Cubières-sur-CinobleÉcouter, (en occitanCubièras de CinòbleÉcouter), est une commune française, située dans le sud du département de l'Aude en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du massif des Corbières, un chaos calcaire formant la transition entre le Massif central et les Pyrénées. Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par l'Agly, le Verdouble et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable: un site Natura 2000 (les «basses Corbières») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Cubières-sur-Cinoble est une commune rurale qui compte 84 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 327 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Cubiérols ou Cubiéroles.
Le village vu depuis le Pic de BugarachDolmens de l'Arco del Pech.
Géographie
Localisation
Cubières-sur-Cinoble est une commune située dans les Corbières sur le Verdouble. Elle est limitrophe du département des Pyrénées-Orientales.
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Cubières-sur-Cinoble se situe en zone de sismicité 3 (sismicité modérée)[2].
Hydrographie
La commune est dans la région hydrographique «Côtiers méditerranéens»[3], au sein du bassin hydrographique Rhône-Méditerranée-Corse[4]. Elle est drainée par l'Agly, le Verdouble, Rec de Coumo Daniel, le ruisseau de Cubières, le ruisseau de la Caïrolo, le ruisseau de la Coume de Tiols, le ruisseau de la Gorbelhe, le ruisseau de l'Espinassol, le ruisseau del Saouzé, le ruisseau del Traouquel et le ruisseau d'Emboudiet, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[5],[Carte 1].
L'Agly, d'une longueur totale de 81,7 km, prend sa source dans la commune de Camps-sur-l'Agly et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans le golfe du Lion à Saint-Laurent-de-la-Salanque, après avoir traversé 22 communes[6].
Le Verdouble, d'une longueur totale de 46,7 km, prend sa source dans la commune de Soulatgé et s'écoule vers l'est puis se réoriente au sud. Il traverse la commune et se jette dans l'Agly à Estagel[7].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat méditerranéen altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[8]. En 2020, la commune ressort du type «climat méditerranéen» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[9].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[8].
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000
Moyenne annuelle de température: 12,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 2,2 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 8,8 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 8,7 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 4,6 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[11] complétée par des études régionales[12] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Saint-Louis-et-Parahou», sur la commune de Saint-Louis-et-Parahou, mise en service en 1978[13] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[14],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,3°C et la hauteur de précipitations de 1 071,9 mm pour la période 1981-2010[15].
Sur la station météorologique historique la plus proche, «Perpignan», sur la commune de Perpignan, dans le département des Pyrénées-Orientales, mise en service en 1924 et à 40 km[16], la température moyenne annuelle évolue de 15,4°C pour la période 1971-2000[17], à 15,7°C pour 1981-2010[18], puis à 16,1°C pour 1991-2020[19].
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux: les «basses Corbières»[21], d'une superficie de 29 495ha, un site important pour la conservation des rapaces: l'Aigle de Bonelli, l'Aigle royal, le Grand-duc d’Europe, le Circaète Jean-le-Blanc, le Faucon pèlerin, le Busard cendré, l'Aigle botté[22].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[23]:
les «gorges de Galamus et massif du pech d'Auroux» (1 008ha), couvrant 4 communes dont 3 dans l'Aude et 1 dans les Pyrénées-Orientales[24], et
la «rivière de l'Agly et ses affluents de la source au Pas de la Fumado» (21ha), couvrant 2 communes du département[25]
et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[23]:
les «Corbières occidentales» (59 005ha), couvrant 66 communes du département[26];
le «massif du Fenouillèdes septentrional» (14 046ha), couvrant 14 communes dont 9 dans l'Aude et 5 dans les Pyrénées-Orientales[27].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Cubières-sur-Cinoble.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Cubières-sur-Cinoble est une commune rurale[Note 7],[28]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[29].
La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (85,8% en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81,1%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (71,4%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,8%), zones agricoles hétérogènes (9%), prairies (5,2%), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,6%)[30].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Cubières-sur-Cinoble est vulnérable à différents aléas naturels: météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité modérée)[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cubières-sur-Cinoble.
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 65,3% de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (75,2% au niveau départemental et 48,5% au niveau national). Sur les 77 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 76 sont en en aléa moyen ou fort, soit 99%, à comparer aux 94% au niveau départemental et 54% au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[33],[Carte 3].
Histoire
L'abbaye de Notre-Dame de Cubières est citée en 817 et plus sûrement en 844 lorsque Charles le Chauve accorde un diplôme d’immunité et de protection à l’abbé Eléazar. Cubières fait alors partie du Peyrepertusès, circonscription du comté de Razès. Le territoire est dominé dès 874 par les comtes de Cerdagne puis de Besalu.
Politique et administration
Découpage territorial
La commune de Cubières-sur-Cinoble est membre de la communauté de communes du Limouxin[34], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Limoux. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[35].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Limoux, au département de l'Aude, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[34].
Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Haute-Vallée de l'Aude pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[34], et de la troisième circonscription de l'Aude pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[36].
Liste des maires
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
mars 2001
mars 2008
Françoise Le Roy
mars 2008
mai 2020
Sylvie Romieu
DVD
mai 2020
En cours
Maryse Baillat
Les données manquantes sont à compléter.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].
En 2019, la commune comptait 84 habitants[Note 8], en diminution de 16% par rapport à 2013 (Aude: +2,52%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
269
252
301
282
283
295
309
327
291
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
278
258
251
255
210
201
193
195
167
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
159
139
129
121
108
126
90
83
78
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2004
2006
2009
64
56
39
64
64
64
73
72
102
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2014
2019
-
-
-
-
-
-
-
100
84
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 54 personnes, parmi lesquelles on compte 66% d'actifs (52% ayant un emploi et 14% de chômeurs) et 34% d'inactifs[Note 9],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 7]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 22 en 2013 et 14 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 29, soit un indicateur de concentration d'emploi de 69,6% et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,9%[I 8].
Sur ces 29 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 16 travaillent dans la commune, soit 56% des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 51,9% des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 22,2% s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 25,9% n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].
Activités hors agriculture
18 établissements[Note 10] sont implantés à Cubières-sur-Cinoble au [I 11].
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 55,6 % du nombre total d'établissements de la commune (10 sur les 18 entreprises implantées à Cubières-sur-Cinoble), contre 32,3% au niveau départemental[I 12].
Agriculture
1988
2000
2010
Exploitations
13
6
6
Superficie agricole utilisée (ha)
148
486
201
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée «Pays de Sault»[41]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et le polyélevage[42]. Six exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 12] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 201ha[42].
Église Sainte-Marie-et-Saint-Pierre de Cubières-sur-Cinoble. Cette église est un fragment d'une ancienne église abbatiale. Au début du IXesiècle a été fondé une abbaye sous le vocable Saint-Pierre-et-Notre-Dame à la sortie des gorges de Galamus. L'abbaye est citée dans des diplômes datés de 817[44], 844, 898 et 922. En 1020, dans son testament, Bernard Taillefer donne l'abbaye de Cubières, le comté de Besalú et la vicomté de Fenouillèdes à son fils Guilhem (1020-1052). Puis elle passe sous la dépendance des seigneurs du Peyrepertusès. En 1073, elle devient la propriété de l'abbaye de Moissac. En 1200, le monastère n'est plus qu'un prieuré dépendant de l'abbé de Moissac. Il n'est plus fait alors mention de l'abbaye sauf dans un document tardif du moine Philomène, le Gesta Caroli Magni (lire en ligne). Ce texte indique que l'abbaye de Cubières fait partie des possessions de l'abbaye de Lagrasse. Il ne reste rien des bâtiments monastiques et seulement le tiers de l'église abbatiale d'origine. Les «Collectariae» des archives vaticanes mentionnent l'église comme paroissiale en 1351. Ce qui subsiste de l'église montre qu'elle a été construite au XIesiècle. Il reste le collatéral sud presque en entier avec son absidiole, la travée médiane de la nef centrale. Des murs biais raccordent les piliers subsistant de la travée de la nef centrale aux extrémités du collatéral. Une abside semi-circulaire a été construite au nord de la travée de la nef centrale ce qui a créé une nouvelle nef centrale perpendiculaire à l'ancienne. Une tradition locale attribue la destruction de l'ancienne abbatiale à un incendie provoqué par des bandes armées[45],[46],[47].
Personnalités liées à la commune
Guilhem Bélibaste
Héraldique
Blason
Parti: au 1) coupé au I d'or à la croisette pattée de gueules, au II d'argent au pot à deux anses de sable, au 2) d'argent à trois fasces de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Voir aussi
Bibliographie
Gauthier Langlois, «Petits établissements monastiques masculins des Corbières: un encadrement religieux dense (IXe – XIIIesiècle)», dans Bulletin de la Société d’études Scientifiques de l'Aude, t.CXIII, (ISSN0153-9175, lire en ligne), p.51-68
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[10].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[43].
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
Roger Hyvert, Cubières-sur-Cinobre. Église Notre-Dame, dans Dictionnaire des églises de France, Robert Laffont, Paris, 1966, tome II-C, Cévennes6Languedoc-Roussillon, p.49.
Gauthier Langlois, «Petits établissements monastiques masculins des Corbières: un encadrement religieux dense (IXe – XIIIesiècle)», dans Bulletin de la Société d’études scientifiques de l’Aude, tome CXIII, 2013, p.51-68(lire en ligne)
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