Craon (prononciation: [kʁã]) est une commune française située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire et peuplée de 4 486 habitants[Note 1].
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Craon
Le plan d'eau du Mûrier et l'église Saint-Nicolas.
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Hydrographie
Le repère de crue de l'Oudon à son plus haut niveau connu, en 1995.
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Voies de communication et transports
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique altéré», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]
Moyenne annuelle de température: 11,6°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 1,8 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 4,2 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 11,8 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 6,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1945 à 2016 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records CRAON (53) - alt: 50 m 47° 51′ 00″ N, 0° 56′ 18″ O Records établis sur la période du 01-01-1945 au 30-06-2016
Mois
jan.
fév.
mars
avril
mai
juin
jui.
août
sep.
oct.
nov.
déc.
année
Température minimale moyenne (°C)
2,5
2
3,9
5,4
9,1
11,7
13,6
13,5
11
8,7
5
2,8
7,5
Température moyenne (°C)
5,4
5,8
8,4
10,6
14,3
17,5
19,5
19,5
16,6
13
8,4
5,7
12,1
Température maximale moyenne (°C)
8,4
9,5
12,9
15,7
19,5
23,2
25,4
25,5
22,2
17,2
11,8
8,7
16,7
Record de froid (°C) date du record
−18 08.01.1985
−13 25.02.1986
−9,5 01.03.05
−3,5 13.04.1998
−3,5 01.05.1945
1 02.06.1962
4 11.07.1972
3,5 31.08.1986
0,9 20.09.12
−5 30.10.1997
−8,5 27.11.1945
−15,2 29.12.1964
−18 1985
Record de chaleur (°C) date du record
17,1 13.01.1993
20 28.02.1960
25 30.03.1946
28,5 30.04.05
32,3 27.05.05
38 28.06.1976
40 28.07.1947
40 10.08.03
36 01.09.1961
29,7 02.10.11
23 19.11.1945
17,5 19.12.15
40 2003
Précipitations (mm)
73,9
59,3
52,5
55,2
61,7
49,2
48,8
36,4
61,3
78,8
72,4
81,1
730,6
Source: «Fiche 53084001» [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le: 06/01/2022 dans l'état de la base
Urbanisme
Typologie
Craon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[9],[10],[11].
Elle appartient à l'unité urbaine de Craon, une unité urbaine monocommunale[12] de 4 486 habitants en 2019, constituant une ville isolée[13],[14].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Craon, dont elle est la commune-centre[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 9 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,1% en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (84,3%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
terres arables (55,2%), prairies (22,3%), zones urbanisées (12,4%), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4%), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,4%), zones agricoles hétérogènes (2,6%)[17].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[18].
Toponymie
Le nom de Craon est ancien. On le retrouve au VIIesiècle sur une monnaie mérovingienne: Cr[od]eno, ainsi qu'au IXesiècle, Ciron pour Credonem.
Histoire
Préhistoire et Antiquité
Le territoire est défriché à partir du IIIemillénaireav. J.-C..
De l'époque gallo-romaine, subsiste une inscription au dieu Mars.
Haut Moyen Âge
Au IXesiècle, à l'époque des guerres entre Francs et Bretons, Craon fut la ville de Lambert, comte des marches nantaises où il s'installa en 847. Lambert s'empara du Mans en 850 et fut tué par le comte du Maine Gausbert, le . Après la défaite de Charles le Chauve face aux Bretons, en 851 le traité d'Angers concède à Erispoë de Bretagne, fils de Nominoë, la possession de tout le territoire du Maine et de l'Anjou jusqu'à la Mayenne: Craon était compris dans cette concession. Le successeur d'Erispoë, Salomon, fut confirmé dans les mêmes droits en 863 par le traité d'Entrammes; il ne faut cependant pas en conclure que le cours supérieur de la Mayenne était alors la limite de la Bretagne[19][réf.incomplète], d'autant plus que les Bretons durent abandonner ces territoires au début du Xesiècle.
Moyen Âge
Ce fut une redoutable forteresse médiévale composée de 27 tours et de 1 600 mètres de murailles, servant à garder la frontière angevine face à la Bretagne. Ce fut une ville marchande très importante (connue pour son fil de lin blanchi) dotée de halles fondées au XIIesiècle et réputées parmi les plus grandes de France. Craon qui fut le siège de la première baronnie d'Anjou était une force politique, judiciaire et religieuse importante, gérant une quarantaine de paroisses.
Au Moyen Âge puis sous l'Ancien Régime, le fief de la baronnie angevine de Craon dépendait de la sénéchaussée principale d'Angers et du pays d'élection de Château-Gontier. La baronnie était qualifiée de «Première baronnie d'Anjou».
Armoiries de la famille de Craon: Losangé d'or et de gueules.
En 1343, le sel devient un monopole d'État par une ordonnance du roi Philippe VI de Valois, qui institue la gabelle, la taxe sur le sel. L’Anjou fait partie des pays de grande gabelle et comprend seize tribunaux spéciaux ou greniers à sel, dont celui de Craon.
XVe et XVIesiècles
La sénéchaussée de Saumur en Anjou au XVIIIesiècle.
Au XVesiècle, la ville placée aux confins de la Bretagne, duché longtemps allié aux Anglais, devint une place importante à conserver. Les passages des troupes royales et les montres d'hommes d'armes y sont fréquentes.
Lors de la huitième guerre de religion, la ville est assiégée par l’armée royale, mais dégagée par les Espagnols débarqués en Bretagne le [20].
Article détaillé: Bataille de Craon.
Henri IV de France, après être monté sur le trône, fait détruire dans le Comté de Laval un grand nombre de maisons de campagne et châteaux garnis de murs et fossés, petits forts qui auraient pu servir encore de retraite à quelques restes de la Ligue. Les murailles de la ville de Craon qui lui avaient résisté pendant longtemps, et devant lesquelles ses généraux avaient reçu un échec, furent rasées.
Craon, qui était aussi une ville de grenier à sel et d’hôpitaux vit sa puissance décliner avec la Révolution française.
Elle fut chef-lieu de district de 1790 à 1795.
Révolution française
Le 25 messidor an II, la Commission militaire révolutionnaire du département de la Mayenne s'installe à Craon et, en quelques jours, envoie plusieurs personnes à la guillotine. La Commission Huchedé et de l'accusateur Publicola Garot opère jusqu'au 9 thermidor.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].
En 2019, la commune comptait 4 486 habitants[Note 7], en augmentation de 0,11% par rapport à 2013 (Mayenne: −0,14%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1793
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1 587
1 494
1 448
3 591
3 610
3 813
3 857
4 088
4 171
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
4 218
4 291
4 401
4 254
4 675
4 527
4 532
4 434
4 249
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
4 104
3 977
3 794
3 615
3 581
3 647
3 692
3 839
3 837
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
4 146
4 482
4 661
4 829
4 767
4 659
4 629
4 522
4 513
Évolution de la population [modifier], suite (4)
2019
-
-
-
-
-
-
-
-
4 486
-
-
-
-
-
-
-
-
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,3%, soit en dessous de la moyenne départementale (34,5%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 40,2% la même année, alors qu'il est de 28,3% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 2 107 hommes pour 2 398 femmes, soit un taux de 53,23% de femmes, largement supérieur au taux départemental (50,71%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,6
90 ou +
4,3
14,9
75-89 ans
18,9
20,1
60-74 ans
20,0
19,8
45-59 ans
19,3
14,0
30-44 ans
12,2
14,9
15-29 ans
12,1
14,8
0-14 ans
13,1
Pyramide des âges du département de la Mayenne en 2018 en pourcentage[35]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,9
90 ou +
2,4
8
75-89 ans
10,8
16,8
60-74 ans
17,5
20,5
45-59 ans
19,5
17,7
30-44 ans
16,8
16,6
15-29 ans
14,8
19,5
0-14 ans
18,2
Activité et manifestations
Le marché a lieu tous les lundis matin, réunissant une trentaine de vendeurs[36].
La commune de Craon compte cinq monuments historiques:
Château de Craon classé du XVIIIesiècle construit en pierre blanche de la Loire. Il est environné d'un vaste jardin à la française et d'un parc à l'anglaise de plus de 40 hectares. Il y a aussi une rivière et un grand jardin potager possédant des serres du siècle dernier. L’ensemble est classé et inscrit aux monuments historiques[37];
Halles de Craon, achevées en 1850 et inscrites au titre des monuments historiques en 1984[38];
Grenier à sel, rue du Pavé, classé au titre des monuments historiques en 1991[39];
Grenier à sel, impasse des Onguents, inscrit au titre des monuments historiques en 1989[40];
Le prieuré bénédictin Saint-Clément[41]. Une inscription romaine a été découverte[Quand?] dans le mur de l'ancienne église de Saint-Clément.
Maisons à pan de bois, place des Halles.
Les halles.
Le château.
Le grenier à sel de l’impasse des Onguents.
Le grenier à sel de la rue du Pavé.
Le hameau de la Puce.
Monument place du 11-Novembre.
Patrimoine religieux
L'église Saint-Nicolas.
Église Saint-Nicolas, construite dans le style néo-gothique.
Prieuré Saint-Clément, devenu centre culturel[42], il abritait auparavant une laiterie où fut élaboré un fromage vendu de nos jours sous l'appellation Chaussée aux Moines[43].
Chapelle Saint-Eutrope, située dans le parc du château[37].
Patrimoine culturel
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Patrimoine naturel
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Personnalités liées à la commune
Robert de Craon (vers 1100 - 1149), sire de Craon.
Pierre Le Cornu (mort en 1612), militaire, gouverneur de Craon.
Anthyme-Denis Cohon (1595 à Craon - 1670), religieux, évêque.
Bernard Guyard (1601 à Craon - 1674), théologien.
Pierre-Ambroise de la Forest, marquis d'Armaillé [44] (1734-1806), était également baron de Craon, de Gohort, du Puy-du-Fou et autres lieux et fut l'un des plus importants propriétaires fonciers de l'Anjou. Son grand-père François d'Armaillé (1647-1731) [45] avait été acquéreur de la baronnie de Craon pour la somme de 200 000 livres.
Louis-François Allard, (1735 à Craon - 1819), médecin et député.
François-Joachim Esnue-Lavallée (1751 à Craon - 1816), homme politique.
Joseph Louis Proust (1754-1826), chimiste, a résidé à Craon.
Volney (1757 à Craon - 1820), écrivain.
Pierre Bodard de la Jacopière (1758 à Craon - 1826 à Craon), botaniste et médecin.
Émile Jamet (1799 à Craon -?), agriculteur et homme politique.
Ladislas Dymkovski (1847 à Craon - 1927), peintre, musicien et photographe.
Prosper Jules Charbonnier (1862 à Craon - 1936), ingénieur-général de la marine, spécialiste de la balistique.
Ferdinand Le Pelletier (1864 à Craon - 1939 à Craon), homme politique et économiste, fondateur de l'École supérieure des sciences économiques et commerciales.
Fortuné d'Andigné (1868 - 1935 à Craon), homme politique.
Louis de Guébriant (1916-2005), journaliste, propriétaire du château de Craon, président de la société des courses de Craon.
Henri de Gastines (1929-2011), député (1968-2002) et maire de Craon (1977-1989).
Héraldique
Blason
De gueules au sautoir d'argent cantonné de quatre losanges du même.
Détails
Adopté par la municipalité.
Voir aussi
Articles connexes
Liste des communes de la Mayenne
Liste des anciennes communes de la Mayenne
Famille de Craon
Bibliographie
Craon et ses environs par M. de Bodard de la Jacopière. 1871.
Michel Lemesle, En Anjou, la bataille de Craon, 23 mai 1592. Editions Régionales de l'Ouest, Mayenne, 2004.
Hervé Bazin, Vipère au poing, Paris, Grasset, 1948.
Abbé Angot, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, t. 1, Laval, 1900.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Abbé Angot.
Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596p. (ISBN978-2-21300-826-4, OCLC299354152, présentation en ligne).p.382.
Extraite des Martyrs du Maine, de Théodore Perrin - 1830.
Il avait provoqué avec son frère le retour de la tyrannie par le cri infâme de vive le Roi.
Ancien canonnier de la marine, nanti de plusieurs fleurs-de-lis et de cinq portraits des anciens tyrans scélérat consommé d'ailleurs par l'ingratitude qu'il a manifestée envers une nation généreuse de qui il venait de recevoir une récompense pour les services civils avait rendus au dernier tyran de la France.
Il est condamné pour avoir joué un grand rôle dans le conseil de l'armée vendéenne.
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