Chantepie est une commune française de Rennes Métropole située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.
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Chantepie | |
Chantepie vue par le sud, depuis la vallée du Blosne. | |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Bretagne |
Département | Ille-et-Vilaine |
Arrondissement | Rennes |
Intercommunalité | Rennes Métropole |
Maire Mandat |
Gilles Dreuslin (PS) 2020-2026 |
Code postal | 35135 |
Code commune | 35055 |
Démographie | |
Gentilé | Cantepien |
Population municipale |
10 278 hab. (2019 ![]() |
Densité | 858 hab./km2 |
Population agglomération |
395 710 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 05′ 19″ nord, 1° 36′ 59″ ouest |
Altitude | Min. 32 m Max. 77 m |
Superficie | 11,98 km2 |
Type | Commune urbaine |
Unité urbaine | Rennes (banlieue) |
Aire d'attraction | Rennes (commune du pôle principal) |
Élections | |
Départementales | Canton de Rennes-3 |
Législatives | 1re circonscription d'Ille-et-Vilaine |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.ville-chantepie.fr |
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En 2019, avec 10 278 habitants[Note 1], elle est la 11e commune la plus peuplée d’Ille-et-Vilaine et la 37e de Bretagne[1].
Ses habitants sont appelés les Cantepiens et les Cantepiennes.
La commune de Chantepie s’étend sur 1 198 hectares. Les zones urbanisées y représentent environ 290 hectares et les surfaces en cours d’urbanisation ou urbanisables 170. Sa population est de plus de 10 000 habitants depuis 2011. La commune est située au sud-est de Rennes, à 3,5 km du centre de Rennes, en Haute-Bretagne, département d’Ille-et-Vilaine (35).
Les roches à l'affleurement sont essentiellement du socle érodé, sans dépôts alluvionnaires (sauf aux abords du Blosne) : ce sont des schistes verts briovériens azoïque, altérés sur les premiers mètres, et présentant de nombreuses diaclases plus en profondeur, à cause de la gélifraction würmienne (lors de la dernière glaciation, le gel sévissait jusqu'à 200 m de profondeur). Cette altération physique (et chimique superficiellement) permet la présence d'une nappe phréatique et de puits.
Ces schistes verts, bien qu'altérés, sont suffisamment durs pour empêcher la réalisation de caves. Les maisons n'ont pas de fondations. Pour anecdote, cette commune avait été choisie pour réaliser des abris anti-atomiques expérimentaux, ce qui s'est avéré impossible du fait de cette particularité.[réf. nécessaire]
Il s'agit originellement d'une paroisse rurale, constitué à l'époque moderne (XVIe?), formant un village-rue autour de la Route principale, d'orientation E-O (Route de Châteaugiron autrefois, puis Rue Nationale, et aujourd'hui Avenue André-Bonnin, du nom d'un maire décédé en 1993) et avec un noyau groupé autour de son église.
Les habitations modestes anciennes reflètent la géologie locale (murs en schistes plus ou moins friables car altérés) ; certaines longères modestes sont aussi constituées de torchis : argile (prélevée sur place) mêlée de graviers et de pailles. En revanche, certains tertres, les manoirs, l'église, sont composés de matériaux considérés comme plus « nobles » : grès armoricains issus des carrières des synclinaux - anticlinaux du Sud de Rennes, schistes rouges de Montfort, granites de Fougères pour les angles des murs. N'étant pas prélevés sur place, ces matériaux étaient plus coûteux.
Rennes | Cesson-Sévigné | |
Noyal-Châtillon-sur-Seiche | ![]() |
Domloup |
Vern-sur-Seiche |
Chantepie est desservi par les bus du réseau STAR, principalement via les lignes C1, 13 et 34.
La ZI Sud-Est, partiellement sur la commune de Chantepie est desservie par la ligne 11.
Le hameau de la Martinière est desservi par la ligne 62.
Avec la construction du métro à Rennes (ligne a), Chantepie devait accueillir au moins une station. Cependant les tentatives de la Mairie de l'époque ont échoué faute de pugnacité et de moyens. Une extension de la ligne A est envisagée à Chantepie après la mise en service de la ligne b prévue pour 2020. Trois stations ont été préprogrammées : Val Blanc, Mairie de Chantepie et Rives du Blosne. Cependant compte tenu du coût d'un tel projet et de la taille très relative de Chantepie, le projet semble compromis[réf. nécessaire].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[8] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 12,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[12].
Chantepie est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rennes, une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes[16] et 357 327 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (38,8 %), terres arables (24,4 %), zones urbanisées (21,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,8 %), prairies (5,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].
Le tableau ci-dessous présente une comparaison de quelques indicateurs chiffrés du logement pour Chantepie et l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine en 2017[I 1],[I 2].
Chantepie | Ille-et-Vilaine | |
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Parc immobilier total (en nombre d'habitations) | 5 126 | 546 440 |
Part des résidences principales (en %) | 92,9 | 86,2 |
Part des résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,4 | 6,9 |
Part des logements vacants (en %) | 5,7 | 6,9 |
Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) | 53,6 | 59,8 |
Chantepie dispose d'un plan local d'urbanisme intercommunal approuvé par délibération du conseil métropolitain du 19 décembre 2019[23]. Il divise l'espace des 43 communes de Rennes Métropole en zones urbaines, agricoles ou naturelles.
Les formes anciennes sont : Parrochia de Chantepie en 1231[24], de Cantu Pice (1330)[25], ecclesia de Cantu picoe en 1516[24], Chantipie (XVIIe siècle).
Chantepie appartient aux nombreux toponymes formés en langue d’oïl, du type Cantepie, Chantecoq, Chanteloup, etc. Il signifie « (lieu où) chante la pie »[24].[source insuffisante]
La forme bretonne correcte proposée par l'Office public de la langue bretonne est Kantpig [25]; Cependant le pays de Rennes se trouve en dehors de l'aire traditionnelle de diffusion de la langue bretonne où était parlé le gallo : Chentt Pi (écriture Moga)[26] ou Chauntepiy[27].
Il existe peu de sources sur l'histoire de Chantepie. Cette paroisse était au XVIe siècle le siège d'une puissante seigneurie, la seigneurie des Loges. Au XVIIe siècle, elle était à son apogée (elle détenait la Haute-Justice). Cela dit, il est difficile d'avoir des documents sur l'extension de cette seigneurie et sur le territoire qu'elle recouvre. Peut-être l'exploration des archives révélerait-elle des plans terriers.
Des livres sur l'histoire de Chantepie existent bien. Cela dit, ils ne répondent pas à ce type de question. Ce sont plutôt d'excellents recueils sur les lieux-dits avec la liste de leurs propriétaires successifs. Pour le reste, ils retracent plutôt à la vie à Chantepie au cours de grands évènements généraux (Révolution, guerres...) plus que l'histoire propre du lieu.
On retrouve, sur la partie rurale du territoire communal (70 % de la superficie de la commune, principalement à l'Est), les traits du bocage gallo. C'est un bocage, relativement pauvre en espèces (pauvreté caractéristique biogéographique de la Bretagne orientale), qui a été remembré, et dont les mailles sont très élargies. Les schistes briovériens produisent une argile lourde, avec une bonne capacité d'échange cationique. Il en résulte que les sols sont facilement valorisables par les engrais. Sur la partie rurale du territoire communal, il y avait une quinzaine de fermes ; la périphérie du noyau villageois possédait des jardins clos et des cultures maraîchères. Le développement urbain de la seconde moitié du XXe siècle est à l'origine de la disparition progressive de ce type d'espace.
La particularité de la commune est de se retrouver prise dans la couronne périurbaine de Rennes, et de se fondre dans son tissu urbain, malgré la rupture spatiale que constitue la rocade Sud. Le développement actuel de la commune est donc lié à celui de la ville de Rennes. Le débordement du tissu urbain rennais sur Chantepie est accentué par l'intercommunalité : la ville intègre le district de Rennes dès 1971. La commune intègre ensuite la communauté d’agglomération Rennes Métropole, structure qui possède les compétences en matière de foncier et d'aménagement. Les plans locaux d'urbanisme et les plans locaux de l'habitat des communes appartenant à Rennes métropole doivent être en conformité avec le schéma de cohérence territoriale établi à l'échelle de l'agglomération, comme pour toute communauté d'agglomération.
Au-delà du noyau d'origine, les années 1970 et 1980 ont vu une extension de la partie urbaine de la commune, essentiellement sous forme pavillonnaire. Un premier mouvement s'est fait vers le Nord et l'Est, mais il a été arrêté par la présence de la zone industrielle Sud-Est de Rennes et de la limite de la commune voisine de Cesson-Sévigné. Une partie de la Zone industrielle Sud-Est de Rennes appartient à Chantepie (Nord de la commune), où le journal Ouest-France a déménagé en 1972, les locaux du centre-ville de Rennes étant devenus trop étroits. Au Sud-Ouest de Chantepie, on trouve une zone artisanale et commerciale, drainant des flux automobiles en provenance des communes voisines, avec congestion le samedi et les jours de pointe.
Un autre mouvement s'est fait vers le Sud à partir des années 2000, jusqu'au cours du Blosne. Cela se caractérise par une pression foncière importante renforcée par la position de Chantepie dans l'axe du métro de Rennes, dont le prolongement a été reporté au profit de la seconde ligne de métro et d'un renforcement de la ligne de bus (fréquence plus élevée et création d'une ligne en site propre en projet)[28]. La ZAC des Rives du Blosne a une superficie de 76 ha, et comporte cinq quartiers, qui composent autant d'îlots séparés par des espaces verts (24 ha de parcs naturels, 16 ha de jardins publics): la Touche Annette, le Chêne Roux, le Pont Bœuf, les Quatre Vents et les Neuf Journaux. Plus de 1500 logements ont ainsi été créés ou sont en cours de construction, dans une démarche environnementale (récupération des eaux de pluie, panneaux solaires, présence obligatoire d'un local deux-roues dans chaque immeuble…) et de mixité sociale[29].
Cette zone d'aménagement concerté est limitée par la présence d'une zone naturelle intéressante (Vallée du Blosne et le Bois de Sœuvres), comprenant des espèces d'oiseaux et de batraciens rares : pouillot siffleur, triton marbré, crêté leur son hybride.
Ces évolutions récentes expliquent la croissance démographique importante de la commune, qui a été l'un des enjeux des dernières élections municipales.
Chantepie appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Rennes-3 depuis le redécoupage cantonal de 2014. Auparavant, la commune a successivement appartenu aux cantons suivants : Rennes-Sud-Est (1833-1973 et 1982-2015) et Rennes-VII (1973-1982).
Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1986 de la première circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Mustapha Laabid (LREM). Sous la IIIe République, elle appartenait à la deuxième circonscription de Rennes et de 1958 à 1986 à la 2e circonscription (Rennes-Sud).
Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.
La commune appartient à Rennes Métropole depuis sa création le . Chantepie faisait alors partie des 27 communes fondatrices du District urbain de l'agglomération rennaise qui a pris sa dénomination actuelle le .
Chantepie fait aussi partie du Pays de Rennes.
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 10 000 et 19 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 33[30].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Liste des maires avant 1945
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1945 | novembre 1947 | Émile Hodayer (1879-1962) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
novembre 1947 | mars 1977 | Albert Chenard (1903-1981) | Retraité, maire honoraire (1977) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 1977 | décembre 1993[31] | André Bonnin (1938-1993) | PS | Professeur à l'INSA de Rennes, docteur en chimie Vice-président de Rennes District (1977 → 1989) Décédé en fonction | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
janvier 1994[32],[33] | juin 1995 | Jean-Louis Butault (1935- ) | DVG | Retraité SNCF | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
juin 1995 | mars 2008 | Michel Loret (1941- ) | PS | Retraité EDF-GDF | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mars 2008 | mai 2020 | Grégoire Le Blond[34] (1972- ) | MoDem puis AC-UDI |
Dirigeant de société 20e vice-président de Rennes Métropole (2014 → 2020) | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
mai 2020[35] | En cours (au 27 mai 2020) |
Gilles Dreuslin[36] (1963- ) | PS | Fonctionnaire territorial |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[37],[Note 8]
En 2019, la commune comptait 10 278 habitants[Note 9], en diminution de 1,27 % par rapport à 2013 (Ille-et-Vilaine : +5,84 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
1793 | 1800 | 1806 | 1821 | 1831 | 1836 | 1841 | 1846 | 1851 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 447 | 803 | 796 | 856 | 746 | 753 | 862 | 900 | 896 |
1856 | 1861 | 1866 | 1872 | 1876 | 1881 | 1886 | 1891 | 1896 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
869 | 918 | 887 | 822 | 862 | 835 | 820 | 783 | 765 |
1901 | 1906 | 1911 | 1921 | 1926 | 1931 | 1936 | 1946 | 1954 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
749 | 709 | 720 | 784 | 777 | 861 | 847 | 939 | 1 018 |
1962 | 1968 | 1975 | 1982 | 1990 | 1999 | 2006 | 2011 | 2016 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1 310 | 1 594 | 2 651 | 3 677 | 5 898 | 6 793 | 7 852 | 10 034 | 10 379 |
2019 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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10 278 | - | - | - | - | - | - | - | - |
On ne trouve aucun monument historique protégé à Chantepie. Selon la base Mérimée, il y a cependant un bâtiment inventorié[40] : l’église Saint-Martin-de-Tours[41],[42]. La base Glad du conseil régional possède 150 fiches d’inventaire sur la commune[43].
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Logotype de la Ville de Chantepie : signification à compléter
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