Condé-sur-l'Escaut est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Condé.
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Localisée sur le cours canalisé de l'Escaut, elle fait partie de la banlieue de Valenciennes et de la communauté d'agglomération Valenciennes Métropole, qui regroupe 35 communes et 190 528 habitants, en 2009.
Géographie
Localisation
Condé-sur-l'Escaut est située à 12 km au nord-est de Valenciennes, à 51 km de Lille, à 90 km de Bruxelles et à 239 km de Paris.
Le territoire communal est longé, au Nord, par la frontière belge. La ville se trouve au confluent de la Haine et de l'Escaut.
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Hydrographie
Condé-sur-l'Escaut
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de «climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord», selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type «climat océanique altéré» dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]
Moyenne annuelle de température: 10,7°C
Nombre de jours avec une température inférieure à −5°C: 3,5 j
Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C: 3,1 j
Nombre de jours de précipitation en janvier: 12,4 j
Nombre de jours de précipitation en juillet: 9,3 j
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, «Valenciennes», sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9°C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[9].
Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], «Lille-Lesquin», sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 37 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4°C pour la période 1971-2000[11] à 10,8°C pour 1981-2010[12], puis à 11,3°C pour 1991-2020[13].
Voie de communication et transport
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Urbanisme
Typologie
Condé-sur-l'Escaut est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].
Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[17] et 334 571 habitants en 2019, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].
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Occupation des sols
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (37,9% en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (39%). La répartition détaillée en 2018 est la suivante:
forêts (32%), zones urbanisées (22,4%), prairies (12,7%), zones agricoles hétérogènes (7,6%), eaux continentales[Note 8] (7,6%), zones humides intérieures (6%), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,9%), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,8%)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes: la carte de Cassini (XVIIIesiècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Projet d'aménagement
Le centre historique fait partie du programme national de revitalisation des quartiers anciens dégradés (PNRQAD)[24].
Toponymie
Le nom Condé vient du celtique Condat(e), qui signifie «confluent» (ici celui de la Haine, aujourd'hui détournée, et de l'Escaut). Le nom est romanisé en Condatum à l'époque gallo-romaine avant de devenir Conde au XIVesiècle.
Durant la période révolutionnaire, à la demande des autorités et par décret du 25 vendémiaire an II (16 octobre 1793), comme beaucoup de communes de France dont le nom tient alors d'une connotation féodale ou religieuse, la commune, alors nommée Condé, prend le nom de Nord-Libre[25] et jusqu'au décret du [26],[27].
La commune prend son nom actuel de «Condé-sur-l'Escaut», en 1886[25].
La commune se nomme Konde a/d Schelde en flamand[28].
Situé en Gaule belgique à l'époque celtique, le site est occupé par les Nerviens puis par les Romains qui y installent un campement militaire.
Les Francs s'y installent ensuite à l'époque des Invasions et la région est évangélisée au VIIesiècle par saint Wasnon, patron de l’église paroissiale. Une collégiale s'érige à proximité immédiate (actuellement place Verte) et se trouve placé sous le vocable de Notre-Dame. La fondation de ce chapitre, qui fournit au pouvoir féodal son personnel administratif, remonte à la période mérovingienne (Veau-VIIIesiècles, ainsi que l'attestent les fouilles archéologiques[30]. Deux siècles plus tard, des Vikings, apparus une première fois en 855, s'y établissent provisoirement dans les années 880. Remontant l'Escaut sous le commandement de leurs chefs Sigfred et Godfred, ils prennent la place forte et y établissent un camp retranché avec un embryon de fortifications; chassés en 885, ils réapparaissent dès l'année suivante jusqu'à leur expulsion définitive en 889.
La ville, très disputée, est tour à tour prise par les troupes flamandes de Jacques van Artevelde, par le roi de France Louis XI en 1477[31].
Jean de La Hamaïde, seigneur de Condé, meurt à la bataille d'Azincourt en 1415[32].
En 1654, les Espagnols commencent une période de chantiers de modernisation, interrompue par une prise française en 1655, suivie d’une reprise espagnole l’année suivante. Les Espagnols ajoutent un chemin couvert et construisent des défenses avancées. Ils renforcent les défenses du front nord-ouest par quatre puissants bastions. En 1676, Louis XIV assiège la ville, définitivement rattachée à la France par le traité de Nimègue en 1678.
Le 27 novembre 1788, sont érigées en duché les terres de Condé, Fresnes, Vieux-Condé, Hargnies, situées en Hainaut, sous la dénomination de duché de Croÿ en faveur d'Emmanuel Ferdinand François duc de Croÿ (maison de Croÿ). Le bénéficiaire, prince de Solre et de Meurs, prince du Saint-Empire, grand d'Espagne de 1re classe, maréchal des camps et armées du roi, chevalier des ordres du roi, baron et gouverneur de Condé, avait demandé de transporter le titre de duché de Croÿ, créé en 1598 par Henri IV en faveur de Charles de Croÿ sur la terre de Croÿ (Crouy-Saint-Pierre) en Picardie, sur les terres de Condé, etc[33].
Article détaillé: Siège de Condé (1793).
Les troupes autrichiennes de François de Saxe-Cobourg occupent la ville après un blocus de 92 jours[34] ()[35]. La ville est libérée des Autrichiens le par le général Schérer. Elle tombe aux mains des coalisés lors de la chute de Napoléon (1815): ils ne la quittent que trois années plus tard, en 1818.
En 1802-1803, au niveau des transports, deux voitures relient régulièrement Condé, alors Nord-Libre, à Mons et Tournai[36].
En 1878, l'archiduc Frédéric d'Autriche, de la brache de Teschen, y épouse la princesse Isabelle de Croÿ au château de l'Hermitage.
La ville fut desservie par l'ancien tramway de Valenciennes de 1882 à 1966.
En 1901, Condé-sur-l'Escaut perd son titre de place forte: l'État autorisera son démantèlement en 1923.
En juillet 1914, à la veille de la Première Guerre mondiale, un rassemblement contre la guerre est organisé à Condé-sur-l'Escaut avec des représentants des partis socialistes français, belge et allemand, parmi lesquels Karl Liebknecht[37],[38].
Lors de la Seconde Guerre mondiale, la commune est occupée de 1940 à 1944 par les Allemands qui exploitent ses ouvriers et sa mine de charbon.
Le charbon est exploité à la fosse Ledoux jusqu'en 1989, date de la fermeture définitive de la mine. Le site est détruit en 1991.
Articles détaillés: Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais et Houillères du Nord-Pas-de-Calais.
Le , six braqueurs attaquent la trésorerie principale de Condé-sur-l'Escaut et repartent avec un butin de 16 000 000 FF (environ 2 500 000 €), la pension trimestrielle des mineurs (le paiement des pensions était en liquide)[39],[40].
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Article connexe: Élections municipales de 2014 dans le Nord.
Le premier tour des élections municipales de 2020 se déroule le . Le confinement lié à la pandémie de Covid-19 retarde de trois mois la tenue du second tour, qui a lieu le . S'y affrontent le maire sortant, le fils de l'ancien maire et un ancien adjoint[41].
Administration municipale
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Liste des maires
Maire en 1802-1803: Antoine de St-Moulin, médecin [42].
Liste des maires successifs
Période
Identité
Étiquette
Qualité
Début de la liste des maires (de 1843 à 1919)
Période
Identité
Étiquette
Qualité
1843
1848
Alexis Mention
février 1848
Octobre 1848
Pierre-Joseph Pureur
1848
1860
Alexis Mention
1860
1861 (?)
Jean Nicolas Bussiere
mars 1861 (?)
avril 1861 (?)
Ferdinand Dervaux
1861
1862
Alidor Delzant
(faisant fonction)
1862
1870
Nicolas Carlier
1870
1871
Louis Cayrol
mars 1871
mai 1871
Charles Cousin
1871
1878
Nicolas Carlier
1878
1889
Nestor Castiau
1889
1890
Pierre Pureur
élu, démissionnaire, faisant fonction par délégation spéciale
1890
1896
Antoine Dumoulin
1896
1919
Pierre Pureur
juin 1919
septembre 1919
Joseph Dubreucq
Délégation spéciale
Les données manquantes sont à compléter.
décembre 1919
juillet 1948 (décès)
Pierre Delcourt
SFIO
Journaliste Député de la 1recirconscription de Valenciennes (1928-1936) Sénateur du Nord (1948) Conseiller général (1945-1948)
Enseignant Conseiller régional des Hauts-de-France (depuis 2015)
Instances judiciaires et administratives
Condé-sur-l'Escaut relève du tribunal d'instance de Valenciennes, du tribunal de grande instance de Valenciennes, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Valenciennes, du conseil de prud'hommes de Valenciennes, du tribunal de commerce de Valenciennes, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.
Intercommunalité
Condé-sur-l'Escaut est membre de la Communauté d'agglomération de Valenciennes Métropole qui regroupe 35 communes.
Politique environnementale
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10000habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinqans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].
En 2019, la commune comptait 9 515 habitants[Note 9], en diminution de 2,32% par rapport à 2013 (Nord: +0,49%, France hors Mayotte: +2,17%).
Évolution de la population [modifier]
1800
1806
1821
1831
1836
1841
1846
1851
1856
5 978
6 679
7 021
5 350
5 297
5 103
5 025
5 110
5 710
Évolution de la population [modifier], suite (1)
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
1896
1901
5 804
4 642
4 964
4 346
4 621
5 172
4 772
4 481
4 960
Évolution de la population [modifier], suite (2)
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
1954
1962
5 310
5 213
4 503
6 708
7 228
7 053
7 114
9 137
14 066
Évolution de la population [modifier], suite (3)
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2010
2015
2019
13 607
13 994
13 671
11 289
10 527
10 121
9 731
9 630
9 515
De 1962 à 1999: population sans doubles comptes; pour les dates suivantes: population municipale. (Sources: Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,4%, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5%). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,8% la même année, alors qu'il est de 22,5% au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 4 519 hommes pour 5 067 femmes, soit un taux de 52,86% de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77%).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,9
5,9
75-89 ans
10,5
15,2
60-74 ans
17,1
20,6
45-59 ans
18,3
17,3
30-44 ans
15,6
18,6
15-29 ans
17,4
21,9
0-14 ans
19,1
Pyramide des âges du département du Nord en 2018 en pourcentage[48]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,5
90 ou +
1,3
5,1
75-89 ans
8,1
14,3
60-74 ans
15,6
19,2
45-59 ans
18,6
19,6
30-44 ans
18,7
20,7
15-29 ans
19,1
20,7
0-14 ans
18,5
Enseignement
Condé fait partie de l'académie de Lille.
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Santé
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Sports
C'est au stade de la Chaussiette que l'un des rares clubs de crosse de France s'entraine. Surnommée les Haveurs en référence au passé minier du Valenciennois, elle joue en championnat en association avec le club de Lille mais organise seule sa propre compétition évènementielle annuelle: la Hainaut Cup.
La ville dispose également d'un circuit de moto-cross et a organisé en 2013 la finale du Championnat des Flandres.
Le club de volley-ball joue en Nationale masculine 2 aux côtés de Bellaing.
Le club de judo local organise chaque année un tournoi open dit Open des ch'tis, invitant au passage plusieurs clubs plus ou moins lointains.
Média
La Voix du Nord Valenciennes-Denain (quotidien)
L'Observateur du Valenciennois (hebdomadaire)
Cultes
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Économie
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Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Château féodal de Nicolas d'Avesnes relevant du Hainaut. Édifice roman du XIIesiècle - Remanié en phillipien au XVesiècle - transformé en arsenal à la fin du XVIIesiècle
Châtelet de l'Hostel de Bailleul (1411, par ailleurs cité au XIVesiècle)
Enceinte urbaine plusieurs fois remaniée: XIIesiècle (par Baudouin IV l'Édifieur, comte de Hainaut) – voir notamment la «Tour des Archers», XVIesiècle (par les Espagnols) – XVIIIesiècle (par Vauban, qui ajoute notamment la redoute de Macou), XIXesiècle (par Séré de Rivières) et milieu du XXesiècle (blockhaus)
Couvent des Sœurs Grises (1536) aménagé en théâtre entre 1824 et 1849
Fortifications des XVIeetXVIIesiècles remaniées par Vauban
Caserne de Cavalerie dite «Quartier Lecomte» (1680), actuellement HLM
Porte Vautourneux (1707)
Ancien Relais de Poste dit: La Couronne d'Espagne - De Spaanse Kroon (début XVIIIe)
Église Saint-Wasnon. (1751 - clocher 1607)
Hôtel de ville (1774)
Moulin de Croÿ (reconstruit en 1776)
Château de l'Hermitage (1786)
Beffroi (XIIIesiècle) disparu au profit d'un beffroi plus modeste (1789)
Corps de Garde de la Porte du Quesnoy (1803)
Kiosque (1881)
Monument de la Clairon (1901)
Ancien manège de Cavalerie, actuellement entrepôt (1905)
Chevalement de l'ancienne fosse Ledoux (1951)
Le cimetière militaire britannique situé à l'intérieur du cimetière communal.
Tombeau d'Élisa Joséphine Glorieux (1814-1889), situé route de Bonsecours.[49],[50]
Godefroy de Condé, dit de Fontaines, fils du seigneur de Condé, évêque de Cambrai en 1218-1219.
Josquin des Prés († 27 août 1521), musicien célèbre, maître de chapelle de Louis XII, compositeur de la période de la Renaissance.
Robert de Croÿ (-1556), chanoine de la collégiale, évêque de Cambrai.
Ernest I de Haynin du Cornet, (bapt. 23/12/1628 à Saint-Nicolas à Douai, fils de Louis et d'Anne le Merchier; mort le 28/07/1683 au château de Cerfontaine qu'il tenait de Marie Catherine de la Biche, son épouse), capitaine d'infanterie puis commandant de la place forte de Condé au service du roi d'Espagne[52]
Ernest II de Haynin de Cerfontaine, fils du précédent) époux de Catherine Lardenoy de Ville, eut parmi cinq enfants: Anne-Charlotte-Caroline de Haynin-Cerfontaines, dite «Mademoiselle de la Haye», qui fut la 21e de la liste des Demoiselles de Saint-Cyr de 1686 à 1793 pour le Nord à faire partie de la Maison royale de Saint-Louis. Saint-Cyr est dès lors école de fondation royale instituée par Madame de Maintenon, que Louis XIV développe pour les filles d'officiers qui ont servi la France[réf.nécessaire][53].
Emmanuel de Croÿ-Solre (1718-1784), maréchal de France
La tragédienne française Claire Léris dite «Mademoiselle Clairon» ( - ) est native de Condé-sur-l'Escaut.
Albert-Augustin-Joseph Duhot (1767-1851), membre et secrétaire du Conseil des Cinq-Cents.
Gustave-Maximilien-Juste de Croÿ-Solre (1773-1844), Cardinal.
le militaire Adrien Bourgogne (1785-1867), dit le «Sergent Bourgogne», relata dans ses mémoires toutes les épreuves que la Grande Armée éprouva pendant la retraite de Russie.
Charles Deulin (1827-1877), écrivain.
Léon de Poilloüe de Saint Mars (1832 - 1897), général de division puis commandent en chef des Armées.
Gustave Wettge (1844-1909), chef de musique de la Garde républicaine.
Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
Population municipale légale en vigueur au 1erjanvier2022, millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1erjanvier2021, date de référence statistique: 1erjanvier2019.
Références
Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, «Les types de climats en France, une construction spatiale», Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no501, (DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
IGN, «Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes.», sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p.428, lire en ligne.
Marie Fourrier, La Révolution française dans le "Pays Vallée de la Sarthe", 1789-1800, Centre de ressources du patrimoine du Pays Vallée de la Sarthe, 2010, p.30.
«Le hold up de Condé-sur-Escaut», émission Rendez-vous avec X, diffusée sur France Inter le 22 novembre 2003 (écouter l'émission).
«Municipales: le casting est finalisé, c'est reparti pour un tour», La Voix du Nord, édition Hainaut-Douaisis, no24244, , p.3.
Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 74, lire en ligne.
F. B., «Daniel Bois appelle à solidariser les forces vives de la commune: Après 31 ans de vie municipale, Daniel Bois avait laissé la main à son fils lors des dernières élections municipales auxquelles ils ont été battus par Grégory Lelong, le maire actuel.», L'Observateur du Valenciennois, no737, , p.15.
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