Sur les rives de la Seine et parcourue par l'Austreberthe, à leur confluent, la commune fait partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.
Elle est située sur la route des Abbayes (entre l'abbaye Saint-Georges de Boscherville et l'abbaye de Jumièges) et au départ de la route des Fruits (Le Mesnil-sous-Jumièges, Jumièges).
Lieux-dits et écarts
Le Cat Rouge, le Bocage, les Monts, le Maupas, la Grand Mare, le Claquemeure (château[1]), le Vaurouy (ruines de l'église Notre-Dame[2]), Saint-Paul (lieu d'implantation d'une maladrerie disparue[3]), le Bas Aulnay, Val de Mare.
Duclair est reliée à Rouen et au Havre par la route départementale 982.
À Duclair est exploité, par le département de Seine-Maritime, un bac maritime permettant la traversée de la Seine pour les automobiles et les poids lourds.
Article détaillé: Bacs de la Seine.
Les ponts les plus proches permettant de traverser la Seine sont le pont de Brotonne à Caudebec-en-Caux et le pont Gustave-Flaubert à Rouen.
Faune et flore
Le canard de Duclair est une race de canard originaire de la région.
La commune est classée «trois fleurs» au Concours des villes et villages fleuris.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]
Moyenne annuelle de température: 10,8°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,6 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 1,6 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 8,1 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Jumièges», sur la commune de Jumièges, mise en service en 1978[10] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,6°C et la hauteur de précipitations de 844,1 mm pour la période 1981-2010[12].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Rouen-Boos», sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 26 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10,1°C pour la période 1971-2000[14] à 10,5°C pour 1981-2010[15], puis à 11°C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Duclair est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19].
Elle appartient à l'unité urbaine de Duclair, une unité urbaine monocommunale[20] de 4 198 habitants en 2017, constituant une ville isolée[21],[22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,7% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,4%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (40,8%), zones urbanisées (22,6%), prairies (16,1%), zones agricoles hétérogènes (9,8%), forêts (5,4%), eaux continentales[Note 8] (5%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5%)[25].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[26].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes De Prædio Durclaro vers 860; Durclerum vers 1025[27]; De portu villæ Durcleri en 1135[28]; Durclarum en 1156[29]; Durclerum et Super stagnum Durcleri entre 1172 et 1178[30]; In molendinis Ducleri entre 1180 et 1190[31]; In parrochia Durclari en 1190[32]; Apud Durcler en 1198[33]; De Duclaro au XIIesiècle[34]; Baronnie de Duclair au XVIIesiècle[35]; A Duclaro début XIIIesiècle; De Durclaro en 1212[36]; Calceata portus de Duclaro en 1217; In parrochia Sancti Dyonisii Duclari en 1129; Molendina de Duclaro en 1238; Duclarum en 1337; Ecclesia de Duclaro vers 1240; Apud Ducler en 1264; De Ducler en 1404; Bourgage de Duclair entre 1422 et 1463[36]; Apud Duclarum en 1265 (Bonnin 501, 516); Ducler en 1403[37] et en 1431 (Longnon 10, 77); Saint Denis de Ducler en 1552; Saint Denys de Duclair en 1717[38]; Duclair en 1715 (Frémont); Ducler en 1757 (Cassini); Duclair en 1953[39].
D'après le nom, vers 811, de l'ancienne paroisse Duroclarus, du gaulois duros, «forteresse» et du latin clarus «clair»[40]. Les Gaulois blanchissaient à la chaux leurs remparts de bois.
La commune résulte de la fusion des deux anciennes paroisses de Duclair et du Vaurouy en 1825[41] («Val Rouil» en 1469).
Existence d'une église et d'un monastère d'hommes en 671; l'abbaye fut détruite par les Normands au IXesiècle. Ravages de la peste au XIesiècle.
Le baron de Duclair est cité parmi les guerriers de Hastings (1066). Occupé par les Anglais en 1360. Peste en 1479. Fabrique importante de bière aux XVeetXVIesiècles. Léproserie, jusqu'à la Révolution, au mont Davilette.
Une affaire va marquer l'histoire de la commune en 1841, c'est l'affaire Delouard. Il s'agissait du curé de Duclair, Amable Parfait Delouard, qui est accusé de pédophilie. Il sera d'ailleurs condamné à l'exposition publique et à la prison à perpétuité. Cette affaire a même eu un retentissement dans toute la France.
Une ligne de chemin de fer reliant Barentin et Duclair est inaugurée en 1881.
L'ancienne gare de Duclair.
La clouterie Mustad est fondée en 1891[42]. Elle est victime d'un violent incendie en avril 1893.
Le 22 août 1896, la municipalité reçoit le président Félix Faure accompagné du ministre des Affaires étrangères, Gabriel Hanotaux.
Un violent orage le 17 juillet 1910 provoque le débordement de l'Austreberthe qui inonde la commune.
En 1928, l'hôtel de ville et la salle des fêtes sont inaugurés en présence du ministre de l'Intérieur Albert Sarraut.
Des bombardements durant la Seconde Guerre mondiale visent le bac. Le 11 juillet 1943, la clouterie est bombardée[43]. L'hôtel de ville est détruit lors du bombardement du .
Le nouvel hôtel de ville est inauguré le (architectes: André Le Bugle, Lamy et Neuville).
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
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Article connexe: Élections municipales de 2014 en Seine-Maritime.
Lors des élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime, la liste menée par le maire sortant Jean Delalandre (LR) —mais dont la liste se revendiquait sans étiquette[44]—, a remporté le scrutin dès le premier tour, avec 55,66% des suffrages exprimés et 22 sièges, suivie par les listes menées par Lukas Blanpain (DVG, 37,97%, 5 sièges) et par Virginie Macé (ex élue de la majorité, fille du maire 2008-2014, 6,36%), lors d'un vote marqué par 48,25% d'abstention[45]
Article connexe: Élections municipales de 2020 dans la Seine-Maritime.
Administration municipale
Le nombre d'habitants à Duclair étant supérieur à 3 500 et inférieur à 4 999, le nombre de conseillers municipaux est de vingt-sept.
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Maires avant la Libération de la France
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
14 février 1790
13 novembre 1791
Guillaume David Mathurin Caillouel (1750-1842)
Avocat au Parlement de Paris
13 novembre 1791
Louis Guéroult
Jardinier
1798
1800
Jean Baptiste Claude Leblond (1755-1824)
Capitaine de navire
juin 1800
1813
Jacques Lebreton ( -1825)
Bonapartiste
1813
1815
Pierre Charles Antoine Savalle ( -1855)
Bonapartiste
Meunier
10 mai 1815
23 septembre 1815
François-Jacques Durand
Bonapartiste
Notaire
1815
1821
Claude François Petit
Monarchiste
1821
1831
Richard Denis Thuillier (1781- )
1831
1834
Jacques Ballue ( -1843)
1834
1845
Louis Félix Sanson Queval (1788-1845)
1845
1848
André Victor Panthou (1792-1857)
Avocat
1848
1850
Adolphe-Amédée Cavoret (1802-1889)
Médecin
1850
1856 (décès)
Alfred Rigoult ( -1855)
Notaire
1856
1857
André Victor Panthou (1792-1857)
Avocat
1857
1865
Édouard Saunois (1808-1882)
Ancien notaire
1865
1869
Adolphe Hippolyte de Berruyer de Torcy (1810-1875)
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].
En 2019, la commune comptait 4 073 habitants[Note 9], en diminution de 1,45% par rapport à 2013 (Seine-Maritime: +0,08%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 587
1 380
1 320
1 260
1 602
1 750
1 790
1 817
1 929
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1 800
1 802
1 810
1 825
1 840
1 913
1 932
1 920
1 951
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
2 039
2 102
2 014
2 113
2 114
2 237
2 140
2 219
2 332
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2005
2006
2010
2 492
2 705
2 975
3 487
3 822
4 163
4 094
4 100
4 134
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2015
2019
-
-
-
-
-
-
-
4 214
4 073
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
La commune relève de l'Académie de Rouen.
Il y a dans la commune trois établissements scolaires:
une école maternelle;
une école primaire;
un collège Gustave-Flaubert.
Manifestations culturelles et festivités
Marché le mardi.
Santé
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Le quotidien Paris Normandie et l'hebdomadaire Le Courrier cauchois relatent les informations locales.
La commune est située dans le bassin d'émission de la chaîne de télévision France 3 Normandie.
Le Journal de Duclair, hebdomadaire conservateur paraissant le mardi, fut édité de 1887 à 1940 par l'imprimerie du Pilote, à Caudebec-en-Caux.
L'Avenir de Duclair, hebdomadaire républicain, fut fondé en 1887 par M. Bretteville, à Yvetot, et ne résista pas à la concurrence de son rival conservateur.
Économie
C'est ici qu'est née la race du canard de Duclair.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Denis
Église Saint-Denis à trois nefs. Nef principale du XIesiècle, clocher du XIIesiècle, portail Renaissance. Vitraux des XVeetXVIesiècles restaurés par Max Ingrand.
Le château du Taillis
Article détaillé: Château du Taillis.
Le château du Taillis au hameau Saint-Paul Bâti sur les fondations d’une maison forte du XIIIesiècle, le château du Taillis a été édifié vers 1530 par Jehan du Fay du Tailly. La façade sculptée présente des blasons seigneuriaux ainsi que des niches et des pilastres. Après une construction inachevée, le corps central fut agrandi par l'adjonction de deux pavillons au XVIIesiècle et finalisé par de nouvelles ailes au XVIIIesiècle. Certains des plus beaux arbres de la région rayonnent dans le parc du château du Taillis. Parsemé de massifs, de plates-bandes et de dépendances telles que l'orangerie en temple gréco-romain ou les écuries bâties dans une chapelle du XVIesiècle, toute la symbolique et l'esprit des parcs du XVIIIesiècle y sont implantés.
Le Musée août 44
Article détaillé: Musée août 44 (Duclair).
Dans les écuries du château est installé depuis juin 2004 le Musée août 44 «L'enfer sur la Seine»: la bataille de Normandie s'est terminée sur les rives de la Seine. Fin août 1944, ce sont des dizaines de milliers de soldats allemands qui tentent de fuir l'avancée des Alliés, mais les ponts et bacs détruits en bordure de Seine ralentissent leur retraite. Pendant plusieurs jours, les avions et l'artillerie pilonnent les troupes massées au bord du fleuve causant des pertes en hommes et en matériels très importantes. Les armées anglo-canadiennes combattent victorieusement les derniers bastions de défense allemande, les conduisant par la suite à la libération tant attendue des populations civiles.
La Cour du Mont
La Cour du Mont est située sur les hauteurs de Duclair au hameau des Monts. Elle surplombe la vallée de la Seine.
La Porterie et la chapelle Sainte-Austreberthe.
Au Moyen Âge, la Cour du Mont, siège de la baronnie de Duclair, était une dépendance de l'abbaye de Jumièges toute proche. Le domaine était chargé d'assurer l'approvisionnement agricole des moines. Pendant un temps assigné, le moine ou le fermier responsable du domaine agricole devait fournir une quantité de blé, d'avoine ou de seigle aux religieux de Jumièges.
D'abord désignée par le terme de «grange» au XIIesiècle, la Cour du Mont fut ensuite appelée «Manoir ou Grange du Mont de Duclair» au XIVesiècle.
Un manoir fut construit vers le XVesiècle mais il disparut dans un incendie en 1981.
Le domaine s'est donc développé et au XVIIesiècle, on pouvait compter entre dix et quinze bâtiments construits à la Cour du Mont. Une chapelle Sainte-Austreberthe et une porterie avec un grenier constituaient l'entrée du domaine qui s'étendait sur près de neuf hectares. On avait ensuite sous les yeux des granges, une bergerie, des étables, des écuries, une porcherie, un colombier, un poulailler et des remises[52].
Aujourd'hui, il ne reste plus que la grange dîmière (propriété de la commune de Duclair), la chapelle et la porterie (mises à la disposition de la Maison des jeunes et de la culture de Duclair)[53].
Le château du Cat Rouge
Le château, construit en 1776, est propriété privée[54]. Les bas-reliefs des frontons seraient issus du château de Belbeuf[55].
Espaces verts
L'Archipel des eaux mêlées est un jardin paysager ouvert en 2004 à l'emplacement de l'ancienne clouterie Mustad.
Personnalités liées à la commune
André Marescot (1709-1780), né à Duclair, curé de Saint-Nicaise à Rouen et professeur de théologie.
Le peintre Paul Mascart (1874-1958) habita Duclair.
Le musicien Pierre Villette (1926-1998) est né à Duclair, près de la Cour du Mont.
L'ingénieur Jean Laporte (1859-1933), maire de Duclair, y est mort.
Héraldique
Les armes de la commune de Duclair se blasonnent ainsi:
Coupé: au 1erparti au I d'azur à l'oie contournée en vol d'argent, au II d'argent au pommier de sinople, fruité de gueules, fûté de sable et posé sur une terrasse herbeuse de sinople, au 2e d'azur à trois poissons contournés d'argent, 2 et 1.
Voir aussi
Bibliographie
Francis Aubert, Patrick Sorel et Gérard Devaux (préf.Joseph Macé), Duclair, un regard sur le passé, Fontaine-le-Bourg, Le Pucheux, , 207p. (ISBN978-2-918856-12-2)
Francis Aubert (préf.Germaine Dumesnil), Duclair, un regard sur le passé, Duclair, , 66p. (ISBN2-9519259-0-5)
Paul Bonmartel, Histoire du patrimoine industriel de Duclair-Yainville-Le Trait 1891 - 1992,
Joseph Bunel et Albert Tougard, Géographie du département de la Seine Inférieure, Arrondissement de Rouen, Rouen,
Daniel Delattre, La Seine-Maritime, les 745 communes, Grandvilliers, , 344p. (OCLC53292170), p.100-101
Ariane Duclert, «Le Caneton à la rouennaise, spécialité de Duclair», dans Pays de Normandie(ISSN1266-1341), no25, 2000
L. de Duranville, Duclair, Péron, Rouen, 1850
Philippe Feugère des Forts, Église de Duclair, Caen, H. Delesques, , 20p. (OCLC457713200, BNF34092615)
Gilbert Fromager (préf.Charles Carré), Le Canton de Duclair à l'aube du XXesiècle, Duclair, G. Fromager, , 165p. (ISBN2-9501653-0-3, OCLC22642196), p.19-55
Gilbert Fromager, Le canton de Duclair: 1925-1950, Duclair, G. Fromager, , 204p. (ISBN2-9501653-1-1, OCLC36032690), p.27-69
Patrick Sorel, Histoire de Duclair 1789-1799, Duclair, (OCLC8493861, BNF34299186, LCCN80116764)
Patrick Sorel, Histoire des moulins à eau de Duclair,
Patrick Sorel et Bruno Penna, Le Château du Taillis au Trait et à Duclair du XIIIe au XVIIIesiècle, Jumièges, 2004
«Duclair», dans Le Patrimoine des communes de la Seine-Maritime, Charenton-le-Pont, Éditions Flohic, coll.«Le Patrimoine des communes de France», , 1389p. (ISBN2-84234-017-5) vol.1, p.423-426
Emmanuelle Real, Le Paysage industriel de la Basse-Seine: Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie, , 263p., broché (ISBN978-2-910316-33-4 et 2-910316-33-5), p.244-245
Sur la clouterie Mustad.
Pierre Valeri, Duclair La Clouterie Mustad: Histoire d'un passé que l'on a voulu oublier,
Au cinéma
Sous le signe du poisson (1991) de Serge Pénard avec Jean Lefebvre et Daniela Akerblom
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Adigard des Gautries, 1956 p. 243.
Vernier-Jumièges, I, 155.
Vernier-Jumièges, I, 188.
Vernier-Jumièges, II, 18, 28.
Vernier-Jumièges, II, 58.
Vernier-Jumièges, II, 106.
Vernier-Jumièges, II, 123.
Vernier-Jumièges, II, 144.
Archives départementales de la Seine-Maritime, 9 H 53.
Archives départementales de la Seine-Maritime, 9 H.
Archives départementales de la Seine-Maritime, G 326.
Archives départementales de la Seine-Maritime, G 5491, 741.
Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département: Seine-Maritime, page 317.
Bernard Sergent, Le guide de la France mythologique, Société de mythologie française, 2007.
Gontran Pailhès (préf.Pierre Varenne), Rouen et sa région pendant la guerre 1939-1945, Rouen, Henri Defontaine, , 309p., p.164.
Sophie Bogatay, «Municipales à Duclair: Jean Delalandre vise le doublé: Le jeune maire, élu en 2014, repart en campagne avec une liste de rassemblement. «Mon parti, c’est Duclair» affirme le candidat», Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
«Municipales 2020. Jean Delalandre et son équipe facilement réélus à Duclair: Le maire sortant a récolté 55,66% des voix dès le premier tour», Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
Sophie Bogatay, «Jean Delalandre, maire, préfère Duclair à un mandat de député: Jean Delalandre qui entame son second mandat de maire préfère se consacrer à sa ville plutôt que viser un siège de député», Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
«Duclair. Jean Delalandre officiellement réélu maire», Le Courrier cauchois, (lire en ligne, consulté le ).
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