysolina obscurella)[25].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[26]:
le «bois d'Escazalous» (15ha)[27] et
la «zone centrale du causse de Gramat» (7 127ha), couvrant 11 communes du département[28].
Urbanisme
Typologie
Durbans est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[29],[I 1],[30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gramat, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,7%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40,7%), forêts (31,3%), prairies (23,4%), zones agricoles hétérogènes (3,7%), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,9%)[31].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Durbans est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].
Risques naturels
Durbans est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature
de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[34].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Durbans.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[35]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 70,8% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 125 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 74 sont en en aléa moyen ou fort, soit 59%, à comparer aux 72% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[37],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[36].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[32].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[38].
Toponymie
Le toponyme Durbans serait basé soit sur un anthroponyme suivi de -anum, soit sur les mots gaulois duro (fortification) et banno(n) (corne), soit par le nom d'un nouvel arrivant[39].
Histoire
De 1938 à 1940, un dépôt de munitions exclusivement chimiques se trouvait sur le territoire de la commune de Durbans. Le camp a été installé par 300 réfugiés espagnols, militaires de l'armée républicaine, défaite par Franco pendant la guerre d'Espagne[40]. Les munitions toxiques provenaient du dépôt principal de La Ferté-Hauterive qui risquait de subir des bombardements[41]. Elles furent apportés par camions et par trains. Une voie étroite, de type Decauville[42], fut construite de la gare d'Assier à Durbans[40]. Environ 420 tonnes de produits chimiques étaient contenus dans 600 000 grenades d'aviation n°61 chargées en Ypérite et 9 600 artifices Z5 contenant de l'adamsite[41]. Au démantèlement du camp, les grenades furent déplacées pour être immergés au large de Toulon et les engins Z5 furent emportées par l'occupant vers l'Allemagne[40]. Les munitions présentant des fuites ont été enfouies sur place[43].
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].
En 2019, la commune comptait 148 habitants[Note 8], en augmentation de 20,33% par rapport à 2013 (Lot: +0,19%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
322
313
355
461
444
509
479
522
538
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
563
559
501
504
521
536
507
503
444
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
422
398
350
285
252
238
228
226
206
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
186
157
131
131
116
127
145
123
139
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
148
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-
-
-
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De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 71 personnes, parmi lesquelles on compte 79,7% d'actifs (68,1% ayant un emploi et 11,6% de chômeurs) et 20,3% d'inactifs[Note 9],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Gramat, du fait qu'au moins 15% des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 7]. Elle compte 29 emplois en 2018, contre 26 en 2013 et 28 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 52, soit un indicateur de concentration d'emploi de 55,5% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50%[I 8].
Sur ces 52 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 21 travaillent dans la commune, soit 40% des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 72% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4% les transports en commun, 4% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 20% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
25 établissements[Note 10] sont implantés à Durbans au [I 11].
Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 52% du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 25 entreprises implantées à Durbans), contre 14% au niveau départemental[I 12].
Agriculture
La commune est dans les Causses», une petite région agricole occupant une grande partie centrale du département du Lot[49]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 22 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 23 en 2000 puis à 16 en 2010[51] et enfin à 15 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 32% en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60% de ses exploitations[52],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune est restée relativement stable, passant de 1406 ha en 1988 à 2177 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 64 à 145 ha[51].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Particularité de la commune: Durbans ne possède ni église, ni cimetière!
La Chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption au hameau du Cornouiller, construite en 1857[53].
Le dolmen de La Borie Grande: dolmen double, les deux chambres sépulcrales sont placées dans le prolongement l'une de l'autre avec une orientation ouest-est. La chambre ouest est plus petite et plus basse que la chambre Est. Toutes deux ont conservé leur table mais celle de la chambre Est est cassée en deux morceaux inégaux. 44° 41′ 01″ N, 1° 44′ 47″ E
Le dolmen de Peyre de l'Homme, appelé aussi dolmen des Combarols: ce dolmen est exceptionnel par les dimensions de ses éléments architecturaux et par l'état de préservation de ceux-ci. Il est difficile de reconnaître son type: à chambre double ou à chambre simple longue: 4,7 m. Les dalles de chevet et de fermeture sont toujours en place. Sa table d'épaisseur 42 cm a été cassée et déplacée, trois morceaux sont encore présents. Son tumulus est visible: diamètre 25 m pour 1,3 m de hauteur. Il est inscrit au titre des monuments historiques en 2011[54]. Aux alentours, on trouve les ruines d'un riche patrimoine, bâti avec de grandes dalles de pierre: pierre de clède de même épaisseur que la table du dolmen, citerne couverte par deux dalles de 2,5 m x 1,5 m x 18 cm dont une intacte, maison aux encadrements de porte monumentaux, éléments protégeant l'entrée d'une citerne. On remarque aussi de nombreuses dalles jonchant les environs 44° 41′ 30″ N, 1° 47′ 11″ E
Les dolmens des Roques: dolmen no1 44° 41′ 30″ N, 1° 47′ 52″ E, le dolmen no2 est inscrit au titre des monuments historiques en 2012[55]. 44° 41′ 31″ N, 1° 47′ 54″ E
Le dolmen du Verdier-Petit: c'est un dolmen simple mais monumental dont la table (5,40 mètres de long par 2,90 mètres de large pour 0,40 mètre d’épaisseur, estimation 12 tonnes) est recouverte de pierres accumulées depuis par les cultivateurs en épierrant le champ où il se dresse. La chambre sépulcrale mesure 3,60 mètres de long pour 1,30 mètre de large et 1,20 mètre de haut. Elle est fermée par une murette en pierres sèches de construction récente en vue d'un usage agricole[56]. 44° 40′ 36″ N, 1° 46′ 58″ E
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy: Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127p. (ISBN2-910540-16-2), p.42.
Michèle Caminade, Espédaillac: village des Causses du Quercy: histoire & patrimoine., Édicausse, dl 2021 (ISBN978-2-917626-23-8 et 2-917626-23-2, OCLC1263218175, lire en ligne), p.59-60
Jean Clottes, «Les dolmens du Lot: réutilisations et destructions à l'époque moderne», Bulletin de la Société préhistorique de France, vol.Tome 60, Fascicule 7/8, , p.438-439 (JSTOR27915885, lire en ligne)
Notes et cartes
Notes
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
Cartes
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
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